Durant toute l’après midi, les autres élèves se sont moquées de son visage barbouillé de bave, de sperme et d’un reste de maquillage.
Après la fin des cours, le proviseur lui envoya un SMS l’autorisant à se refaire belle.
La réunion avec les parents d’élèves avait lieu dans la grande salle d’études mais le prof de SVT l’intercepta dans les couloirs pour l’emmener dans le bureau du proviseur. Son père était déjà là, assis en face du proviseur. Il était installé dans le fauteuil où elle avait sucé son bourreau ce matin.
« Ah Julie, vient donc t’asseoir avec nous. Comme je l’expliquais à ton père, nous avons décidé de t’accompagner un peu plus dans tes études. Cela se traduit par exemple par des devoirs supplémentaires le soir ou à des heures d’études le midi. »
« je vous suis très reconnaissant pour ce que vous faites pour ma fille. Avec ma femme, on a déjà pensé à l’inscrire à des cours du soir ou des cours par correspondance mais Julie a refusé à chaque fois »
« vraiment? Ça n’est pas bien Julie. Écoutez Monsieur Jouannot, je vous propose de me laisser organiser des cours de rattrapage certains soirs et les week-ends. Bien sûr cela dépendra de la disponibilité des professeurs »
« ça serait formidable, vous avez toute ma confiance. J’espère que cela lui permettra d’obtenir le bac en fin d’année. »
« oui, naturellement, c’est le but. Cependant cette prise en charge va avoir un coût que vous devrez assumer, je ne peux pas mobiliser des professeurs gratuitement. Je pense que nous serons aux environs de 150 euros la semaine »
« oui, aucun problème. » le père se retourna vers Julie « tu vois l’effort que l’on fait tous pour toi? Aussi bien tes professeurs que ta mère et moi. Ne nous déçois pas ! » Mais un détail retint son attention. « Qu’est ce que c’est que ce foulard rose?! Retire moi ça tout de suite! »
Julie était apeurée, Si elle retire le foulard, son père verra le collier en métal que lui a accroché le proviseur.
« euh je je » bégaya Julie
« calmez vous Monsieur Jouannot, vous savez à notre âge il y a des choses que l’on a du mal à comprendre chez les jeunes, notamment leurs habitudes vestimentaires. »
« oui mais là, quand même »
« nous sommes très ouverts dans ce lycée, et Julie est beaucoup mieux habillée que la plupart de ces camarades. Je pense d’ailleurs que c’est pour cela qu’elle a du mal à s’intégrer. Nous devrions lui laisser plus de liberté. »
« je suppose que vous avez raison, d’autant plus que ma femme et moi lui en demandons beaucoup… »
« exactement. Laissons lui carte blanche sur son apparence, l’important pour le moment c’est les études. Bien, revenons au sujet principal: les prochaines vacances »
« oui, comme je vous l’avais expliqué au téléphone, nous sommes très intéressé par votre proposition. »
« parfait, voici une autorisation de sortie du lycée, vous savez, pour tout ce qui est assurance… Car je ne l’ai pas précisé mais ces 2 semaines ne se dérouleront pas au lycée, ce sera dans un centre à quelque kilomètres de là. »
Soudain le téléphone du proviseur vibra. « mmm? Un SMS? Je vois… Julie, pourrais tu aller donner cette clé à Monsieur Racot, ton prof de sport? »
Julie prit la clé et sortit, rapidement suivie par le prof de SVT qui était resté près de la porte depuis le début.
Arrivée à la salle de sport, le prof de SVT la tira par les cheveux jusqu’aux vestiaires des hommes où l’attendait le prof de sport.
« ahh je n’en pouvais plus! » soupira le prof de SVT
« elle est finie la réunion avec son père? »
Alors qu’il discutaient, Julie était déjà à genoux pour les sucer. Ils s’étaient contentés de baisser leur pantalon pour que Julie comprenne sa mission.
