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Histoire érotique – Une drôle de bell

Histoire érotique – Une drôle de bell



Prise sur le net/

Histoire érotique – Une drôle de belle famille (1)

Dans la belle famille je demande la Benjamine

J’ai la cinquantaine marié en seconde noce à une jeune femme de 40 ans.
De mon précédent mariage j’ai eu deux enfants une fille de 29 ans et un fils de 24 ans et des relations plus qu’exécrables avec mon ex.
L’histoire que je vais vous raconté débute lors des préparatifs de mariage de mon fils. Il fréquente depuis maintenant 1 an Emilie jeune femme de 25 ans fort séduisante. Elle a une sœur ainée de 31 ans Loana et la benjamine Lea qui vient juste d’avoir 19 ans.
J’ai eu l’occasion de rencontré la belle famille à quatre reprises et croyez moi, je suis d’un naturel plutôt sympathique mais là ils m’ont très vite saoulé.
Le père Pierre est comptable dans une petite PME, très en retrait il est sous le jouc de sa maitresse femme. Elle Martine est responsable dans une DDE , assez mince elle mesure 1.70 doit peser 56 kg plutôt élancer et a la ligne sportive elle monte à cheval. Une petite poitrine mais de belles fesses. Un physique me rappelant celui de mon ex hormis qu’elle n’était pas du tout sportive.
. Elle est très autoritaire vis-à-vis de son mari et de ses enfants ce qui avait eu pour effet de créer une tension extrême lors nos précédentes rencontres. De plus travaillant principalement avec des hommes de chantiers, son vocabulaire dérivait rapidement au vulgaire lors de ses énervements.
Mais comme dis l’adage, on choisi ses amis mas pas sa famille ( belle famille en l’occurrence)
Bref en cette belle journée de printemps, en vu des préparatif du mariage, je suis chargé de m’occuper du champagne et c’est le coffre plein que je stationne mon 4X4 devant l’entrée du pavillon des beaux parents.
Je sonne à l’interphone et sans aucune réponse la porte s’ouvre. J’entre avec mon véhicule et toque à la porte.
C’est Léa qui ouvre. Léa est une superbe jeune fille brune cheveux mi longs, le visage encore poupon mais le corps d’une jeune femme. La nature l’a comblé ; elle n’est pas très grande, mais elle a des formes très généreuses. Une poitrine d’enfer au moins du 90C et une chute de reins atterrissant sur des fesses rebondies aux courbes discrètes.
Elle est face à moi me souriant de ces belles dents blanches. Elle porte un tee shirt blanc très moulant qui lui arrive à mi cuisse. Je peux distinctement voir au travers du tissu les petites auréoles brunes de ses seins et les tétons durent qui piquent le tissu tendu par le volume de sa poitrine. Plus bas le léger renflement de sont ventre qui conduit a une petite bosse assombrissant le tissu blanc ou l’on devine aisément la touffe qui parait généreuse de sa chatte.
Voyant mon regard s’attardé sur ses courbes elle m’invite a entré et me propose un petit café accompagnée d’un sourire carnassier.
Je l’accompagne jusqu’à la cuisine je peux en profiter pour mater son cul moulé dans la tee shirt, elle ondule ses hanches exagérément, je vois son sillon fessier au travers du tissu et de plus ses fesses rebondies font remonter le bas de son tee shirt, découvrant ses cuisses presque jusqu’à la naissance de ses fesses.
Il ne m’en faut pas plus pour sentir une raideur apparaitre dans mon boxer. Je suis un peu embarrassé car en cette matinée je me suis habillé printemps, short , chemise et claquettes au pieds.
Arrivé dans la cuisine, Léa me fait coulé un expresso je suis debout en appui sur la table et ne peux cacher la bosse naissante de mon short. Pendant que je bois mon café Léa est monté sur un des tabourets hauts équipant la cuisine. Bien sur la hauteur fait que son tee shirt est encore remonté et laisse découvir le haute de ses cuisses.
A ce moment je me suis dis que cette petite était une sacrée allumeuse. Cette manœuvre n’a fait qu’accentuer la bosse du short.
