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La visite inattendue….

La visite inattendue….



Souvenir de l’été 1975….

Nous sommes au mois d’Août 1975, j’ai 22 ans.
C’était l’un de ces soirs de chaleur caniculaire, comme nous pouvons les avoir ici, en Belgique…. Il y fait mauvais temps, souvent, et quand il fait chaud, il fait très vite très chaud, trop chaud….. une chaleur moite, humide et lourde…..
Célibataire à cette époque, j’étais sorti avec une bande de copains ce soir-là, nous étions allés manger dans un restaurant à Waterloo, puis nous sommes allés boire un verre dans un bar sympa, écouter de la musique, discuter, déconner un peu…
Vers minuit trente, je lève le camp et je prends la route pour rentrer chez moi, à quelques kilomètres de là, à Linkebeeek.
Je prends un raccourci à travers la commune de Rhodes Saint Genèse, par les petites routes et les quartiers des belles villas de cette très riche périphérie bruxelloise.
Le hasard veut que, ce faisant, je passe devant la villa de Anne W….
Anne est la cousine de mon meilleur ami d’enfance, Eric.
C’est une très belle et très séduisante jeune femme de 42 ans. Toute menue, 1m60 et 50kg toute mouillée… Une jolie rousse aux yeux verts, pétillante, drôle, toute en intelligence, en finesse…. toute en muscles aussi…. Elle a une silhouette superbe : petite poitrine, cuisses fuselées, taille fine, hanches larges, une cambrure de reins digne d’une femme Bantoue, des fesses de rêve…
Joliment mariée au patron d’un gros laboratoire pharmaceutique, deux enfants – une fille universitaire, et un garçon de 15ans – cette fille d’un père ingénieur polytechnicien et d’une mère enseignante vit une existence « conforme », paisible… Jusqu’au mois d’octobre 1974…. Un jour de ce funeste mois, son fils, 15 ans, part à vélo un mercredi après-midi pour se rendre chez son meilleurs ami.
Il sera fauché et tué sur le coup par un chauffard, ivre, qui a brûlé un feu rouge….
Anne est – vous l’imaginez bien – complètement dévastée, la famille effondrée, détruite par le chagrin.
Et là, tout s’effondre… Son mari – qui devait la tromper depuis longtemps – la quitte…. Leur couple ne résiste pas à ce séisme…
Elle vit donc seule avec sa fille, et elle rame…
Quelques semaines avant cette soirée, mon ami Eric et moi devions convoyer un voilier en Méditerranée, d’Ibiza à Porquerolle.
Eric me demande si ça me dérange que nous prenions sa cousine Anne avec nous, pour lui changer les idées pendant une semaine. Je suis évidemment d’accord. Et Anne, boule de tristesse, viendra avec nous faire cette navigation, et le trajet aller-retour depuis Bruxelles.
Je ne la connaissais pas bien, je la trouvais un peu trop « agitée », un peu hystérique, beaucoup dans le « donner à voir »… elle m’agaçait un peu, pour tout dire. Au cours de ce long voyage, et de ce convoyage, j’ai découvert une belle âme, sensible, gentille, avide de comprendre ce qui lui arrivait…. De longues conversations, un peu « psy », analytiques…. Nous avons, sous les étoiles de la méditerranée, revisité toute sa vie, ses joies, ses chagrins, ses réussites, ses échecs, la vie, la mort….J’en parlais d’autant plus à l’aise que j’avais perdu mon père un an auparavant.
Et puis, ma foi, le convoyage terminé, tout le monde est retourné vers sa vie et sa solitude, mais enrichi, quelque part…..
Ce soir-là, donc, le hasard pousse mes pneus devant sa maison…. Il fait nuit noire, mais la lumière est allumée à l’étage, à la fenêtre qui donne sur le balcon devant la chambre à coucher d’Anne….
Je ralentis ma Golf GTI noire, je me penche à la fenêtre, et à ma grande surprise, les tentures s’écartent et je vois le visage d’Anne derrière la fenêtre…. Elle scrute l’obscurité, voit ma voiture, la reconnait (nous avions fait le voyage vers Ibiza dans ma voiture, et le retour de Porquerolles aussi), et soudain, elle me fait signe, ouvre précipitamment la fenêtre… je m’arrête, je me penche à la vitre de la voiture, et Anne m’interroge : « Martin ?!?…. C’est toi ? Viens ! Viens vite !… » m’ordonna-t-elle… « Et mets ta voiture dans l’entrée de garage, qu’on la voit de la rue !! »
Je ne comprends pas trop ce qui se passe, mais je lui fais confiance…. Il doit se passer quelque chose… Je parque ma voiture dans son entrée de garage comme elle me l’a demandé, je la ferme, et je me dirige vers la porte d’entrée de cette maison que je connais pour y être venu auparavant, quelque fois….
Anne ouvre prestement la porte, et m’intime un « Entre !! » qui est un ordre…
Elle me prend dans ses bras, tendrement, m’embrasse sur la joue, et me dit « Oh…Martin, tu ne peux pas savoir comme je suis contente que tu sois là… »… elle est vraiment fébrile, une boule de nervosité…
Et là, elle me raconte…. Elle me raconte que depuis le départ de son mari, plein d’hommes, mariés ou non, gravitent autour d’elle, comme des vautours autour d’une proie… ça l’indispose, la dérange, la choque…. Elle se sent réduite au statut d’unique objet de désir, purement sexuel, de la chair à canon… Et ce soir-là, elle me raconte que « F.M. » un ami de la famille, un homme de 60 ans, médecin, pédiatre, le pédiatre de ses enfants, marié, des enfants jeunes (chez qui je faisais du baby-sitting, de temps à autres….) la harcelait véritablement…. Il tournait autour de sa maison, quadrillait le quartier au volant de sa Saab bleue marine, et passait, repassait devant sa maison, s’arrêtait, sonnait à la porte…. Qu’elle n’ouvrait évidemment pas…
Elle me dit: « tu comprends pourquoi je t’ai demandé de parquer ta voiture devant la maison, maintenant ? Si François voit une voiture, il n’osera plus m’importuner…. »
Je commence à comprendre son extrême agitation…..
Il fait une chaleur de gueux, ce soir-là, et Anne est à peine vêtue…. Elle porte une sorte de « Baby Doll » blanc, très transparent, un pantalon « corsaire », bouffant, et un tout petit « top » qui laisse apparaître son ventre plat et musclé… je devine derrière la transparence de ce fin tissu les auréoles de ses mamelons foncés, la toison naturelle de son pubis…. La situation est très érotique, je trouve…. Et ça me plaît !
Nous parlons beaucoup, d’elle, de ce qui s’est passé depuis le convoyage du voilier, de sa fille, de son chagrin, de son sentiment de culpabilité par rapport à la mort de son fils… -elle m’offre à boire…
Régulièrement, les phares de la Saab bleue marine passent devant la maison, ralentissent, et repartent…
Anne me dit : « bouh…. Je n’en peux plus, tu sais… Tu veux bien rester là, avec moi, cette nuit, Martin ?… J’ai si peur, tu sais… et je me sens si bien avec toi…Reste stp…. »
J’hésite un peu, je me sens mal à l’aise… mais, personne ne m’attend, je suis libre comme le vent, elle a l’air si perdue, sincère…. Je lui dit « OK, je reste…. Mais, viens… éteignons les lumières… Il faut que François s’en aille, qu’il comprenne qu’il y a quelqu’un chez toi…. »
Nous éteignons les lumières au rez-de-chaussée, et Anne me précède vers les chambres de l’étage…. Sa fille loge à l’Université Libre de Bruxelles, elle est seule dans sa maison ce soir-là…
Je marche derrière elle, et je ne peux détacher mon regard de sa taille fine, musclée…. de ses hanches rondes et galbées… de ses jolies fesses, cambrées, qui bougent sous le très fin, et très transparent tissu de ce très sexy « baby-doll »…. Dans l’escalier, la vision qu’elle m’offre, même dans la pénombre, est affolante… je vois ses fesses, le pli entre ses fesses trace une ligne sombre sous le tissus blanc, et je devine un tache plus sombre, là, dessous…. La toison foncée qui recouvre sa p’tite chatte…..
Anne m’emmène dans sa chambre, tire les tentures devant la fenêtre ouverte pour laisser entrer un eu d’air dans cette soirée moite…. Elle s’étend sur son lit, nonchalante, sur le côté et elle m’invite à venir près d’elle pour continuer cette conversation, très importante, commencée en bas….
Le ballet de la Saab semble avoir pris fin, dehors… Anne se détend, enfin….
Nous parlons d’elle, de son mari, de ses enfants, de sa difficulté à surmonter toutes ces épreuves…..
A un moment donné, elle bouge son bras pour recoiffer ses longs cheveux roux, et le top de son « Baby-Doll » s’entre ouvre et laisse échapper un sein… un joli petit sein, tout menu, auréolé d’un large mamelon de couleur foncée au centre duquel se trouvait un petit téton, tout doux, menu, lui aussi…. Elle est confuse, un peu gênée, elle a vu mon regard se poser, là…
Elle remonte son petit top, maladroitement, pour tenter de cacher ce sein que je ne saurais voir…. Et elle me dit : « Pffffff…. Il fait chaud, trop chaud, ce soir…. »… « excuse-moi », me dit-elle…. « Ca ne te dérange pas ? » ….. « Non, c’est très joli…. » lui dis-je…. et sans plus dire un mot, j’écarte doucement le fin tissu qui sépare mon regard de cette jolie poitrine qui a nourri deux enfants… petite, ferme, mais qui porte les traces d’une vie de femme et de mère…. Et tout doucement, je pose ma main sur ce joli sein qui s’échappe… Elle laisse échapper un « Hummmmm…. Tu es gentil…c’est doux… c’est bon….. » et elle preend tendrement mon visage entre ses mains, et elle m’embrasse, très gentiment, tendrement…
Ouh…..
Je l’embrasse, avec prudence, avec respect, presque craintif… j’ai peur de sa réaction, même si je sens comme une invitation….
Elle passe un bras autour de mes épaules, sa main se pose sur ma nuque et me tire vers elle pour un baiser qui dure, qui dure….
Nous sommes trempés, en nage, tellement il fait chaud cette nuit-là….
Anne passe sa main sur mon torse qui est trempé, je dégouline de transpiration salée… Elle pose ses lèvres sur ma bouche, sur mon menton, dans mon cou en déboutonnant ma chemise…. Et elle descend sur mon torse, elle m’embrasse, elle lèche ma peau trempée, sa bouche, sa langue s’égarent sur mes mamelons, si sensibles… je gémis doucement, tellement c’est doux…
Anne me dit alors, le plus naturellement du monde : « Tu veux prendre un bain ? »… Un peu surpris, je lui dis, timidement « euh…. oui… je veux bien….» (elle a 20 ans de plus que moi, hein…..)
Elle va dans la salle de bain qui jouxte sa jolie chambre, elle fait couler un bain, tiède, avec du savon de bain parfumé…. Puis, elle vient vers moi, passe ses mains autour de ma taille, tend ses lèvres vers ma bouche et me dit « Reste, Martin… Reste avec moi….. jusqu’à demain… Je me sens si bien avec toi…. Je me sens femme, à nouveau… reste avec moi, s’il te plait….»
Le plus naturellement du monde, elle se déshabille…. Je fais de même…. On s’était déjà vu nus sur le voilier, la promiscuité sur les petits voiliers fait s’envoler certaines pudeurs….
Je me glisse le premier dans sa grande baignoire, elle me rejoint et s’assied en face de moi dans l’eau tiède… je la regarde….elle est vraiment très belle, très douce, parfois il y a des éclats très pétillants dans ses yeux, pleins de malice… je pense que la situation l’amuse…
Elle se met debout dans la baignoire, se tourne et se penche en avant pour saisir le flacon de savon pour le bain…. Je devine dans la pénombre, là sous ses jolies fesses les très longues petites lèvres de sa chatte qui dépassent de sa toison….mmmmm…. c’est très érotique, et très excitant….
Elle se savonne, et je la regarde…. Je regarde ses mains… je me lève dans le bain, je prends du savon, et j’en passe sur ses épaules, son dos, ses fesses, l’arrière de ses cuisses…. Elle se laisse faire…
Je me savonne sous ses yeux, mon sexe est tendu, dur, gonflé d’excitation….elle le regarde avec envie….
Je m’assieds dans la baignoire, et je lui dit « Viens, Anne…. »….
Elle s’assied entre mes cuisses, pose son dos contre mon torse et laisse aller sa tête en arrière sur mon épaule, avec nonchalance, mon sexe tout dur contre son dos….
Je la prends dans mes bras…une main sur sa poitrine, l’autre sur son ventre…. On parle, on est bien… elle laisse échapper un long soupir….hummmm… Elle pose ses mains sur les miennes, alors que je caresse doucement le sein prisonnier de ma main, et le galbe de son ventre… sa main droite prend la mienne, celle qui était posée sur son ventre, et elle la fait glisser, elle la fait doucement descendre, elle la guide, doucement mais fermement, avec détermination…. Je sens sous mes doigts la douceur de sa toison….Anne a une toison pubienne naturelle, avec de longs poils châtains foncés qui viennent masquer son sexe, ses plis, et ses replis, cette jolie fente, ces drapés… Elle écarte lentement ses cuisses en guidant ma main….
Sous le bout de mes doigts sensibles, je sens son pubis, rond, et doux…. Des grosses lèvres de son sexe presque absentes, dépassent son clitoris, long et volumineux et ses petites lèvres, longues, fines comme de la dentelle… étrangement souples et froides… à la texture un peu étrange…
Mes doigts l’explorent tout doucement…. Je suis surpris par la texture des petites lèvres que j’écarte, et par ce clitoris volumineux, long, gonflé… Anne s’abandonne à mes caresses, sa tête renversée sur mon épaule, les yeux clos…. Sa main guide mes doigts sur son clitoris, alternant en gémissant les mouvements en long, et des mouvements de côté, et des mouvements circulaires sur ce gros bouton allongé… hummm….Ca m’excite, tout ça, elle aussi…. Et mon sexe gonflé se presse contre son dos…. Elle ne peut pas ne pas le sentir…. Elle ondule, son bassin roule, sa main maintien la mienne sur son bouton qui durci et gonfle encore… son majeur pousse le mien entre ses lèvres, là, juste à l’entrée de son vagin qui s’ouvre et coule sur mon doigt…..
Je lui dis « Viens ! »…. Je me lève dans la baignoire, elle me suit…. On s’essuie à peine pour garder cette eau fraîche qui nous refroidis sur notre peau, et je la prends par la main, je l’entraine vers sa chambre, et son lit…. Je la fais se coucher sur le dos, et je me place à genoux entre ses cuisses, mes mains sur ses seins, son ventre, ses cuisses… elle se cambre, s’arque en arrière sous mes caresses, me tend son pubis vers ma bouche en se soulevant sur ses pieds…. J’ai posé ma bouche sur son ventre, je fais glisser mes lèvres sur sa peau, je lèche les gouttes d’eau qui perlent ça et là… avant de chercher entre ses cuisses, entre ses lèvres un autre liquide clair… Dès que j’ai eu posé ma bouche, et mes lèvres sur sa p’tite chatte, Anne a pris mon visage entre ses deux mains et elle me maintient là, elle me guide, doucement, mais clairement, sur ce qu’elle veut, et où elle le veut….. Elle bouge son bassin sur ma bouche de haut en bas, et avec ses mains, elle fait aller mon visage de gauche à droite sur son clitoris qui gonfle encore sous mes caresses et ma langue…. Parfois elle se tend, et fait monter son sexe sur ma bouche jusqu’à ce que l’entrée de son vagin soit sur ma bouche…. J’y fais entrer et ressortir ma langue, comme le ferait un doigt, ou un sexe d’homme…Je pose mes mains sur ses seins, et je saisi ses deux tétons entre mon pouce, et mon index et je les fais rouler entre mes doigts . …..
Anne se tend de plus en plus fort…. Une tension énorme, perceptible jusque dans son clitoris entre mes lèvres… Elle se cambre, gonfle son ventre, et dans un long cri, ses ongles plantés dans mon cuir chevelu, elle jouit…. Longtemps, amplement….Elle presse mon visage contre son ventre, me tire vers elle, vers son visage, elle m’embrasse presque sauvagement en gémissant longuement….
Je la prends dans mes bras, je me tourne et me couche sur le dos, je la place sur moi, à califourchon…. Elle sent mon sexe tout dur, tendu contre son ventre et son pubis… je sens son bassin animé de mouvement de bascule…. Elle glisse sur mon sexe… je sens son sexe glisser sur le mien…. Je sens sa main se faufiler entre nos deux ventres, se saisir de ma queue, elle le saisi dans sa main et le glisse dans sa chatte… c’est voluptueusement doux, comme sensation, de sentir mon sexe enveloppé de sa moiteur….
Anne se redresse, pose ses deux mains sur ma poitrine et dans un long soupir s’empale sur ma queue tendue en elle….. et alors là…. Bon sang ! …. alors là cette jolie et douce femme de 42 ans s’est transformée en véritable petit a****l sauvage, en un être avide de sexe et de jouir… Elle s’est mise à bouger sur moi, lentement d’abord, puis de plus en plus fort, de plus en plus vite…. De haut en bas sur la tige de mon sexe, et son bassin ondulait d’avant en arrière avec une presque sauvagerie…. Je le sentais presser son pubis et son clitoris sur mon pubis, les mouvements de son bassin faisaient glisser son énorme clitoris dans mes poils….. Ses mouvements étaient parfois si intenses et brutaux que ma queue était presque pliée en elle, à la limite de la douleur… je sentais les parois de son vagin se presser intensément autour de mon sexe…. J’avais posé mes mains sur ses hanches, et parfois, ma bouche se posait sur l’un de ses seins….. quand elle ne bougeait pas trop !!!
Et puis, encore une fois, Anne s’est cambrée à fond… sa tête renversée en arrière…. Et dans un long hurlement, rythmé par les mouvement de son bassin sur ma queue toujours tendue en elle, elle a jouit, mais jouit…. Si fort, si fort….
Elle s’est effondrée sur mon torse, tenant mon visage entre ses mains, et me couvrait de petits baisers … et de « merci…. merci….. merci… Martin…. Tu me fais tellement de bien….. Et tu sais, tu es un amant merveilleux….. La plupart des hommes que j’ai connus ne peuvent se retenir quand je m’agite sur eux comme ça, et jouissent avant que j’ai pu jouir moi-même…. C’est très décevant, et très frustrant, tu sais … hummm… merci Martin, merci…. Dis-moi… comment veux-tu jouir, toi ? dis-moi…. »
Je lui dit que j’ai envie de la prendre en levrette, elle à quatre pattes sur le lit, et moi derrière elle…..
En me décochant un sourire ravageur, ses yeux verts d’eau plantés dans les miens, Anne se tourne, se place à quatre pattes sur le lit, me tend sa croupe insensée, ronde, cambrée, bantoue, la taille hyper-fine, les hanches et les fesses rondes…. Elle écarte les cuisses, et me tend sa chatte ouverte, recouverte de poils, d’où dépassent deux longues lèvres, fines, dentelées, souples, douces, et froides… étrange, vraiment…..
Je pose mes mains sur ses hanches, sa taille…. Et mon sexe tendu entre en elle, dans son sexe largement offert….
Ce très érotique spectacle va m’achever…. Le fait de voir cette si féminine vision de cette taille cintrée, fine, étroite, qui se raccorde à ses hanches rondes, cambrées, à ses fesses splendides, rondes, et fermes…. Et mon sexe tendu qui coulisse en elle…. Et elle qui sous mes pénétrations reprend son ballet de mouvements…. Son bassin qui bouge… d’avant en arrière… vient à ma rencontre…. Se cambre et ondule sur ma queue…. Affolant….
Puis, c’est elle qui va m’achever…. Elle passe une main sous son ventre et vient se saisir de mes ‘tites couilles qui battent sur les lèvres de sa chatte… et là…. Plus de contrôle possible, ni de retenue…..
Et dans un long cri, un hurlement presque a****l, je me suis saisi de la douce enveloppe de ses hanches, rondes, souples …. Et dans un dernier coup de rein qui enfonça ma queue tout au fond d’elle, j’ai joui…. Fort, longtemps….. et je me suis effondré, fourbu, sur son dos…
Elle s’est laissé tomber sur le lit, elle aussi…. J’étais couché sur elle, soufflant comme un cheval au galop…..
Et là, elle me dit…. : « Eh bien…. Il venait de loin, celui-là…. »
Je lui dis que oui …. Que je n’avais plus de vie sexuelle depuis un certain temps, et qu’elle m’avait fait du bien, là…..
Nous sommes retournés dans le bain, nous rafraîchir un peu, et boire de l’eau…
Je suis resté dormir là, cette nuit-là…. Anne a dormi dans mes bras, toute la nuit.
Je suis resté son amant quelques mois…. Je réparais sa voiture, j’entretenais sa maison, le jardin, je donnais des cours de physique à sa fille que j’aimais beaucoup…..
Puis un jour, Anne a rencontré un homme délicieux, plus âgé qu’elle, qui l’a demandée en mariage….. Elle était si heureuse, comblée enfin, par la vie…. Nous nous sommes quittés très doucement, très gentiment, très tendrement, en faisant l’amour, une dernière fois….
Nous nous somme revus, quelque fois, après…. Un éclair de malice dans les yeux…..

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