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celine cocufieuse

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Ci-dessous le début d’un récits sur ma propre épouse .(Faites moi savoir si la suite vous intéresse, histoire de donner un petit plus)
Chapitre 1 – Le mariage
Mi mai, la date du mariage était arrêté, le 3 juillet prochain.
Bien sur, j’avais présenté, Céline, à mes parents et nos parents s’étaient rencontrés à Paris, dans un grand restaurant.
Mon père est Expert-comptable et ma mère … aussi. Oui, ils se sont bien trouvés. Ils dirigent un cabinet important.
Début juin, étant à Paris, pour mes affaires, je présentais Céline, qui m’accompagnait, à mes quelques connaissances parisiennes. Nous fumes invités à une soirée.
Céline (1m62 48 kg ) était rayonnante. Sexy mais avec classe et un rien provocante. Robe rouge, courte à mi cuisse, talons haut, dos nu, sans soutient gorge. Ses ses petits seins (85b) ferme en poire, ses mamelons durs tendant sa robe de façon presque indécente.
Mais j’étais fier de ma fiancée.
La soirée était parfaite. Le repas gastronomique. Les vins, excellents, Le champagne coulait à flot.
Nous avons dansé, Céline était courtiser par tous les hommes ….
J’avais trop bu et Céline n’était pas en reste. Les invités partaient et un homme, corpulent, la cinquantaine, bien tassée, que j’avais vu danser avec Céline, nous proposa, vu notre état, de nous raccompagner à notre hôtel. Je lui expliquais, tant bien que mal, que Céline était ma fiancée et qu’elle devait rentrer chez ses parents en banlieue.
L’homme me dit alors, qu’il serait préférable qu’elle prenne une autre chambre dans mon hôtel ou si nous voulions, il nous hébergerait pour la nuit chez lui. Son appartement, à 5 minutes en voiture était pourvu de 4 chambres.
Nos hôtes nous conseillèrent d’accepter. C’était mieux et plus prudent.
Ainsi fût dit, ainsi fût fait.
Nous sommes arrivés, comment je ne sais plus très bien, dans l’appartement de cet homme que je ne connaissais pas.
Il ouvrit une bouteille de champagne et nous bûmes encore. Céline était dans un drôle d’état et moi … pour la première fois de ma vie, j’étais ivre.
L’homme mit de la musique langoureuse et me demanda la permission de danser avec ma fiancée. Ai-je dit oui ou non, je ne sais pas. Affalé dans mon fauteuil, je voyais trouble. Je voyais cet homme danser avec Céline. Je me levais et demandais la salle de bain. Il m’indiqua le chemin. Je fit alors couler l’eau et tentais de me dégriser. Un long moment, je fis couler l’eau sur mon visage et ma nuque. J’en bu aussi. Lorsque je sortis de la salle de bain, j’allais mieux. Pas clair, mais beaucoup mieux. J’étais conscient.
Je repris place dans le fauteuil. La lumière avait été tamisée. La bouteille de champagne était presque vide et le verre de Céline l’était.
Je levais la tête et …. Là devant mes yeux à quelques mètres de moi, l’homme et Céline s’embrassaient à pleine bouche. Cloué dans mon fauteuil, je ne comprenais pas. Je tentais de rassembler mes pensées. Mon esprit troublé. Je regardais. Je fermais les yeux. Je regardais à nouveau. C’était bien Céline qui dansait avec cet homme, qui l’embrassait et la caressait.
Comment, pourquoi, je ne bougeais pas. Je sentis mon sexe se mettre en érection. J’étais spectateur d’un film. La robe de Céline tomba à terre, elle était en string.
L’homme ( je ne savais même pas son prénom ) arrêta la danse, il pelotait les seins de ma fiancée. Les prenait à pleine main. Puis ses fesses furent aussi malaxées.
Je n’étais plus ivre d’alcool, j’étais ivre d’excitation et de voyeurisme. ( comme dans mes masturbation solitaires )
Il porta Céline dans le grand sofa d’angle qui était à droite de mon fauteuil. La coucha, lui enleva son string. Splendidement nue.
L’homme ôta ses vêtements et demeura en slip. Il écarta les jambes de Céline et enfouis son visage entre ses cuisses et se mit à sucer son sexe.
gros que le mien, qui glissait entre les lèvres ouvertes de la vulve de Céline.
-« Regarde » me dit-il, « je vais prendre ta fiancée devant toi, je savais que tu aimerais. Je vous ai observé durant la soirée et j’étais sur que tu étais voyeur, regarde maintenant « 
Il prit son sexe en main, présenta le gland à l’entrée du vagin, poussa un peu et le fit pénétrer.
Céline soupira très fort.
Lentement il poussa et le sexe pénétra de moitié…
Là Céline poussa un cri, plutôt un râle de plaisir et de douleur à la fois.
L’homme s’arrêta … Ne comprenant pas. Il dit :
 » Merde, elle est vierge ? « 
 » Oui, dis-je doucement, oui « 
Nous nous sommes regardés, un instant. J’ai détournés les yeux et j’ai fixé les deux sexes.
Alors, lentement, il a enfoncé le sien jusqu’au bout dans celui de Céline.
Il est resté ainsi en elle. Il a caressé ses seins, ses hanches ses cuisses, son clitoris.
Puis il a commencé à bouger en elle, doucement, ressortant de quelques centimètres, encore et encore, plusieurs fois. Puis plus les mouvements ont pris plus d’ampleur. Il les calquait sur les soupirs de Céline. Plus son plaisir montait, plus il amplifiait ses coups de rein.
Et là, Céline se mit à crier et à jouir. Ses bras battaient le vide. Son bassin se soulevait.
 » Déshabillez-vous, vous serez mieux, n’ayez pas honte, masturbez-vous. Prenez votre plaisir. Votre voyeurisme et votre candaulisme, doivent s’affirmer, maintenant, il ne faudra rien regretter. Je connais certains couples comme le vôtre « 
J’enlevais pantalons et slip et je me masturbais.
Lui avait repris son accouplement avec ma fiancée, il l’a baisait maintenant avec force.
Il me parlait, comme pour m’apprendre à aimer ce que je serais.
 » Regardez bien je viens de prendre la virginité de votre fiancée. Je la prends devant vous.
Je la possède, elle est à moi. A moi avant vous. Je vous la prends. Elle se donne à moi, elle m’appartient. « 
Il baisait Céline pour la faire jouir encore.
Tous les signes montraient que ça n’allait pas tarder.
 » Tu vois, elle va encore jouir avec moi, je lui donne du plaisir. Regarde comme elle vient … « 
Il m’avait tutoyé … Pas d’importance.
 » Tu vois comme ma queue s’enfonce en elle, tu vois comme elle l’apprécie. Regarde mes couilles pleines de mon sperme qu’elle va recevoir en elle. Son premier sperme. Ce sera le mien, pas le tien. « 
J’ai alors observé ses couilles qui étaient vraiment grosses et lourdes.
 » Elle va jouir, elle va jouir je sens son vagin qui se resserre sur ma bite. Si tu savais comme c’est bon. Elle jouit, elle jouit, regarde, regarde, je vais éjaculer mon sperme dans son ventre, ça y est je jouis, je jouis, oohhh c’est terrible, oooh je la remplis, je la fais mienne, tu es cocu avant même d’être marié … ooohhhh
Ces derniers mots me firent jouir aussi et mon sperme à moi gicla sur le tapis.
Céline avait jouis fortement. Plus que la première fois.
Il resta enfoncé en elle un bon moment, puis doucement se retira.
Tendrement, il lui caressa les cheveux.
Céline s’endormit.
Un long silence s’installa. Je m’endormis aussi.
Lorsque je me réveillais, je mis un petit moment à réaliser ce qui s’était passé. La pièce était vide. Où étaient-ils ? Il était 13 heures.
Sans remettre mes vêtements, je commençais à inspecter l’appartement, je m’avançais dans le long couloir, et j’arrivais devant la dernière porte à droite.
Je m’arrêtais stupéfait. L’homme était allongé sur le dos, Céline était contre lui, sa jambe gauche, sur ses cuisses. Sa main gauche posée sur le sexe de l?homme.
Ils ne dormaient pas.
 » Entre Daniel, nous t’attendions, dit-il, entre. Moi c’est Antoine, tu te souviens ? « 
 » Non « 
 » Entre, viens, ne t’inquiète pas. Elle est jeune et récupère vite. Nous avons eu tout notre temps pour faire des choses et parler. Assis toi là dit-il en me désignant un coin du bas du lit. Après que tu te sois endormi, j’ai porté Céline dans mon lit. Je savais ce que je devais faire. Vers 10 heures elle s’est réveillée et complètement affolée, elle voulait fuir. Après l’avoir calmée, doucement je lui tout expliqué. Ce qui s’est passé, ce que nous avons fait … tous les trois, oui ce que tu as fait toi aussi, c’est presque le plus important. Je lui ai fait tendrement comprendre que tu es un homme passif, voyeur qui aime la voir prendre son plaisir par amour pour elle. Nous avons parlé longtemps et je crois bien qu’elle a compris. La preuve, la voilà avec moi, devant toi. Nue dans mon lit. Et la preuve aussi, c’est qu’elle a accepté de refaire l’amour avec moi, en étant tout à fait lucide, cette fois. Cinq minutes avant et tu nous trouvais en pleine action. Je l’ai prise en levrette. Bien à fond. Elle a un cul du tonnerre, aussi beau que ses seins. Elle a jouit la tête dans l’oreiller pour ne pas te réveiller. Mon sperme est encore tout chaud dans sa chatte. Céline, dis à Daniel que tu le comprends, dis lui.  »
 » Oui Daniel, Antoine m’a raconté beaucoup de choses et si tu es ainsi, peu importe, je te comprends, si c’est ce que tu veux, alors, je suis d’accord. « 
Comme je ne parlais pas, Antoine reprit :
 » Toi aussi Daniel, toi aussi, tu dois avouer à Céline comment tu es. Lui dire ton plaisir de la voir avec un autre. Il faut que tu dises ce que tu as ressenti cette nuit. « 
 » dis moi, Daniel, dis moi, je veux savoir de ta bouche, il le faut. « Je bredouillais, mais je savais qu’il fallait que je parle.
 » Lorsque je me suis dégrisé, j’ai vu Antoine te mettre nue, t’embrasser, te sucer. Oui mon excitation n’a jamais été aussi grande. J’ai vu Antoine te pénétrer, te prendre, te faire l’amour et jouir en toi. Il me parlait et me disait des vérités que je voulais entendre. J’ai jouis, j’ai jouis de te voir prise par Antoine et jouir de son sexe. Mais je vais aller plus loin. Je dois avouer à Céline que moi je suis encore puceau. Je n’ai jamais fait l’amour. Il faut aussi qu’elle voit mon sexe qui me complexe de sa taille. Aujourd’hui c’est le jour des vérités, voilà « 
Je baissais la tête.
Un mouvement sur le lit, Céline s’approcha de moi. Elle enleva ma chemise et moi aussi je fus nu. Elle m’embrassa et me dit :
 » Je t’aime Daniel, je t’aime tel que tu es. Viens, viens me prendre à ton tour. « 
Elle s’allongea à coté de Antoine, et m’attira entre ses cuisses, mais je ne bandais pas.
Antoine vint à mon secours.
 » Mais non Céline, il ne peut comme ça. Si tu l’avais vu cette nuit bander comme un bâton … Il a besoin de voir ou d’entendre certaines choses. Il a besoin de savoir que j’ai dépucelé sa jeune fiancée, toute vierge. Qu’elle m’a appartenu. Que je t’ai prise avant lui, 3 fois déjà.
Tiens regarde sa petite bite comme elle grossi … Raconte lui toi-même, dis lui de venir mettre sa queue dans ta chatte pleine de mon sperme, vas y Céline, parle lui « 
 » C’est vrai qu’il bande … c’est vrai que tu aimes ça, Daniel. Viens pour que ton sexe sente bien le sperme de Antoine. Oui viens après Antoine, j’ai appartenu à Antoine. C’est lui qui m’a faite femme. J’ai jouis dans ces bras. « 
Je me mis entre ses cuisses et je la pénétrais. Je suis entré en elle, facilement. Sa chatte était huileuse de mouille et de sperme.
Je fais quelques va et vient et je jouis en elle. Je criais. Je me suis affalé sur elle.
Elle me caressait les cheveux en me disant je t’aime.
Je venais de faire l’amour à une femme et cette femme c’était ma fiancée.
Nous étions samedi. Nous nous sommes levés et chacun son tour dans la salle de bain et sommes sortis.
Céline me tenait le bras et tenait la main de Antoine.
Nous avons fait les magasins, nous avons dîné dans un restaurant italien.
Puis nous sommes retournés chez Antoine, comme si c’était normal.
Et Antoine à dit :
 » Mes enfants, je vais continuer votre éducation. Vous devez me faire confiance. Vous serez heureux toute votre vie. Si vous êtes d’accord ou non vous le direz, il faut que la volonté vienne de vous. Tout les deux vous devez apprendre votre rôle dans votre futur couple. Dans votre future famille. Donc, voilà ce que je sais qu’il faut pour vous. Ce soir, Céline dormira avec moi. Toi, Daniel, dans la chambre d’amis attenante.
Tu nous entendras faire l’amour, mais tu ne verras rien. Tu imagineras. Tu penseras que Céline est avec moi, qu’elle est à moi. Pas à toi. Demain matin, tu viendras lécher sa chatte avec mon sperme
« Demain soir, tu dois rentrer à Marseille, alors, Céline restera avec moi, jusqu’au 30 juin. Elle sera ma femme avant d’être la tienne. Et tu ne la reverras que le jour du mariage.
Moi le vieux Monsieur de presque 50 ans, je baiserais ta jeune fiancée de 18 ans. Voila, alors que décidez-vous. « 
Tu penses bien que je la baiserais plusieurs fois par jour …
Bon c’est bon, ça suffit. Maintenant va te préparer pour ton avion. « 
Céline n’avait pas dit un mot.
Je sortis, je me préparais et j’attendis au salon.
Au bout d’un moment, la voix de Antoine m’interpella :
 » Au revoir Daniel, à bientôt, ferme bien la porte en sortant, au revoir « 
Je sortis….
… Je n’eu plus de nouvelle de Céline, mais simplement, chaque semaine une simple carte de Antoine qui disait :
« Confiance … plus que 5 semaines, plus que 4 semaines »
Je travaillais beaucoup le jour, mais mes nuits étaient un enfer.
Les parents de Céline arrivèrent le 30 au matin. Je fus rassurer d’apprendre que Céline leur avait dit que notre accord de ne pas nous voir jusqu’au mariage.
Mais je fus inquiet car Céline ne vint pas le 30 comme prévu.
Elle arriva le 2 juillet au soir.
Tout le monde était content ….
Elle me prit à part et me dit :
« Antoine me charge de te dire que je suis une bonne épouse pour lui. A demain »
Elle me laissa là et partis avec nos parents.
Le soir, elle s’enferma dans sa chambre. Je ne la revis qu’à la Mairie.
Magnifique dans sa robe blanche. Merveilleuse dans sa robe de mariée.
C’est là qu’à ma grande surprise je vis Antoine.
Il vint me saluer et me féliciter.
Tout fut parfaitement réussi.
Au milieu de la nuit. Céline et moi quittons l’assemblée et nous allâmes … chez nous.
A la demande de Céline, en effet, elle avait choisi … notre maison, pour la nuit de noces.
Arrivé devant chez nous, je la pris par la main et nous sommes entrés.
J’allumais la lumière et j’eus la peur de ma vie. Un sursaut et je reconnus Antoine, assis dans un fauteuil. Je regardais Céline en la questionnant du regard.
« Daniel, ta formation n’est pas finie, dit Antoine. Il faut que tu saches certaines choses, vois-tu.
Assis toi … assis toi. Tu sais que depuis 6 semaines je fais l’amour à Céline, deux ou trois fois par jour. Si tu voyais sa chatte comme elle bien large pour ma grosse bite … ta petite bite y nagerait …. A paris tout les voisins et connaissances l’appelle Madame Antoine X.
Que crois-tu Daniel, que ton mariage allait faire de Céline ta femme. Non Daniel, c’est ma femme. C’est moi qui lui fais l’amour, moi qui lui donne du plaisir. Tu croyais que j’allais te céder notre nuit de noces ? Il faut que tu vois un progrès de Céline ?
Il se mit debout. Enleva tout ces vêtements et nu se rassis dans le fauteuil, son sexe déjà bien bandé.
Il dit à Céline :
« Vient me sucer. Montre à Daniel tes talents de suceuse. »
Céline s’approcha, si mit à genoux devant lui. Elle prit son sexe dans les mains et l’emboucha.
Elle caressait ses couilles et suçait sa queue avec ardeur. La bite en bouche, dans sa robe de mariée.
Il la repoussa, lui demanda de se mettre nue. Ce qu’elle fit.
Il lui demanda de se mettre à genoux.
Il se mit devant elle et lui fourra la bite en bouche.
Les deux mains de Céline, caressaient les couilles de Antoine, tendis que lui baisait sa bouche comme s’il baisait sa chatte. Il s’y enfonçait jusqu’au gosier.
Il la baisait comme une pute. Et elle y mettait tout son coeur.
« Regarde Daniel, regarde bien et souviens t’en. Céline est à moi. Je la baise en bouche. Je vais éjaculé dans sa bouche et elle va avaler mon sperme, preuve qu’elle m’appartient. Regarde Daniel je jouis, je jouis dans sa gorge. Avale, avale tout mon sperme, salope. Oui bois, bois mon amour »
Il se retira tendis que Céline finissait d’avaler.
J’étais sidéré, mais encore, comme je l’avais déjà fait, je bandais fortement.
Antoine s’en aperçu.
« Bande, bande, déshabille toi. Allez à poils, Daniel. Tu vas bander encore plus. Allons dans notre lit conjugal », dit-il à Céline.
Ils se couchèrent et je restais debout. Ils commencèrent à faire l’amour, se caressant, se suçant, longtemps. Enfin Antoine la pénétra. Il la prenait presque brutalement. Il la baisait et j’entendais les flop flop de leur sexe qui s’imbriquaient.
Céline, prise en levrette criait, je dis bien criais sa jouissance :
« OOOHHHH mon amour, Antoine, tu me tues. Tu me tues d’amour. »
Antoine cessa ses mouvements. Il enfonça un doigt dans le cul de Céline, qui se mit à onduler et à dire :
« Oui, oui Antoine, encule moi, encule moi «
« Tu entends Daniel, elle me demande de l’enculer. Ah oui c’est vrai, tu ne savais pas… depuis 15 jours je l’encule. Je l’ai sodomisée il y a 15 jours et depuis elle me demande de l’enculer chaque jour. Regarde, tu vas voir ».
En effet, il prit de la mouille de sa chatte et la fit rentrer dans le petit trou avec son doigt. Il masturba le petit trou avec son pouce.
Puis sorti la bite de la chatte et pointa son gland à l’entrée de l’anus. Il poussa et sans s’arrêter une seule fois y pénétra jusqu’au couilles.
Céline feulait de plaisir. Il l’encula durant 10 minutes.
« Ma chérie, je vais jouir dans ton cul, je vais gicler mon sperme dans tes fesses … je jouis, je jouis dans ton cul …. SAAALOOOPPPPPE »
Ils s’écroulèrent ensemble, lui toujours dans son cul.
Je pensais qu’ils dormaient, mais non il refirent l’amour 4 ou 5 fois … et moi j’avais jouis 2 fois ( un record )
Il ne faisait plus attention à ma présence.
Ils finirent par s’endormir pour ne se réveiller qu’à 17 heures.
Antoine était habillé et Céline, en nuisette.
« Voilà dit Antoine, je m’en vais. Mais il est temps que je vous laisse évoluer vers votre devenir. Daniel il faut que tu saches que Céline n’est pas ta femme, mais la femme de tous les hommes qu’elle voudra. Tu en fais partie. Elle ne te donnera que ce qu’elle veut te donner. C’est une bonne élève.
Elle habite ici, chez vous. Mais elle a promis de venir me voir souvent. »
Il embrassa Céline longuement et sorti.
Voilà comment je suis entré dans ma vie de couple….
Antoine nous a laissé, seuls. Face à nous-mêmes.
Durant de longues minutes, ce fut le silence. Puis Céline est venu près de moi.
« Alors, mon Chéri, on commence par quoi ? «
« Et si nous nous préparions un copieux petit déjeuner, dis-je ? »
Ce que nous fîmes, ensemble, Nous avons parlé de la cérémonie, et de choses sans grande importance.
Nous en sommes venus à parler de … Antoine et de ses conséquence.
Je ne savais pas trop quoi dire.
« Toute cette histoire n’est sûrement pas arrivée par hasard, il fallait qu’elle arrive. Il est évident que tu es un comme ça. Antoine a deviné ta personnalité. Et il a su révéler la mienne.
Que ce serait-il passé, entre nous, si tout cela n’était pas arrivé ? Je ne sais pas et je n’imagine même pas de le savoir. Je suis jeune, c’est vrai, mais mes parents m’ont toujours inculqué une éducation basée sur la responsabilité des actes.
Bien sûr les premiers jours d’après la fameuse soirée, avec Antoine, m’ont un peu déstabilisée, mais j’ai analysé la situation immédiatement. J’avais le choix. Soit je partais et c’était fini, soit je restais et je faisais en sorte de trouver le meilleur pour notre avenir. C’est ce que j’ai fait suite aux explications de Antoine et à mes recherches personnelles sur le sujet.
J’ai acheté des revues et je me suis documentée, j’ai questionné Antoine.
J’ai compris l’homme que tu es. Je t’aime et je me devais, donc, d’évoluer dans ma propre personnalité. C’est pour cela que je suis resté, « en formation » chez Antoine.
Ce que je sais, maintenant, c’est que tu es un être formidable et ce coté de toi, te rend à mes yeux, que plus émouvant.
Tu es un mari complaisant un homme qui aime voir sa femme faire l’amour avec d’autres hommes, qui trouve son plaisir dans le fait que sa femme soit ce que l’on appelle une salope. Soumis je ne le pense pas, car tu as ton caractère, enfin on verra.
Moi, grâce à Antoine, je sais que j’aime l’amour, me faire prendre et jouir c’est quelque chose de terrible, pour moi. J’adore.
Donc, je crois que nous étions fais pour nous rencontrer.
Mais j’ai une crainte, oh très légère, mais je vais m’appliquer à la régler. Je crains que, toi et moi nous ne puissions pas trouver notre plaisir normalement ensemble. Les plaisirs que j’ai eu avec Antoine, sa puissance sexuelle et la grosseur de son sexe, font que je sais que tu ne pourras pas rivaliser, ni même, sans doute me faire jouir. Ton sexe est trop petit.
Mais je vais trouver la solution idéale pour nous.
Qu’en penses-tu mon amour ? ?
« J’ai pleinement confiance en toi. Je m’en remets à toi. Et je serais toujours amoureux de toi, je le sais »
« Si tu me fais confiance, alors, nous pouvons commencer maintenant. La maison est grande et il y a plusieurs chambres. Nous ferons chambre à part. Il ne faut pas que tu sois trop tenté par moi. Cela déboucherait sur des tristesse et des conflits, si comme j’en suis sûre tu ne peux me satisfaire sexuellement. Je ne t’interdit pas de me toucher, non, mais il faudra que tu te domines. Et les initiatives que je prendrais devront te convenir, je ne t’imposerais jamais rien que tu n’acceptes pleinement. De la même façon, tu pourras, aussi, prendre des initiatives que je serais libre d’accepter ou de refuser, si elles vont à l’encontre de ce que je veux. »
Ainsi fut dit et fait.

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