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La reine Margo – 7

La reine Margo – 7



Le cirque des monstres

Après être sortit de l’enceinte du château, et passé les douves, l’on prit un chemin de terre en pente chauffé par le soleil qui traversait un petit bois touffu pour arriver quelques minutes plus tard a l’entré de la ville près d’une grande fontaine. Une dizaine d’enfants s’y baignaient à moitié nus en se lançant de l’eau en riant. Plusieurs vinrent à notre rencontre en courant dès qu’ils m’aperçurent.

-Reine Margo ! Reine Margo ! Cria une gamine au long cheveu roux et aux yeux d’un vert émeraude en m’enlaçant et posant sa tête mouillée sur mon ventre, il y a longtemps que l’on ne t’a pas vue, presque une semaine.
-Je sais, Amélie, c’est long une semaine a ton âge. Alors les vilains garnements, toujours a faire de mauvais coups. Dis-je aux autres.

Les garçons baisèrent les yeux en souriant, quelques filles aussi pendant qu’un vieil homme passait avec sa charrette à bœuf en me saluant tout en reluquant ma poitrine. Il allait livrer des victuailles et du vin au château, sans doute, pour la fête de ce soir.

-Je vous présente mon amie, les enfants, Mara la sorcière.

Tous la regardèrent les yeux ronds.

-C’est une vraie sorcière, fit la petite Amélie interloquer les yeux tout ronds ? Comme elle est grande !
-Oh oui ! Une vraie sorcière ma belle, alors il ne faut pas la taquiner sinon elle pourrait bien vous changer tous en de vilain petit crapaud. Bon, a bientôt les enfants.

Ils retournèrent en courant sauter dans la fontaine.

On fureta un peut partout en discutant avec les gens ici et la, visitant des boutiques, puis on prit un bon repas dans la taverne du père Juan pour le dîner en prenant une bonne bière fraîche tout en écoutant l’homme, très jovial nous raconter des histoires de chasse plus improbables les unes que les autres, parlant d’ours géant et de licorne, mais cela fit rire Mara aux larmes. Finalement, tard en après-midi, je n’en pouvais plus, il fallait que je dorme. Je laisser donc Mara dans une boutique remplie de vieillerie et de codex qui l’émerveillait comme une enfant et rentrer au château, épuiser. Je grimper a ma chambre en traînant les pieds, enlever ma robe et tomber sur mon lit à plat ventre pour m’endormir aussitôt.

Quand j’ouvris les yeux, toujours coucher sur le ventre, il faisait noir et toujours aussi chaud et quelqu’un me tapotait les fesses pour me réveiller, ce qui me fit sourire. Je rouler sur le dos, alanguie et encore vaseuse pour apercevoir ma sœur, assise sur le bord du lit, un bougeoir à la main et nue. Son corps tout blanc, moite de sueur, reluisait à la lueur de la flamme et sa main qui me tapotais les fesses c’était retrouver sur mon pubis qu’elle caressa laissant ses doigt glisser dans ma toison noire. Je ne pus m’empêcher de frissonner et de lui caresser une cuisse si douce en faisant craquer mes orteils. Nos belles rondeurs étaient si semblables que chaque fois que je voyais ma sœur nue j’avais l’impression de me regarder dans un miroir. Mais ce soir, elle avait toujours les cheveux tresser et pas moi, c’était la seule chose qui nous différenciait.

-Tu vas manquer la fête si tu ne te lèves pas, paresseuse. On doit être là dans 30 minutes Margo.
-Pas question que je rate ça, Marie ne me le pardonnerait pas. Ça fait une semaine qu’elle travaille là-dessus et à voir ce que cela m’a coûté, j’ai l’impression que l’on ne va pas s’ennuyer. Je dois me laver et enfiler quelque chose. Dis-je avant de baillé aux corneilles.
-Pas la peine apparemment d’enfiler quoi que ce soit et t’as Marie, justement, elle a bien déluré ma fille aujourd’hui. Elles ont passé tout l’après-midi au lit.
-Ça, ça ne m’étonne pas. Mais ta fille n’a pas de grande sœur comme toi pour lui apprendre les petits plaisirs que l’on peut se procurer entre filles.
-Je sais, répondit Jeanne rêveuse en remontant sa main sur un de mes seins pour le caresser, vilaine vicieuse vas. Tu m’as déluré complètement avant même que mes seins ne poussent. Tu n’as pas honte ?
-Pas du tout !

On se regarda les yeux petits et rieurs tandis qu’elle me titillait un mamelon. J’en frissonner de plaisir en remontant ma main sur sa cuisse jusqu’à toucher ses poils de con, lisses et noirs comme les miens. Des poils si doux de forme ovale qui me rappelait ceux de la sorcière avec qui j’avais baisé ce matin, toute fois, les siens étaient grisonnants. J’y passé le bout des doigts en rajoutant :

-Et tu ne t’en plaignais jamais, non ? Enfin si tu te plaignais, mais pas pour que j’arrête, bien au contraire, vicieuse. En fait, tu gémissais si fort que je devais te mettre la main sur la bouche pour ne pas que nos parents se réveillent et tu ne voulais plus que j’arrête d’agiter la langue. Même que tu parlais contre ma paume et disait souvent : Oh, encore, encore Margo, c’est trop bon ! Ça me chatouillait la main à chaque fois que tes petites lèvres remuaient.

Elle me tira la langue en riant.

-Toi, tu te mettais toi même les mains sur la bouche Margo, ça, c’était trop drôle.

Là, c’est moi qui lui fis la grimace tandis que Jeanne redevenait rêveuse en me caressant toujours le sein ce qui me plaisait terriblement comme d’habitude.

-Ça me fait tout de même tout drôle de savoir que ma fille commence a baisé, dit-elle rêveuse, même si c’est juste avec une autre fille. Le temps passe trop vite, non ?
-Hum ! Fis-je un peut embarrassé, car je savais que ma nièce n’était plus vierge. Mais c’était à elle de l’apprendre à sa mère.

Je bailler encore en m’étirant, ma sœur en profita alors pour poser le bougeoir sur la table de chevet pour ensuite s’étendre et se coller contre moi comme on le faisait depuis toujours. On se serra l’une contre l’autre très fort, face à face, les yeux dans les yeux sans rien dire un long moment tant on appréciait d’être ensemble, de sentir nos corps identiques se toucher, de sentir nos gros seins écraser entre nous. Cela avait quelque chose de très apaisant, de rassurant en quelque sorte d’avoir une âme sœur comme elle.

-Je m’éveille souvent la nuit, seul dans mes lit et je te cherche Jeanne.
-Oui, moi aussi. Surtout en hiver.
-Vend ton fief et vient l’installé ici, ta fille en serait folle de joie. Maintenant que tu es veuve, plus rien ne te retient là-bas à ce que je sache. Tu n’es même pas obligé d’y retourner, j’enverrais des gens s’occuper de tout.

Elle me fixa un long moment avant de répondre en frottant ses pieds contre les miens.

-Il y a longtemps que cela me trotte dans la tête. C’est d’accord si Maria est d’accord.
-Alors c’est réglé, elle vas sauter de joie.
-Je pense aussi. Ta petite Marie lui manquerait trop.
-Je t’aime ma petite sœur, dis-je en la serrant si fort qu’elle dit :
-Ouf, moi aussi, mais arrête, tu vas me casser le dos ou nos seins vont éclater.

On rit un moment joue contre joue trop heureuse d’être enfin réunie en se tapotant les fesses.

-Alors, ta journée de reine c’est bien passé Jeanne ? Lui demandai-je en reculant la tête pour caresser sa joue si douce et ses cheveux longs en glissant une cuisse entre les siennes avant de lui prendre un sein pour le caresser distraitement. Elle sourit mystérieusement, me donna un baisé en me prenant également un sein elle aussi et dit :

-Bien, j’ai réglé quantité de choses que tu laissais traîner apparemment depuis quelque temps à la plus grande stupéfaction de ton vieil intendant.
-Oh ! Comme ?
-Bien ; la réfection des égouts dans l’est de la ville commence après le carnaval. Un sérieux problème de rats dans les entrepôts à blé sera réglé dès demain. J’ai octroyé des permis de chasse et de bûchage. Régler une chicane entre commerçants pour le carnaval. Reçurent des tas de cadeaux de riches visiteurs qui ne rêvent que de baiser la belle reine Margo. Et j’en passe, ah oui, j’oubliais : Ton notaire est passé pour les changements que tu as apportés à ton testament en cas de décès subit. Merci pour le legs, c’est très généreux ma grande sœur.
-De rien ma petite sœur.
€,Mais tu n’as pas peur que je décide de t’empoisonner. Ça semble être à la mode présentement en Italie.

Elle me fixait avec un sourire moqueur des plus charmant en me titillant le téton, ce qui me fit frémir.

-Oups ! Je vais devoir engager une goûteuse for jolie. Et puis a bien y pensé, pas besoin d’engager quelqu’un d’autre, je vais charger la belle Marie de cette corvée, elle va a adoré.

Jeanne ne put s’empêcher de rire avant de rajouter les yeux brillants jouant avec ses mamelons moi aussi :

-Tu l’aimes bien celle-là, hum ?
-Même trop, j’en suis amoureuse Jeanne.
-Oh ! Je m’en doutais, ça se voit quand tu la regardes et elle aussi semble heureuse avec toi, chanceuse. Je te connais trop bien Margo.
-C’est de la jalousie que je vois dans tes beaux yeux bruns-vert ?
-Tu sais Margo, je crois qu’on préfère les filles finalement.
-Tient dont, tu viens de t’en rendre compte. Mieux vaut tard que jamais. Et puis, pourquoi m’empoisonner ? Tu peux jouer à être la reine quand tu veux, je ne demande pas mieux et tout le monde n’y verra que du feu.
-Je ne demande pas mieux non plus, j’ai adoré ça, je m’ennuies tellement au fief ces derniers temps et puis, en tant que reine, je pourrai goûter a la goûteuse autant que j’en aurai envie, ma fille aussi.

Jeanne me fixa avec un petit sourire narquois.

-Bon, on va se crêper le chignon pour une bonne maintenant. Et bien, qui l’eut crue.

Nous v’là à rire en nous serrant plus fort en nous agrippant les fesses et je dis me sentant mouillé :

-Dieu que je me trouve belle en te regardant.
-En te regardant avec trois années de moins.
-Tien dont, tu fais de l’humour a la Marie maintenant.
-Moi ! Je ne…

N’en pouvant plus, je venais de plaquer ma bouche sur la sienne et de glisser ma langue entre ses lèvres sucrées en la faisant rouler sur le dos. On commença alors à se caresser sérieusement en soupirant. L’on se connaissait par cœur toutes les deux, alors, on savait très bien quoi faire pour faire plaisir à l’autre. Je glisser un genou entre ses cuisses jusqu’à toucher sa vulve que je sentis aussi humide que la mienne. On se caressait seins et fesses avec fougue quand sa fille entra en coup de vent, survolté, pour se jeter sur le lit à plat ventre. On en revola quasiment jusqu’au plafond en riant. Maria ne portait qu’une chemise de nuit sous laquelle pointaient ses petits seins naissants. Sans rien dire elle nous regarda nous coller à nouveau, mais en cuiller cette fois, moi derrière sa mère une main sur ses gros seins et Jeanne tourna la tête pour m’embrasser longuement et avec la langue avant de regarder sa fille.

-Quoi ? Fait ma sœur en souriant à sa fille.

Maria nous regardait les yeux brillants, le menton dans les mains et les pieds croisés en l’air, mignonne comme tout. Elle grandissait si vite, elle était presque plus grande que nous maintenant.

-J’aimerais avoir une sœur moi aussi pour tout partager comme vous.
-T’es déjà assez vicieuse comme ça ma fille et puis Marie c’est s’occuper de toi, non ?
-Hummmm ! Oh oui ! Fit-elle rêveuse en roulant sur le dos pour regarder le plafond en se prenant les seins. Elle, elle est drôlement vicieuse ! Merci, ma tante, de lui avoir donné la permission de… s’amuser avec moi.
-Hum, hum ! Fis-je septique en caressant les seins de sa mère, ma joue contre la sienne. C’est plutôt toi qui as dû drôlement t’amuser avec elle.
-Les deux disons. Répondit-elle en se levant rapidement pour courir vers la porte qu’elle ouvrit. C’est vachement plaisant avec une fille. Bon, lâchez-vous les vieilles ou la fête va commencer sans vous. Marie va se fâcher si vous manquez le début.
-On y va Maria, dis Jeanne, bonne nuit. Non attend !
-Quoi ?
-Ta tante aimerais que l’on vienne vivre ici si tu es d’accord.

Rien, aucune réaction. On aurait juré qu’elle venait de se transformer en statue. Une statue dont seuls les yeux bougeaient allant de moi à Jeanne. C’était trop drôle.

-C’est encore un de vos jeux idiots les jumelles ? Ça, c’est pas drôle.
-C’est très sérieux, lui dis-je.
-Tout ce qu’il y a de plus sérieux ma fille.
-Pour de vrai ?
-Oui, pour de vrai. Rajouta sa mère.

La v’là à sauter sur place comme si elle venait de marcher sur de la braise rougeoyante pour ensuite courir vers le lit et plonger sur nous. Seigneur ! On eu à peine le temps de rouler sur le dos qu’elle nous tomba dessus en me frappant un sein avec un coude, m’écrasant de tout son poids. Elle me couvrir ensuite le visage de baiser en me remerciant me faisant rire aux éclats.

-Merci ! Merci ! Merci ma tante.
-De rien, remercie ta mère aussi.
-Merci moi man, dit-elle en roulant sur moi pour débarquer du lit survolter m’écrasant encore les seins au passage.
-Outch, mes boules, Maria !
-Oups ! Fit-elle coquine, désoler ma tante. Bon, préparez-vous, on vous attend.
-Oui, fit Jeanne en se levant, allons-nous amuser Margo. Mais pas toi ma fille, c’est une fête pour adulte.
-Je sais, bonne nuit.

Elle fila sans rechigner, ce qui me surprit tout autant que ma sœur tandis que je me levais pour m’accroupir au-dessus d’un pissoir pour uriner très fort tellement j’avais envie.

-C’est pas normal ça qu’elle ne pleure pas pour assister a la fête, tu ne trouves pas Jeanne ?
-Oui, t’aurais du voir la crise qu’elle ma faite quand je lui et dit qu’elle ne pourrait pas encore assister au carnaval cette année. Il y a anguille sous roche. Je vais parler a ta Marie et…. ah, je comprends.
-Tu comprends quoi ?
-je lui ai montrer les passages secrets hier rappelle toi, elle va nous surveiller et vas encore bailler a table demain matin. Je suis même certaine que ta Marie a dû lui montrer par où elle pourrait nous espionner ce soir dans la salle de bal.
-Qu’elle se rince l’œil en se branlant, ça va lui faire du bien. Bon, allons s’y Jeanne, dis-je en m’essuyant le sexe avec un linge, j’ai pas toucher de bite de la journée et toi ?
-Quelques une, celles de gardes surexcités qui me prenait pour toi, mais j’espère que celle d’hier, l’énorme bite du gros de Venise n’y sera pas a ma fête. Une fois, c’est suffisant.
-Je suis bien d’accord, trop c’est trop ma petite sœur.

On se mit à rire comme des folles en repensant à ce marchand.

Jeanne allait sortir de la chambre quand je ne pus m’empêcher de lui apprendre la nouvelle pour le Pèlerin ; son emprisonnement, son évasion et elle en fut aussi étonné que moi et surtout d’apprendre qu’il venait de décapiter le pape.

-Seigneur fit-elle, ce gars la n’as jamais fait dans la dentelle. Que vas-tu faire Margo ? S’il vient ici, tu risques d’avoir de sérieux problème avec ses maudits chrétiens. En es-tu toujours amoureuse, et ta Marie ?

Je ne pus répondre et me mis à pleurer, ma sœur me prit alors dans ces bras pour me consoler. Elle me berça en me caressant le dos jusqu’à ce que mes pleurs soient apaisés. Peut-on aimer deux personnes en même temps ? Je décider que oui, pourquoi pas ? Puis on alla se laver rapidement et se parfumer pour ensuite descendre au grand salon du deuxième très excité en se demandant ce que Marie avait bien pu nous concocter comme surprise pour cette soirée. Côté sexe, elle avait une imagination des plus fertile et pour la fête de l’année dernière elle s’était surpassée en organisant un combat de lutte entre femmes obèses dans de l’huile d’olive qui avait viré à l’orgie glissante à souhait et ce n’avait été que le début. J’avais bien besoin de me changer les idées.

La main dans la main on descendit au deuxième tout sourire avec nos grosses poitrines qui sursautaient pour se rendre a la grande salle de bal sous les regards allumer des gardes nonchalants que l’on saluait au passage en leur souriant. Si j’étais certaine d’une chose, c’était que ces gars-là aimaient bien leur boulot au château. Il ne se passait jamais rien et ils tiraient leur coup avec les bonnes ou moi à qui mieux mieux et se rinçaient l’œil, car comme moi la plupart de mes invités se baladaient nus. En plus, ils participaient aux soirées de sexe, aux orgies alors, ce n’était pas les volontaires qui manquaient pour faire partie de la garde du château. Plusieurs se prirent la fourche à notre passage en disant :

-Besoin d’une belle queue mes dames ?

