Histoires de baise Histoires de sexe gratuites Histoires de sexe mobiles

Convocation spéciale

Convocation spéciale



C’est lundi matin, je ne suis pas encore remise de ma soirée « Upper Floor ». Le téléphone sonne. C’est Steph.
« Bonjour Michèle. Je veux que tu passe impérativement ce matin à mon bureau ! »
« Pourquoi ? »
« Ne pose pas de question ! Je veux te voir dans une heure ! »
Il raccroche en me laissant avec pleins de questions dans la tête.

Donc, une heure plus tard, me voilà dans son bureau.
« Assoie-toi ! »
Il a l’air énervé. Moi je trouve la situation cocasse et affiche un sourire amusé.
« Michèle ! Ton mari a découvert tes dérapages de salope soumise avec moi. Il a du me faire boire une saloperie car depuis notre explication ensemble, je suis atteint de priapisme. A toi de remédier à cette situation ! Viens me sucer immédiatement où je vais m’occuper de votre cas ! »
Je pouf de rire et trouvant vraiment la situation amusante, je me met à genoux et me faufile sous le bureau pour soulager mon directeur préféré en lui disant :
« Bah, vaut mieux encore ça que de ne plus bander. Vous râlez vraiment pour rien. Je vais vous sucer comme vous le voulez et ça vous soulagera ! »
Toute fière de moi, je sort me met à le branler sous le bureau en lui disant moqueuse :
« Vous, les hommes, vous avez vraiment une bite a la place du cerveau ! »
Il me répond alors :
« J’ai peut-être une bite à la place du cerveau, Mais toi t’a le feu au cul salope ! »
Bon sur ce point, il a pas tord. Il suffisait juste que je me fasse lécher les seins par Agathe ou sa fille devant mon mari ou Christophe pour que je prenne mon pied. Alors quoi vous dire quand j’ai une belle queue à ma disposition.
Pendant que je le suce, il me dit :
« T’es vraiment vraiment une incroyable salope Michèle ! Ton mari m’a dit qu’il allait me présenter votre groupe d’ami. Apparament vous ne vous ennuyez pas avec Christophe et ces deux salopes d’Agathe et Albane ? »
J’arrête de le sucer un instant pour lui répondre :
« Ah… Ok…. Comme ça tu es complice avec mon mari ! La soirée « upper floor » n’était donc pas fortuite ! »
Il rigole et m’ordonne :
« Suce putain je veux me lâcher dans ta bouche ! »
Docile et soumise, je me remet à le pomper en lui pelotant les couilles. J’adore ça.

Pendant que je le suce, quelqu’un entre dans son bureau. Steph l’accueille en lui disant :
« C’est gentil d’être là. Ta femme me suce comme une vrai pute sous le bureau ! »
Le salop c’est Alain qui est là. Je veux retirer sa queue de ma bouche mais il me tient fermement la tête en me disant :
« T’arrête pas de sucer putain ! J’ai des projet à discuter avec ton mari pour toi, Agathe et Albane. »
Alain lui répond avec une pointe d’humour :
« Steph tu es un vrai dominant. Tu fais parti de la race des Grands tel que Ministres ou PDG qui aiment humilier maitresse pour affirmer leurs pouvoirs. Allez ma chèrie suce bien mon ami ! »

« Sors du bureau ! Je suis sûr que ton mari à envie de t’enculer pendant que tu me suces ! »
En me prenant par les cheveux, il me sort du bureau. Alain retrousse ma jupe tire ma culotte et s’enfonce dans ma chatte pour graisser sa queue. Steph se remet quant à lui à me baiser la bouche. Prise ainsi en sandwich par mes deux hommes, je sens mon plaisir monter.Je me fou d’être humilié tant j’y prends du plaisir.

Au bout de quelques minute, les deux hommes jouissent en moi et me provoque par la même occasion un orgasme. Avant de partir, ils me demandent :
« Contacte Christophe pour qu’Agathe et Albane soient prête quand nous le souhaiterons ! Et toi tu reste à notre disposition durant la semaine. »
Après avoir passé une semaine à faire tout leurs caprices, Ils m’ont pissé dessus. Ils ont écrit des insanités au feu indélébile sur ma peau. Bref l’éclate totale pour eux et des humiliations extrême pour moi.

