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Rencontre avec un couple pervers

Rencontre avec un couple pervers



Comme la précédente que je vous ai conté, cette rencontre a eu lieu il y a plus de 20 ans, sans caméscope, je vous la narre donc par écrit. Je ne raconterai ici que les rencontres ou aventures hors du commun que j’ai pu vivre il y a parfois longtemps.

Lors de soirées sur minitel j’avais échangé avec un couple. Nous avions vite sympathisé et avions eu de longues conversations par téléphone (surtout lui et moi).

Lui, soumis et candauliste aimait être humilié devant sa femme. Elle, une sacrée vicieuse à tendance dominatrice aimait les jeux de sexe pratiqués devant son mari. Elle adorait la nouveauté et ils n’avaient jamais rencontré de travesti. Une rencontre fut prévue chez moi lors d’un de leurs passages sur Paris.

Je m’étais faite toute belle. Rasée intégrale donc toute lisse. Maquillage très soigné, ma jolie perruque courte, une très jolie tenue composée d’un body vynile très échancré aux hanches, découvrant les seins, mais couvrant les bras. De jolis bas et porte-jarretelles. De magnifiques escarpins aux talons aiguilles métalliques vertigineux façon stiletto que je regrette encore. Faux ongles, bijoux, orteils vernis, j’aurais fait bander la moitié de la planète. Il ne me manque que de vrais gros seins pour être la Barbarella parfaite.

Comme convenu, je suis dans cette tenue quand la sonnette retentit. J’ouvre. Une femme superbe se tient sur mon palier, son mari derrière. Je les fais rentrer.

Ils ont 20 ans de plus que moi. Elle, la cinquantaine donc, belle, ou plutôt avec un charme et une classe dingue. Blonde, les cheveux au carré très à la mode à l’époque, parfaitement maquillée, de magnifiques formes du genre 90-60-90. De très belles jambes perchées sur de superbes escarpins à talons aiguilles. Des yeux d’un bleu à faire chavirer toutes les têtes.
Lui, à peine plus grand qu’elle, plutôt maigrichon, en costume de qualité. Quelques attitudes, quelques gestes, et l’on voit qu’il s’empresse systématiquement de rendre la vie agréable à madame.

Bonjour de convenance, elle me dit qu’elle me trouve bien plus jolie qu’elle ne l’avait imaginé, ceci augure une suite agréable.
Alors qu’elle retire son manteau, je tombe sous le charme. Elle ne porte qu’une guêpière rouge foncé mettant en valeur une poitrine de rêve, une taille assez fine comparativement, des hanches larges. Les jarretelles maintiennent de jolis bas noirs, je commence déjà à bander…

Elle jette son manteau à son mari sans un regard pour lui, est-ce un rôle qu’elle se donne ou la vie de tous les jours de monsieur, je ne sais pas, mais ici il est clair qu’il ne va pas avoir son mot à dire.

Je l’invite à s’asseoir, la complimente sur sa beauté et sa tenue, bla bla d’usage entre femelles… Puis elle prend la main tout à coup en se rapprochant de moi et posant la main sur ma cuisse « Tu me plais beaucoup » me dit-elle. Elle passe sa main sur mon entrejambe qu’elle a vu gonfler « Je voudrais te voir jouer avec lui, humilie-le, mais ensuite nous passerons du bon temps ensemble ».

Je ne suis pas facilement impressionnable, mais son assurance, son charisme, sa beauté ont déjà agi. Je suis sous le charme. Il faut que je me reprenne pour redevenir la dominatrice qu’ils sont venus voir (surtout pour son mari).

– Ici et à poil ! Fait-elle à son mari en lui indiquant un espace à 1 mètre du canapé.

Il applique l’ordre sans broncher en esquissant un petit sourire vers moi.

– Qu’en penses-tu ? me demande-t-elle
– J’ai connu mieux taillé, mais les hommes m’intéressent aussi pour leur capacité à bien me servir, à me donner du plaisir, est-il bon lécheur ?
– Sa langue est indéniablement plus efficace que sa petite bite, mais pour le service il est parfait, je ne m’en séparerai pour rien au monde. N’est-ce pas Jacques ?
– Oui ma chérie, j’essaie de bien faire
– Tu vas voir, me dit-elle, demande lui tout ce que tu souhaites que ce soit pratique ou sexuel, il est très obéissant, ne ne gène surtout pas, fait comme s’il était à toi.

Nous sommes là comme deux petites bourgeoises à papoter sur les qualités d’un valet au siècle dernier. J’avoue être assez subjuguée par la classe qui émane de cette femme, elle ne dépareillerait pas dans un dîner de l’ambassadeur. Ses gestes, son port de tête, son vocabulaire, cette façon de se tenir droite tout en affichant une fausse décontraction.

J’attaque.
– Jacques, commence par retirer tes affaires de cette table basse, pose-les sur la chaise. Va ensuite nous chercher la petite bouteille de champagne dans le frigo, et sers-nous dans ces coupes. Il s’exécute.
Alors que nous sirotons…
– Jacques, viens à mes pieds à genoux, retire un de mes escarpins et viens sucer mes orteils. Alors qu’il met délicatement un de mes pieds à sa bouche, je sens Nathalie frémir. Voilà ce qui l’excite, voir son mari dans une position et une pratique humiliante telle que celle-ci la fait mouiller, je le sens, c’est une vraie vicieuse, du genre castratrice avec lui.
– Mieux que ça Jacques ! Dis-je en faisant un petit clin d’oeil à Nathalie.
Elle jubile, s’approche de lui pour mieux le regarder, lui dit doucement « Voilà a quoi tu sers mon chéri, à me servir et servir mes amies, tu n’es qu’un larbin, j’espère que tu vas me faire honneur avec Alex ».
De mon autre pied, je tâte la petite queue de Jacques. Mine de rien il commence à bander. Il a une petite bite, mais elle durcit encore. Tout cela, car je l’humilie face à sa femme. Ils vont bien ensemble ces deux-là.

Alors que Jacques me suce le pied comme un bon larbin (j’adore me faire sucer les pieds, chacun ses petites manies. Je trouve que cela installe très bien le rapport soumis/domina, et la sensation me plaît quasiment autant que me faire sucer la queue), je prends la main de Nathalie et la pose sur ma queue. Vu que le simple fait de la regarder me fait bander, la belle bosse sous mon body ne la laisse pas indifférente, et je compte sur sa main pour me faire durcir encore. C’est le cas, celle vicieuse me fait un effet pas croyable, pour tout dire ma plus grande envie est de la tringler en levrette et de la faire gémir, mais nous n’en sommes pas encore là.

J’ouvre doucement le zip de mon body, ma queue raide se dresse alors, profitant de l’espace que je lui laisse. Quand je vois le regard lubrique de Nathalie qui scrute ma bite avec des étoiles dans les yeux je redouble d’excitation en me disant « ma salope, tu vas y avoir droit ». Mais avant cela, j’att**** Jacques par les cheveux et lui dit « fini de jouer petite lope, tu vas te rendre réellement utile », toujours en le maintenant par les cheveux, je le force à approcher son visage de ma queue, je lui frotte le visage dessus. Puis en le lâchant, je lui ordonne « Suce maintenant salope, montre-nous que tu n’es qu’une fiotte suceuse, et fais ça bien ! »

Nathalie trépigne. Voir son mari engloutir mon gland dans sa bouche la rend dingue. « Vas-y éructe-t-elle, oblige le ce bâtard, fourre-lui ta queue au fond de sa bouche de pédale, défonce-lui » Et voilà qu’elle regarde en glissant sa main dans sa culotte et en se branlant comme une salope. « Vas-y dit-elle. Suce comme une pute sale fumier, bouffe bien la bonne queue, regarde quelle salope tu es, tu aimes ça ça se voit, tu n’es qu’une pauvre merde bonne à avaler du foutre », et son langage de charretier reprend de plus belle quand j’att**** la tête de Jacques à deux mains pour l’obliger à me prendre en bouche au maximum jusqu’à la base de ma queue. Alors qu’il étouffe et recrache en tentant de ne pas vomir elle lui prend la tête d’une main et l’oblige à bouffer ma queue tandis qu’elle se branle maintenant en se déchaînant sur sa chatte.

L’effet est saisissant, « Madame » devient une vraie poissonnière, elle gueule des insultes à son mari, elle n’est plus la même, comme si son éducation venait d’être totalement oubliée. « Suce pauvre pédé, suce la belle bite tu n’es bon qu’à ça, avale tout fils de chienne, fais comme ta mère faisait, avale de la bite, c’est de famille, vous êtes tous des suceurs de bites chez les xxxxxxxx ! ».

Son changement de personnalité m’impressionne, la belle dame distinguée est maintenant d’une vulgarité impressionnante, et se faisant elle sort sa magnifique poitrine de sa guêpière, me la fout sous le nez « Tiens, tout ça c’est pour toi, pas pour cette sale fiotte incapable de bander avec sa queue de vermisseau, profite, toi tu bandes, tu es une femme et tu bandes 10 fois plus que ce bâtard ».

Elle repousse alors son mari violemment et sa bouche se jette sur ma queue, elle me suce en bavant comme une truie, tellement fort qu’elle me fait mal cette salope. « J’aime ta bite Alex, c’est une bite comme ça que je veux dans mon cul et dans ma chatte, pas une queue de fiotte ! ».
Elle s’installe alors face à moi à califourchon « Baise-moi, montre-lui comment on baise une femme à ce bâtard ».

J’ai à peine le temps de mettre une capote qu’elle chevauche déjà ma queue. Ses cris vont alerter tout l’immeuble « Vas-y, défonce-moi la chatte avec ta grosse bite, fourre moins bien à fond, baise moi je suis à toi ». Et elle s’agite, ses gros seins brinqueballent sous mes yeux, je les prends à pleine main et je lui bouffe littéralement tandis qu’elle continue ses va et viens en s’empalant de tout son poids. Ma queue est un véritable bout de bois, elle m’embrasse maintenant en bavant, sa langue s’introduit dans ma bouche, c’est une vraie nymphomane en rut que j’ai au bout de la bite. Finies les petites manières, j’ai affaire à une grosse salope vulgaire.

Au bout de 10 minutes, elle se lève, se retourne sur le canapé « Encule-moi Alex, montre à ce pédé à petite bite comment on encule une femme ».
Elle bave une bonne giclée de salive dans sa main et se lubrifie l’anus, puis fouille sa chatte et mouille à nouveau sa rondelle puis se rentre deux doigts dans le cul d’une traite.

La vue de ce cul magnifique et bronzé, ses bas, sa guêpière d’où pendent ses gros seins, ses talons, tout cela me rend folle (il est vrai qu’il y a 20 ans je bandais bien plus qu’aujourd’hui, mais là, cette salope me fait triquer à en avoir mal).

« Vas-y Alex, pine-moi sans hésiter, mon cul n’attend que ça, voilà 3 mois que je dois me contenter de la petite queue de ce petit pédé, je veux une vraie bite, bourre-moi, fourre-moi, je n’en peux plus d’attendre » dit-elle en regardant son mari.

Comment résister à un tel appel, surtout en voyant ses mains écarter sa rondelle, son gros cul est un appel à la bite, je ne me fais pas prier et je rentre sans effort, madame à visiblement de l’expérience. Elle lâche tout de même un petit cri, mais reprend ses propos orduriers à peine suis-je au bout. « Vas-y, défonce moi le cul, baise-moi comme une chienne, depuis le temps que j’attends ça, montre à cette lopette comment on encule une femme, ramone-moi, éclate-moi le cul, encule-moi Alex ».

Cette salope m’a mise en transe, je l’att**** par sa guêpière pour bien la maintenir et je la tringle comme jamais, je me mets moi-même à utiliser un langage cru. – Tu l’aimes ma queue bien au fond de ton cul de salope, c’est bon la bite hein ? Tu en veux encore sale pute, tu veux de la bite, je vais t’en donner !

Je sens alors la main de Jacques se glisser sous mes couilles, mes bourses ballottent dans sa main tandis que je tringle sa femme, c’est très agréable. Il se penche pour mieux voir ma queue s’enfoncer au plus profond de sa femme, il la regarde aller et venir en branlant sa petite queue de sa main libre. Le vicieux est super excité, il me donne l’impression que je baise sa femme comme une chienne avec une procuration de sa part. Il se branle vigoureusement tandis que sa femme lui jette parfois de petits coups d’oeil, et à chaque fois elle reprend son langage de charretier.

Au bout d’un quart d’heure elle se dégage de ma queue, se retourne pour me la sucer, la prend en main et se lève « vient m’enculer debout », et elle m’entraîne dans la cuisine. « Défonce-moi debout comme une pute. Montre-lui comment tu baises les putes ». Et me voilà à la limer à nouveau, elle debout légèrement penchée sur le plan de travail se maintenant fermement. Son mari vient se mettre sous nous et me lèche maintenant les couilles et la chatte de sa femme alors que je ramone cette salope en la maintenant par les cuisses.

Puis elle passe sur le plan de travail, sa vulve sous les yeux je continue de fourrer son cul de salope tandis qu’elle se branle le clito à pleine main. Elle me fait des grimaces obscènes, agite sa langue pour m’aguicher et en demander toujours plus. Jacques a glissé un doigt entre mes fesses, il glisse doucement sur mon petit trou, ces deux vicieux m’excitent comme une malade.

On passe ensuite à quatre pattes par terre, puis dans les toilettes, dans mon lit. Elle me fait faire le tour de l’appartement pour la baiser dans toutes les positions. Elle a dû réveiller la moitié de mes voisins avec ses cris de chienne en rut. À chaque fois son mari prend les meilleures positions pour profiter au mieux du spectacle. De son côté Nathalie ne tarit pas de grossièretés, je ne me souviens pas du quart des saloperies qu’elle a pu dire, soit pour m’exciter en me demandant de la baiser toujours plus hard, soit pour insulter son mari.

Voyant que je m’épuise (au bout de deux heures quand même…), elle me propose une pause. Elle att**** son mari, l’emmène aux toilettes, elle pisse et lui met la tête dans la cuvette en lui disant « Ne bouge pas, je reviendrais te chercher sale bâtard ». Elle le couvre à nouveau d’insultes, puis nous retournons au salon. Alors que j’ouvre une bouteille de Perrier qui va me faire le plus grand bien, elle s’assoit dans le canapé cuisses écartées et entreprend de se branler en me lançant des regards lubriques. Cette salope est insatiable, c’est 10 bites qu’il lui fallait, pas une. Je ne vais jamais tenir le rythme !

De mon côté je peine à reprendre des forces, mon maquillage a dégouliné, ma perruque est tombée, je suis en sueur, je n’ai probablement plus l’air de rien. Ça n’a pas l’air de la déranger, elle continue de m’allumer avec des mimiques vulgaires. Elle se branle maintenant le vagin à trois doigts. De ma vie je n’avais jamais croisé une nymphomane comme elle.

20 minutes de repos pour moi lui semblent suffisantes quand je lui dis que j’ai envie de pisser « Génial » dit-elle, tu va pisser sur lui. Elle le ramasse au passage dans les toilettes, nous entraîne dans la salle de bain et expédie son mari dans la baignoire.
« Pisse sur cette sous merde s’il te plaît Alex ». Je ne me fais pas prier, j’adore ça, je prends appui du talon sur l’autre rebord et ne tarde pas à me vider sur Jacques. Je lui pisse sur le visage, sur la queue, je reviens essentiellement sur son visage. Je vois Nathalie reprendre la masturbation de sa chatte devant le spectacle. Elle aime ça, les humiliations de son mari lui plaisent autant à regarder que lui à les subir.
«  Viens sucer gros porc » lui dit-elle, « viens nettoyer comme un bon larbin la belle bite d’Alex », ce que Jacques s’empresse de faire avec délectation. Elle continue de le couvrir d’insultes en le regardant dans les yeux tandis qu’il me suce, lui se branle. Puis au bout d’un moment elle m’attire vers elle et m’adosse au lavabo.
Elle lui lance un dernier « Lave-toi sale porc », puis s’accroupit devant moi et entreprend de me lécher les couilles et de me sucer. Je ne tarde pas à bander à nouveau comme un âne.
Ses magnifiques mamelles ballottent doucement à hauteur de mes cuisses, ses jambes écartées lui permettent de se branler, elle me regarde dans les yeux en me suçant, puis elle me glisse doucement un doigt dans le cul. Jacques a fini sa petite douche, il la regarde en se branlant lui aussi, de temps en temps il me sourit.

