Le lendemain matin je me réveille la chatte endolorie.
Je me tourne dans le lit et constate que Nico m’a rejoint durant la nuit.
Les événements de la veille me reviennent soudainement à l’esprit, me faisant me redresser en sursaut.
Je sens Nico remuer à mes côtés, me toucher la taille, les mains baladeuses;il a sûrement sa trique du matin….
Mais je suis paralysée, accusant le coup, je ne sais pas quoi faire.
J’entends un « bonjour bébé », auquel je ne répond pas. Je me lève et je file sous la douche.
Une fois nue je sens que je pue le sexe, la bête. J’entreprends de me décrasser, particulièrement l’entrejambe, et fais le point sur la situation.
J’ai trompé mon copain, salement, en me faisant soumettre et humilier, mais le pire, c’est que ce mec m’a baisé sans protection, et à jouit en moi !
Le stress m’envahit, la peur de tomber enceinte d’un vieux commerçant patibulaire m’angoisse au plus haut point, prenant le pas sur tout le reste.
Il me faut la pilule, et pour cette fois il me faut aussi la pilule du lendemain, rapidement.
Je me rappelle où je suis, et les vêtements que j’ai amené. Impossible d’aller dans une pharmacie ici, il faut que je rentre chez moi.
Une fois propre, je sors de la salle de bain, et j’entends soudain Nico parler à un autre mec.
Je file dans la chambre enfiler ma robe, et je cache le short de la veille, encore maculé de mouille et de sperme.
Une fois dans le salon, je vois que c’est Karim, le pote de Nico, celui qui nous a prêté l’appartement.
Il me salue avec son sourire habituel (je pense que je lui ai toujours plu), mais son regard me fixe un peu trop longtemps pour que cela ai l’ai naturel. Je suis mal à l’aise tout à coup. J’embrasse Nico et m’excuse de ne pas l’avoir salué au réveil.
On discute de tout et de rien, jusqu’à ce que Nico dise qu’il doit aller se doucher. Avec sa jambe dans le plâtre ça risque de durer un moment.
Je me retrouve donc seule dans la pièce avec Karim, tandis qu’on entend Nico allumer la musique et entrer dans la douche.
Je vois qu’il me fixe, un soupçon de jugement dans le regard.
Il dit :
« Je suis revenu plus tôt ce matin, mais comme je savais que vous dormiez encore, je me suis arrêté à l’épicerie en bas prendre un café avec le patron, c’est un pote de mon père.
_Ah d’accord, c’est gentil de ne pas nous avoir réveillé.
_Paraît que toi aussi t’es gentille, et accueillante. »
Mon cœur fait soudain un bond dans ma poitrine, que sait-il ? Que va t-il faire ? Je ne peux pas lui dire que j’ai subit ce qui s’est passé hier, le boss d’en bas a du lui raconter comme j’ai joui.
« De quoi tu parles Karim ?
_Salope arrête de mentir je sais ce que t’as fait cette nuit, t’es une pute à jus de rebeux, et c’est même pas moi qui en ai profité. »
Je suis abasourdie, je m’attendais à ce qu’il me reproche d’avoir trahi Nico, au lieu de cela, il glisse ce sous entendu… qui me laisse entrevoir une échappatoire.
« Qu’est-ce que tu veux ? »
« Que tu sois ma pute à dispo, tant que j’en aurais envie, ou je dis tout à Nico, et à ta mère, il y a des caméras dans l’épicerie, tu as été filmée tout du long. Maintenant viens la salope, et suce ma bite.
Là il sort son sexe, déjà raide. Il est plus gros que celui de Nico, sans être aussi terrible que celui du mec de l’épicerie.
Je me met à 4 pattes, et j’avance vers son entrejambe en le regardant dans les yeux. Il veut que je sois chienne, que je l’excite, il veut prendre son pied avec moi, et moi je dois lui faire plaisir, pour ne pas qu’il me dénonce.
J’arrive à sa bite, que je lèche sur toute la longueur, avant de le prendre en bouche, déclenchant des gémissements de Karim. Je n’arrive pas à croire que je fais ça, avec Nico derrière la porte qui ne se doute de rien.
Karim m’att**** par les cheveux et se met à me baiser la bouche. Je salive abondamment, mais je sens aussi que je mouille à fond. J’adore la façon dont il me traite, et je viens de le découvrir ; je suis une pute soumise.
Je le suce pendant 5 minutes, jusqu’à ce qu’il se lève, m’att**** et me mette à 4 pattes sur le canapé.
Je sais qu’il va me baiser, et quand il va voir que je n’ai rien sous ma robe (mon seul string étant plein de foutre), il va me défoncer sauvagement.
Ça ne loupe pas, dès qu’il voit ma croupe en levrette, avec ma chatte imberbe, mes lèvres encore ouvertes de la veille, et mon petit trou rose encore vierge, il se plante d’un coup dans ma chatte, m’arrachant un cri de plaisir, que je tente aussitôt de refréner pour ne pas que Nico nous entende.
Il me baise à cru, ma chatte trempée faisant des bruits de ventouse à chacun de ses vas et viens.
Cela fait déjà un moment que Nico est sous la douche, il ne va pas tarder à sortir. Pour accélérer les choses, je passe une main sous moi afin d’att****r les couilles de Karim, pour les caresser. Cela a pour effet de le faire accélérer, je me retrouve la tête écrasée sur le canapé (les rebeux aiment décidément bien m’écraser en me défonçant), jusqu’à ce qu’il vide ses burnes dans ma chatte.
Je n’ai même pas protesté, je savais que j’allais y passer, alors à quoi bon parler, il fait ce qu’il veux, comme l’homme d’hier, et je suis là pour les satisfaire.
Une fois vide il se retire, laissant ma chatte béante et pleine de foutre.
Il était temps ! Le bruit de la douche s’arrête, et j’entends Nico s’habiller.
Je suis dans la merde, j’ai de nouveau la tête en vrac, les cheveux emmêlés à cause de la pipe dirigée, mais j’ai surtout la fente pleine de jus et aucun sous vêtement pour contenir le fluide.
Je m’assois donc sur le canapé avec un de mes pieds bloquant ma fente, et je prends un air détendu (en apparence), tandis que Nico vient nous rejoindre.
Il renifle un peu en arrivant dans le salon, comme si il sentait une odeur spéciale…
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