Puis d’une voix douce « Dit moi Michel , est ce que mon café est bon….. » je lui réponds qu’il est délicieux tout en ayant le regard attiré par le creux de ses cuisses avec lesquelles elle joue sans pour autant les entrouvir…
Toutefois mon esprit n’attendait que ce moment, voir apparaitre ce qui était me cacher.
Puis reprenant elle ajoute « Le café a t-il des effets aphrodisiaques » A ces mots j’avale de travers en m’étranglant.
Mais que cherche cette petite dévergondée. Si c’est à m’exciter c’est bon c’est fait.
« Non je ne pense pas, mais pourquoi une question aussi saugrenue ? »
Et bien me répond elle « par ce que mon copain en boit beaucoup et il bande toujours mou »
Je m’esclaffe dans la tasse…. Et m’aperçois qu’elle à très légèrement écartée ses cuisses. Je peux presque voir sa chatte… Mais l’effet est dévastateur ma queue cette fois est raide et déforme mon short en tendant le tissu. Léa ne peut pas ne pas s’en être aperçue.
« Alors que sur vous Michel c’est plutôt l’effet contraire » finit elle en écartant encore ses cuisses. Ca y est je vois sa chatte. Dans une densité de poils noirs je distingue une fente rose brillante.
Cette salope s’amuse bien et elle est tellement excitée que l’on peut voir sa mouille recouvrir ces lèvres.
Mon excitation et mon envie d’elle à ce moment est tellement fort qu’il faut que je détourne mon attention de sa chatte.
« Mais ou sont tes parents ? » lui dis je sur un ton abrupte. Elle est déconcertée par mon changement d’intonation et ressert les jambes instinctivement.
« Papa est au boulot pour la journée et Maman revient pour déjeuner »
Ayant repris ses idées « nous avons du temps devant nous » tout en descendant du tabouret. Je ressens à cette instant une vraie frustration de n’avoir pas plus profiter du spectacle qu’elle m’offrait.
S’approchant de moi comme une féline, elle me prend ma tasse et se collant à moi elle en léche le bord avec une lubricité sans nom. Sa langue tourne délicatement sur le bord décrivant ainsi un cercle comme elle l’aurait fait autour d’un gland, Son ventre collé au mien insiste sur le barreau de chair qui cherche à exploser du short.
Je sens que la situation m’échappe je la saisi par les épaules et la repousse, sous la force elle glisse au sol. Elle est le cul parterre les jambes écartées, le tee shirt remonté sur le ventre toute son intimité livrée à mon regard Sa fente est entièrement ouverte laissant bien voir cette fois son abondante humidité. Je suis presque emu de voir une si belle chatte, cela fait très longtemps que je n’avais pas vu le sexe d’une toute jeune femme. Ce qui a pour effet d’accentuer mon excitation.
Elle reste assise cuisses largement ouverte me laissant reluquer, alors qu’elle mate mon entrejambe.
Toujours assise sur le sol, elle saisi mes deux mollets et en glissant se rapproche, puis lentement fais monter ses deux mains en même temps le long de mes jambes. Ses mains sont douces et leurs caresses m’électrisent.
Impuissant je laisse faire Léa qui me sourit. Je vois son jus intime inonder peu a peu l’intérieur de ses cuisses ;
Ses mains arrivent à la hauteur de mon short, glissent sous le tissu et s’approche imperceptiblement de ma queue. Puis sa main gauche se pose sur mon sexe alors que l’autre saisi mes couilles.
C’est divin elle me palpe délicatement la hampe et remonte avec son index jusque sous mon gland, elle titille ce qui a pour effet de le faire gonfler encore plus.
Puis n’y tenant plus elle passe sa main sous mon boxer et saisi ma queue fermement.
« Hummm comme elle est grosse et dure Michel ca fait des semaines que je penses à toi et que je me caresse en espérant … »
Elle commence à me décalotté et passe son pouce sur mon gland qui est trempé, elle me parait très experte pour une petite jeune. Ce contact déclenche en moi des frissons
« Dis moi tu as l’air de plutôt apprécier… »
Oh si tu savais à quel point, toutefois il me prend une seconde de lucidité et je lui saisi les deux poignets et la repousse une nouvelle fois mais cette fois ci il faut que je matte cette petite vicieuse
« Tu vas arrêter de me chauffer petite salope, la bite de ton copain ne te suffit pas que tu veux une bite d’homme »
Et la saisissant par le poignet je la retourne en lui levant son tee shirt je commence à lui administrer une bonne fessée.
Soudain quelle stupeur, je vois sur sa fesse gauche une tache de naissance bien brune ayant la forme d’un papillon.
Je suis certain d’avoir déjà vu cette tache, comme si j’avais déjà vécu ce moment présent auparavant.
J’avais beau chercher au fond de ma mémoire se souvenir ne voulait pas revenir.
Puis soudain jailli une image plus distinctement…Mais oui ça y est !!!!
J’abandonne ma fessée pour ouvrir mon iphone je recherche sur mon moteur habituelle à la rubrique image le titre « belle fesses »
Puis je fais défiler les images et au bout de 30 secondes je retrouve mon site. Puis ayant accéder au site je retrouve les photos que je recherche et bingo je retrouve le cul de ma Léa… Des photos toutes fois plutôt softs et qui ne montrent que son cul ses gros seins et des mains qui les pelotent, par contre son visage est flouté.
C’est à l’instant précis ou j’ai montré les photos à Léa que tout à basculer dans ma tête, et que j’ai perçu immédiatement le pouvoir qu’allait me donner cette situation.
Léa a genoux me supplie de ne rien dire, elle avoue que c’est bien elle, que c’est une idée de son copain Mathieu il l’a prise en photo avec son portable et elle a pris Mathieu et pour s’amuser ils ont mis en ligne leurs photos sur un site d’exhib.
Ces yeux remplient de larmes, elle me dit qu’elle fera n’importe quoi mais surtout que je garde le secret.
Fort de ce nouveau pouvoir je baisse mon short et mon boxer, ma bite se détend, elle est tendue et dure , une belle bite d’environ 20 cm et 6 bon cm de diamètre. L’attrapant par les cheveux je lui ordonne de me bouffer la queue. Déposant mon gland sur ces lèvres j’enfonce d’un trait ma bite dans sa bouche,
Elle à la bouche remplie et à des haut le cœur quand celle-ci vient taper dans le fond de sa gorge. Je l’a maintiens, elle étouffe et devient vite toute rouge, soulageant ma pression elle rejette ma bite dans un épais filet de salive qui coule sur ton tee shirt.
Elle a du mal à reprendre son souffle , ne lui laissant aucun répit je renfonce brutalement ma queue en lui disant sur un ton froid et cassant.
« OK ma belle je ne dirai rien mais à partir de cet instant tu es ma pute, tu devras m’obéir, et faire ce que je t’ordonnerai de faire sans aucune discussion… A la moindre incartade tes parents, tes sœurs et les parents de Mathieu recevront ces photos…. »
Alors que Léa leche mon gland je sors mon iphone et la photographie avec ma grosse bite dans la bouche….
« Plus toutes celles que je vais faire de toi ma chienne »
Le regard qu’elle me tend ne laisse aucun doute sur le fait qu’elle se sait piégée et totalement à ma merci.
Je suis vraiment un salaud mais d’avoir une jeune femme totalement soumise est une première je n’ai jamais ressenti une telle excitation. Je finis par gicler de longs jets de foutre sur le visage de léa. Elle en a partout les yeux les cheveux le foutre coule sur son tee shirt. Je m’amuse et prends plusieurs photos de son visage souillé. Je lui ordonne ensuite de me nettoyer la bite avec sa langue et de plus je veux qu’elle récupère mon foutre et qu’elle l’avale. Léa s’excécute et me leche la bite tout en récupérant les grosses giclées de foutre qui la recouvre pour les avaler.
Afin de m’assurer que Léa est bien soumise je lui intime l’ordre de lecher les quelques gouttes de jute tombées sur mes pieds.
Sans aucune hésitation elle se penche en avant et léche. J’adore la voir ainsi à genoux à mes pieds, je saisi son tee shirt et le remonte pour voir son superbe cul. Du fait de sa position sa raie est ouverte et offerte sur son petit trou du cul. Il est fascinant , brun et très serré. J’aperçois quelques poils ca et la autour.
Attrapant Léa par les cheveux, je l’oblige à se redresser. Debout devant moi je lui demande de se mettre nue. Elle ôte son vêtement. Elle est là nue, la beauté de sa jeunesse éclaboussant mes yeux, sa peau est blanche presque laiteuse, ses seins sont splendides, son pubis recouvert d’une toison épaisse noire qui cache sa vulve. Ma queue n’y résiste pas et reprend des formes.
Elle me regarde dans les yeux et y voit tout le désir que je ressens à cet instant…. Alors elle esquise un sourire…
Et c’est une magistrale baffe qu’elle reçoit en retour.
« Baisse les yeux sale pute »
Elle obéit alors que les larmes coulent sur ses joues.
Je reprends en lui annonçant ce que j’attends d’elle…
« A partir de ce jour tu ne porteras plus de culotte, tu ne porteras plus de pantalons »
« Meme quand je vais en cours » murmure t elle
« Tu ne porteras plus de pantalon, suis-je assez clair »
Elle me fait oui de la tête
« Tu porteras des chaussures à talons et des bas quand je te l’ordonnerai»
« aucun maquillage et je veux que ta chatte et ton cul soit rasés, lisses et toujours prêt pour moi !!! est ce que tu as compris »
Elle me répond soumise…
« Alors tu vas allez t’épiler tout de suite et me présenter le résultat, je te conseille de t’appliquer si tu veux pas d’ennuis..
Mais avant j’ai une question à te poser, et réfléchis bien car je vais tout de suite voir si tu me mens »
En la regardant bien dans les yeux je lui demande
« Comme tu connais bien ta mère, je veux que tu me dies ou elle cache ses petits secrets, je te préviens pas de mensonge….. » Mon regard c’est durci, Léa est toute tremblante….
« Je ne suis pas certaine, mais il me semble qu’elle range des affaires dans sa boite à couture …. dans la buanderie….. »
« Ok je te crois va te faire belle » lui dis je en l’embrassant tendrement pour la première fois sur la bouche. Elle sorti tete baissée mais j’ai eu le temps de voir son sourire.
Avec les infos de Léa je me précipite dans la buanderie. Mon idée est d’en connaitre plus sur cette belle famille. J’aimerais bien pouvoir rabattre un peu l’air suffisant de la belle mère…
Je trouve la boite de couture, mais hélas rien de bien intéressant , je commence à douter des dires de Léa.
Sur le coté je vois une machine à coudre, belle pièce de collection. Je me souviens que ma mere avait a peu près la même
J’observe le mécanisme c’est bien le même, la machine se déplie et laisse apparaitre un coffre. Passant la main au fond je trouve une boite en bois. Je l’extrais avec quelques difficultés.
Elle est assez haute et mesure 20 cm sur10 de large. J’en ôte le couvercle et la déception elle est pleine de bobine de fils de toutes les couleurs et d’aiguille à coudre. Déçu et plutôt remonté après Léa je pose la boite sur la table à repasser et continu la recherche dans le coffre de la machine… Helas rien.
Me préparant à remettre la boite dans le coffre, je m’aperçois quelle est bien profonde et qu’il ne me semble pas que les bobines puissent a elles seules la remplir. J’ouvre a nouveau la boite et vide le contenu sur la table.
Le fond laisse apparaitre une très légère entaille qui ne résiste pas longtemps à mes efforts.
Yes , la petite ne connaissait pas la planque de sa mère mais eller m’avait mis sur la bonne voie
A ma plus grande joie je vois dans le double fond un gode et un paquet de lettre.
Je n’en espérais pas temps, je jubilais car le gode étais déjà pour moi une bonne trouvaille pour adoucir cette soi disante cul béni…
Je saisi le gode classique, vibro que l’on peut trouver dans les VPC traditionnelles, et plutôt discret comme moyen approvisionnement. Machinalement je le porte à mon nez … Tiens il y a encore une très légère odeur ce qui me fait dire qu’il a du servir récemment, je me lance à le lécher… C’est encore plus évident un gout discret doux amer…Serait ce la mouille de belle maman…Je sens une douce chaleur envahir mes couilles …. Ca devient plutôt excitant tout ça..
Je récupère les lettres et glisse le gode dans la poche de mon short et replace la boite dans le coffre de la machine.
Je vais ensuite voir Léa dans la salle de bain pour vérifier l’avancement de son épilation, elle allait attaquer ces dessous de bras « Non lui criais je pas les aisselles, tu n’y touches pas je veux voir et sentir tes poils alors tu me rases tout sauf les aisselles OK et puis tu te douches après mais je veux que tu gardes les traces de ma jouissance sur ton visage et dans tes cheveux, on est d’accord » Oui me répond Léa interloquée par mon attitude..
Je vais ensuite prendre place dans le grand salon. Il faut dire qu’ils sont plutôt bourges les beaux parents.
Une très belle maison dans un quartier résidentiel de la petite ceinture de Paris. Un jardin de toute beauté mais avec un peit problème de vis-à-vis un peu trop directe sur les fenêtres des voisins.
Au vu de leurs situations c’est une famille qui ne manque pas de ressources, sport d’hiver tous les ans à Megève et résidence secondaire à la Baule…..
Une fois bien installé je commence à découvrir le contenu des lettres qui sont toutes manuscrites. Je vois deux écriture différentes. Je les trie donc par type et essaye d’en trouver l’ordre.
Ces écrits relatent en fait une correspondance entre Martine et un de ses employés de la DDE.
La première lettre est envoyée par l’employer il raconte à Martine qu’il l’a vu déjeuner avec le maire, qu’il a pris des photos et qu’il pense que si cette information venait à être communiquée à la presse locale, elle pourrait avoir de gros ennuis, en échange de son silence elle devait se soumettre à ses désirs sexuelles.

Heureusement que je suis assis car le scoop était de taille, cette salope magouillait et c’était fait repérer.
Je glisse ma main dans mon short en ressort ma queue et commence à me branler. Excité par la situation
La deuxième : réponse de Martine qui traite le mec de sale pervers qu’elle va prévenir la police pour harcèlement et qu’elle va le virer des demain, bref elle ne cède rien
Troisième courrier A priori accompagné d’une photo qui n’est pas avec les documents… dommage.
Cette fois ci le mec est plus explicite, si demain elle ne le reçoit pas à son bureau, habillée en pute bas porte jarretelles et sans culotte il envoi les documents à un pote à lui qui bosse au journal Local. Il veut qu’elle lui suce la bite et ensuite il veut la prendre par la chatte et le cul sur son bureau .
Je vous passe une partie de la prose du monsieur qui a un langage des plus fleuries mais qui est très efficace en terme d’excitation..Excitation qui va prendre un essor considérable à la lecture de la réponse de Martine
Quatrième lettre. J’ai accepté toutes vos conditions, mêmes les plus sordides et les plus avilissantes, je vous demande de me restituer les photos originales et de cesser votre odieux chantage.
HOUAAA la salope de Martine elle c’est faite tringlé par ce vicieux et vu ce qu’il décrivait dans son courrier sa du être méchamment pervers et je me dis que avec cette lettre manuscrite je la tiens par les couilles si si si car elle a coupé celle de son mari.
Alors que je continue à me branler doucement, Léa fait son apparition ; elle est entièrement nue et belle comme le jour, sa chatte est imberbe et je peux enfin distinguer son abricot. Ses lèvres sont fines et légèrement renflées, Je vois dans la césure qui les séparent un filet de mouille brillante. Son regard est fixe et ne se détache pas de ma bite que je branle, je peux voir les traces séchées de mon foutre sur ses joues, autour de ses lèvres.
Elle est devant moi le regard toujours hypnotiser par mon braquemard .
« Retour toi écartes tes fesses et penches toi que je puisse vérifier si tu as bien suivi mes ordres !!»
Léa me présente son cul bien ouvert et lisse .. Quelle vision de paradis, sa rondelle est vierge et hyper serrée… J’ai envie de la pourfendre la tout de suite et lui faire rendre corps …. Mais il faut que je sois raisonnable avec cette jeune femme qui n’a jamais prit de bite par le cul.
De ma main dispoinble j’enduis le bout de mon index avec le jus qui s’échappe de mon gland une fois le bout bien couvert, je le dépose sur sa rosette.
Léa Trésaille mais garde le silence. J’applique une légère pression et ma première phalange pénètre dans son fourreau. Comme elle est étroite c’est fou .