« non, ça prend des plombes. Qu’est ce qu’il est con ce type, il n’a même pas lu ce qu’il a signé. A la place d’une autorisation de sortie, Jean lui a fait approuver le contrat d’esclave de notre sac à foutre »
« ahahah »
« et tu sais la meilleure? On va être payé pour lui péter la rondelle! »
« sérieux? Tu es sûr que Jean va nous lâcher un bout du magot? »
« je sais pas, il doit avoir quelque chose en tête. Ça n’était pas prévu de le faire payer l’autre. Hey petite pute, tu pourrais pas y mettre un peu plus de volonté? Innove, titille nous le gland avec ta langue, lèche nous les couilles, lèche nous le cul… Si tu prends ton temps, ton père va se poser des questions »
Julie entreprit de leur gober les couilles, mais ça n’était pas facile de mettre en bouche des boules de la taille d’un kiwi.
Mais après 10 bonnes minutes de dur labeur, les 2 étaient prêts à jouir. Le prof de sport enfonça sa bite au plus profond de la gorge de Julie, presque dans l’oesophage, et largua tout son foutre. Le prof de SVT fit de même mais en pinçant le nez de Julie. Privée de respiration, elle essayait d’aspirer de l’air par la bouche mais cela avait plutôt pour effet d’aspirer un peu plus la queue dans son oesophage. D’un coup, le foutre se déversa, puis le prof se retira, la queue toute molle et pendante. Julie toussait bruyamment et avait du mal à reprendre son souffle.
« hé béh, ça va au delà de mes espérances. Non seulement le manque d’air a aspiré ma bite plus loin, mais quand elle avale des gorgées, les ondes de son oesophage sont comme un massage. »
« tu comptes vraiment l’utiliser pour tes expériences? »
« bien sur, c’est un cobaye parfait. » puis, se tournant vers Julie « tu devrais te dépêcher de retourner avec ton père, sinon ils vont se poser des questions »
« oui » dit Julie en se levant. Mais alors qu’elle avançait vers la porte, elle reçue une décharge électrique.
« tu n’aurais pas oublié quelque choses ? » dit le prof de SVT
« euh merci maîtres, pour ce délicieux goûter »
« voilà, c’est mieux comme ça. Si en plus on doit la dresser, heureusement qu’on est payé »
Julie passa par les toilettes pour se remaquiller avant de retourner voir le proviseur. Quand elle arriva, ils étaient en train de se saluer devant la porte.
« ah te voilà enfin! » s’exclama son père « tu en as mis du temps »
« j’étais … aux toilettes »
« voilà un bel exemple Monsieur Jouannot, comme je vous le disais, de nos jours les jeunes mangent n’importe quoi et se rendent malades. C’est bien pour cela que nous essayons de privilégier des repas riches en vitamines et des produits laitiers pour tenter de préserver leur santé. N’est ce pas Julie ? »
Julie n’eut pas le temps de répondre, son père regarda sa montre. « déjà 19h! Dépêchons nous Julie, ta mère nous attend »
Sur le trajet, son père expliqua à Julie ce qu’il attendait d’elle qu’elle fasse de grands efforts pour avoir de meilleures notes. En plus, comme sa mère était cardiaque, il fallait vraiment qu’elle réussisse les prochains partiels. Une fois à table, les éloges sur le proviseur continuaient.
Après une bonne nuit de sommeil, Julie fut réveillée par ses parents à 10h du matin, ils devaient partir la journée pour rendre visite aux grands parents de Julie. Ils ne rentreront pas avant 19h.
Chouette se dit Julie, une journée enfin seule! Après leur départ, elle alla prendre un bon bain chaud. Tout en se prélassant dans l’eau, elle réfléchit tout haut à ce qu’elle ferait ensuite. « ah, ça fait du bien d’être tranquille, qu’est ce que je vais bien pouvoir faire après… Il est déjà 11h? Je vais aller chez Amélie, ça me fera du bien de parler à quelqu’un. »
Julie sortit de l’eau et pris une serviette de bain pour se sécher. Mais 5 minutes après, quelqu’un sonna. « qui ça peut être ? » Elle enroula la serviette autour d’elle et ouvrit la porte.
