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Punie très sévèrement 3

Punie très sévèrement 3



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En enfer pour la troisième fois (3)

Premier dimanche (suite)
Le quatrième homme prénommé Antoine est déclaré vainqueur du concours et dit à Mathieu qu’il passera l’après-midi du mardi avec moi pour faire l’amour si ça me convient.
Mon bourreau s’adresse à moi:
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Aussitôt ils se ruent sur moi.
Pendant que à genoux je masturbe et suce les queues qui ne sont pas en érection pendant ce temps on pénètre ma chatte ou mon cul.
Mathieu intervient:
<Je me retrouve à genoux avec un homme allongé sous moi sa queue plantée dans ma chatte, un autre a investi mon cul, les deux hommes remuent en cadence pendant que je suce une autre verge.
Je commence à aimer être prise ainsi, les sensations sont plus fortes et le plaisir monte plus vite dans mon ventre.
Je gémis de plus en plus mais les sons sont atténués car un pénis est en permanence enfoncé dans ma bouche.
Je m’aperçois qu’ils échangent leurs places sans forcement éjaculer ce qui fait que je jouis une première fois puis j’ai des orgasmes de plus en plus rapprochés avant de rester seule inerte à récupérer car tous les combattants après avoir bien profité de mon corps sont à cours de munitions et ont quitté les lieux.

Je me nettoie au lavabo puis un homme vient me chercher et tenue en laisse je gagne le salon.
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Quelques minutes après les deux hommes qui étaient sortis reviennent portant le tube qui va servir à me pendre comme un gros gibier que l’on vient d’abattre à la chasse.
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Il me bâillonne avec la muselière munie d’une boule qu’il introduit sans ménagement dans ma bouche.
Ils accrochent les anneaux de mes bracelets en cuir sur les crochets fixés sur le tube.
A plusieurs ils soulèvent l’engin et je me retrouve suspendue avec des douleurs difficilement supportables. Rapidement je me mets à pleurer.
Ils me transportent à l’extérieur et posent le tube sur les crochets fixés sur les deux piquets plantés dans le sol puis s’en vont en riant et se moquant de moi pendant que je reste suspendue les bras et les jambes distendues par le poids de mon corps, j’évite de bouger pour ne pas amplifier la douleur.

Beaucoup plus tard les hommes reviennent, à leur comportement je constate qu’ils ont bien profité des boissons alcoolisées.
Ils glissent un plaid sous moi et posent le tube acier sur des crochets situés plus bas, mon ventre touche de nouveau le sol mais je suis en très mauvaise posture pour dormir.

Mon maître m’apporte mon repas, il enlève la muselière et libère mes poignets, vu ma position il ne m’est pas facile de manger.
De nouveau bâillonnée et les bracelets des poignets accrochés au tube métallique il libère mes chevilles et se positionne entre mes jambes, il sort sa grosse queue et veut me la mettre dans l’anus mais il rate plusieurs fois la cible et peste contre moi et me frappe.
Enfin le pénis bute contre mon orifice, d’un violent coup de reins il coulisse dans mon cul qui ne s’est pas refermé après la séance que j’ai subie avec les cinq hommes.
Les mains agrippées à mes hanches il donne des grands coups de reins pour faire aller et venir sa verge dans mon anus.
Comme lui aussi a bien profité de l’alcool il a du mal à conclure et oeuvre longtemps tout en m’insultant, me tirant les cheveux et me donnant des claques violentes sur les fesses et les cuisses.
Quand enfin il éjacule arrosant mes intestins il reste un moment vautré sur moi avant de se relever et de rattacher sans précautions mes chevilles au tube.
Je dors très mal à cause de la position dans laquelle je suis et de la douleur et puis je n’ai pas très chaud.

Premier lundi de captivité
De bonne heure mon maître me libère de la position très inconfortable dans laquelle j’ai passée la nuit.
Il m’enchaîne et me ramène dans la cuisine ou je déjeune après lui avoir fait sa pipe matinale et avalé son sperme.

Il m’explique ce qui va m’arriver: lundi et jeudi ménage chez Amandine (ce qui ne va pas être de tout repos la connaissant).
Mardi et vendredi ménage chez lui.
Mercredi visite chez Jacques qui m’a louée pour la matinée puis l’après-midi je dois récompenser le vieux jardinier.
Sans compter dans la journée ou la soirée des hommes qui viennent profiter de mon corps à n’importe quel moment après s’être mis d’accord pour les conditions avec mon maître.
Il dit que ma réputation de femme dépravée et soumise qui accepte tout des mâles est de plus en plus connue avec le bouche à oreille, que je suis l’objet de beaucoup de conversations et le sujet de plaisanteries graveleuses.

Une fois ma toilette matinale faite, bâillonnée et enchaînée Mathieu m’attache par le collier à un lampadaire au bord de l’allée qui va de la grille à la maison puis il sort sa voiture et part travailler.
Je patiente debout avec peu de liberté de mouvements.

Amandine apparaît.
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Elle me libère de toutes mes entraves, même du collier et des bracelets de cuir puis fouille dans un sac que mon maître avait posé à coté de moi. Elle en sort ma robe et mes escarpins, je m’habille.
Elle met mes bracelets et le collier dans le sac qui contient aussi des menottes et un bâillon.
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Nous sortons de la propriété et marchons dans la rue.
Je dois saluer toutes les personnes que nous croisons adultes et enfants.
Elle me présente à des personnes rencontrées comme étant une cousine de Mathieu qui à le cerveau dérangé, qui agit bizarrement et qui a besoin d’être toujours surveillée.
Nous arrivons devant une bâtisse ancienne très bien rénovée, nous entrons dans la cour puis dans la maison ou un labrador couleur sable à poils ras répondant au nom de Max nous accueille.
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je m’exécute puis je me retrouve avec dans la bouche une boule qui gonfle quand on tourne une vis.
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J’hésite, je ne vais pas sortir nue. Voyant que je ne bouge pas elle me gifle.
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Je sors, en rasant les murs je vais dans le cabanon et en reviens avec des loques, un seau et des balais.Je suis à peine revenue qu’une femme crie dans la rue. Amandine sort.
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De retour dans la pièce Amandine est furibonde.
<<à cause de toi j'ai la honte, tu vas être punie, mets toi à genoux>>.
Je me positionne à genoux les bras croisés sur le sol et la tête posée sur ceux-ci, j’attends la suite qui ne me déçoit pas.
Une volée de claques s’abat sur mes fesses. Elle me frappe sans retenue et me fait très mal, je sursaute à chaque coup et essaie de ne pas bouger, de grosses larmes coulent de mes yeux.
Quand elle cesse de me frapper mes fesses me cuisent et sont bien rouges.

Je balaie le sol, ensuite à genoux je lave puis je passe la serpillière
Le chien me suit tout le temps, renifle mon cul, me le lèche et essaye de grimper sur moi, j’essaie de l’empêcher de mettre sa truffe entre mes fesses mais menaçante Amandine me demande de le laisser tranquille et de m’appliquer dans mon travail.
Ensuite je fais les poussières, comme elle n’est jamais contente de mon travail je ramasse souvent des coups de torchon.

Le ménage terminé je suis Amandine dans sa chambre, je la déshabille en essayant de me désintéresser de son physique peu appétissant.
Elle s’allonge sur le lit, je l’embrasse, sa langue se mêle à la mienne, j’essaie d’écourter le baiser mais elle en redemande.
Je caresse, embrasse et lèche ses seins plats aux aréoles poilues, son ventre et son entre-jambes puis ma bouche et ma langue s’attaquent à sa chatte et son clitoris après avoir écartés au mieux les poils de sa toison abondante et très étendue sur le ventre et même le haut des cuisses. Pendant ce temps j’introduis un doigt dans son anus.
Ma langue fouille son vagin malodorant et quand je la sens bien échauffée je doigte sa chatte et masturbe son clitoris avec vigueur.
Elle a un premier orgasme, je la doigte énergiquement et j’accélère la masturbation de son clitoris pour obtenir des jouissances plus rapides.
Quand je vois qu’elle a perdu sa lucidité j’attends debout au pied du lit qu’elle émerge pour la rhabiller.

