Samedi 3 Août 2013
Ce matin, tout le monde fait plus ou moins la grasse matinée. Hélène est la première à se lever un peu avant 11 heures et s’affaire à la cuisine, faisant un peu de vaisselle restant de la veille. Thomas est le premier à la rejoindre et elle note l’érection de son fils mais ça ne la choque plus, après tout ce qu’il s’est passé. Il vient lui faire une bise sur la joue et dans le mouvement, son gland vient en contact avec sa cuisse:
– Bonjour, Maman.
– Bonjour fiston, mais ce n’est pas correct de frotter son sexe contre sa mère…
Comme elle dit ça en lui souriant, il voit bien qu’elle plaisante et continue:
– Tu as raison. Alors, je vais laisser ma mère tranquille et m’occuper d’Hélène.
Il vient se coller derrière elle, calant verticalement sa bite contre la raie des fesses et lui empoigne les seins en entamant un petit jeu de rôles:
– Bonjour Hélène, un petit coup pour commencer la journée?
– Euh, j’hésite. Mon fils pourrait nous surprendre.
– Mais non, il dort comme un ange.
Tout en disant cela, il descend une main sur le ventre de sa mère et constate avec ses doigts qu’elle est suffisamment mouillée pour aller plus loin. Il glisse son gland entre les cuisses maternelles et le fait elle et venir contre cette fente humide qui glisse de mieux en mieux. Enfin il la fait pencher en avant et l’embroche en un mouvement souple et continu jusqu’au fond.
Hélène réalise alors que jusqu’à présent elle a sucé et avalé son fils, qu’il l’a sucée, branlée et enculée, mais que c’est la première fois qu’il la baise. Et c’est bon…
Elle a les coudes dans l’évier, les seins écrasés sur le plan de travail et son fils la bourre en levrette à grands coups de reins. Elle manifeste sa montée:
– Oh oui, vas-y, plus fort!
– Chut, Hélène, ton fils pourrait nous entendre…
Elle reste dans le jeu de rôles qu’il a improvisé:
– Je m’en fous, il peut même venir nous voir.
– Justement, le voilà qui nous observe depuis l’entrée.
– Oh le petit salaud. Il bande?
– Oui, et il se branle en nous matant.
– Oh le petit cochon! Mais tant mieux pour lui.
– Tu aimerais que je lui cède ma place?
– Non, pas ça…
– Trop tard!
Thomas se retire brièvement et la pénètre à nouveau:
– Bonjour Maman!
Hélène abdique et se laisse aller Jusqu’à l’orgasme. Thomas la fait retourner et assoir sur une chaise puis lui présente sa queue:
– Allez, Maman, finis-moi pendant qu’Hélène se branle en nous matant.
Vu qu’elle en a une envie folle, elle ne se retient pas de le gober et de se branler en même temps. Ce qui fait qu’il ne tient pas trop longtemps et lui tapisse le palais avec ses giclées nerveuses de sperme. Elle déglutit toute l’abondante liqueur.
Thomas se dégage de sa bouche et bien s’assoir sur ses genoux:
– Tu es la meilleur des mamans.
– Merci mon chéri.
Un instant passe puis elle le fait se lever pour continuer ce qu’elle avait entrepris avant son arrivée. Pendant qu’il l’aide à préparer un brunch pour tous dès qu’ils seront levés, elle décide de clarifier certaines choses:
– Euh, Thomas, comment on va faire?
– Eh bien, on est célibataires tous les deux en ce moment. On peut se faire plaisir.
– Oui, mais après?
– Oh, on verra bien.
– En attendant, pas un mot de tout ça à ton père, ce serait terrible.
– Oui, je le connais assez. Mais t’en fais pas, je saurai tenir ma langue.
Quelques temps après, c’est Lola qui arrive, suivie de peu par nous, ses parents. Aucun de nous ne se doute de qu’il vient de se passer dans la cuisine car Thomas a la bite au repos et bien nettoyée. Nous nous installons sur la terrasse pour le brunch.
L’après-midi est tranquille, comme si un accord tacite avait été passé en vue de s’économiser pour la suite. Il n’a pourtant jamais été évoqué ce qu’on comptait faire avec les voisins, mais chacun sent que ça va virer à la partie de cul. Hélène se doute bien que Ju et surtout moi allons tout faire pour ça, et elle se rend compte que non seulement ça ne la dérange pas mais qu’elle en a même vraiment envie.
Les voisins arrivent comme convenu vers 18 heures. Pierre porte un bermuda de bain et une chemise légère à manches courtes, Christine une robe d’été boutonnée devant par-dessus un bikini. Chacun a une serviette de bain autour du cou et Pierre tient à la main une bouteille de vin pour le barbecue. Quand la sonnette retentit, c’est moi qui viens leur ouvrir et les met directement dans l’ambiance, vu que je ne porte qu’un string vraiment mini.