Je décide d’arrêter la pour le moment et demande à léa de se retourner. Sa chatte est maintenant trempée j’en profite pour enfoncer mon même doigt bien au fond .Dans un gémissement de plaisir Léa avance son bassin pour accentuer la pénétration.
« Alors dis moi tu es inondée petite visiteuse, ça te plait d’être ma chienne »
Elle secoue la tète pour répondre
« Dis le moi à voix haute je veux te l’entendre dire »
« Oui ça me plait d’être votre chienne Michel »
« oh c’est bientôt l’heure de l’apéro alors va me servir une bière bien fraiche et amène des amuses bouches »
Je reprends ma bite en main et continu ma lecture
Cinquième lettre . le mec en veut encore et il raconte avec force de détails comment il l’a baiser sur son bureau et le pied qu’il a pris à la soumettre.
Il lui dis qu’il souhaite la voir vendredi à l’hotel il veut la baiser avec son frère avec la aussi forces de détails sur ce qu’elle va subir, il lui rendra les photos à l’hotel après qu’elle se soit soumise une dernière fois et il veut 5000 euro de dédommagement car il va quitter la ville en finissant par lui promettre que si elle fait ce qu’il desire il la laissera définitivement tranquille.
C’est la dernière lettre, mais c’est la plus usée, elle est froissée et tachée..C’est aussi la plus hard puisqu’elle relate très crument se qu’elle à subi et ce qu’elle allait subir….
Une question alors surgit …. Pourquoi conserver des lettres aussi compromettantes pour elle pour son mariage, son job et sa réputation de cul béni. Tout en réfléchissant à cette question je porte la lettre à ma bouche en la tapotant sur mes lèvres.
Et là surprise, l’odeur de cette lettre éveille ma curiosité.. Mais oui c’est bien la même odeur que sur le gode.
Mon esprit ne fait qu’ un tour et tout s’éclaire.
Elle a gardé les lettres pour se remémorer leur contenu, puisque le gode était avec et que l’odeur du celui-ci et la même que sur la lettre on peut aisément en conclure que cette salope s’excite en revivant sa soumission et qu’elle se branle pour se faire jouir… Quelle salope, je la tiens et je vais pas me géner pour la remettre à la place qui lui est dévolue cette chienne.
Bon sang quelle matinée deux chiennes dans la Belle famille avec lesquelles je vais pouvoir bien m’amuser.
Léa revient avec la bière et des olives qu’elle dépose devant moi, puis reprend sa position . Je bois une rasade et prends une olive.
« Dis moi elle sont natures ces olives » Léa répond qu il n’y que celles là .
« Ok alors tu va toutes te les fourrer dans ta chatte, maintenant allez dépèche toi »
Léa s’execute un peu surprise. Elle fait pénétrer dans son vagin les olives et jusqu’à la dernière. Elle doit en avoir une bonne quinzaine.
« Maintenant tu vas allez le chercher les curre dents dans la cuisine, mais attention n’en fait surtout tomber aucune sinon…. »
Très délicatement elle se dirige vers la cuisine par moment elle stoppe nette puis redémarre.
Ne nouveau de retour devant moi, je saisi la coupelle, lui demande d’écarter mes cuisses pour que je puisse y placer la coupelle. Sa fente est brillante d’huile et de mouille mélangée. Je place mon index sur son clito et le déplace lentement tout le long de sa fente. L’huile et sa mouille lubrifiant mon doigt il glisse comme sur du velour. Léa gémit sous la caresse puis après plusieurs allez et retour mon doigt était bien imprégné d(huile je titille son clito. Son soufle alor s’accelere j’augmente la pression Léa commence a lâché des râles puis des cris je sens qu’elle va bientôt céder je prends alors son bouton entre mes deux doigts et les fait rouler. Elle abdique dans un feulement et jouie . Tout son corps tressaute et s’accroche à mon poignet pour ne pas s’écrouler au sol . Ebranler par un orgasme sismique elle relâche son vagin et laisse s’échapper les olives qu’elle détenaient prisonnières au creux de son ventre. Les olives coutent les unes après les autres, elles sont recouvertes d’un épais jus blanchâtre et des filets de cette jute coulent dans l’écuelle.
J attend de savoir si cette histoire vous plaît pour vous en raconter la suite…..

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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