Alors que je suis à nouveau raide comme un bout de bois, elle prend ma place et se retourne sur le lavabo. « Encule-moi encore Alex, s’il te plaît, défonce-moi encore ». Capote enfilée, et c’est reparti ! Pendant que je la tringle en la maintenant bien par les hanches, je vois son visage dans la glace, elle prend vraiment son pied. Jacques est repassé sous nous, il me lèche les couilles, le cul, il branle la chatte de sa femme tandis que je mets toute mon énergie à mettre de grands coups de queue à Nathalie, mes cuisses claquent sur ses fesses. Elle se remet à hurler, je suis obligée de lui mettre une main sur la bouche, elle s’empresse de sucer mes doigts tandis que je la sodomise véritablement sauvagement. C’est indéniablement la femme la plus salope et vicieuse que je n’ai jamais baisée.

Micro pause, elle me traîne à nouveau dans la chambre avec un sourire lubrique. Elle s’allonge sur le dos, prend ses chevilles par les mains, elle m’offre la vue de sa chatte trempée et de son cul magnifique. « Met toi-la pauvre lope »- dit-elle à Jacques qui s’agenouille sur le lit.
Alors que j’approche entre ses cuisses, elle tient ma queue sur sa chatte.
« Viens sucer la belle bite petit bâtard » dit-elle à Jacques, elle lui pose la tête sur son ventre et me fait signe de lui mettre ma queue dans la bouche. Elle m’attire alors vers elle pour l’embrasser.
Elle me roule des pelles bien mouillées, entrecoupant cela fortement de « Pine-lui sa gueule de bâtard  – baise-lui bien la bouche – défonce lui la gueule à ce pédé ». Le petit jeu dure une dizaine de minutes.

Elle repousse ensuite violemment Jacques, « Encule-moi encore, bien à fond ». Re-capote, et c’est reparti à nouveau. Ses cuisses sont totalement écartées, elle a les genoux au niveau des oreilles, je prends d’ailleurs appui derrière ses genoux pour la maintenir et je lui défonce à nouveau le cul comme une chienne. Elle est tellement ouverte et trempée, je lui donne les pires coups de bite que je n’ai jamais donnés « Encore, encule-moi, défonce-moi, insulte-moi » – Et à Jacques… « regarde comme Alex baise ta femme, regarde comme elle me sodomise bien, comme elle m’encule comme une chienne ».

J’y vais de mon lot d’insultes, et je la défonce. Jacques se branle comme un dingue, je le sens vraiment très excité, il prend un plaisir fou à voir sa femme se faire déglinguer comme une traînée.

Je la remets à quatre pattes, Jacques passe sous nous aux premières loges, il lèche la chatte de sa femme, me lèche les couilles, me met un doigt dans le cul. Je ne peux plus me retenir. Alors qu’elle est agrippée à la tête de lit et que ses belles fesses claquent toujours sous mes cuisses à chaque coup de bite que je lui donne, je jouis, je jouis, je jouis.

Fin de soirée, ils restent se laver dans la salle de bain. De mon côté je suis vidée, pas seulement les couilles, cette salope m’a éreintée, je suis complètement chiffon, j’ai les jambes et les bras en coton, mes abdos me font mal, ma queue est usée.

Ils repartent, Nathalie m’embrasse en me remerciant « Tu as été géniale Alex, merci beaucoup, tu m’as donné tellement de plaisir ». Elle est à nouveau très classe, la grosse salope vulgaire a retrouvé son attitude très distinguée. Jacques toujours discret me prend les deux mains jointes « Merci Alex, merci, cette soirée était exceptionnelle, Nathalie et moi avons passé un merveilleux moment ».

Ils passent la porte, par curiosité je regarde par le judas. Nathalie a pris Jacques des deux bras par le cou, elle l’embrasse. La complicité de ce couple est fantastique. Après coup je pense que ce sont avant tout ses fantasmes à lui qui ont été réalisés, elle n’étant qu’une cochonne aimant se faire baiser.

Je vais me coucher sans même me démaquiller, je suis lessivée.

Je ne les ai jamais revus. Dommage… Ils m’ont laissé un de mes meilleurs souvenirs de rencontre.

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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