Histoire vraie, seuls les prénoms sont changés par paranoïa ou soucis d’anonymat :p
J’ai une cousine, que je vais appeler Amandine. Elle a 15 ans de plus que moi. Elle est loin d’être jolie, brune, fine, pas de seins… On s’entend bien. Son mari est sympa, lui est plutôt mignon, ils sont vraiment dépareillés.
Depuis quelques mois / années, lors de fêtes de famille, dès qu’elle a bu elle confesse facilement être en manque de sexe. Elle en parle plus facilement avec un de mes oncles dont elle est très proche, qui est gay.
L’an dernier, pour ses 40 ans, on est allé faire la fête à Montpellier. On était peu nombreux : ma cousine, mon oncle gay, et un couple d’amis. On a passé une super soirée, on dormait surplace et l’alcool a bien coulé.
Sur le retour, ma cousine, complètement bourrée, ne voulait pas rentrer. Dès qu’on passait à côté d’un bar (qui était en train de fermer, vu l’heure), elle voulait y rentrer.
Pour déconner et aussi gagner du temps (je commençais à fatiguer), je l’ai prise sur mon épaule. Elle se débattait, mais vu son poids elle n’avait aucune chance.
Alors que je la trimballai sur mon épaule, elle s’est remise à parler cul, du genre :
– Oh oui prends moi, je veux me faire baiser !
Mon oncle et notre couple d’amis, mort de rire, surenchérissait. Moi j’étais mort de rire aussi. Pas du tout excité au départ. Je lui disais qu’elle était une vilaine fille et qu’il fallait aller au lit.
– Non pas au lit, baise moi ici ! Jm’en fous des passants !
L’ambiance était toujours excellente, même si certains passants (pas tout à fait frais) nous regardaient un peu bizarrement.
– Arrête de gueuler, lui ai-je dit.
– Non, je gueule si jveux ! C’est mon anniversaire !
Pour déconner, je lui ai alors assigné une grosse claque sur le cul (elle était toujours sur mon épaule). Ça n’a pas eu la réaction escompté…
– Oh oui, une grosse fessée !!
Toujours mort de rire, on a fini par rejoindre l’appart où on dormait.
On a fini par s’endormir sans trop de galère, même si dans la nuit Amandine est venue voir si je dormais bien (je ne dormais pas mais je ne voulais pas relancer une discussion). Elle en a profité pour soulever ma couette et me mater.
On ne s’est pas revu pendant plusieurs semaines après ça, puis un jour, une autre soirée. Amis, famille, on était nombreux. Amandine était venue avec son mari, que tout le monde apprécie. Il est parti assez tôt car il bossait le lendemain.
Sur les coups de 2h ou 3h du matin, Amandine voulait aller fumer à l’extérieur et me demande de l’accompagner. On sort et on en profite pour discuter de choses plus intimes. Mes histoires de couple, les siennes… Puis elle me sort d’un coup :
– Y’en a marre de cette ville (on vit dans un petit village) y’a personne pour baiser !
Je la regarde, interdit. Je ne comprends pas pourquoi elle dit ça comme ça d’un coup. Mais elle continue :
– Tu m’enverras les photos que t’as prises ? Faut que j’en trouve une bonne.
Elle tire une grosse latte sur sa clope.
– Toi t’es vraiment en manque, je lui dis alors.
– T’as pas idée, me répond-elle.
Alors qu’elle se retourne et se baisse pour frotter son mégot sur la terre battue, je vois son cul devant moi. L’alcool aidant, je la vois différemment. Son jean un peu trop large laisse apparaître le haut du tissus d’une culotte.
Je ne réfléchis plus à rien, je colle une main sur sa fesse droite, et l’autre sur sa taille. Je m’attendais à me faire engueuler ou à ce qu’elle me dise d’arrêter de jouer au con. Mais pas du tout, elle a fait direct pression sur ma main. Elle s’est retournée ensuite et m’a embrassée. Mais j’avais pas envie de l’embrasser, j’ai passé mes mains sous son jean et j’ai commencé à lui masser la chatte à travers la culotte. Elle est devenue trempée à une vitesse ahurissante !
L’endroit où on se trouvait était un peu à l’abris des regards. Mais pas non plus super discret… Je l’ai retournée, elle se tenait à un arbre. Je lui ai baissé le jean.
– Alors comme ça tu veux baiser…
J’ai sorti ma queue et je l’ai présentée devant son anus.
– Ah oui, baise moi, encule moi, je veux de la bite !
Je l’ai enculée direct, aucune résistance. J’avais juste envie de m’en servir de vide-couilles… Elle était vulgaire et n’avait envie que de bites. Ça m’allait très bien.
La porte de la salle où on était s’est ouverte. De là où on était on avait quelques secondes de répit si quelqu’un sortait, mais pas plus… J’ai accéléré le mouvement et je me suis vidé dans son cul. Elle arrêtait pas de chuchoter des trucs de plus en plus vulgaires.
Je me suis rhabillé et j’ai regardé un peu plus attentivement autour de nous. Son mari était dans leur voiture à quelques mètres de là… En train de dormir. Il n’était pas rentré et attendait qu’Amandine ait fini la soirée pour la ramener en même temps. J’ai silencieusement prié pour qu’il ne nous ait pas vu…
On a rejoint les autres à l’intérieur puis je suis rentré chez moi.
J’ai plus eu de nouvelles après pendant quelques semaines, jusqu’à ce qu’on se recroise et qu’elle me demande si on pouvait recommencer. J’avais pas particulièrement envie, loin de là même. Je voulais surtout pas que ça se sache… Alors j’ai eu une idée… je lui ai proposé un endroit pour se retrouver, où elle serait ma chose. Elle a même pas réfléchit et a de suite accepté.
Je vous raconterai la suite si ça vous a plu.
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