Plus la semaine avance et plus je sens que quelque chose va mal tourné. Un soir, chez moi, alors que je suis seule, j’entends la porte se déverrouiller. Je pense que c’est Alain qui entre. Mais non c’est Steph. Là, franchement je ne suis pas vraiment rassurée en le voyant débarquer chez moi.
« Comment as-tu mes clés? » 
« C’est Alain qui me les a donné pour que je puisse disposer de toi quand bon me semble ! »
Je reste confuse et immobile, alors qu’il continue en baissant son pantalon :
« Au lieu de rester comme une idiote ! Viens à quatre pattes me sucer la bite ! »
Ne bougeant pas, comme tétanisée, il me prend par les cheveux et m’agenouille de force pour que je lui fasse une gâterie. Je résiste du mieux que je peux mais ce n’est pas la peine.
« Espèce de garce, tu vas finir par comprendre que je suis ton Maître. T’es amis et ton Mari ne vont pas tarder à arriver. On va bien s’amuser avec les deux autres putes ! » Dit-il dans un grand éclat de rire de psychopathe.
J’ai son énorme pénis au fond de ma gorge et je me sens complètement piégée.

Il sort sa queue de ma bouche et me jette voilement sur le divan pour m’attacher. Il découpe avec une paire de ciseaux mes vêtement et me fourre ma culotte dans la bouche, étouffant mes cris d’hystériques. Une foi calmé, comprenant que ma résistance ne fait que l’exciter davantage, Il expose la façon dont il a imaginé la soirée.

« Qu’on se comprenne bien ma jolie, avant que les autres arrivent, vous avez une énorme dette à me rembourser. »
Il profite de ma position pour commencer à me fouetter sans v******e avec sa ceinture. Il jubile de les voir me tortiller sous les coups. Mes gémissement sont étoffés par la culotte. Ma chatte trahit mon excitation en mouillant abondamment. Il s’en aperçoit mais ne disait rien et sort de la pièce pour accuillir la petite troupe qui me découvre nue, exposée et la peau légèrement rougie.

Christophe s’approche de moi et me fouille la chatte en disant à Stephe et mon mari :
« Tu la déjà bien chauffé la salope ! Elle mouille comme c’est pas permis ! C’est ça qui me plaît chez elle. Cette grosses pute mouillent plus que mes femelles. Elle est entrain de mouiller le divan ! »
Agathe et Albane restent sagement dans le coin de la piéce alors que les trois homme se congratulent de posséder de telle salopes. Christophe retire sa main de ma chatte et sans autre discours, il me pénètre jusqu’à la garde sous les yeux des autres. Aprés plusieurs vas et viens, mon regard commence à s’embuer par le plaisir qu’il me procure.  Mes yeux se révulse et mon orgasme monte en moi. Mais il se retir me laissant frustrée sur le divan.

Il me dit doucement :
« Trop tôt pour jouir Michèle. On a toutye la nuit pour s’occuper de vous trois ! On va vous montrer que vous n’êtes que des femelles à remplir. »
Steph reprend la parole en s’adressant à mes amies :
« Mesdames, je suis bon prince. Que préférez-vous ? Beaucoup d’humiliations avec des sévices et des douleurs modérées ? Ou bien des punitions sévères accompagnée d’humiliations intenses ? »
Les deux femmes se regardent effrayées et c’est Agathe, plus mature qui décide pour elles d’eux :
« Je choisis humiliations avec des sévices modérés Monsieur. »
« Bien ! Déshabillez-vous et attendez notre bon vouloir en suçant ce double dong pendant qu’Alain nous sert un whisky. »
Agathe et Albane obéissent sans broncher et se mettent nues. Elles prennent le double dong et se mettent à le sucer.

De les voir se faire humilier de la sorte devant moi, ma chatte n’arrête pas de couler. Nos trois hommes dégustent leur boisson en nous regardant amusé. Pour nous humilier un peu plus, Steph nous demande :
« Pourquoi êtes vous ici femelles ? »
Les réponses sont incompréhensibles.  Moi, car j’ai une culotte dans la bouche et Agathe et Albane avec le gode.
« Nous chom vos choumiches et nous defons efre fumis ! »
Les trois hommes éclatent de rire devant cette réponse ridicule.
Alain reprend avec difficulté tant il rigole :
« Ce n’est donc pas une soirée uniquement de soumissions et d’humiliations que vous souhaitez les salopes ? Mais bien une soirée de punitions ! Sommes nous d’accord ? »
« Non chez pas trop puhitiochion Monchieu ! »
Ils sont tordu de rire les salops. Alors que Steph s’approche pour se branler entre mes seins en disant à ses camarades de jeux :
« Ma queue est bien entre ses grosses mamelles ! Tu dois souvent t’en servir Alain ! »
« Oui elle est une vrai vache laitière ! »

Alors que du coin de l’œil je vois mes copines qui suce le double doug en se faisant maltraiter les seins par Christophe et mon mari, Steph me prend par les cheveux pour m’enfoncer profondément son dard au fond de ma gorge à m’en étouffer. J’ai commencé à grimacer et il m’a dit :
« Putain ta gorge est faite pour ma queue ! »

Pendant que Steph me baise la bouche, J’entend des clquement secs et des cris étouffés. Alain et Christophe flagelle mes amies pendant qu’elles sucent le double dong en leurs disant :
« Vous êtes pire que des femelles ! Vous sucez un gode devant des hommes comme de grosses putes ! Vous ne méritez que d’être fouettées comme des moins que rien ! »
Les ceinture s’abattent sur les deux pauvre filles qui suce leur gode de plus bel. Leurs dos rougissent et les coups atteignent parfois le côté de leurs seins les faisant se cambrer et crier. Puis ils enléve le double dong de leurs bouches et s’arrête pour contempler leur œuvre.

Ils sortent leurs queues et c’est au tour d’Agathe et Albane de se faire prendre en gorge profonde. De mon côté, Steph vient de lâcher sa créme au fond de ma gorge en disant à Alain :
« Ton sac à foutre est bien dressé ! J’ai même pas besoin de lui dire d’avaler ! »
Il se retire de ma bouche et j’essaye de reprendre un peu d’air. Il me demande alors :
« Dis-moi Michèle qu’es-ce que tu es ce soir ? »
La bouche encore engluée de sperme, je bafouille :
«  Je suis votre pute, un garage à bite et ne suis là que pour vider des couilles ! »
J’ai honte de dire ça devant mon mari et Christophe qui secouent Albane et Agathe.

Steph reprend :
« Oui c’est bien ce que tu es mais plus encore. Tu es la pire des chiennes en chaleur et tu vas être notre a****l ce soir ! »
Il s’empare d’un collier et d’une laisse et m’en affuble.
« Elle est pas belle cette chienne avec ces grosses loches qui pendouillent ? »
Tout en disant ça, il me saisit les tétons et se met à serrer mes mamelon comme pour traire une vache. Je grimace de douleur mais résiste pour ne pas lui faire le plaisir de crier. Je tente de me reculer pour échapper à cette douloureuse manipulation. Il relâche un peu l’étreinte, avant de resserrer de plus belle. Une larme perle sur ma joue, puis un souffle m’échappe :
« S’il te plaît arrête !»
Il me regarde étonné et me répond :
« Pas avant de voir du lait sortir. N’es-tu pas une vache laitière avec tes grosses mamelles ? »
« Oui Steph mais ça fait mal. »
Il represse mes seins et enfin du lait en sort.

Alain et Christophe on éjaculé sur les deux filles et Steph, comme une récompense lance :
« Nos femelles ont certainement besoin de faire leurs pipi dehors ! »
Nous sommes tiré en laisse et allons dans le jardin pour nous soulager. Agenouillées, nous marchons comme des chiennes. Steph nous ordonne :
« Faite vos pipis les chiennes ! »
Attachées comme des animaux, l’humiliation nous empêche de faire pipi. Ils commence à nous fouetter pour nous motiver. Enfin nous y arrivons et lachons nos urines dans un bruit de jet ridicule qui amuse beaucoup nos hommes.

De retour à la maison, Steph et Alain nous attache Agathe et moi ensemble dans une position très inconfortable collé l’une à l’autre. Ils nous relient les tétons par des pinces et des poids et nos chattes se retrouvent écrasées par une sorte de barre métalique.

Christophe qui tient fermement laisse Albane et nous dit :
« Regardez les filles comme Albane est une bonne petite chienne ! On va voir sses capacités à recevoir pleins d’objets dans ses orifice de trou à bites ! »
Agathe est horifiée de savoir ce que va subir sa fille.

Il attache Albane dans une position obséne la laissant totalement offerte à leurs délires. Elle n’est pas rassurée et à juste titre. Elle est sans défense devant ces pervers.

Les hommes reviennent avec une bouteille de champagne et se servent pour commencer de la chatte d’Alabane comme seau à champagne.

Ils se servent quelques coupes et décide d’essayer sur elle des fruit et légumes. Tout y passe et l’humiliation de la jeune fille est à sont comble.

Mais les hommes se lassent de ce jeux et, ayant repris vigueur, il décide la prendre à trois. Albane se fait saillir sauvagement par nos mâles en rute et ils se libèrent en aspergeant la fille d’Agathe de leurs spermes chaud.

La soirée touche à sa fin. Nos hommes nous détachent et nous cajolent. Nous sommes toutes courbaturées et nos orifices vont mettre quelques jours à s’en remettre. Mais nous heureuse de nous être totalement données à nos hommes. Après une coupe de champagne réconfortante, nous passons à la douche et nous couchons pour un sommeil bien mérité.

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire