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Larissa

Larissa



Ceci eut lieu il y a une dizaine d’années. J’étais alors adolescent, et très porté sur les choses du sexe.

Bien sûr encore puceau, mes expériences étant à peu près nulles. Ma seule activité sexuelle était une masturbation régulière, assouvie par des films et des revues que nous nous passions entre garçons au lycée. A cette époque, tout ce qui avait trait aux filles m’intéressait énormément.

J’ai la chance d’ avoir une grand-mère qui habite une maison en ville, avec un grand jardin. J’avais l’habitude de lui tenir compagnie régulièrement, et en profiter aussi pour manger les fruits de son grand jardin. Fraises, framboises, cerises étaient à mon menu dès la fin du printemps. Cette année-là, à ma grande joie, elle logeait une jolie jeune fille, étudiante en lettres.

Elle se prénommait Larissa, était blonde, grande, mince, portait des lunettes. Plusieurs fois, je l’avais vue dans le jardin, en train de se faire bronzer. Je pouvais m’ approcher d’elle sans qu elle ne bouge le moins du monde. Elle ne se cachait pas du reste, et je pouvais admirer sans aucun problème son corps bronzé, ses jambes fines, ses seins pas très gros, aux tétons foncés.
J’avais déjà vu de nombreuses filles sur la plage en train de se dorer au soleil, dans la même tenue, mais là, juste sous mes yeux, cela m’excitait prodigieusement. Quelquefois elle portait un bas de maillot de bain, d’ autres fois un minuscule string, laissant deviner les replis de son intimité, et même une fois entièrement nue, me permettant d’ admirer son pubis proéminent, à la pilosité courte et bouclée.

Puis un jour, ce fut la révélation. Après avoir grignoté quelques biscuits, j’ avais demandé à ma grand-mère de pouvoir aller manger quelques framboises. Je savais Larissa dans le jardin, comme à son habitude en fin d’après-midi. Je ne m’ attendais pas à ce que j’ allais découvrir. La jeune fille était allongée sur une chaise longue, uniquement vêtue d’un string minuscule, transparent, laissant apercevoir les lèvres de son sexe, ses poils bouclés, bref, tout ce que je rêvais de découvrir à nouveau.

Loin de se cacher, Larissa gardait les jambes écartées. Un regard malicieux faisait briller ses yeux verts. En me voyant, elle me demanda comment ça allait, si les résultats scolaires étaient toujours aussi bons. Je ne sais plus ce que je lui répondis, car mon attention fut alors toute portée sur sa main droite, qu’elle avait posée sur son sein gauche, qu’ elle entreprit de malaxer consciencieusement. Jamais je n’ avais vu de fille se caresser ainsi sur une plage. Et là, juste sous mes yeux, je pouvais voir la tendre chair pâle de son sein onduler, remuer doucement sous la lente caresse de ses doigts. Puis ce fut son téton qu’elle se mit à prendre entre deux doigts, pincer, tourner, remuer si bien qu’ il s’érigea, se dressa rapidement.
Comme hypnotisé, je demeurais sur place, les yeux sans doute exorbités, n’osant faire un geste. La seule partie de mon anatomie qui remua fut ma verge qui, très vite, se gonfla, se durcit sous mon bermuda, au point de tendre le tissu à tel point que je crus nécessaire de cacher cette protubérance de mes mains.

Larissa, toujours souriante, porta alors son autre main au bas de son ventre. Sur son string, juste en haut de la fente sexuelle que je distinguais très bien. Elle entreprit de glisser son majeur de bas en haut, de haut en bas, lentement, légèrement, sur l’entaille féminine.
Le souffle coupé, je demeurais toujours immobile, puis lentement je m’ approchais d’elle, jusqu’à en être tout près, à moins d’ un mètre. Je remarquai alors qu’à chaque fois que son majeur remontait en haut de sa fente, au niveau du clitoris, elle sursautait, comme sous l’ effet d’une décharge électrique. Puis sa main tournait en cercle sur son pubis, avant de redescendre entre ses cuisses.

Je n’avais qu’ une frousse, c’ était que ma grand-mère m’arrache à ce spectacle oh combien excitant. Mais heureusement pour moi, nous étions derrière des arbustes qui nous cachaient à ses regards.

Soudain, à ma grande surprise, elle me demanda :
– Tu voudrais en voir un peu plus, David ? Tu n’as jamais vu de fille à poil ?
Je ne savais que répondre.
Mais, trop excité, je répondais :
– Ben oui, bien sûr !
– Et bien, je ne suis pas contre te montrer mon minou. Mais toi aussi, déshabilles-toi, j’ aimerais beaucoup voir ta quéquette, qui me semble magnifique, d’ après ce que je peux en juger.

J’étais très timide, je ne m’ étais jamais montré nu devant une fille, aussi j’ hésitais un peu. Puis, pris par les événements, j’ acceptais :
– Je veux bien mais.. mais je
– Et alors, au contraire, je veux te voir comme ça !…

Et c’ est ainsi que, tandis qu’elle faisait glisser son string le long de ses jambes, je me déshabillai de mon côté.
Aussitôt, j’ai eu devant les yeux son sexe dénudé, ses lèvres foncées, ornées de quelques poils clairs, ses lèvres intimes brillantes de son miel, son clitoris épais, gonflé. Ma verge, déjà turgide, se raidit davantage, ce qui fit que lorsque je me retrouvais complètement nu, elle se dressait à la verticale, palpitante, au gland sorti, gonflé, rouge sang.
La jeune fille, tout en s’ allongeant à nouveau, écartait les jambes, toujours souriante. Sa main droite, rapidement, se remit à l’ouvrage, caressant sa fente intime dans un lent mouvement de va-et-vient, se glissant peu à peu plus profondément à l’intérieur de son intimité. A chaque fois que son doigt frôlait l’ excroissance du clitoris, la jeune fille sursautait, se crispait. J’avais remarqué que son visage s’était empourpré, du reste comme le mien, et que sa respiration s’était faite plus rapide. Puis elle se mit à gémir, d’abord sourdement, puis de plus en plus fort, toute à son propre plaisir, comme si je n’ étais pas là.

J’étais abasourdi, comme dans un rêve. Jamais je n’avais rêvé une scène pareille. Une jolie fille, juste devant moi, complètement nue, en train de se donner du plaisir, offerte à mes regards. Ma verge palpitait toute seule, battant contre mon ventre. Je n’osais la toucher, de peur de jouir trop rapidement. Aussi je me contentais d’ouvrir grand les yeux, observant la montée de la jouissance de Larissa. Son plaisir n’était pas très discret, au point que je pris peur, tandis que les halètements devenaient plus nombreux, plus sonores. La jeune fille poussait des Ah !… Ah !… de plus en plus bruyants, haletés, tandis que sa main allait de plus en plus rapidement le long de sa fente intime.
A la fin, n’ y tenant plus, je portais à mon tour une main sur mon membre congestionné. Cela me calma un peu sur-le-champ, mais je savais que je ne devais pas trop me masturber, de peur d’éjaculer aussitôt. En plus, je ne m’ étais pas masturbé depuis plusieurs jours, ce qui ajoutait à la tension qui m’ habitait.
Je voulus en voir un peu plus, aussi je me mis à genoux, découvrant alors l’oeillet plissé de son anus, brillant aussi d’ une humidité dont je ne pouvais comprendre l’origine. J’aperçus quelques instants plus tard une coulée laiteuse qui suintait de son intimité, coulant entre ses fesses. Mais mon regard se porta alors sur son majeur, qui tournait autour du bourgeon gonflé de son clitoris. Celui-ci, de temps en temps, apparaissait à mes yeux, pointe violacée, brillante d’excitation, gorgée de sang. La jeune fille se mit alors à se pénétrer plus profondément, introduisant son majeur dans son intimité, avant de remonter tapoter doucement le bourgeon du clitoris. Son doigt était à présent couvert de cyprine brillante, qui luisait au soleil. Elle continua assez longuement cette caresse, son souffle devenant de plus en plus oppressé. Son visage était devenu rouge, en sueur. Sa tête ondulait de droite et de gauche, en avant, en arrière, ses cheveux glissant d’ une épaule à l’ autre.
Ce spectacle m’avait excité au plus haut point, avec une telle intensité que je n’osais me toucher, de peur d’ éjaculer sur-le-champ. Soudain Larissa se raidit, se crispa, respiration bloquée, souffle coupé. Ses yeux se révulsèrent, se fermèrent, et tout son corps fut comme tétanisé. Elle enfonça une dernière fois son doigt en elle, agitant soudain en un mouvement de va-et vient court et rapide Je n’avais jamais vu de fille jouir, aussi ce fut pour moi une révélation.

Cela dura quelques secondes, après quoi la jeune fille se détendit lentement, retira son majeur couvert d’ une abondante sécrétion blanche et mousseuse, puis rouvrit les yeux.

– Viens à côté de moi, David, me dit-elle alors, les yeux à nouveau brillants.
Comme dans un rêve, je fis ce qu’ elle me demandait. Je me plaçais à sa gauche, debout. Aussitôt elle tendit une main vers mon sexe, caressa mes bourses contractées. Quelle sensation agréable !
– Caresse-toi, me demanda-t-elle. C’est à ton tour d’ avoir du plaisir.
Trop excité pour refuser, je portais une main à mon sexe congestionné. Puis commençai un va-et-vient léger le long de ma tige dressée. Le résultat ne se fit pas attendre. Ma verge fut agitée de brusques contractions, et je jouis comme un fou, mon sperme jaillissant de mon gland rouge sang à n’en plus finir, arrosant copieusement le bras, le torse et le ventre de ma compagne Jamais je n’avais joui aussi fort, aussi abondamment. La jeune fille n’ avait pas cessé de me caresser par en dessous, ce qui avait ajouté beaucoup aux sensations qui me submergeaient. Quelle extraordinaire sensation !…
Quand mon éjaculation se fut terminée, Larissa retira sa main, regarda sa peau maculée.

– Eh bien, David, quel gros cochon tu fais !…. Je n’ ai plus qu’à me laver, maintenant !..
Elle disait cela avec sourire, comme si ce n’ était absolument pas très important, en fait.

Elle se leva, splendide dans sa nudité. Je remarquais mon premier jet spermatique, qui avait jailli sur son épaule droite, ornant d’ une longue coulée laiteuse la peau bronzée de la jeune fille. Comme elle se dirigeait comme ça, nue, vers la maison, je lui fis remarquer :
– Mais, Larissa, où vas-tu ?… Et ma grand-mère, elle va te voir !…
– Ne t’ inquiète pas. A cette heure, elle est devant son feuilleton favori, et rien ne pourrait l’arracher à sa chère télé!

Et sur ces mots, elle s’éloigna, me laissant récupérer peu à peu. Quand elle revint, quelques instants plus tard, elle s’était lavée, et s’allongea à nouveau sur le siège de jardin, comme si rien ne s’ était passé. Mais ce fut pour poursuivre ce que nous avions si bien commencé tous les deux. Mais c’est une autre histoire.

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