Histoires de sexe mobiles Histoires de sexe viol

L’Audition

L’Audition



Dans mon précédent post je vous parlai des nombreux fantasmes qui viennent pimenter nos aventures sexuelles. En coupant mon portable, la semaine dernière, j’ai tout de suite pensé que j’avais omis d’y inclure les « petits mots ». Oui, vous voyez bien de quoi je veux parler, ces mots simples (parfois grossiers et même orduriers) que l’on prononce pour exciter le ou la partenaire. Pour ma part (et pourquoi chercher à le nier) j’adore me faire traiter de pute ou de salope pendant que je suis occupée à sucer une belle bite. Certains hommes se montrent tout à fait prolixes dans ce genre d’exercice et c’est justement le cas de cet ami qui m’avait appelé cet après-midi là. Heureusement, il n’est pas qu’un expert dans l’art du langage, il excelle également dans celui de la mise en scène et c’est bien normal puisqu’il travaille, justement, à la mise en scène des grandes pièces du répertoire français. Tenue par le secret professionnel et la décence , n’attendez surtout pas de moi que je vous livre le curriculum complet de ce monsieur cultivé, charmant et fort agréable.Je vous dirai cependant que nos rendez-vous se déroulent toujours dans la loge d’un théâtre, principalement les après-midi , lorsque les lieux sont désertés par les artistes et les techniciens.
Parenthèse technique fort utile, puisque nous oeuvrons tous maintenant sur le nouveau Xhamster ( pour la plupart, contraints et forcés , il faut bien le dire) je ne vais pas consacrer plusieurs lignes à ma tenue comme j’en avais pris l’habitude dans mes récits, je vais simplement ajouter une photo à ce texte.
Me voilà donc partie au théâtre, pour une représentation unique et probablement voluptueuse. En général, c’est lui qui dicte mes actions et je me retrouve donc dans le rôle d’une actrice obéissant sagement à son mentor.
C’est un euphémisme de dire que les théâtres sont des lieux remplis d’histoires.Pourtant, c’est un fait. Remontant les petits couloirs étroits encombrés d’accessoires disparates, on peut ,en tendant l’oreille, entendre clairement les répliques célèbres déclamées sur la scène, un soir de première ou de générale.Avant de frapper à la porte de la loge, j’ai pensé à cette situation cocasse en me disant que, dans l’esprit du public, c’est toujours un homme (généralement fortuné) qui vient rendre visite à la vedette d’un soir. Pour cette représentation, ce serait l’inverse !
Lorsqu’il ouvrit la porte, il afficha aussitôt une expression de profonde surprise. (Il était déjà dans son personnage) Il me laissa entrer avec un sourire mal à l’aise et me pria de m’asseoir sur le divan. Le mobilier se réduisait au strict minimum. La table et son grand miroir indispensable au maquillage, une table basse de salon , deux vieux fauteuils défoncés et ce divan dans le même état. Je fus déçue de ne pas découvrir le traditionnel paravent que l’on voit dans la plupart des films. Son regard me suivit jusqu’au divan et s’attarda sur mes jambes. Il portait un costume blanc plutôt froissé (Chandler avait écrit « qu’on aurait dit piétiné par un troupeau d’éléphants ») et l’on pouvait facilement compter, grâce à ses rides et à ses yeux bouffis de sommeil, les nombreuses nuits de répétitions qu’il venait de traverser. Après un long silence (que je me gardai bien de briser) il approcha un des fauteuils et vint s’installer en face de moi.
-Vous savez que je ne fais jamais passer d’audition , lâcha-t-il d’une voix rauque.
-Oui, monsieur.
-Et, naturellement, vous êtes tout de même venue pour tenter votre chance ?
-Oui, monsieur.
Il leva les yeux au ciel.
-Et vous ne savez dire que , « oui monsieur » !
Je baissai la tête. Il poursuivit sa tirade.
-Oui, monsieur, oui, monsieur ! Vous cherchez un rôle de soubrette ?
Je restai tête baissée.
-Vous savez probablement ce que doit faire la soubrette pour plaire à son maître ? Et ne me répondez pas « oui, monsieur ! »
Je me contentai de hocher la tête.
Et dégrafant son pantalon, il me dit que mon texte serait d’une simplicité enfantine et qu’il faudrait que je me montre tout de même à la hauteur. Il sortit son sexe et commença à se masturber. Comme il me regardait fixement, je m’approchai de lui doucement et lui caressait le genou. Il poussa un léger grognement lorsque j’embrassai sa bite. Il fixa encore plus intensivement, avec des yeux presque fous, son membre s’introduire dans ma bouche et puis, se laissa aller en arrière sur le fauteuil. Il Lâcha dans un râle
-Ah ! Cléante ! Tu as du purger bien des hommes !
Alors que je commençai à accélérer un peu la cadence, il enleva la mèche rebelle qui me barrait le front et me fit ralentir un peu.
-Doucement ma belle, doucement…
Il se redressa légèrement.
-Ce qu’il me faut, c’est une comédienne exceptionnelle …
Je sortis son membre de ma bouche et lui demandait ce que je devais faire.
-Oh ! Une scène facile pour toi, répondit-il. Tu te caresses et tu fais bander ton maître comme un cosaque. Après tu lui fait l’amour comme une bête et tu le tues !
Devant ma moue dubitative, il m’attrapa le somment du crane et me força à le goûter à nouveau.
-Suce, ma belle, suce. Je veux que tu me boives. Il n’y a que toi qui me fasses jouir de cette façon !
Motivée par ce compliment, je redoublai d’ardeur.
Je m’arrêtai pourtant pour lui glisser à l’oreille.
-Je ne sais pas si j’oserai faire cela devant le public ?
-Toi ? Mais tu ferais jouir un émasculé !!! Tu es la plus belle des salopes que mon dard ai connu ! Suce, suce ! Bon Dieu !
Sa bite devenait de plus en plus grosse. J’adore ce moment proche de la jouissance. Cet instant particulier où nos mots s’envolent , où nos sens deviennent totalement incontrôlables, où nous devenons anges et démons !
L’Ange lâcha dans ma bouche une quantité impressionnante de sperme chaud et salé. Il se redressa et se mit à me limer furieusement. J’avais grand peine à contenir son ardeur, à garder sa queue dans ma bouche. J’étouffais de foutre brûlant. Mes grognements de plaisir se confondaient aux siens.
Il ne cessait de déclamer : « Voilà le prix de ton travail ! Prends-le, adorable petite putain, prends-le ! »
Enfin, il poussa un formidable soupir et s’écroula au fond du fauteuil. Je me redressai et entreprit de venir lécher toutes les petites gouttes de sperme qui m’avaient échappé. A chaque petits coups de langue, il répondait par un « ho » ou un « ha » étouffé. J’emprisonnai entièrement ses couilles dans ma bouche pour les nettoyer elles-aussi. Les « ho » et les « ha » redoublèrent aussitôt. Son texte était très loin du théâtre classique mais il avait tout de même une sacrée force et une belle intensité. En refermant la porte derrière moi, alors que le grand homme dormait, je me demandai qui était le maître et qui était le valet ?
Plus tard, sur le chemin du retour, en remontant le même petit couloir étroit, toujours plongé dans un profond silence, j’entendis, cette fois très distinctement, d’autres mots, d’autres tirades magnifiques dont vous pouvez aisément deviner la teneur.

deleted

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire