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Le motel des soupirs – 2

Le motel des soupirs – 2



Le motel

Le motel apparu soudainement perdu aux milieux de nulle part au sommet d’une longue côte sinueuse. J’eus une peur bleue que la notaire soit déjà là à cause de ma jupe toujours mouillée, même si ce n’était pas bien grave mais je ne vis aucune voiture. Ouf ! Peut-être qu’en restant le cul au soleil…

Une haute enseigne défraîchit et rouiller indiquait : (Chez Ti-Paul, fermé.) Un motel minuscule au nom ridicule. Jadis blanc, maintenant il était gris de poussière et de saletés. En entrant dans le stationnement en gravier, je compter cinq chambres plus une réception et une rallonge a l’arrière pour y habiter, un genre de petites maisons à pignons sur deux étages. « Deux bâtiments souder ensemble datant des années 50 » m’avait dit la notaire, la grande époque des motels et entourer de gigantesque pin Douglas. Mais visiblement ça n’avait pas été repeint apparemment depuis le premier succès de Led Zeppelin. Le stationnement et le toit en pente du motel et de la maisonnette étaient recouverts d’aiguilles de pin rougi et de feuilles qui devaient boucher les rigoles. À par ça, il n’y avait qu’un garage penché dans la cour arrière ou le stationnement se continuait et quelques vieilles tables de pique-nique décolorer par les intempéries a l’ombre, sous les pins. Wow ! Ça me plaisait même si comme je l’avais espéré il n’y avait pas de belle piscine creuser. Ça me plaisait parce que je le voyais déjà retaper et étincelant avec une magnifique enseigne au néon et remplie de clients.

En descendant de ma petite auto je m’étirer et me frotter les reins trempes de sueur en projetant ma grosse poitrine vers l’avant. La chaleur était presque palpable, suffocante, j’avais l’impression de respirer dans un sauna. J’agitai ma petite main devant mon visage pour me faire de l’air en savourant la tranquillité qui régnait ici tout en me dégourdissant les jambes. À part quelques oiseaux, des grillons et une rivière qui cascadait quelque part au loin le silence étaient total, si apaisants comparer a Montréal. Moi qui déteste le bruit et la ville, je me sentais déjà chez moi. Comme tout était barré et les rideaux tirer, je fis le tour de (mon motel) en inspectant les bâtiments sentant toujours mes fesses mouiller.

Je n’en revenais pas d’être propriétaire pour la première fois de ma vie a 48 ans et surtout d’un commerce et d’une maison. Dès que je fus à l’arrière j’entendis mieux des rapides ou des chutes. Je m’approcher prudemment d’une vieille clôture en rondins délabrer au fond de la cour et vit un ravin boiser qui donnait sur une magnifique petite rivière toute au fond qui déboulait dans un canyon de grosses roches. Wow ! J’allais devoir faire réparer cette clôture sinon quelqu’un risquait de se tuer. Le garage lui était tout aussi en piteux état. Il était littéralement appuyé sur un énorme sapin dans un coin de la cour comme s’il était épuisé le pauvre. Tout était barré et solidement cadenasser, il ne me restait qu’a attendre cul au soleil en finissant ma bouteille d’eau. Je résister même a la tentation de me la vider carrément sur la tête, tant qu’à faire. Je finit par rêvasser m’imaginant avoir le courage d’inviter une jolie notaire a prendre une bonne bière froide au village sous prétexte de discuter du motel pour finalement la ramener ici dans une chambre et… Seigneur ! Avec moi, aucune chance que cela se produise. Elle allait devoir me sauter dessus.

« En tout cas, merci mon oncle, même si je ne vous connaissais pas ! Je vais boire un coup ce soir chez moi à votre santé »

La notaire arriva finalement en coup de vent dans une grosse berline grise et vitre fermer, la chanceuse. Une femme distinguer dans la trentaine et fausse blonde avec de gros sourcils noir, pas sympathique pour deux sous, trop maquiller en plus et qui me serras la main mollement en louchant vers mon buste comme tout le monde. J’en fis mon deuil de l’inviter aussitôt, je l’avais déjà fait de toute façon. Elle me fit entrer dans la maison par l’arrière, je prenais soin de rester derrière elle à cause de ma jupe encore humide. C’était propre, meubler à l’ancienne; vieux poêle a gaz, vieux frigo des années 50 mais en parfaite condition, vieille table de cuisine aussi des années 50. Un vrai retour dans le temps. Elle me fit signer des papiers rapidement a la table de cuisine en regardant sa montre sans arrêt et loucha même une nouvelle fois vers mon buste avec un petit sourire qui me déplut royalement en me donnant les clefs, des tas de papier plus une n’enveloppe et s’enfuit sans doute vers un autre rendez-vous ou parce que je lui faisais peur. Comme je suis plutôt joli et mince et que j’ai cette poitrine démesurée, de gros seins ronds et hauts, beaucoup de femmes me regardent comme si j’étais une reine du porno. Ça se voyait juste à leur regard condescendant ou par jalousie parce que leurs maris louchaient vers moi. Pourtant je ne suis qu’une enseignante timide et réserver. Mais, j’avais appris a vivre avec mes gros seins tout comme ma mère et malgré tout, ont les aimait nos grosses boules elle et moi.

Enfin seul, j’avais déjà décidé que j’allais passer mes étés ici et garder mon travail d’enseignante dans un collège privé pour les sessions d’hiver à condition que le motel soit rentable et ça, ce n’était pas gagné d’avance apparemment. Même si les papiers qu’elle m’avait laissés prouvaient le contraire. Pourtant, personne ne semblait passer par ici en plein milieu de la saison des vacances, mais ce motel était toujours la après toutes ces années, alors, il devait bien y avoir des clients quelques part. Et puis je venais juste d’arriver et c’était fermé depuis deux mois. Je me sentais tellement fier que tout ça soit à moi. Propriétaire d’un motel. Wow ! La notaire n’avait rien pu m’apprendre sur ce mystérieux oncle, qu’elle n’avait vu qu’une fois. Un homme austère et pas très causant apparemment et il n’y avait aucune dette d’accumuler sur les bâtiments. Mort de vieillesse pour ce qu’elle en savait et sans enfants.

Fallait que je rappelle ma mère a sont sujet mais plus tard, j’avais trop hâte de découvrir mon Nouveau Monde rien qu’a moi. La cuisine très ensoleiller donnait sur l’arrière, le frigo était vide et propre comme s’il n’avait jamais servi tout comme le poêle à gaz, même les armoires de cuisine étaient vides. J’entrer dans un coin salon ou trônait un vieux canapé en bonne condition, un gros fauteuil dans le même état et une vieille télé, vielle lampe, etc. Étrangement tout était d’époque mais semblait neuf comme si mon mystérieux oncle n’avait jamais vécu ici. Aucune photo de famille, rien… Visiblement quelqu’un avait fait le ménage après la mort de cet oncle et débarrasser la place de tous ces effets personnels. Une porte avec de gros loquets donnait directement du salon à la réception du motel et un escalier pentu entre le salon et la cuisine donnait accès au deuxième. Là-haut il y avait un étroit couloir donnant sur une chambre avec lit en fer forger et draps neufs, bureau vide et une grande fenêtre a carreaux. Pas de douche dans la salle bain, qu’un vieux bain sur pieds d’une propreté incroyable tout comme l’évier et la cuvette mais étrangement il y avait des ensembles de serviettes blanches tout aussi neuves que les draps du lit. Au fond du couloir une petite porte donnait sur un débarras qui servait aussi d’établit éclairer par une petite fenêtre et c’était remplie de vieux outils et de tout un bric-à-brac. Un vrai trésor pour un antiquaire. Il y avait même le truc que toutes les quincailleries possèdent pour faire des clefs.

Heureuse malgré tout j’ouvris quelques fenêtres pour aérer et filer a la réception. Une réception banale avec le traditionnel comptoir sur lequel trônait un vieux téléphone noir a roulette comme ma mère avait quand j’étais jeune juste à côté d’une ancienne caisse enregistreuse manuelle avec rouleau de papier. Il y avait également un support de carte routière et un autre de dépliant pour les attractions du coin : le camping et un musée d’animaux naturaliser. Wow ! Au mur il y avait le casier pour les clefs. Pas de télé, même pas un banc pour s’asseoir, mais un vieux ventilateur en métal noir sur une tablette, une antiquité. Quelle surprise !

Devant le comptoir une porte rester ouverte donnait sur le couloir menant aux 5 chambres et à une salle de bain tout au fond. Je pris la clef no 1 pour découvrir une chambre de motel ordinaire; meubles en bons états, literie propre, télé moderne comparer a celle du salon et accrocher sur une tablette près du plafond, même solidement visser et pas d’air climatiser, n’y de téléphone. Bref banal comme chambre sauf qu’elle avait un grand miroir au plafond. En riant je me jeter sur le lit sur le dos, bras et jambes écarter pour me regarder en m’imaginant nue avec la notaire dans les bras en train de regarder sa montre en me baisant, puis, je me vis jambes en l’air avec un beau gars étendu sur moi qui serrait les fesses en me pénétrant avec fougue. Séparer depuis quelques mois je commençais à être sérieusement en manque, encore une fois. Je ris de plus belle en imaginant les couples s’arrêtant ici, ils devaient s’éclater en se regardant.

Sur un coup de tête je décider de passer la nuit dans mon nouveau chez moi d’été. Ici il faisait tout de même plus frais qu’à Montréal et personne ne m’attendait à la maison même pas un chat. Je pourrais me balader en voiture et voir s’il y avait moyen d’attirer d’éventuels clients. J’avais même l’intention de dormir ici, dans cette chambre, nu avec une bonne bouteille de vin et de me masturber en me regardant faire. C’était mieux que rien et ça soulage ou ça gratte. Je faillit le faire toute de suite mais je songé a une bonne bière froide, même deux en explorant les lieux et ne put y résister et puis il me fallait des provisions. Je rembarquer dans le four qui me servait de voiture après avoir barré la porte arrière et filer a la vieille épicerie que j’avais aperçu plus bas sur la route en me promettant en revenant de stationner ma voiture a l’ombre des arbres ou dans le garage avant de prendre un bon bain glacer avec une bonne bière toute aussi glacer et après… Séance de masturbation en me regardant dans un grand miroir avec toutes les portes solidement barrées pour qu’il n’y ait aucun vieux pêcheur qui viennent me déranger.

En roulant vers l’épicerie le sourire aux lèvres je me promis de m’acheter une bouteille de vin avec un long goulot bien rond et bien droit. Quand on est seul et sans vibrateur une femme doit savoir se débrouiller.

Mélany

Une jolie fille dans la vingtaine un peu ronde aux cheveux courts teints orange et le visage rempli de piercing m’accueillit au comptoir. Le genre de fille qui serait peut-être grosse plus tard dans la quarantaine, mais pour l’instant, je la trouvais magnifique, les hommes aussi, sûrement. Je lui envier sa couleur de cheveux, 30 ans de moins et je les aurais sans doute de la même teinte ou rouge. Le froid me saisit en passant devant l’air climatiser qui ronronnait, quel bonheur. C’était le genre d’épicerie ou il y avait de tout, sans doute à cause du camping juste à côté. Des vêtements aux articles de chasse. Il y avait même un coin pharmacie avec de la teinture pour les cheveux et sans vraiment réfléchir j’en pris. Un petit changement me ferait du bien.

Quand je déposer mes choses sur le comptoir; savon, shampoing, bouffe, vin blanc, bières, etc., elle me demanda si j’étais au camping en pitonnant sur sa caisse ultra moderne. Je ne pus m’empêcher d’admirer du coin de l’oeil sa généreuse poitrine si blanche. Elle débordait de sa petite camisole noire qui laissait son nombril à l’air. De gros seins ronds, haut et bien enserrer dans un soutien-gorge noir en dentelle et l’air climatiser produisaient l’effet escompter, tout comme moi d’ailleurs. Ça me donna des sueurs supplémentaires surtout en regardant la bouteille de vin blanc que j’avais choisi, là, juste là, entre nous, tout en sachant ce que j’allais faire avec. Elle était mignonne comme tout avec sa couleur de cheveux, ses piercings et ses belles rondeurs. Je ne pus m’empêcher de lui faire mon plus beau sourire tout en me disant; « Arrête ça, tu vas passer pour une vieille lesbienne frustrée. »

— Non, je viens d’hériter du motel un peu plus loin sur la route.
— Chez (Ti-Paul,) fit elle en riant sans me regarder le moindrement me montrant du pouce une publicité jaunie de mon motel épingler sur le mur à côté d’un tas d’avis de recherche d’animaux perdue ou de vente d’objets de toute sorte.

La photo avait dû être prise la journée de l’ouverture car le motel et l’enseigne étaient étincelants et les quelques autos stationner devant dataient bel et bien des années 50. Pas croyable !

— WAIS ! Je.. Je vais changer le nom.
— Vous avec intérêt. Dit-elle les yeux rieurs. Des yeux gris-bleu superbe, je trouvais les miens si ordinaires avec mes iris d’un brun vert banal.
— Hum ! Fis-je distraite par les rebonds de sa poitrine.
— Les gens du coin l’appellent (Le motel des soupirs.) Rajouta-t-elle nonchalamment.

J’ouvris la bouche pour lui demander pourquoi mais j’en avais une petite idée en repensant au miroir au plafond de la chambre que j’avais visitée. Bien des couples de la région devaient la louer juste pour s’y éclater. S’il y avait des miroirs comme ça dans de toutes les chambres, cela devait aider a attirer des clients. Et pourquoi pas ? Comme tout le monde j’avais déjà loué une chambre de motel juste pour baiser.

— Donne-moi une broîte de cigarillo veut tu, ceux qui n’ont pas d’embout de plastique. Tu connaissais le proprio ?
— Non. Dit-elle en fouillant sous le comptoir plier en deux m’offrant une jolie vue dans son décolleter plongeant. Ses seins lourds étiraient tellement sa camisole et son soutien-gorge que c’en était quasiment indécent. Quand j’étais jeune, une fille aurait plié les genoux pour éviter d’offrir un tel spectacle. Mais les jeunes de nos jours semblent s’en foutre complètement et même tout faire pour qu’on les regarde. Et tant mieux pour la ville voyeuse que j’étais. Ouf ! Malgré l’air climatiser j’avais toujours de sacré bouffé de chaleur, comme certaine de mes étudiantes m’en donnait parfois avec leur décolleté et surtout la bouteille de vin qui semblait me narguer planter la devant moi tout en me donnant soif.

Je suis une voyeuse et quelque peu vicieuse malgré ma timidité et je l’ai accepté depuis longtemps. C’est mon vil secret, un secret un peu honteux que je gardais jalousement. D’aussi loin que je me rappelle j’avais toujours regardé autant mes amies de fille à la dérober que les gars qui nous reluquaient. Déjà ado, je me branlais parfois en repensant au décolleté, aux cuisses, aux petites culottes de mes amies aperçues brièvement parfois sous une jupe trop courte. Ce que j’adorais c’était de regarder une de mes copines se changer devant moi l’air de rien tandis que moi je n’osais pas le faire. Ça me donnait de ces chaleurs comme maintenant. On ne me changera pas à mon âge et mes amants en étaient très heureux que je sois voyeuse quand il me demandait si ça me dérangerait qu’on se mette un porno. J’aimais ça autant qu’eux la plus par du temps pourvu que ce ne soit pas trop hard ou trop imbécile. J’en avais même chez moi que je regardais seul avec mon vibro comme; l’Empire des sens de Kurosawa, ou le fameux Caligula et quelques autres. Un autre petit secret honteux, mais pas tant que ça.

— Il ne venait jamais ici ? Demandai-je avec toujours mon grand sourire de vendeuse de piscines.
— Je ne sais pas madame, première journée. Dit-elle froidement en posant la broîte de cigare avec mes affaires puis en prenant mon argent et me rendant la monnaie avant d’emballer mes achats en me regardant à peine.

Mon sourire s’évanouit tout seul. Mon cerveau reptilien avait dû comprendre finalement que je n’avais aucune chance avec elle. En tout cas, moi je l’avais compris tout de suite.

— Faudrait demander au patron, rajouta-t-elle, il est au camping. C’est à lui également, ainsi que le bar de danseuse nu a St-Mélanie des chutes et l’hôtel St-Mélanie, en plus d’être le maire du village. Si quelqu’un le connaissait, c’est sûrement lui.

À peu près tous les villes et villages du Québec ont un club de danseuses nu ainsi qu’une église. C’est comme ça, vertu et pécher se côtoie, notre tempérament latin sans doute. J’avais aperçu la vieille église en passant mais pas le club. Il devait se terrer dans un coin tranquille.

— C’est une première journée pour nous deux dans ce cas.
— Hum ! Fit-elle en jetant un inévitable regard franc à ma poitrine suivie d’un petit sourire en coin mais pas condescendant.
— Pas mal au dos ? Me demanda-t-elle avec la franchise de sa jeune vingtaine et ce n’était pas pour ce moquer de moi je le voyais bien car j’avais l’habitude de se genre de question et j’avais même déjà des réponses toute prête.
— Non, on a de bon dorsaux dans la famille.

On rit ensemble tandis que je prenais mes sacs. Au moins j’avais réussi à lui arracher un sourire et je me dis que j’allais revenir après le souper juste pour la revoir, au cas ou. Elle me lança même le bonjour coucher sur son comptoir comme pour être certaine que j’avais bien vu ses seins tandis que je quittais le bienheureux air climatiser de l’épicerie qui m’avait fait dresser les mamelons pour retourner a mon four qui me les fit rentrer par en dedans illico. En passant devant le camping je penser y faire un arrêt pour me renseigner mais je décider de remettre ça plus tard. Et puis je n’avais pas vraiment envie de discuter avec un gars propriétaire d’un club de danseuses nu. Je le voyais déjà bedonnant, en sueur, couvert de tatouages et se bavant dessus à la vue de mes seins tandis qu’il se dirait; (Elle serait payante cette petite brune la avec ses grosses boules même si elle est vieille.) Et j’avais trop hâte de m’enfiler une bonne bière étendue dans le bain après m’être teint les cheveux en roux en fumant un bon cigare tout en réfléchissant au futur nom du motel. « Chez Luce les grosses boules, » me dis-je en riant, le motel se remplirait en un clin d’oeil surtout s’il y avait des routiers qui passaient par ici. Je m’allumer un cigarillo au goût chocolaté et mit un CD de Yasmin Levy. Sa voix sensuelle me donna le frisson comme d’habitude malgré la chaleur ambiante. Je trouvais la vie très belle tout à coup. J’arrivais difficilement seul avec mon revenu d’institutrice mais maintenant si le motel pouvait rapporter un peu, même après les taxes et les impôts, ce serait génial. Je pourrais enfin me payer mon voyage au Groenland.

Aussitôt arriver je me pris une bière glacer je n’en pouvais plus et défit quelques boutons de ma blouse, j’étouffais. Je me tâter le cul pour voir que finalement ma jupe avait séché. Assit a la table de cuisine après avoir rangé mes affaires je vis une enveloppe que la notaire avait laissée sous la paperasse. Je la soulever et fut surprise de sentir quelque chose de lourd a l’intérieur. Rien d’écrit sur l’enveloppe que je déchirer et en la penchant, une grosse clef noire a l’ancienne me tomba dans la main. Il n’y avait rien d’autre à l’intérieur et je n’avais vu aucune serrure qui pouvait correspondre à ça. Bière en main et en me promettant de m’acheter un énorme air climatiser des que je le pourrais je refis le tour de la place mais, comme prévu… aucune serrure pour cette clef énigmatique. Je sortis même inspecter le vieux garage mais rien la non plus, que des cochonneries et une ancienne tondeuse a rouleau. Seigneur ! Je me voyais déjà en sueur passer cette chose autour des tables de pique-nique. Je pris mon portable de retour à la cuisine pour appeler la notaire mais pas de réseaux. J’allai a la réception, aucune tonalité sur le vieux téléphone. Tant pis. Demain j’irai au village pour téléphoner ou au camping. N’empêche que cette mystérieuse clef devait bien servir à quelque chose. Pour rire et comme je suis une fan de cinéma et pas juste de porno je la laisser glisser dans ma craque de seins en sueur ou elle disparue comme par magie là ou elle ne risquait surtout pas de tomber. C’est à cet endroit que je cachais mes joints de pot quand j’étais étudiant et plein d’autres choses. Aucun prof n’aurait fouiller la, même pas le directeur, ni ma mère, la cachette idéale quoi. J’avais l’étrange impression qu’il fallait que je cache cette clef, peut-être ouvrait-elle un coffre dissimuler quelque part et rempli de beaux billets de banque. Exciter comme une gamine je monter pour me faire couler un bain glacer mais j’eus une méchante surprise, pas d’eau, ni chaude ni froide. Merde ! Même la toilette ne fonctionnait pas, en bas non plus.

Terriblement déçut je chercher des robinets d’entrés d’eau mais rien, ni en bas, ni a l’extérieur et il n’y avait même pas de cave a la maison n’y au motel. En tout cas, je ne trouver aucune trappe ou porte nulle part n’y même de chauffe-eau. La ville avait du couper l’eau. J’allais devoir me renseigner au village mais je n’avais pas le goût de me retaper toute cette route maintenant. Tant pis, j’allais m’acheter des bouteilles d’eau à l’épicerie. Ce serait une bonne excuse pour retourner là-bas me rincer l’oeil.

Je me laisser tomber lourdement sur l’une des chaises de cuisine plus en nage que jamais. En fait, mes sous-vêtements et ma blouse étaient trempes et j’empestais la sueur. J’enlevai mes souliers pour me débarrasser au moins de mes maudits bas nylon en pensant à la rivière. Je me voyais assise dans de l’eau glacer jusqu’au cou entre de grosses roches et… nu. À condition qu’il soit possible de descendre dans ce ravin et qu’il n’y est personne pour me reluquer cette fois. Assis sur l’une des chaises de cuisine, jupe relever jusqu’à montrer ma petite culotte de coton un peut agrandit qui laissait voir une partie de mon sexe et quelques mignons poils noirs, je commençais à retirer mon deuxième bas en le roulant quand j’entendis : Toc toc toc !

Je sursauter car j’avais laissé la porte arrière qui donnait directement a la cuisine ouverte pour faire de l’air. J’imaginais déjà un gars en train de ce rincer l’oeil, peut-être le vieux pêcheur enrager que je ne l’ai pas embarquer, mais, surprise, c’était la jeune fille de l’épicerie. Tout sourire, elle me regardait avec un vélo de montagne entre ses jambes, mains sur les guidons et un gros sac à dos sur les épaules. Visiblement, la longue côte qui menait ici l’avait essoufflé, ses gros seins couverts de sueur se soulevaient et se rabaissait rapidement tout comme son ventre un peu rond et tout blanc. Le rouge aux joues je me débarrasser rapidement du bas et rabaisser ma jambe pour cacher mon sexe quelle regardait sans gêne avant de tirer ma jupe en fermant les cuisses. Décidément aujourd’hui, les gens du coin avaient décidé de me surprendre dans des situations embarrassantes. En tout cas, je n’en revenais pas de la voir la ni du spectacle que je venais de lui donner.

— Salut ! Fit-elle en relevant les yeux, désoler, j’ai vu que c’était barré à l’avant.
— Oui, ce n’est pas encore ouvert.
— Je sais mais je suis coincé. Mon nouveau patron m’as offert une tente au camping en attendant que je me trouve quelque chose a loué mais je déteste camper, j’ai besoin d’un bon lit pour dormir. Il y a l’hôtel au village mais les chambres serves aux danseuses qui font des passes. J’ai dormi là bas hier et j’ai passé une nuit blanche à entendre : ah oui, ah oui, c’est bon… Salope, suce moi. Bref…

— Oh ! Dis-je en restant la bouche ouverte et la refermant en me trouvant idiote.
— D’un autre côté je ne serai pas payé avant une semaine. On pourrait peut-être s’arranger !
— Eh ! Fis-je pris de cour.

J’étais apparemment incapable de finir une phrase tout à coup.

— SVP ! Fit-elle en lâchant ses guidons pour joindre ses mains comme pour prier. Ça me fit sourire.
— Bon ! OK ! Mais il n’y a pas d’eau pour l’instant.
— Pas d’eau !
— Non ! Mais je vais essayer de régler ça le plus vite possible.
— Ça ne fait rien. En attendant je peux me laver au camping, c’est juste la côte qui tue.
— Chambre 1. Dis-je heureuse d’avoir une cliente, mais surtout pour avoir la chance de la reluquer un peut plus. En tout cas elle, elle ne c’était pas gêner pour me regarder. Avec un peu de chance on se ferait bronzé ensemble derrière le motel au soleil. Elle en bikini, moi en maillot de none comme d’habitude.

« T’as un vrai cerveau de gars ma vielle tu le sais ça ? WAIS, je le sais. »

— Fait le tour, je te rejoins a la réception ma belle.
— Ma belle ! Wow ! En tout cas, merci madame. Fit-elle en filant en vélo.
— Merde ! Fis-je tout bas en ma claquant le front. Pourquoi est-ce que j’ai dit ça ?

Tout à coup je réaliser que j’allais devoir rester ici si j’avais une cliente et pourquoi pas ? Même que j’en étais bien heureuse, j’allais devoir redescendre en ville pour chercher des vêtements surtout mais aussi quelques trucs indispensables mais, demain ou dimanche seulement. Pas question de refaire tout ce chemin jusqu’à Montréal aujourd’hui. Mais j’allais devoir oublier ma petite séance de masturbation prévue dans cette chambre tout en me demandant si j’oserais le faire dans une autre avec elle juste à côté, s’il y avait des miroirs au plafond partout évidemment. Je remis mes souliers et juste de la savoir ici me remit le sourire aux lèvres et elle m’avait vu le sexe, enfin, en partis. Ça me donna de délicieux frissons. Je refermer la porte arrière et aller lui ouvrir a l’avant pour lui donner la clef de la chambre no1 que j’avais laissée sur le comptoir.

— Ça dérange si j’entre mon vélo ?
— Non, ça va.
— Quelque chose a signé ? Demanda-t-elle les coudes sur le comptoir, mains jointes, en me donnant encore une sacrée vue de son décolleter toujours en sueur tout comme le mien.
— Je ne sais pas, dis-je en chaleur en me penchant pour regarder en dessous en pliant les genoux par habitude.

Tout de même, avec ma blouse échancrer elle devait avoir une belle vue si jamais ça l’intéressait. Surprise, je vis sur une tablette une méchante pile de magazines pornos jaunis, un vieux lecteur vidéo VHS avec une pile de cassettes pornos et juste a côté un registre en cuire rose avec un crayon assortit que je poser sur le comptoir en réalisant que le lecteur vidéo et les films pornos devaient être pour les chambres. Seigneur ! J’allais devoir remonter le niveau de ce motel mais pas ce soir. Je me promettais déjà de m’en taper quelques-uns. En ouvrant le registre j’eus la surprise de voir en même temps que la jeune qu’il était rempli de prénom de fille :

Linda : 8 à 9
Marie : 4 à 5
Brenda : Minuit a 1 h et ainsi de suite… Sur toutes les pages.

— Wow ! Fit-elle en jouant avec son piercing de langue presque coucher sur le comptoir en ondulant du derrière, on dirait un registre d’heure de travail. J’ai l’impression que c’était ici aussi un endroit pour que les filles se tapent leurs clients comme à l’hôtel. J’espère que ce n’est plus le cas, sinon je file.
— Non ! Rassure toi, pas question que j’endure ça ici.

Stupéfaite je le refermer et le remit en place sans plier les genoux cette fois. Et elle regardait mes seins, par curiosité sans doute et elle ne s’en cachait pas contrairement a moi. Même quelle souriait et quel sourire craquant. Quand je me relever j’eus une autre bouffé de chaleur car elle me fixait avec ses beaux yeux rieurs comme si je l’amusais terriblement.

— Bon, j’irai au village demain voir si je peux en acheter un nouveau et un bordereau de facture et les filles vont devoir se contenter de l’hôtel du village. Dis-je en ramenant mes cheveux derrière mes oreilles. Et j’aviserai pour l’eau en même temps.
— Vous voulez une carte d’identité ?
— Non, ça va, officiellement on n’est pas ouvert. Tu n’es pas mineure j’imagine ?

Je suais à grosses gouttes et rêvait plus que jamais d’eau glacer car elle ne cessait de balancer son beau derrière, s’en était hypnotique. J’avais déjà fait la même chose à son âge avec un vendeur de disques que je trouvais beau juste pour l’allumer. Le pauvre était devenu tout rouge, surtout à cause de mon décolleter étaler sur son comptoir. J’aurais juré qu’elle me faisait la même chose.

« Tu prends tes rêves pour la réalité ma vieille. »

— 22 ans bien sonnés. Il vous faut aussi un bidule pour les cartes de crédit et de débit. Tout le monde paye par carte maintenant. Ce n’est pas croyable cette vieille caisse enregistreuse, c’est une antiquité.
— Toute datte des années 50 ici ou presque, je vais devoir moderniser un peut.
— En tout cas, dit-elle en se redressant pour filer dans le couloir clef en main, vous avez de jolies jambes et c’est vraiment mignon la petite culotte de coton et ne vous inquiétez pas je ne vais pas me sauver sans payer.

Je rougis en ouvrant la bouche pour répondre mais elle entrait déjà dans la chambre toujours le sourire aux lèvres. Je me contenter de soupirer en évitant de trop fantasmer. Tout de même, se faire dire qu’on a de belles jambes a mon âge, ça fait du bien, surtout par une fille dans la vingtaine, mais la petite culotte ça… Décidément cette chaleur me mettait dans tous mes états. « Évite de trop boire ce soir ma vieille et de faire des conneries. » Quand on est timide comme moi et en manque c’est généralement ce qui se produit. On fait peur aux gens et on se retrouve tout seul. J’ordonnai a mon cerveau reptilien de fermer boutique, pour le moment.

La baignade

Je restai là un instant à me dire que je comprenais maintenant pourquoi il y avait un grand miroir au plafond de la chambre que j’avais visité. Films pornos et danseuse nus venant ici avec des clients. C’était beaucoup moins romantique que ce que j’avais imaginé. Je me demandais si c’était pareil dans les autres chambres tout en amenant le vieux vantilo sur la table de cuisine pour le brancher a une prise murale. Mais des que je le démarrer il se mit a se balader en vibrant. Un vrai moteur d’avion, même la table remuait. Je dus le retenir d’une main en rattrapant ma canette de bière de l’autre qui menaçait de tomber en sursautant et moussant. Je fermer le vantilo en riant et chercher quelque chose pour le caler mais les armoires était vide, même pas de vaisselle, rien. Bon, j’allais devoir ramener de chez moi plus de choses que prévu. Je pensais a monter chercher un lourd marteau ou quelque chose là-haut en buvant le reste de la bière déjà tiède quant la fille revint sortant du salon juste en camisole et en slip, même plus de soutiens-gorge et pieds nus. Ses gros seins ronds très séparer ne tombaient même pas un peu, la chanceuse et ses mamelons pointaient en plein centre. Son slip noir aussi user que le mien ne cachait pas grand-chose et laissait même dépasser de petits poils pubiens noirs et elle avait de sacrées belles cuisses musclées. Elle me regardait en souriant (à croire qu’elle souriait tout le temps) en tenant une grande serviette blanche sur un bras et un savon dans la main. Et moi j’étais la, a la reluquer du coin de l’oeil, tête pencher en arrière a vidé la canette de bière et ça me coulait sur le menton jusqu’entre les seins. Belle image. Une ondée de chaleur me monta au visage.

— Ça donne soif, dit-elle tout sourire, tandis que je finissais d’avaler pour ensuite m’essuyer le menton et la bouche du dos de la main comme un vil camionneur en arrachant tout mon rouge au passage. J’avais oublié que je m’en étais remis tout à l’heure et le dos de ma main en était couvert. Merde !
— Oui, je peux t’aider ?
— J’aurais du frappé, désoler, mais toutes les portes étaient ouverte. Vous venez de vous faire une jolie bouche a la (Joker) comme dans Batman. Dit-elle morte de rire en venant se planter devant moi en se léchant le pouce pour m’essuyer les coins de la bouche.

Elle me regardait droit dans les yeux en le faisant pencher vers moi. Seigneur que j’avais chaud. Surtout que sa poitrine effleurait la mienne. Équiper comme on l’était toutes les deux c’était même surprenant que ça ne se tamponne pas plus. Je sentis même mes mamelons me chatouiller et gonfler. Ouf !

— Voila dit-elle en se reculant.
— Merci, fis-je en sentant mes aisselles détremper.

En tout cas. Ce n’était vraiment pas ma journée pour bien paraître.

— Si tu vas au camping comme ça pour te doucher… surtout en vélo, lui dis-je, tu vas provoquer des accidents et probablement bien d’autres choses.

Elle rit en se regardant avant de dire :

— Mais non, je vais juste me rafraîchir a la rivière, ça vous dit de venir avec moi ? Vu qu’il n’y a pas d’eau ici et sans vouloir vous offenser, vous sembler en avoir grand besoin. Vous êtes en sueurs.
— Bonne idée mais… Sans parachute n’y échelle de corde je vois pas comment descendre là-bas. Rhabille toi et je t’amène au camping, j’en profiterai aussi pour me doucher.
— Il y a toujours un sentier qui mène à un point d’eau me disait mon grand-père. Alors, partante ou j’y vais seul a cette rivière ?

C’était vraiment tentant seulement j’étais du genre plutôt prude mais pas elle apparemment. Mais pas prude au point de rater l’occasion de me baigner en compagnie de cette jolie fille de 22 ans.

— Je n’ai pas de maillot.
— Moi non plus mais c’est désert dans le coin et on est entre filles et je ferais des bassesses pour une bonne bière froide.
— Dans le frigo, sers-toi. Prend en six tant qu’à faire on va les emmener. Je vais monter me chercher une serviette.
— OK ! Et ne vous inquiétez pas, si des gars débarque de nulle part et nous ennui, je suis une médailler olympique en judo.
— C’est vrai ? Dis-je en la regardant ouvrir le frigo et se pencher en bombant encore le derrière.

Sa camisole courte s’étira sous le poids de sa poitrine et j’aperçus même les dessous de ses seins. En plus, son slip ne cachait pratiquement que sa craque de fesses et avait glissé bien bas et moulait parfaitement son sexe. Seigneur ! Une vague de chaleur supplémentaire me monta au visage à la vue de ce joli cul tout blanc et de sa chute de reins. Je me mis même a salivé m’imaginant lui caresser pour ensuite… En baissant les yeux je fis mes mamelons au garde à vous. Seigneur !

— WAIS ! Même deux fois, médaille de bronze et d’argent.
— Pardon !

Elle se redressa en fermant le frigo, cinq bières en main et se retourna. Je lever les yeux rapidement plus en nage que jamais en pensant a mes étudiants mâles qui me faisait toujours ça…

— J’ai gagné deux médailles, bronze et argent.
— Wow ! Fi-je embarrasser en allant grimper les maudites marches presque a quatre pattes tellement elles étaient abruptes. Je n’aurais eu qu’à me retourner la tête vers le plafond pour faire une parfaite imitation de la fille dans l’exorciste.

Moi qui aimais me rincer l’oeil mais qui détestais m’exhiber surtout à cause de mes gros seins je me sentais tirailler entre ma gêne et mes pulsions. Mais je n’allais pas rater cette occasion de la reluquer discrètement tout en me rafraîchissant. J’y serais allé seul de toute façon, je n’en pouvais plus de me sentir moite et collante de partout. Mais j’aurais tout donné pour avoir mon maillot une pièce même si l’idée de me baigner nue avec elle m’excitait déjà. Mais elle allait sûrement garder slip et camisole. Moi aussi d’ailleurs mais mon ensemble était blanc. Merde !

Quelques minutes plus tard je barré la porte arrière et fourrer mes clefs dans mon sac a main que je portais en bandoulière tandis qu’elle m’attendait a l’ombre d’un sapin assise sur une table de pique-nique jambe écarter sans pudeur avec sa serviette et la bière en canette. Dès que je la rejoins en essayant de ne pas loucher vers son entrejambe comme elle me l’avait fait, elle me montra un sentier qui descendait en zigzaguant entre les sapins et de gros rochers a l’extrémité de la cour. L’ombre nous rafraîchissait un peu mais à peine.

— Mon grand-père avait toujours raison. Dit-elle en se levant.
— OK ! Mais on devrait peut-être s’encorder juste au cas. Ou se gonfler une grosse bulle en plastique et rentrer dedans pour dévaler la pente comme Jaki Chan en protégeant les bières, le reste on s’en fou.

Elle rit en me jetant un drôle de regard, visiblement elle me trouvait bizarre. Moi aussi d’ailleurs, la chaleur sans doute ou sa très petite culotte a l’élastique étirer.

— La jeunesse avant la beauté, dit-elle en prenant le sentier. Moi c’est Mélany.
— Luce, dis-je fasciner par le balancement de son beau derrière et surtout de son mini-slip qui menaçait de tomber pour de bon. « Vas s’y mon petit, descend, » me dis-je tête pencher, sourire aux lèvres en la suivant ravi et je sentis tout à coup mes escarpins noirs dé****r sur les aiguilles de pin et je buter sur une racine m’y écrasant un orteil. Je faillis tomber mais me ratt****r de justesse bras lever pour garder mon équilibre comme sur une patinoire. Merde ! La douleur dans mon gros orteil du pied droit irradia jusqu’à mon genou. Je sauter sur place un instant avant de me débarrasser de mes souliers trop glissants et les laisser la pour continuer pieds nu comme elle. Elle s’était retournée et me souriait en marchant à reculons. J’aperçus alors que la moitié de son sein gauche d’une blancheur spectrale sortait de sa camisole, j’apercevais même la moitié de son mamelon rose. À croire qu’elle le faisait vraiment exprès pour m’aguicher ou elle n’avait tout simplement aucune gêne.

— Ças va ?
— Hein ! Oui, c’était juste une racine.

Elle se retourna plus souriante que jamais tandis que j’essuyais la sueur sur mon front avec la serviette.

— Tu souris tout le temps Mélany ?
— Moi, oui, c’est ma marque de commerce.

Les aiguilles de pin me chatouillaient les pieds, c’était très agréable, ça et l’odeur de la forêt et la vue devant moi. Surtout la vue, cette fille-là me troublait terriblement.

— T’es du coin Luce ?
— Non, de la Côte-Nord mais j’habite Montréal maintenant et toi ?
— Non ! Je voulais un boulot d’été en pleine nature, loin de Laval et de mon ex surtout. Un collant qui ne se fait pas à l’idée que c’est fini. Tu vois le genre.
— Oh oui ! Et ça te plaît à l’épicerie ?

En repoussant des branches d’une main je regardais travailler les muscles puissants de ses cuisses en me disant que je devrais me remettre à faire du vélo et pas juste pour ça. Je sentais trop mes fesses rebondir en marchant.

— Oh non ! Le patron m’a déjà mis la main aux fesses, essayez de m’entraîner dans son lit et essayez de me convaincre que je ferais des millions en dansant nu dans son club. Avec les gros seins que j’ai, ça ne ma pas étonner, mais pas question. Alors, je cherche déjà autre chose. En fait, pour être franche, je l’ai planté là tantôt en lui disant de se fourrer son job ou je pense juste après ton passage. Ce gars-là est un vrai trou du cul. Désoler mais je ne sais pas encore si je vais pouvoir te payer. J’avais peur que tu me refuses la chambre si je te disais la vérité.
— On s’arrangera, ce n’est pas grave. Et ton judo la convaincu de te laisser tranquille ? Lui demandai-je amuser.
— Il est droitier et a le poignet tout enflé. Il va se branler en grimaçant pas mal plus pendant quelques jours.

J’éclatai de rire tout en me disant d’être prudente avec mes yeux et surtout l’alcool ce soir. Seigneur !

— Pas besoin d’une jolie fille pour travailler au motel Luce ? Je peux faire n’importe quoi; la réception ou de l’entretien, les chambres, même du bricolage, même abattre des arbres, mon père m’as tout appris. Je pourrais même m’occuper des clients trop turbulents. Les gars, gros ou petits ont tous les mêmes points sensibles : les genoux, les poignets, la gorge et… enfin, tu devines.

Je ris encore. Cette fille n’était pas croyable.

— Pour l’instant, dis-je, je n’ai qu’une cliente qui ne peut pas me payer, qui se balade avec ma bière et m’offre de travailler pour moi. Mais je vais y penser la championne de judos. En tout cas la patronne ne te mettra pas la main aux fesses. Une femme avertie en vaut deux. Je n’ai pas envie de grimacer pendant des jours en faisant ce que tu sais.

Cette fois elle rit avec moi avant de rajouter.

— Célibataire si j’ai bien compris Luce.

Il me fallut un petit moment avant de comprendre l’allusion ce qui me mit le rouge aux joues tandis que son beau derrière un peu mou m’obsédait trop. Son slip un peu étirer descendait de plus en plus, glissant sur ses fesses bien coller. Déjà qu’il ne cachait pas grand-chose mais la, je le voyais de moitié. Ouf ! En plus, elle n’avait pas repoussé son sein sous sa camisole, même qu’il était quasiment sortit en entier et elle se retournait sans arrêt en me parlant. Le mien aurait regagné son nid à toute allure même devant une autre femme. Et pourquoi je me plains ? Elle ne pouvait pas ne pas le voir, mais peut-être qu’elle s’en foutait carrément, les jeunes de nos jours… En tout cas, si j’étais un homme, elle serait déjà étendue sur le dos à crier : soit de plaisir, soit au viol en me cassant un bras probablement ou le cou carrément.

— Alors, veuve, marier, des enfants ou est-je bien deviner Luce ?
— Célibataire et sans enfant ! Bon, changeons de sujets.

Elle rit, en échappant une branche qui me revola en plein visage. (Clac !)

— Oups, désoler, ça va ?
— Ça pince, dis-je en me frottant le bout nez, mais ça vas.

Le sentier étroit et abrupt descendait en zigzag entre de gros sapins et des rochers recouverts de mousse. Parfois on devait se retenir à des arbres, des branches ou des racines pour ne pas glisser ou se tenir la main ce qui n’était pas pour me déplaire. Même que parfois ont devaient se mettre en petit bonhomme pour descendre sur les fesses ce qui relevait ma jupe et descendait un peut plus son slip quelle remontait ensuite en se le nettoyant, mais il baissait a nouveau aussitôt, ce qui me faisait sourire. Voir ça me donnait des petites sueurs supplémentaires. Je la surpris même quelquefois à me reluquer avec un drôle de sourire en coin, ou je l’imaginais. Ça me troublait de plus en plus, surtout à cause de son maudit seins quelle avait fini par replacer sous sa camisole mais il en ressortit aussitôt. Je me rinçais déjà l’oeil en la suivant, mais discrètement en pensant à mes poignets.

Le glouglou de la rivière qui apparaissait parfois entre les branches de sapin qui nous fouettaient les cuisses ou le visage s’intensifia rapidement. On se retrouva finalement 10 minutes plus tard sur un grand rocher plat à fleur d’eau en plein soleil au creux d’un petit canyon. La pierre me brûlant les pieds, je jeter ma serviette par terre pour les mettre dessus. Ici la rivière formait un bassin naturel des plus invitants. L’eau dévalait doucement en petites chutes, tourbillonnait un peu devant nous et repartait en cascadant. En levant les yeux pour examiner les alentours à la recherche d’éventuel voyeur je n’aperçus que sapins et rochers et vit que le motel était invisible. Je jubilais d’avoir cet endroit juste à côté de mon nouveau chez moi. Mais je ne connaissais pas les lieux alors j’imaginais qu’il y avait peut être une maison juste là-haut ou un chalet ou qui sait, peut être un club de motards. Et je l’entendis rire.

— Ne t’inquiète pas Luce, on est seul et puis même s’il y avait un gars ou des jeunes qui nous regarderais nous baigner en ce branlant, on s’en fou. On est belle alors qu’ils profitent du spectacle. Je te protégerai miss prude ne t’inquiète pas.

Je ris en me sentant idiote tout en me débarrassant de mon sac.

— C’est génial comme endroit non ? Dit-elle en laissant tomber la serviette avant de déposer savon et bière dessus pour aussitôt soulever sa camisole. Moi qui croyais qu’elle allait plonger dans le bassin avec. Je ne pus m’empêcher de la regarder faire mais du coin de l’oeil. Elle la passa par-dessus sa tête en arquant le dos projetant ses seins tout blancs et parfaitement ronds avec de petits mamelons rose pâle vers moi avant de la laisser tomber pour ensuite enlever son slip en me souriant comme une gamine qui vient de faire un mauvais coup. Cette fille n’avait aucune gêne apparemment. Elle était encore plus blanche que moi et sa toison noire en triangle se démarquait nettement de son ventre un peu rond et de ses cuisses. Elle leva les bras vers le ciel et s’étira tellement en courbant le dos que je crus entendre craquer sa colonne vertébrale. La, j’avais de sacrées sueurs surtout quand elle baissa les yeux vers moi tout en posant ses mains sur ses hanches en me disant :

— Aller Luce, mais toi a l’aise, on est tellement bien toute nue au soleil. T’as pas à être gêné, t’es magnifique. J’espère que je vais être encore aussi jolie a t’ont âge. T’as apporté de la lotion solaire ?

Sa nudité, la chaleur suffocante et mon trouble me donnaient des vertiges mais le compliment aussi.

— Non, j’aurais dû en acheter.
— Merde ! On est blanche comme des fantômes toutes les deux. Allez, détends-toi, regarde, je me retourne.

Sans me laisser le temps de répondre elle alla s’installer au bord de la roche en examinant le bassin. Je ne pouvais détacher mes yeux de son corps superbe. J’aperçus même son sexe entourer de poils noirs quand elle se plia vers l’avant, bras tendu pour plonger. Elle disparut sous l’eau sans faire la moindre éclaboussure. Le soleil me sembla taper plus dur tout à coup.

Je rester la a fixer le bassin un peut inquiète quand elle refit surface pour se mettre debout avec de l’eau jusqu’aux seins a me sourire en se lissant les cheveux.

— Tu viens ? L’eau est presque froide, c’est génial.
— Eh !
— Je vais me retourner seigneur que tes timides toi. T’es pire que ma mère.
— Non, c’est que…

Je soupirer longuement en regardant la rivière. Il y avait de petits remous provoquer par l’eau qui cascadait doucement des rochers. Rien de bien terrible mais…

— Oh ! Fit-elle, tu ne sais pas nager ?
— Non !
— C’est pas grave, je suis la, t’inquiètes pas et ce n’est pas profond. Le courant n’est pas très fort et ne peut pas t’emporter à cause des rochers. Je ne vois pas d’autre endroit plus près pour ce baigner et puis avec les flotteurs que ta, tu ne couleras pas Luce ça c’est sur. Dit-elle les yeux rieurs.

Je lui tirer la langue avant de rire en la voyant replonger, une vraie sirène a voir son corps se tortiller sous l’eau. J’avais déjà la chair de poule juste à m’imaginer dans l’eau, nue, avec elle. Même si je savais qu’il ne se passerait rien, ça m’excitait. J’expirer longuement tout en commençant a me déshabiller; ma blouse tomba, puis je dégrafer mon gros soutien-gorge blanc mains dans le dos et soudainement j’entendis toc. Le son de quelque chose de métallique heurtant la roche. Paniquer, je vis la clef que j’avais oubliée qui rebondissait déjà vers le bassin. Je me pencher rapidement en faisant un pas jusqu’au bord du rocher, bras tendu pour la ratt****r mais je la manquer de quelques centimètres et elle disparue sous l’eau et je perdis l’équilibre en même temps. Les yeux tout ronds et paniquer, je plonger tête première dans le bassin en fermant la bouche. Je fis une rouler-bouler sous l’eau avant de toucher le fond sablonneux avec mes fesses, je sentis aussitôt des mains m’agripper sous les seins pour m’aider a me relever. Une fois hors de l’eau je poser les bras sur le rocher en crachant et clignant des yeux tout en reprenant mon souffle en sentant ses seins glisser sur mon dos. Elle me lâcha pour s’installer juste a coté de moi en riant comme une folle. Pas gênant du tout, vraiment pas.

— J’ai déjà vu des filles timides Luce mais toi, tu bas tous les records. T’a même pas enlevé ta jupe et juste dégrafé ta brassière.

Je ris à mon tour avant de lui expliquer pour la clef. Elle se pinça aussitôt le nez avant de se laisser couler. Je sentis des petits doigts fouiller le sable contre mes pieds et ça me chatouillait un peu comme si de petits poissons avaient décidé de me manger les orteils. En riant et décourager quelque peut je me débarrasser de mon soutien-gorge tremper pour le jeter sur la roche et tant qu’à faire j’enlever ma jupe sous l’eau puis mon slip tandis quelle était encore la a fouillé le sable entre mes jambes. Ça me sembla moins gênant comme ça et me donna de sacrés frissons surtout aux mamelons que l’eau tiède avait fait se plisser et durcir. Elle émergea clef en main, je la pris en la remerciant et la jeter sur mes vêtements.

— C’est quoi ? demanda-t-elle moqueuse. La clef de ta ceinture de chasteté ? T’en portes pas pourtant.
— T’as vu ça toi ?
— WAIS ! J’ai tout vu, l’eau est très claire madame. Elle baissa les yeux et… Wow, ça c’est des seins, moi qui pensait que j’en avais des gros. Et alors, cette clef ?

Je lui raconter pour l’enveloppe dans laquelle il n’y avait aucune explication.

— Wow ! On se fait une chasse au trésor après le souper ?
— Pourquoi pas ? Mais j’ai vraiment vérifié toutes les portes.
— Cette clef ne va peut-être pas dans une serrure de porte. Il y a peut-être un coffre fort cacher quelque part ou enterrer. Tu es peut-être riche. Si ton oncle laissait les danseuses faire des passes à son motel ça devait être payant pour lui aussi et il ne devait pas déclarer ça à l’impôt. S’il t’a laissé cette clef c’est bien pour quelque chose non ?
— Sûrement mais je ne rêve plus en couleur depuis longtemps. Si ça se trouve, c’est la clef qui donne accès à l’entrée d’eau du motel quelque part.

Elle rit un moment en me regardant les yeux à demi fermer et brillants. Au soleil comme ça il semblait plus gris que bleu. Je la trouver si belle que j’en eu des pincements au ventre.

— T’as quel âge Luce, 35, 40 ans ?
— Merci beaucoup ! Dis-je en appuyant sur chaque syllabe, ce qui la fit rire.

Elle regarda encore mes seins écraser contre la roche en rajoutant :

— En tout cas, c’est toi qui ferais des millions au club de danseuse nue. La seule fois que j’en ai vu des comme ça c’était sut YouTube.
— Et ce n’était pas les miens, dis-je, mais jamais je me rabaisserais à danser nue.
— Moi non plus. Et puis ?
— Et puis ! Et puis quoi ?
— Tu vas te décider à me sauter dessus. Tu me manges des yeux depuis que tu m’as vu à l’épicerie. Je te plais, avoue ? En tout cas, toi tu me plais et je trouve cool.

Ma bouche s’ouvrit toute grande de surprise tandis que je virais au rouge en me sentant aussi subtil qu’une femme des cavernes. Merde ! Ça semblait l’amuser en tout cas. Je me sentais ridiculement démasquer tandis que ces yeux brillants fixaient les miens.

— J’ai trop peur pour mes poignets Mélany.

Elle éclata de rire les yeux presque fermer, belle comme tout.

— Tu es une lesbienne prudente, c’est très bien ça.
— Non ! Je… je ne suis pas lesbienne. Répliquai-je rapidement.
— C’est encore mieux. Bon, vu que tu ne te décides pas, je t’apprends à nager ?
— J’ai déjà essayé, il n’y a rien à faire. T’es jeune toi, grimpes don sur la roche pour ramener de la bière. J’ai la gorge sèche…
— Oui patronne.
— Et je n’ai pas encore décidé que je t’embauchais et mes cigares dans mon sac à main.
— On dit sil te plaît ma belle Mélany. Le temps de l’esclavage c’est terminer madame.
— Sil te plaît belle Mélany.

Mais elle ne bougea pas d’un poil.

— Alors, ses vrai que tu me trouves belle ? Dit-elle moqueuse.
— Seigneur ! Fi-je en me cognant le front sur mes bras croiser en l’entendant rire et quand je relever la tête pour lui répondre elle plaqua aussitôt sa bouche sur la mienne.

Mes yeux se fermèrent tout seuls en penchant la tête tout en sentant ses lèvres si douces écraser les miennes. Mon corps fut parcouru de délicieux frissons. Elle me donna un long baiser passionner et fougueux à grand coup de langue qui me mit dans tous mes états. Une première pour moi avec une fille qui avait un piercing de langue et de lèvres. C’était étrange de toucher cette barre métallique dans sa bouche et surtout délicieusement excitant. Je sentis la pointe de mes seins gonfler plus contre la roche et ma vulve s’humidifier sous l’eau. C’est si doux un french entre filles, je l’avais quasiment oublié. Quand nos bouches se séparèrent, j’avais les yeux tout petits comme elle et le vertige et elle dit :

— Hummm ! Tu goûtes bon Luce.

Puis elle se hissa facilement a force de bras sur le rocher en riant de mon air ahuri sans doute et je me retourner en me disant que je l’avais assez regardé pour le moment. Inutile de trop tenter le diable. Mais de savoir que j’avais plus qu’une chance de baiser avec elle me donnait le frisson et des palpitations, mais pas ici, plutôt au motel à l’abri des regards. Ouf ! J’avais trop chaud tout à coup. Je ne m’attendais vraiment pas à ça, ce baiser si passionner. Je me sentais plus légère et si bien en regardant le ciel bleu sans nuages. Là-haut, à une hauteur vertigineuse, une buse tournoyait, sans doute à la recherche d’une proie. Propriétaire d’un motel, moi et avec une jolie fille comme peut-être future employer et je me baignais nue avec elle et elle venait de m’embrasser. Wow ! Je n’en revenais pas de la chance que j’avais. Je me pincer le nez a mon tour pour me laisser couler dans le bassin histoire de me décrasser mais surtout de calmer mes pulsions, pour l’instant…

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