« alors comme ça on se la coule douce au lieu de faire ses devoirs ? »
Les jambes de Julie commencèrent à trembler, c’était le proviseur et le prof de SVT. Ils entrèrent et le proviseur referma la porte derrière lui.
« Tu as du temps libre et tu ne veux pas nous en faire profiter? »
« je je je »
« n’oublie pas qu’il y a un micro et un émetteur sur ton collier. Bien, on a donc la journée devant nous » dit il joyeusement
« ohhh en plus tu es déjà prête on dirait » dit le prof de SVT en lui arrachant la serviette de bain.
« je vais chercher le caméscope, Robert tu peux commencer sans moi » dit le proviseur qui partit dans la chambre de Julie. Quand il revint, le prof était affalé dans le canapé et Julie lui taillait une pipe.
« j’ai fouillé dans tes armoires, passe toi ça. »
Julie ramassa les vêtements que le proviseur lui avait jetés. C’était des affaires de collège, elle les enfila avec difficulté. Elle se retrouvait avec une jupe en Jean tellement courte que même debout on pouvait voir la raie de son cul, d’un T shirt rose 10 fois trop petit qui était tendu par sa poitrine et qui n’arrivait même pas au nombril.
Le proviseur s’approcha d’elle pour faire 2 couettes avec des élastiques à cheveux bleu ciel, et la maquilla grossièrement avec du rouge à lèvres rose bonbon.
Une fois fini, il installa le caméscope et expliqua : « j’ai vu des films porno d’un mec qui s’appelait Max Hardcore, je me suis dis que ça serait amusant de faire quelque chose de similaire »
« c’est bien sympa tout ça, mais c’est pas son déguisement qui va me vider les couilles »
« attend, ne sois pas si pressé. Mets ce masque de Mickey, ça nous permettra de rester anonyme sur la vidéo. »
« ah je vois où tu veux en venir. Allez, lance la camera, on tourne »
Affublés de leurs masques de Mickey, les 2 compères commencèrent à ramoner la gorge de Julie, puis le proviseur bougea la camera et il retroussa la jupe pour s’affairer sur la chatte jusqu’à jouir en elle.
Tandis que le prof de SVT s’attaquait à sa chatte, la sonnerie retentit. Julie voulut se relever mais le prof la retint et continua son affaire. Le proviseur alla ouvrir, c’était le prof de techno et celui de sport qui venaient prendre part à cette orgie. Ils enfilèrent chacun un masque de Mickey que le proviseur leur tendit et se déshabillèrent.
Julie avait maintenant les 2 mains et la chatte occupées. Le proviseur, quant à lui, filmait la scène et donnait des ordres à chacun tel un producteur de porno « Julie écarte les jambes, sourit un peu plus, pompe la queue de gauche mieux que ça! »
C’est alors que la sonnerie retentit encore. Cette fois ci c’était un livreur de pizza que le proviseur avait appelé. Choqué par la scène, il ne savait pas trop quoi faire. Le proviseur lui tendit un masque « vous voulez vous joindre a eux? »
« avec plaisir monsieur ! »
Julie essaya de dire non, les professeurs représentaient déjà un risque pour les MST, mais avec des inconnus, c’était encore plus dangereux. Mais les professeurs ne la laissèrent pas réagir.
Le livreur sortit sa queue et remplaça directement le prof de SVT qui était parti jouir dans les cheveux de Julie. Il ne mît que 3 minutes avant de gicler dans sa chatte.
Alors qu’il remontait son pantalon, le proviseur l’interpella « c’était un peu rapide non? »
« oui désolé, si vous voulez je peux faire venir des amis. »
« ça serait formidable, autant que vous voulez, mais dites leur de ramener des bières en échange. »
« OK, et pour le règlement… »
« il y a un portefeuille sur le meuble d’entrée, servez vous dedans »
« merci, et bon appétit »
Le livreur s’approcha de la porte d’entrée et prit le portefeuille. Julie le surveilla du mieux qu’elle pouvait. Elle le vit sortir 2 billets de 50 euros et les mettre dans sa poche. 100 euros la pizza, s’était pire qu’un resto de luxe.