On passait sans répondre en riant pour finalement trouver Marie qui nous attendait dans le couloir menant à l’entrée de la grande salle de réception dont les portes étaient fermées. Elle ronflait, affaler, jambe écarter dans un grand fauteuil et nue elle aussi. Ses seins tout blancs étaient gros, mais un peut plat et pendant et sa toison noire très fournie. Une belle fille dans la vingtaine et avec de la cervelle en plus. Mon cœur se mit à battre un peu plus vite comme à chaque fois que je l’apercevais ainsi dévêtue. Je souris en me disant que c’était ma nièce qui avait dû l’épuiser autant aujourd’hui, ça et le concours de pâtisseries de ce matin. Je la réveiller en lui tirant les poils du con en riant, Jeanne elle, lui pinça un téton.

-Outch ! fit-elle en s’éveillant en sursaut en tapant sur nos mains. Elle se frotta les yeux, s’étira magnifiquement avant de se lever pour me prendre par la main en disant encore tout ensommeillé :

-Enfin, vous voilà. Venez Jeanne, vous ne serez pas dessus.

Elle me prenait pour ma sœur. Normal, vu que ma sœur avait les cheveux tressés et qu’elle s’était fait passer pour moi toute la journée. Je tourner la tête pour regarder Jeanne et elle se contenta de me faire un clin d’œil ayant décidé de jouer le jeu encore. Marie stoppa devant les portes closes et me regarda en disant :

-Ce soir, il va falloir être ouverte d’esprit Jeanne et toi aussi reine Margo et surtout… rester humble.
-Bien sûr, fit ma sœur tout sourire. Il va y avoir des bites j’espère Marie ? Mais pas la grosse d’hier, celle-là, plus questions.
-Pas celle d’hier, promis. Le gars est à ton bordel Margo de toute façon, il espère t’y rencontrer le pauvre. Mais pour avoir des bites…ça oui, il va y en avoir et des belles mes dames.
-Alors, allons s’y, dis-je toute exciter en voulant ouvrir les portes.
-Tut, tut, tut, un instant, fit-elle en nous bloquant le passage bras écarter.

On se retrouva nez à nez et je ne pus m’empêcher de prendre ses seins lourds, mous et pendants pour les soulever et les presser en lui caressant les mamelons avec les pouces tout en disant en la fixant droit dans les yeux :

-Quoi ? Besoin d’affection ma belle Marie avant la fête ? Maria manquait d’expérience peut-être ?

Elle se contenta de sourire en enlevant mes mains de sa poitrine chaude et douce pour aller ramasser deux colliers de chien avec des laisses traînant sur un banc qu’elle attacha nos cous. Puis elle prit un gode en ceinture, un faux pénis peint en noir et laqué d’une forme parfaite recourbée vers le haut, lisse et luisante avec deux jolies couilles en dessous. Elle se pencha devant moi pour que j’enfile la ceinture en soulevant les pieds puis la remonta le long de mes jambes. Une lanière de cuir partait de mes hanches pour me passer dans la raie et se divisait en deux pour contourner ma vulve et rejoindre la ceinture que Marie serra bien a ma taille. J’avais déjà vu ça dans un bordel, mais c’était la première fois que j’en portais. Je ne pus m’empêcher de prendre le pénis en le regardant entre mes gros seins. C’était une sensation bien étrange d’avoir soudainement une queue, mais en même temps, c’était déjà des plus excitant.

-C’est votre soirée Jeanne, dit-elle en prenant les laisses, mais, hélas, je vois contrainte de vous faire travailler toute les deux. Vraiment désolé, dit-elle en nous tirant vers les portes comme si on était ses esclaves et ça nous amusaient déjà.

Jeanne me regarda les yeux tout petits en prenant le gode dans la main pour le branler en disant :

-Oh ! Comme vous êtes bien monté chère sœur, j’espère que vous allez le garder pour dormir cette nuit. Comme ça, je pourrai vous chevaucher aussi longtemps qu’il me plaira sans risquer que cette chose n’explose trop vite.

Je me contenter de sourire tandis que Marie ouvrait les doubles portes et je rester sans voix tout comme Jeanne en découvrant ce qui nous attendait derrière.

J’imaginais voir la salle comme d’habitude remplie d’invités surexciter à l’idée de participer à une grande orgie, mais non. Je ne vis rien de moins qu’un nain en tenu d’apparat, collant rayer rouge et noir et veste verte finement décorer de fil d’or, dans la trentaine, bouc au menton, debout sur un banc devant une grande toile éclairer par des torches. Cette toile nous bouchait la vue complètement des murs jusqu’au haut plafond de la salle et sur celle-ci était écrit en lettres de feux peinte a la main ; (Le grand cirque des montres.) En dessous, des tas d’illustration très réaliste aux couleurs vivent de monstres humains à donner la chair de poule s’étalaient et tous ses monstres étaient nus ; une femmes a deux têtes avec un corps de déesse, un homme a trois jambes avec deux pénis en érection l’un au-dessus de l’autre, des siamoises relier par les hanches se caressant les seins, des nains bossus au sexe démesuré en train de s’enculer ou de baiser des naines, des colosses soulevant d’énormes poids de métal noir, mais ceux-ci étaient attaché a leurs couilles terriblement étirer. Celle-là me fit grimacer. Puis je vis un homme reptile plier en deux qui se suçait la bite terriblement longue, un homme-loup recouvert de poils noirs grimpant un petit chaperon rouge qui ne portait qu’une cape et qui me ressemblait drôlement, enfin a moi ou a Jeanne, ce qui me fit sourire et même une sirène très mignonne au long cheveu blond et une longue queue de poisson, mais avec des crocs longs et aiguiser comme dentition. Un bestiaire des plus délirant.

-Mon Dieu, lâchai-je stupéfaite en entrant tirer par le cou tout comme Jeanne. Mais c’est quoi ce délire Marie ?
-Fermer la, esclaves, ordonna t-elle en donnant les laisses au nain qui nous sourit méchamment en nous dévorant des yeux. Je fixer ses mains minuscule au gros doigt potelé.
-Quelles jolies choses m’apporte tu la, ma belle et délicieuse Marie. Dit-il avec une petite voie haut percher.
-Ça, répondit-elle en pointant Jeanne du doigt, c’est une reine, la reine Margo, surnommer la reine vicieuse, la reine des putains, dont tu as sûrement entendu parler. Et ça, c’est sa sœur jumelle Jeanne, une riche tout aussi putain que l’autre. Elle baise ensemble constamment d’ailleurs Jakmar. Elles sont insatiables, hommes ou femmes, tout les excite.
-Vraiment ! Hum ! Fit-il songeur. La reine Margo, ça me dit quelque chose. Mais pour moi ce ne son que de vulgaire jumelle quoique bien buste, délicieuse Marie, mais nos clients vont adorer s’imaginer baiser une reine et sa sœur identique, surtout avec des seins pareils. Combien en veux-tu ?
-C’est en paiement de ma dette seigneur nain.

Il sursauta, les yeux tout ronds. Trop drôle, je ne pus m’empêcher de rire et de le trouver bon comédien.

-Tant que ça ?
-Elles les valent amplement seigneur, regarder ses grosses mamelles encore fermes pour leur âge, enfin, pas trop tombante, disons, et leur visage pas si vilain. Elle donne même du lait à qui mieux mieux toutes les deux, de vraies fontaines à lait.

Elle nous tapota les seins avant de vanter nos beaux culs et nos chattes pas trop grandes. J’eus soudain l’impression d’être du bétail. C’était étrangement troublant, surtout que le nain bandait sous son collant et il semblait bien monter le bougre vu sa taille. Je me mis a saliver l’imaginant déjà me grimper dessus, car jamais je n’avais eu la chance de baiser avec un nain, n’y même d’en voir un d’aussi près.

-Hum, fit-il en prenant un air songeur nous regardant avec envie, les yeux luisants. Bon, c’est d’accord Marie.
-Parfait, alors amuser vous bien avec elles, mon seigneur et vous les putains, soyez aimables et obéissantes, ne me faites pas honte. Ordonna T€elle en nous tapant les fesses avec force.

On se retourna pour nous voir que Marie faisait une courbette au nain (joli spectacle avec ses seins s’étirant et se frappant mollement,) avant de filer en refermant les portes, même qu’elle était en train de les barré. On regarda le nain a nouveau qui nous lorgnait en salivant et Jeanne me dit a l’oreille :

-Tu savais qu’elle préparait quelque chose d’aussi délirant cette année ?
-Non, ça, c’est nouveau.
-C’est peut-être un coup d’État, elle nous a peut-être vendu pour de vrai.
-Avec Marie tout est possible, dis-je en riant.
-Fermez-la, femmes, ordonna le nain avec sa petite voix nasarde en prenant un air mauvais tout en tirant sur nos laisses pour nous rappeler a l’ordre. Des femelles identiques comme vous et si bien en chair avec ses mamelles dantesques vont plaire grandement à notre public fortuné. Notre cirque donne son spectacle devant tous les grands souverains d’Europe et d’orient (mais pas ici, jusqu’à maintenant du moins, me dis-je) de la Russie a Constantinople jusqu’en terre sainte et leurs offres en plus quelques petits a côté, comme vous maintenant. Vivre avec nous va vous plaire mes jolies. Bon, voyons maintenant la marchandise de plus près, ensuite vous me montrerez ce que vous savez faire.

Il descendit habilement de son banc en lâchant les laisses pour lever la tête et les bras et palper nos seins, l’une et l’autre en même temps et avec grand plaisir apparemment, car ça bosse enfla sous son collant. Quand il nous pinça les tétons on grimaça toutes les deux mai surtout quand il nous les tapa sur les côtés, les faisant rebondir les uns contre les autres comme si ce n’était que de vulgaire ballons pour s’en amuser comme un enfant. Ce qui nous fit sourire et plisser les yeux. Se lassant subitement de ce jeu il nous prit le sexe sans pudeur nous faisant sursauter et pressa un doigt en avant tandis que nos seins se balançaient encore mollement. Seigneur, ça m’arracha une sacrée grimace et Jeanne me serra la main plus fort surtout quand il glissa son doigt le plus long à l’intérieur d’un seul coup en nous souriant. Je me raidis en écartant un peut les cuisses, tout comme ma sœur, agacer par ce doigt fureteur qui allait venait dans mon vagin a présent dilater heurtant le gode au passage le faisant sursauter comme un vrai bite. Cela me fit mouiller beaucoup plus et soupirer de concert avec Jeanne. Encore un peut et il me faisait jouir, mais, apparemment satisfait de l’examen, il sortit ses doigts de nos sexes et nous fit lui sucer. Ce que l’on fit docilement, en même temps, lèvres arrondit en agitant la langue. Le goût salé de ma cyprine m’emplit la bouche. Ensuite il passa derrière nous pour palper nos fesses et nous les taper avec force avant de glisser ces doigts dans nos culs cette fois et sans ménagement. Je me retrouver sur la pointe des pieds les lèvres en cul de poule a gémir tout bas tellement cela m’agaçait. Cette fois ces moi qui serrais très fort la main de Jeanne. Tous ces attouchements commençaient à me faire un effet du diable. Je me sentais toute chaude.

-On dirait que vous êtes aussi déluré que Marie me la dit les jumelles à vous entendre soupirer. Con pas trop grand, cul serrer et seins pas trop mous, c’est bien, dit-il en retirant ses doigts un peut vite de mon cul.

Je me sentis rougir aux joues en retombant sur mes talons, j’avais de grosses bouffées de chaleur. Je me frotter le derrière qui me démangeait a présent en replaçant la lanière de cuir dans ma raie. Jeanne semblait être dans le même était que moi. Même joue rouge, mêmes yeux petits et luisants.

-Bon, fit-il songeur revenue devant nous en se grattant le bouc d’une main et le sexe de l’autre. Quel plaisir va-je m’accorder avec vous les filles ? Le cul, le con, ou la bouche, ou les trois. Je dirais plutôt les six.

Et il rit avant de remonter sur son banc, bander très dur cette fois. Comme moi, Jeanne fixait son entre-jambe avec envie tandis que je me demandait ce que ce serait de l’avoir couché sur moi avec son visage d’homme et son corps d’enfant en train de me besogner a me faire crier de plaisir, jambes en l’air.

-Toi, la reine, dit-il en pointant Jeanne du doigt vient me sucer, et toi, la sœur avec un si bel engin entre les cuisses tu la baiseras.

Je regarde ma sœur tout aussi amusée que moi par ce jeu et on répond en cœur ; oui maître nain.

Il baissa son collant aux genoux, ça bite bondit en sursautant et pour un gars de sa taille il avait un bel engin pointant vers le plafond avec de grosses couilles poilues, ce qui me fit saliver aussitôt. Debout comme ça, sur un banc, avec ses petites jambes arquer, il l’avait juste à la hauteur souhaitable pour une bonne fellation, comme par hasard. Je me surpris a être jalouse de ma sœur tellement son membre me faisait envie.

-Bon, dis-je comme si je devais m’atteler a une vilaine corvée, faut se mettre a l’ouvrage ma chère sœur, pas le choix.
-Pas le choix, fis Jeanne en prenant un petit air coquin des plus comique. On se regarda les yeux rieurs en s’approchant de lui.

-Aller la Reine, dis-j’ai Jeanne, montre a se grand monsieur comment on sait s’occuper d’une belle queue et on va travailler au cirque, voyager, voir du pays. C’est fantastique non ?

Elle me toisa amuser en prenant la bite entre ses doigts pour la branler et les couilles de l’autre main. Ce jeu me plaisait déjà beaucoup et a Jeanne également a voir ses mamelons dresser et gonfler tout comme les miens que je me pincer sans bouger, car je voulais la regarder un moment gober cette bite.

En fermant à demi les yeux elle avança la tête en ouvrant la bouche, langue sortit, et avala le sexe complètement puis se mit a donner de la tête lentement, lèvres arrondit couvrant le membre de salive. Je me rincer l’œil un instant tandis que le nain, qui semblait apprécier drôlement, commençait a grimacé en fixant les lèvres humides de ma sœur. Voir Jeanne sucer m’a toujours excité, en plus, la ceinture du gode m’agaçait autant la vulve que l’anus a chaque pas.

Le nain m’ordonna de me mettre au travail moi aussi d’un geste de la main. Comme Jeanne était légèrement penchée pour sa fellation je passé derrière elle pour admirer son beau cul bien rond et sa vulve ouverte aux grandes lèvres gonfler luisante d’humidité. Je caresser ses fesses un moment avant de les écarter en me penchant pour lui lécher la raie de haut en bas, puis le petit trou un moment et le sexe goûteux que j’ouvris avec mes pouces. Après avoir sucer ses lèvres vaginales, les grandes et les petites et avoir agacé son clitoris je poussé ma langue dans son vagin en l’agitant et la sentit très mouillé comme je l’avais deviner, même que son jus me coulait dans la bouche. Elle remua du cul pour me montrer qu’elle appréciait en même temps que son anus pulsait contre mon nez, sans doute par reflex. Je ne pus m’empêcher d’y glisser, la aussi la langue tout en lui rentrant un doigt dans le vagin. Tant qu’à faire, pourquoi faire les choses à moitié ? Autant montrer à notre nouveau maître ce qu’une sœur bien vicieuse pouvait faire à sa sœur. Je passé donc de l’un a l’autre avec doigt et langue un bon moment, histoire aussi de bien préparer Jeanne a recevoir le gode, histoire aussi d’exciter encore plus le nain qui en avait les yeux tout ronds.

J’étais bien heureuse d’avoir à essayer mon nouveau membre aussi vite et sur ma sœur en plus. Ma langue s’épuisant et ma sœur gémissant de plus en plus je me redresser pour me cracher dans la main et couvrir le gland noir de salive épaisse et le glisser sur la fente de Jeanne jusqu’à l’entré du vagin et l’y poussé bien au fond comme le ferais un homme. C’était vraiment étrange comme sensation. Je la pris ensuite par les hanches et commencer a la besogne lentement, mon ventre heurtant ses fesses les faisant rebondir joliment tout comme desseins en l’entendant gémir par le nez. Jeanne n’avait pas le choix, car le nabot la tenait solidement par les tresses l’empêchant de sortir son membre de sa bouche.

Lui, regardait ça un peu étourdit apparemment. Me voir baiser ma supposer jumelle un pouce dans son cul en plus maintenant, le mettait dans tous ces états le petit bonhomme.

Je fixer mon vit qui allait et venait dans le con de ma sœur se couvrant peut a peut de déjection vaginale blanche, cela me donna juste le goût de me faire mettre moi aussi. Mon sexe, enserrer par les lanières de cuire en dégoûtait le long de mes cuisses. J’espérais que le nain vienne se placer derrière moi pour me forcer a me pencher sur la sœur et me mettre bien profond. Mais au lieu de ça il dit :

-Encule la, esclave.

J’obéis sans rechigner en sortant mon pouce du cul de ma sœur pour ensuite y laisser tomber plein de salive puis je sortis le gode de son vagin pour en placer le gland sur l’anus en poussant lentement, le renfonçant. Ma sœur se raidit un peu quand le gland noir étira l’anus avant d’y disparaître. Je pousser plus fort tandis que la bite noir s’enfonçait jusqu’aux couilles. Une fois le gode bien au fond, je me remis à bouger lentement en la reprenant par les hanches. Jeanne avait glissé la main gauche entre ses cuisses et se branlait à présent comme on le faisait à chaque fois qu’un homme nous sodomisait.

Tout en baisant Jeanne a un bon rythme entre les fesses ce qui faisait rebondir nos gros seins, je me mis à réfléchir à ce jeu des plus excitant. Sacrée Marie, me dis-je tout en me demandant s’il y avait vraiment des montres derrière cette fichue toile. Sûrement pas, décidai-je. Probablement juste des tas d’inviter qui allait bien rigoler quand on allait franchir le rideau noir au centre de la toile avec un nain nous tenant en laisse. On allait sans doute être le jouet toutes les deux des invités. Tout de même, toutes ses illustrations que je regardais me donnaient la chair de poule tout en excitant mon imagination au possible. Je me demandais si de tels êtres pouvaient vraiment exister, surtout l’homme à trois jambes avec deux sexes ; l’un pour le vagin et l’autre pour l’anus. Mais jamais je n’avais entendu parler d’un cirque de monstre, Marie avait dû inventer ça de toute pièce. Et pourtant, jamais je n’avais vu de nain par ici. Elle avait du le faire venir de Paris a mes frais, évidemment, et le bougre ne le regrettait visiblement pas a le voir grimacer et râler de plaisir.

Je sortis de ma rêverie pour regarder ma sœur avec envie tellement la bite du nain me tentait. Son sexe était de bonne taille et courber vers le haut et ma sœur le léchait, l’embrassait le mordillait et le ravalait pour le pomper avec force en le masturbant. Elle arrivait a reprendre son souffle maintenant et savait y faire mieux que moi pour ces petits jeux de bouche, je l’avoue. Le pauvre homme en avait déjà les yeux tout croche en me regardant autant baiser ma sœur que les lèvres de celle-ci allantes et venantes sur sa belle queue au gland rougie. Nul doute qu’il était sur le point d’exploser. Du moins, c’est ce que je pensais, mais soudain, il dit :

-Viens l’aider toi, allez, grouille.
-Oh ! se plaignit ma sœur en frottant la bite du nain contre son visage, j’allais jouir.
-Tu n’es pas la pour prendre du plaisir, mais en donner, la sermonna le petit homme en la forçant a le ravaler.

« Comme si elle avait besoin d’aide de toute façon ma chère sœur, me dis-je. »

Évidemment, l’idée de se faire sucer par des jumelles le faisait sans doute fantasmer terriblement, alors… Je sortis le gode lentement du cul de ma sœur pour aller prendre la bite du nain et la sortir de la bouche de Jeanne. Le gland était tout rouge et dégoulinant de salive. Je la gober complètement avant de donner de la tête a mon tour en salivant encore plus sentant son gland glisser entre ma langue et mon palais tandis que mes gros seins se balançaient en se frappant. Jeanne pencha alors la tête pour gober ses couilles un moment en me caressant les seins, pour ensuite lécher la hampe et me reprendre la bite comme si c’était une vile compétition en me faisant un clin d’œil. Je me coller contre elle, joue contre joue, en pressant le scrotum durcit du nain et on se mit a agacé le gland a deux de la langue pour ensuite lécher la hampe tout du long lui manger les couilles nez à nez en le branlant tandis qu’il jubilait en nous caressant la tête. Puis, on ramena nos lèvres au gland pour lui pomper la bite a tour se rôle avidement comme si on jouait a qui allait recevoir son foutre en bouche, a qui aurais la chance d’avaler la semence du nain. On se donnait même de petits coups d’épaule en riant se volant la bite. Quand le pauvre petit homme se tortilla presque a tombé de son banc, les couilles rentrer par en dedans en disant qu’il allait venir, ce fut ma sœur qui remporta la compétition, elle venait tout juste de me la sortir de la bouche pour la reprendre. Tout sourire, je lui fis un clin d’œil en masturbant plus fortement la hampe glissante de salive pour le branler rapidement tandis que Jeanne me faisait les gros yeux les lèvres arrondit juste sous le gland. Sous mes doigts, je sentais la peau mince glisser sur les muscles durs et gonfler, puis je sentis le sperme monter par le gros canal sous la hampe et ce fut l’explosion. Ma sœur sursauta un peu en écarquillant les yeux au premier jet. Le nain cracha son sperme en gémissant de plaisir, le dos arquer, les jambes flageolantes. Il faillit même en tomber de son banc le pauvre, je du le retenir de ma main libre par ces petites fesses dures. Je regarder ma sœur avaler le foutre jusqu’à la fin. Puis elle lâcha le gland pour s’essuyer la bouche pendant que je cueillais les dernières gouttes de foutres du bout de la langue. Un délicieux goût salé m’emplit la bouche. Me redressant je dis :

-Alors, ça vous a plus maître nain ?

Mais, il fut incapable de répondre occuper a reprendre son souffle en se la pressant.

-Ouf, fit Jeanne en se frottant le cul, sa pique. C’est gros ton affaire.
-Pauvre toi, dis-je amuser en lui tapant les fesses, on ta déjà passé bien plus gros que ça dans ce coin la.

Le petit homme, la face rougit, déglutit et fit oui finalement en secouant toujours ça bite rester dure. Des gouttes de sperme me tombèrent sur les seins. Ma sœur les lécha avec gourmandise avant de me frencher un moment. Puis on fixa le nain en attendant les ordres.