De retour dans la cuisine je dois m’asseoir sur le sol dos au mur, jambes écartées.j’ai ordre de me doigter et me masturber. En me forçant à penser à certaines choses je réussis à avoir un orgasme et la mouillure qui s’échappe de mon vagin fait une tache sur le sol.
Quand j’ai réussi à me faire jouir Amandine att**** le chien par son collier, l’approche de moi et écartant d’une main mes cuisses met son museau contre mon sexe.
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Attiré par l’odeur qui se dégage de mon intimité bien humide Max me renifle, je le repousse.
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Max qui s’était reculé quand elle m’a frappée revient me sentir.
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Je regarde et stupéfaite je constate qu’il est en érection.
C’est la première fois que je vois la bite d’un chien, elle est assez longue, d’un bon diamètre et de couleur allant du rose au violacé.
Il n’a pas l’air de vouloir s’arrêter de m’ennuyer, j’ai peur qu’il passe à autre chose mais quand Amandine pose son écuelle pleine de nourriture dans un coin de la pièce il se détourne de moi après avoir hésité.

Mon repas est posé à coté de moi et je commence à manger mais Max qui a englouti rapidement sa part met le museau dans mon assiette et dévore rapidement la mienne.

Après avoir fait un peu de toilette je remets ma robe et mes chaussures puis c’est le retour chez Mathieu, je suis désorientée par l’attitude de Amandine.
En route nous croisons deux hommes qui discutent devant un bar, il m’ont déjà sautée plusieurs fois mais ils font semblant de ne pas me connaître.
Dans la propriété de mon bourreau nous arrivons à l’endroit ou mes chaînes sont restées sur le sol de l’allée.
De nouveau nue Amandine m’affuble de mon gros collier, des bracelets en cuir puis y accroche les grosses chaînes et enfin elle me met la muselière/bâillon.
Me tirant par la laisse elle m’amène à l’endroit ou le palan est accroché à une branche d’arbre.
Elle accroche ma laisse au crochet du palan qu’elle actionne, je garde une liberté de mouvements.
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Je n’ai pas longtemps à attendre et je comprends ce quelle voulait dire, deux hommes viennent dans ma direction certainement pas pour me faire la causette.
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Je hoche la tête pour dire oui.
<<ça ne te déranges pas si j'ai amené un copain qui a envie de te sauter>>.
Avec la tête je montre que je suis d’accord.
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je fais signe que non.
Ils me débarrassent de la muselière et des chaînes mais ma laisse reste accrochée au palan.
Ils sortent leur pénis du pantalon et penchée en avant pendant que je fais une fellation à l’un, l’autre pénètre ma chatte en levrette et me la défonce.
Ils commentent sans se soucier de ma présence.
Excités il ne leur faut pas longtemps pour arroser ma gorge et mon vagin.
Ils inversent leur place et les va-et-vient des queues dans ma chatte et ma bouche reprennent et durent plus longtemps avant que de nouveau ils n’éjaculent dans l’orifice qu’ils occupent.
A leur demande je dois masturber et sucer leur verge gluante pour les faire rebander.
Le premier qui est de nouveau en érection me met à genoux et se place derrière moi, sa queue bute dans la raie de mes fesses et la dirigeant avec une main il la positionne contre mon anus. S’agrippant à mes cuisses il donne un coup de reins et son membre pénètre dans mon cul, il pousse jusqu’à ce que son ventre bute contre mes fesses puis les va-et-vient de sa queue en moi commencent et vont en s’accélérant.
<<ça c'est bon, Mathieu avait raison quand il m'a dit que c'est encore meilleur de t'enculer>>.
Son compère prend sa place et me défonce le cul pendant un moment puis ils se relaient sans atteindre le moment fatidique. Ils parlent entre-eux appréciant ce qu’ils me font et disant qu’ils n’ont pas l’habitude de faire avec leurs épouses et que c’est bien de pouvoir disposer du cul d’une grosse putain comme moi.
Quand enfin ils arrosent mes intestins de leur sperme mon anus doit ressembler à une bouche de métro.
Ils me remettent les chaînes et la muselière et actionnent le palan pour que je ne garde qu’un minimum de liberté de mouvements. Ensuite ils disparaissent de ma vue après m’avoir dit que comme vide-couilles on ne faisait pas mieux que moi.

J’attends que mon maître vienne me chercher.
Il m’amène chez lui et me sodomise avant de manger à genoux mon assiette posée sur le sol puis entravée.
Ensuite réduite au silence et enchaînée, je patiente à genoux à ses pieds.
Ensuite je passe la nuit dehors sur la paille, couchée sur le ventre les jambes repliées, les bras tirés en arrière, les chevilles et poignets attachés ensemble: encore une drôle de position pour dormir mais je suis là pour souffrir.

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