« laissez la porte contre, je n’ai pas envi d’aller ouvrir à chaque fois, mettez donc une chaussure pour caler. » dit le proviseur au livreur
Le prof de techno qui ramonait la chatte de Julie pendant de longues minutes se mit à jouir lui aussi.
Il ne restait plus que le prof de sport, il décida de s’attaquer au cul encore vierge de Julie. Il pressa lentement son gland sur la rondelle, mais il avait du mal à rentrer dedans. Alors que ses collègues s’attaquait à la pizza, il attrapa de la sauce tomate avec ses doigts et l’étala sur l’anus de Julie. Sa queue arrivait à rentrer un peu plus mais il manquait encore du lubrifiant. Il ouvrit un sachet d’huile et le versa sur l’anus et sur sa queue. Puis il recommença à pousser sur la rondelle et enfonça plus facilement sa queue jusqu’à la garde, tout en arrachant un hurlement de Julie. Il lui tira les cheveux en arrière et lui chuchota « sois un peu plus discrète, je te rappelle qu’il y a des voisins autour de chez toi et la porte est entrouverte »
Julie plaça sa main devant sa bouche pour étouffer ses cris, sous les coups de boutoir qu’elle subissait.
Elle vit alors une, puis 2 puis 3 bites noires s’aligner devant elle. Elle releva la tête: 3 blacks avec des masques de Mickey, elle se tourna vers le proviseur qui lui fit signe de pomper. Elle prit alors une queue dans chaque mains et les branla. Le 3e type ne semblait pas prêt à attendre, il attrapa Julie par les couettes et lui fourra sa grosse bite dans la bouche et lui fit un deepthroat. Le prof de sport se finisaits dans son cul avant de rejoindre ses collègues assis près de la porte avec des bières.
Le proviseur demanda aux 3 blacks de changer de position. L’un assis dans le canapé tandis que les 2 autres soulevèrent Julie pour la placer sur sa queue, un autre lui fourra dans le cul et le 3e se mis debout sur le canapé pour occuper sa bouche. Au bout de quelques minutes ils échangèrent leurs places, Julie en profita pour jeter un oeil à ses professeurs qui se taillaient un festin avec les provisions du frigo. Elle vit aussi d’autres types rentrer dans l’appart, des blacks, des arabes, des pakistanais… Toute la cité allait lui passer dessus cet après midi!
Soudain le téléphone sonna. Silence complet, tout le monde arrêta de bouger. Puis le répondeur se lança : « bonjour, la famille Jouannot est absente mais vous pouvez nous laisser un message après le bip. *Biiiip* Julie, c’est ta mère. Nous allons être retenu un peu plus longtemps que prévu, je pense que l’on sera de retour tard ce soir. Repose toi bien et surtout ne fais pas de bêtises. »
Tout le monde éclata de rire en entendant le message et ils recommencèrent à pistonner Julie de plus belle.
Quelques types demandèrent à Julie de leur lécher le cul. L’un d’entre eux incita Julie à aller toujours plus loin avec sa langue, avant de lui larguer une caisse à la figure. Ca n’était même pas le plus écoeurant pour elle. Ce qu’elle détestait le plus, c’était l’hygiène des bites qu’elle acceptait dans sa bouche : il y en avait beaucoup de mal lavé et puant la pisse.
« quand vous giclez, faites le sur son visage, ça manque un peu depuis le début du film » dit le proviseur.
Aussitôt dit, Julie fut mise à genoux et 4 queux se succédèrent pour larguer un paquet de sperme sur son visage et notamment ses yeux. Elle sentit quelques choses de métallique raclait son visage, c’était le prof de svt qui collectait le sperme dans un saladier. Puis le manège recommença, Julie n’avait aucune idée de l’heure qu’il était, ni du nombre de bites qui la visitaient, ni même du visage de ses bourreaux car tous portaient un masque de Mickey.
Un pakistanais qui se faisait sucer lui arracha le devant du Tshirt, faisant automatiquement bondir les 2 seins prisonniers jusque là. A ce moment là, l’arabe qui s’affairait dans le cul de Julie sortit un couteau à cran d’arrêt. Les professeurs devinrent tous pâles, mais le type se contenta de découper la jupe en 2 pour s’en débarrasser.
Le prof de SVT dit avoir un voix inquiète « Elle a l’air de perdre de rythme, rechargeons lui les batteries » et lui balança une décharge électrique qui eut pour effet d’accélérer la cadence de Julie.
Le prof de techno passa la porte d’entrée en criant « il y a de la clientèle qui fait la queue jusque dans l’escalier, il faut accélérer ! »
« Il ne vont pas pouvoir tous passer, il faut qu’il viennent juste se branler dessus pour finir sur un bukkake » fit le proviseur, « je n’ai presque plus de place sur cette cassette et c’est la dernière »
Les professeurs firent rentrer presque 40 personnes en même temps dans l’appart pour se branler sur Julie sans pouvoir la monter. En partant, certains volèrent des objets de valeur, de l’argenterie, des manteaux…
« voilà voilà, merci d’être venu, bon week-ends à tous » dit le prof de sport en raccompagnant les derniers jeunes qui remontaient les pantalons.
« tu n’as pas mangé de la journée » dit le prof de SVT, le saladier plein de foutre à la main. « ouvre la bouche et fait ahh »
« aahh » dit Julie en recevant une cuillère à soupe de sperme
Le proviseur de rapprocha avec la camera devant le visage de Julie. « souris un peu voyons, tu ne vas pas nous obliger à tout recommencer? » lui dit il avec un sourire carnassier.
Julie avala plusieurs cuillères de la mixture mais cela prenait trop de temps, ils lui firent boire le reste avec une paille. « coupez » cria fièrement le proviseur en éteignant le caméscope. « on a 6h de rush, il va falloir éditer ça pour n’en garder qu’une heure »
« bon, c’est pas tout ça mais il est tard, on vous laisse » dirent les 3 profs, mais le proviseur les arrêta.
« non non, ça n’est pas fini, j’ai ma petite idée, on a encore le temps avant le retour de ses parents, il n’est que 17h » puis se tournant vers Julie : « dépêche toi de ranger tout ça, imagine la tête de tes parents si ils voyaient l’état de leur appart, je ne parle même pas du film »
Julie essaya de se lever mais elle retomba sur les genoux. Ils lui avaient complètement labouré le cul. Elle essuya les traces de sperme sur le sol et le canapé du mieux qu’elle pouvait mais ses cheveux dégoulinant de foutre resalissaient au fur et à mesure. Le proviseur et les profs semblaient y mettre du leur en ramassant les cadavres de bière et en rangeant les chaises. Puis ils aérèrent la pièce qui puait le foutre.
Une fois tout nettoyé, le proviseur aida Julie à se doucher rapidement puis lui passa un jogging. Elle s’endormit à terre, exténuée par cette journée. Mais elle ne se rendait pas compte de ce qu’il lui arrivait alors…
Elle se réveilla, hurlant de douleur à la fesse gauche. Les 4 compères la maintenèrent et un 5e type lui administra un piqûre de tranquillisant. Julie se réveilla plus tard chez elle, sous les yeux bienveillant du proviseur.
« écris ce que je te dicte sur ce postit : j’ai fait venir des amis et on a fait la fête toute la journée, désolée pour la casse et les vols, je le paierai avec mon argent de poche »
Puis le proviseur reprit le stylo et alla mettre le postit dans la cuisine.
« comme on a peur que d’autres personnes tentent de profiter de toi, on a fait comme pour n’importe quel objet, regarde ta fesse dans le mirroir »
Julie se leva et tituba jusqu’au miroir. Elle se tourna légèrement et vit une marque noir sur la gauche de son cul, puis elle s’écroula en larmes. Sur un rectangle de 15cm sur 5cm, il était tatoué :
PROPRIETE
DU LYCEE
CONDORCET
La suite, au prochain épisode
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