-Bien, mes belles impudente, c’était pas mal.

Il remonta son collant par-dessus ça bite toujours dure et descendit de son banc pour reprendre nos laisses d’une main pour ensuite écarter un voile noir qui servait de porte qu’il franchit en nous tirant derrière lui.

-Je vais vous amenez a Annie et Anette, elle va vous dire quoi faire.
-Elles vont nous dire quoi faire monsieur, le corrigeai-je gentiment en m’essuyant la bouche.

Il se contenta de sourire narquois qui me donna le frisson, sans que je ne sache vraiment pourquoi. On se retrouva dans une pièce au mur de toile peinte de scène d’orgie très réaliste, mais toujours avec des monstres. De petites lampes sur tripier nous éclairaient. Il semblait attendre quelque chose tandis qu’on admirait les fresques. Comme je ne voyais aucune issue, sauf celle par où on venait d’entrer j’en conclus que quelqu’un venait nous rejoindre ici.

-Seigneur, fit Jeanne en posant une main sur sa gorge, je ne pensais pas qu’un nain puisse décharger autant. Je boirais bien un peu de vin. Merci bien de m’avoir laissé tout avaler chère sœur.
-Ça ma toujours exciter de voir un gars te venir dans la bouche chère sœur. Wow, je ne sais pas qui est l’artiste qui a peint ça, mais il a du talent.
-Effectivement, fit le nain, l’homme-loup est un grand artiste. Ses œuvres se vendent à grand prix dans son pays loin au nord.
-L’homme-loup, dis-je septique.

Le nain se contenta de me regarder avec toujours son étrange sourire, puis fixa mes seins. Et soudain Jeanne étira le cou en pointant du doigt une fresque.

-Hey ! Regarde, mais c’est nous !

Je vis effectivement deux femmes très rondes prises en groupe, et c’était tous des monstres y compris l’homme-loup justement. Je me surpris à frissonner, car ses deux femmes nous ressemblaient vraiment trop.

-Moi, ça me fait un peut peur, pas toi ? fit Jeanne à mon oreille. Penses-tu que ta Marie a invité de vrais monstres à part eh… ?
-Honnêtement, je n’en ai aucune idée, murmurai-je. Que fait t’ont maintenant, on se sauve ?
-Non, mais en attendant si tu veux me baiser encore avec ton machin noir, te gène pas, mais par le vagin cette fois.
-Fermer la, fit le nain courroucer, sinon, je vais vous rougir les fesses moi mes gueuses. Vous êtes vraiment vicieuses toutes les deux. Et je ne suis pas un monstre je suis un maître nain… A, les voilà !

La toile devant nous s’ouvrit en deux comme un rideau de théâtre dévoilant un mur de brume opaque et verte, créé je ne sais trop comment, et qui commença est entré en rasant le sol, nous entourant les pieds tous d’abord avant de monter graduellement. Soudain, une vision incroyable se matérialisa devant nous sortant de cette brume, une vision qui me fit frissonner et presque dresser les cheveux. Une femme a deux têtes, nue elle aussi, avec un corps de déesse, mince et gracile et si grande que je dus lever le menton pour la regarder, encore plus que la sorcière. Une vraie de vraie femme à deux têtes, aucun doute possible. Des visages pas vilains sans être vraiment beau, mais identique, de vraie jumelle, mais avec un seul corps. Les deux avaient de longs cheveux tressés d’un noir corbeau. Je sentis mon cœur battre plus vite tout en m’apercevant que j’avais la bouche grande ouverte. Je la refermer tandis qu’un tas d’idée folle me passait par la tête, genre ; comment peut on vivre comme ça, ça doit être terrible. Je baissé les yeux un instant pour mieux regarder son corps au petit sein parfaitement rond. Aucune toison n’ornait son pubis, un pubis de gamine, elle s’épilait les jambes et le sexe. Les jambes c’était la nouvelle mode depuis deux ans a laquelle moi et Jeanne on avait adhéré tout de suite, ainsi que les aisselles, mais le sexe je n’avait rarement vu ça chez une femme de son âge. Je lui donnais dans la trentaine à voir les traits de leurs visages. Non seulement elle ne souriait pas, mais elle semblait mécontente de nous voir.

-Voici Annie et Annette, nous présenta le nain tout heureux en faisant la courbette, Annie est à gauche, Annette à droite, elles vont s’occuper de vous. Je vous conseille de leur obéir à la lettre.

Il leur tendit la laisse et les deux mains voulurent les prendre.

-Laisse, dit la tête de droite, je m’en occupe, le bras gauche retomba et le nain rajouta a l’intention du monstre :
-Celle qui a les cheveux tressés c’est une reine apparemment, elles sont mignonnes non ?
-Trop vieille même pour des jumelles, dit la tête gauche.
-Je trouve aussi fit la droite, mais bon, elle on de gros seins, les hommes adorent ça, on s’en occupe. Amenez-vous les jumelles ?

Le nain retourna sans doute vers son banc tandis que l’étrange femme à deux têtes nous entraînait avec elle sans ménagement dans la brume en tournant à droite. En fait, elle nous arracha quasiment la tête. J’avais l’étrange impression d’entrer dans un autre monde, mais chez moi. Mais ou était donc ma salle de bal et les invités ? Peut-être que je dormais encore finalement. Mais, le plancher de marbre invisible semblait pourtant bien solide sous mes pieds nus et aussi froid que d’habitude même en été ! Moi et Jeanne on se regarda vraiment troubler toutes les deux, mais on se voyait à peine. Je me rapprocher d’elle et juste à voir le regard de ma sœur en lui prenant la main, je compris qu’elle pensait la même chose que moi ; si elle existe, alors… probablement que les autres aussi. Seigneur !

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