Comme cette voie est peu passante, il n’y à personne pour profiter du fait que je sorts même sur le palier pour les faire entrer:
– Allez, commencez par vous mettre à l’aise, laissez vos affaires dans l’entrée.
– Euh, pour ce qui est d’être à l’aise, je vois que vous y êtes vraiment.
– Allons, Pierre, d’abord on se tutoie ici, et ensuite tu m’as déjà vue même à poil.
– Oui, c’est vrai, mais là vous…pardon: tu es juste devant moi, c’est différent.
– Allez, déshabillez-vous pendant que je vais mettre ce rosé au frais.
Quand je reviens, ils sont en maillot classique: short pour lui, bikini avec soutien-gorge renforcé pour elle. Pierre n’est pas trop velu sur le torse et Christine est bien enrobée à la taille, comme ses tenues le laissaient présager. Elle leur dit:
– Ah non, ça va pas! Vous comptez pas mettre ces maillots, tout de même?
– Euh… Pierre et moi, on en a pas d’autres, alors…
– Déjà, tu pourrais enlever le haut, j’ai déjà vu tes seins deux fois.
– Bon, tu as raison, je l’ai déjà fait à la fenêtre, donc je suis bête de ne pas le faire ici.
Christine fait sauter l’attache de son haut de maillot et libère ses deux grosses poires qui ballotent un peu comme j’avais déjà pu le constater à distance les deux autres fois. Ne les laissant pas souffler, je leur propose directement:
– Bon! Et comme nous somme tous en string ici, vous devriez en mettre aussi.
– Euh, non, pas la peine. On peut rester comme ça.
– Mais oui, vous vous sentirez plus à l’aise. Je vais vous en prêter de Ju et moi.
– Non, je sais pas si j’oserais me montrer comme ça.
– Allons, pas de timidité mal placée, venez avec moi, j’en ai déjà préparés pour vous.
Je les entraine au salon où les attendent plusieurs modèles. Evidemment, après qu’ils aient encore plaidé en vain pour garder ce qu’ils ont sur eux, je les quitte:
– Je vous laisse vous changer. On est dehors au bord de la piscine, c’est par là.
Un moment plus tard, Pierre et Christine font leur apparition. Ils ont choisi bien évidemment les plus larges. Pierre a enfilé celui que Ju portait le samedi précédent et pareil pour Christine avec le bandeau bariolé de Lola. je note au passage que les tétons de Christine sont beaucoup plus proéminents que tout à l’heure. Donc visiblement cette situation excite la voisine. Je vois aussi que la poche de tissu noir a du mal à contenir les attributs du voisin, qui d’ailleurs s’empresse de se glisser dans la piscine pour se rafraichir les idées. Christine le suit de peu, puis tout le monde se retrouve dans l’eau. Je suis la dernière car je prends le temps de poser sur la margelle le nécessaire pour faire l’apéro.
Tout le monde papote et l’ambiance est bien détendue, grâce aux effets conjuguées de l’eau tiède qui les caresse et du rosé frais qui les abreuve. J’estime que c’est le moment d’aller plus loin. J’enlève mon string et le brandis hors de l’eau:
– Allez, vous m’avez déjà tous vue à poil, donc pourquoi se gêner?
Pendant que les invités restent cois, Lola en fait de même:
– T’as raison M,man. Je te suis! Alors les autres?
Ju n’attend pas pour nous imiter, suivi assez vite par Hélène et Thomas. Tous les strings sont jetés sur le dallage de la terrasse, à l’exception des deux à les avoir encore sur eux et qui ne savent pas comment réagir.
Devant l’insistance de toute la troupe, Christine est la première à se lancer:
– Bon, ça va, vous avez gagné! Soyons fous!
Elle défait les noues latéraux et montre son dernier rempart avant de l’envoyer rejoindre les autres. Du coup, Pierre s’exécute, se sentant un peu isolé. Pour éviter un blanc dans l’ambiance, je remets une tournée et remarque que les deux invités sont assez vite de nouveau décontractés.
Mais il commence à faire faim et Ju sort le premier de l’eau pour aller s’occuper du barbecue, mettant au passage sa bite sous le nez de Christine qui était à côté de lui dans l’eau à ce moment. Bien qu’au repos, cet engin a l’air de l’impressionner, alors qu’elle l’a déjà vu en érection pas plus tard que la veille. Mais elle était loin, alors que là c’est en direct. Ju propose à Pierre de venir l’aider et lui tenir compagnie, et ce dernier hésite un peu avant de se décider à sortir de l’eau. Dans la manœuvre, il dévoile enfin à l’assistance un engin au repos de taille standard, des couilles pas trop pendantes, le tout surmonté d’un pubis moyennement poilu.
Quand les hommes annoncent que les grillades sont à point, tout le monde sort de l’eau pour venir se mettre à table. C’est l’occasion pour Christine d’enfin laisser découvrir aux autres son triangle entièrement rasé. Je lui en fais la remarque:
– Tiens, je n’imaginais pas que tu t’épilais totalement.
– Eh bien, non, c’est récent, pour faire plaisir à Pierre.
– Laisse-moi deviner, c’est après nous avoir vues jeudi ma fille et moi?
– Oui, avant, j’avais un triangle que je gardais assez ras, mais Pierre a insisté…
– Et il a eu raison!
Le repas se passe tranquillement et les voisins sont maintenant bien détendus. Au dessert, comme tout le monde est un peu grisé par les boissons, je décide de lancer les festivités. C’est pour ça que je m’étais assise à côté de Pierre.
Ce dernier sent la main de sa voisine de droite se poser sur sa bite et la caresser doucement. Il essaie de rester stoïque, n’osant pas s’insurger contre cette audace, mais ne voulant pas non plus se signaler à sa femme qui est en face et qui ne voit pas ce qu’il se passe sous la table entre eux. Sa queue continue de se développer et ma main s’enroule autour, lui décalottant le gland.
Ce qu’il ne sait pas et ne voit pas, c’est qu’en face, Ju a fait progresser sa main d’abord sur la cuisse de Christine, puis entre ses cuisses qu’elle a renoncé à essayer de garder fermées. Au moment où je commence à faire des aller et retours lents sur sa tige, Ju est en train de procurer des sensations à Christine avec deux doigts sur le clito. Maintenant le mouvement du bras de Ju et du mien ne laisse plus de doute sur ce qu’ils font en dessous de la ligne de flottaison. Les invités ne peuvent plus se retenir de montrer leur excitation et s’abandonnent à leurs hôtes.
Christine à tout à coup une surprise. Depuis un bon moment, elle a une vue plongeante sur les érections de Ju à sa gauche et Thomas à sa droite. Mais alors qu’elle hésite encore à s’emparer d’une d’entre elles, elle est devancée par Lola qui est à gauche de Ju et commence à le branler. Elle est estomaquée par cette caresse prodiguée sans vergogne par la jeune fille sur son propre père. D’autant plus que Lola est la première à plonger pour emboucher ce gland appétissant, suivie par moi qui me mets à sucer Pierre. Elle n’est pas au bout de ses surprises, car Ju propose:
– Dis Lola, et si tu allais plutôt aider ta mère, honneur aux nouveaux!
– Tu as raison, on remet ça à plus tard.
Elle se lève et il en fait de même, lui demandant au passage de l’aider à pousser la table. Du coup, tout le monde est à découvert. Ce qui ne m’arrête pas, juste recrachant un moment la bite de Pierre pour la laisser un peu à Lola qui vient s’agenouiller devant lui. Ju n’attend pas pour venir se positionner devant Christine qui abandonne tout préjugés et commence à le masturber avant de passer une langue sur le bout du gland. Elle entend Thomas demander:
– Dis, Maman, puisque Lola est occupée, tu peux me donner mon dessert?
Et du coin de l’œil, elle voit Hélène faire sur son fils la même chose qu’elle sur Ju. Mais maintenant, plus rien ne l’étonne. Et visiblement, ça ne heurte pas du tout son mari qui se laisse entièrement dévorer par ses deux partenaires.
Après un bon moment de chauffe par diverses manœuvres buccales et manuelles, c’est Ju qui le premier passe aux choses plus profondes. Il fait mettre Christine à quatre pattes et vient l’embrocher en levrette, rentrant sans peine tant elle est mouillée. Elle sent cet engin la remplir et la ramoner avec plaisir tout en regardant devant elle son mari qui se laisse coucher au sol par Lola. Et elle se rend compte que ça l’excite de la voir s’empaler sur sa queue et le chevaucher comme une cavalière expérimentée. Ce n’est même plus une surprise quand elle voit Thomas prendre lui aussi sa mère en levrette.
C’est toutefois une nouveauté pour elle quand j’avance un transat devant elle et m’y assois, lui présentant ma fente bien ouverte. Elle lance timidement:
– Euh, j’ai jamais fait ça avec une femme…
– Eh bien, c’est l’occasion de t’y mettre!
Vaincue, entre autres par les coups de reins de Ju qui la font partir, elle se décide et envoie sa langue sur le clito qui lui fait de l’œil. Et c’est dans cette position qu’elle crie sa jouissance. Ju se retire et se garde pour la suite. Il fait signe à Thomas d’en faire de même, d’autant plus qu’Hélène a eu son comptant d’orgasme, vu les beuglements qu’elle a émis.
Pendant ce temps, Pierre n’a pas résisté aussi bien à la cavalcade de Lola. Quand il a annoncé qu’il ne tenait plus, elle s’est désarçonné et l’a fini à la bouche.
Alors qu’il se remet de ses émotions, Ju fait allonger Thomas sur le dos et amène Christine sur lui. Elle se laisse guider et s’empale sur son pieu, prête à repartir pour un tour. Ju reste derrière elle et lui donne la cadence en la menant par les anches et les fesses. Puis il lui caresse l’œillet avec un doigt de plus en plus insistant qu’il finit par introduire sans trop de difficultés.
A côté, Lola et Hélène sont en train de remettre en forme Pierre pendant que je me suis éclipsée. En fait, ce qui fait le plus redresser le membre de Pierre, c’est quand il voit Ju se positionner derrière Christine et poser son gland entre ses fesses. Lui qui n’avait jamais osé lui demander cette faveur, il la voit se faire sodomiser en direct, et en plus en sandwich. Et apparemment ça rentre facilement car elle ne se plaint pas. Bien au contraire elle a l’air d’apprécier car elle encourage ses deux partenaires.
D’imaginer qu’il va pouvoir refaire ça à partir de ce jour lui donne une trique bien dure. Ce que remarque Hélène qui lui propose:
– C’est de voir ta femme se faire enculer qui te fait bander comme ça?
– Oui, j’ai jamais pris ni elle ni personne d’autre par derrière, d’ailleurs.
– Eh bien, si tu veux, je te fais ton baptême!
Et ni une ni deux, elle se met à quatre pattes et c’est Lola qui prend la queue de Pierre pour la présenter sur l’anus accueillant, prenant soin au préalable de bien préparer le tout avec du lubrifiant.
Entre-temps je reviens, harnachée de mon strapon et je m’occupe immédiatement de ma fille qui reste la seule sans partenaire. Le tout sous le regard intéressé de Christine qui semble découvrir de type de jouet. Du coup, j’abrège mon action et demande à ma fille de me suivre. Nous nous approchons de Pierre qui continue de se démener dans le cul d’Hélène et commençons à le caresser un peu partout. Puis Lola se penche au-dessus du dos d’Hélène pour présenter ses tétons à sucer à Pierre pendant que je m’occupe de la partie sud de notre partenaire. Je débute en lui caressant les fesses, puis les couilles.
Sentant qu’il est bien parti, je cramponne bien le paquet et m’en sers pour imprimer le rythme à cette sodomie. De l’autre main, je remonte doucement le long de la raie du cul et, trouvant la rondelle, m’y attarde un peu. Je sens que Pierre apprécie la caresse car il se cambre un peu au lieu de se retirer. Du coup je continue à masser tout autour, puis avec toute la douceur possible je fais pénétrer un doigt dans son anneau plissé. Lentement, je commence à faire aller et venir mon doigt. Au bout d’un moment, un deuxième doigt bien lubrifié vient facilement rejoindre le premier.
Juste à côté, Christine a été secouée par un gros orgasme et regarde à la fois ce spectacle de son mari et celui que lui donnent Ju et Thomas. Ce dernier lui avait inondé le vagin le premier, et maintenant il est en train de pomper Ju. Mais lui n’a pas encore envie de gicler, se réservant pour plus tard. Il a un autre idée.
Il se dégage de la bouche de son partenaire et vient me faire enlever le strapon pour venir le proposer à Christine. Celle-ci se laisse faire, intéressée par cette nouvelle expérience. Elle pense qu’elle va s’en servir sur moi, mais Ju la détrompe.
Il lui enduit bien la queue factice de gel lubrifiant et vient la faire positionner derrière son mari. Celui-ci est tellement excité qu’il ne réalise que trop tard que mes doigts sont sortis et que c’est maintenant ce gland de caoutchouc qui vient au contact de son anus. Christine se prend au jeu et force le passage en douceur. Il a un moment de surprise, puis la tige coulisse toute seule jusqu’au fond et il s’abandonne à cette nouvelle sensation. Christine semble bien prendre plaisir à enculer son mari et ce dernier finit par éjaculer violemment dans le cul d’Hélène.
Après un petit moment de pause pour se remettre et boire un coup, les festivités reprennent. Les invités ont l’occasion de voir Thomas prendre sa mère en levrette et Lola se faire baiser par son père tout en broutant sa mère. Et je réussis à décider Hélène à enculer son fils avec le strapon. Thomas reçoit d’ailleurs l’engin avec une facilité étonnante.
Ce n’est que tard dans la nuit que tout le monde est vidé et que les voisins retournent chez eux, devant se lever assez tôt pour reprendre la route.
A suivre…
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