LU SUR LE NET :
Paula, femme de 65 ans, grand-mère super chaude
Je croyais avoir vécu tout ce qu’il est possible de vivre en matière de sexe. Depuis belle lurette, j’avais fait un trait sur ma sexualité, n’espérant plus rien, et puis ce jour-l, après ma journée de travail, la totale, je croyais rêver, je ne réalise toujours pas aujourd’hui ce qui s’est passé!
J’ai actuellement 65 ans, de petite taille, cheveux grisonnants, yeux marrons, je suis ronde, bien en chair comme on dit. J’ai une poitrine que l’on peut classer dans la catégorie très forte, je fais en effet un bon 125, bonnet DD, autant vous dire que ce sont deux fameux ballons.
Bien que seule dans la vie, je ne crache nullement sur les plaisirs que procure la chair, c’est ainsi que j’ai une belle collection de godes et de vibros, défaut d’autre chose…
Nous étions vendredi après-midi, je finissais ma journée de travail chez ce couple de notables, et j’avais hte de rentrer chez moi, de prendre un bon bain et de me mettre l’aise devant la TV. Je rangeais les derniers vêtements quand j’entendis la porte s’ouvrir. Je ne m’attendais pas voir rentrer mes employeurs si tôt, ils m’avaient laissés un mot sur la table de la cuisine et l’argent de ma semaine.
Quelque peu hésitante, je me dirigeai vers le hall d’entre et me trouvai nez à nez avec un jeune homme d’une petite trentaine d’années, grand, brun, les yeux couleur noisettes, il me sourit et se présenta comme tant le neveu de Madame. Il revenait d’un séminaire l’étranger et venait passer quelques jours. Il resta quelques minutes discuté avec moi, puis il se retira pour aller préparer sa chambre. Je continuai mon travail, et au moment de partir, je lui criai que je quittais la maison. Pas de réponse. Je répétai ma phrase, toujours rien.
Je montai les escaliers vers les chambres et frappai celle qu’il occupait, pas de réponse. Je me permis de pousser la porte, et là, je restai fige sur place, cloue, abasourdie. Il se tenait debout quelques mètres de moi, nu, il devait sortir de la douche. Il avait un essuie autour du cou, les cheveux mouillés, le torse également.
Je restai stupéfié la vision de son sexe. Un engin monstrueux, gros, épais et long à la fois. J’avais du mal à avaler ma salive. Je sentis mon ventre se tordre, mes seins gonflé, mes mamelons durcir. Je me rendais compte que je vivais encore intérieurement. J’essayais de poser mes yeux ailleurs, mais ce n’était pas possible, je ne voyais plus que ce sexe, dressa, band, pointant fièrement vers le plafond.
Je restai ainsi quelques instants, l’observant en silence. Je reculai un pied pour regagner le couloir, le plancher craqua et il releva la tête dans ma direction.
J’étais rouge de honte, je ne savais plus où me mettre, je voulais prendre mes jambes mon cou et cavaler, mais ce spectacle m’attirait, il m’était impossible de bouger. Le jeune homme s’approcha lentement de moi tout en souriant, et posa une main sur ma joue. Il me caressa et me dit : « alors comme a, tu te rinces l’œil. Tu as l’air bien curieuse et attire par mon sexe ». Il se colla moi et pressa son bassin contre mon ventre. Je sentais maintenant cette masse de chair vibrer contre mon estomac. Je n’esquissais aucun mouvement, me laissant faire, docile, hypnotise par cette situation insensée.
Le jeune homme posa ses lèvres sur mon cou et m’embrassa tendrement. Je frémissais de la tête aux pieds, je sentais mes tétons durcir m’en faire mal, mon ventre se nouer et commencer mouiller, cela faisait bien longtemps que je n’avais pas t aussi excite. Je sentais sa bouche me parcourir toute, le cou, la nuque, les joues et puis les lèvres. Il m’embrassa goulument, faisant pénétrer sa langue habile et nerveuse dans ma bouche. Il m’enlaça tendrement et me poussa vers le lit. Je ne pouvais résister, et je ne le voulais pas non plus !
– Cela fait plusieurs semaines que je n’ai plus fait l’amour, me dit-il.
S’il savait, le pauvre chéri, que moi je n’avais plus écarté les cuisses depuis de trop longues années…
Je me laissais guider. Il m’embrassa partout, s’occupa de moi, de mon corps, sans oublier un centimètre carré de peau. Il déboutonna mon chemisier, ouvrit mon soutien-gorge, libérant mes grosses poires et les embrassa, les empoigna pleines mains, les lâcha. Je devenais folle par cette caresse, je gémissais, je roucoulais, je fondais, je me liquéfiais, je me sentais sienne, plus rien ne pouvait me retenir. Ni la différence d’age, ni le lieu, ni rien du tout, mon cerveau ne travaillait plus depuis un moment, c’est mon sexe et mon corps qui prenaient la direction des opérations!
Son visage descendit toujours plus bas, me couvrant de baisers ardents sur le ventre et le nombril, puis relevant ma jupe, il passa ses mains sous ma culotte, l’carta, et me lécha le sexe comme un affamé. Un homme chaud, vicieux, viril, comme beaucoup de femmes de mon age voudraient en connaître un jour.
Et pour l’heure, c’tait moi qui en profitais un maximum. Je me voyais grossièrement couche sur le dos, les jambes écarteleés, le sexe ouvert et offert cette bouche avide. Je sentais sa bouche venir jouer avec mes lèvres vaginales, avec mon clitoris, je sentais ses doigts me caresser l’entrecuisse, les fesses, l’anus. Je fermis en sentant un doigt venir taquiner mon petit trou vierge. Mon jeune amant me massait les seins tout en me léchant la chatte à grands coups de langue.
Je sentais monter en moi la jouissance toute proche, je n’allais pas tarder crier, hurler, gueuler mon orgasme tant il devenait fort et incontrôlable. Je jouis donc en poussant une bonne gueulante, et en remuant dans tous les sens. Il continuait me lécher et me boire, je sentais le jus me couler entre les jambes, entre les fesses. Mon amant avait le visage trempé. Toujours souriant, il se releva et m’embrassa nouveau. Je sentais cette odeur de sexe et de mouille, nos langues jouaient, nerveuses, rapides.
Il me caressa le visage, les joues et me pressa la tête vers son bas-ventre en disant : « J’ai envie que tu me suce, prend-le en bouche, joue avec, fais-moi venir ma belle, j’ai envie de jouir avec toi! ».
Je me couchai entre ses jambes et entrepris une fellation comme jamais je n’en avais exccuté. Je m’étonnais moi-même, de pouvoir engloutir la totalité de son sexe. J’en avais mal aux lèvres, je croyais qu’elles allaient se déchirer. Mais finalement, je me mis le pomper en force. Je lui léchais les couilles, le cylindre, le gland, j’allais et venais, ma bouche avalait cette somptueuse verge, agressive, droite, chaude. Je le sentais bouger du bassin, comme pour mieux pénétrer ma bouche avec sa belle queue dresse.
Je sentis sa longue tige vibrer dans le fond de ma gorge, des spasmes lui parcouraient le corps, et finalement il se libera, me larguant une bonne quantité de sperme sur le palais. Il ne finissait plus d’éjaculer en moi, je sentais ce jus, chaud et pais, me remplir la bouche. En femme bien élevée, j’avalais le tout sans broncher, appréciant même le goût de ce bon nectar.
Il bandait toujours, même après avoir joui intensément. Il se redressa et vint me planter sa matraque qu’un coup sec. Je poussai un petit cri de douleur. Je mouillais et je le voulais en moi, en entier. Il se mit pistonner ma chatte vive allure. Il me matraquait, me labourait. Je jouissais dès les premiers va et vient, je subissais ses assauts de mâles virils, que c’tait bon, divin, exquis.
Il remua en moi encore quelques fois et se vida pour la deuxième fois. Nous sommes restés dans sa chambre jusqu’au moment où mes employeurs arrivèrent.
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