C’était durant nos années collège, Vincent, Angélique et moi avions à peine 15 ans. Durant chaque interclasse (entre midi et deux heures ) nous avions l’habitude d’aller dans le bois situé derrière l’école pour bavarder et fumer quelques cigarettes en cachette. Ce jour, il faisait très chaud et nous étions tous trois allongés dans l’herbe à discuter de choses et d’autres et comme vous le savez à cet age là on était très portés sur la chose.
Très naturellement, Vincent posa une question a Angélique :
– T’est-il déjà arrivé de te toucher, euh, c’est-à-dire de te masturber quoi !
Assez gênée , Angélique lui répondit :
– Une fois ou deux mais c’est sale. de toute façon l’été dernier je suis sorti avec un mec de 27 ans et tu vois la suite !
Ce qu’elle prétendait n’était peut-être pas des bobards car elle faisait plus vieille que son age : elle était grande (environ 1m80), de très longues jambes et des seins bien développés en forme de poires, bref une fille sur laquelle tous les gars de la classe se branlaient le soir en rentrant de cours.
Allongée sur le coté, Angélique laissait entrevoir à travers son tee-shirt blanc ses 2 gros seins qui nous donnaient envie de les malaxer. Tout à coup et je ne sais pas pourquoi Vincent, qui était allongé à coté, mit sa tête sous le tee-shirt d’Angélique. la réaction de cette dernière me démontra ce jour la qu’elle en pinçait pour lui car sa résistance ne dura que quelques secondes . Voyant ce spectacle assez surprenant je décidai de glisser ma main dans son tee-shirt à mon tour et de lui palper les seins à travers son soutif. Vincent lui se contentait juste d’admirer ma main sur ce nichon appétissant. Nous voyions bien que cela lui faisait du bien car elle se détendait progressivement. Puis après avoir enlevé ma main de ce paradis je laissai Vincent à ses Occupations (il s’était enfin décidé à lui dégrafer le soutif et à lui bouffer les mamelons) et me mis à déboutonner son jeans serré.
Là, elle montra une petite résistance mais le plaisir que lui procurait Vincent l’enivra et se laissa faire à ma plus grande joie. Ainsi, je glissais ma main dans sa culotte et découvrais tout un nouvel univers ! je sentais sa chatte ma fois assez poilue et très humide, et commençai à la caresser en lui passant mon doigt le long de sa fente sans la pénétrer. Ensuite, Vincent se leva et demanda à Angélique de prendre sa pine dans sa bouche, ce qu’elle fit sans hésiter. Elle était couchée sur le coté, la bouche pleine et la jambe levée pour me permettre d’introduire ma bite dans sa chatte. Elle le suçait goulûment, à pleine bouche et j’ai cru qu’elle allait le manger tout cru . Vincent s’extasiait car c’était sa première pipe et il n’arrêtait pas de dire: je vais jouir, putain, je vais jouir ! Mais il faisait tout pour se retenir car il voulait la baiser à son tour. Pour ma part , c’était aussi ma première fois donc je n’étais pas très dégourdi pour me positionner mais je trouvai la plus confortable position en me mettant à genoux (les cuisses écartées pour laisser le champ libre à mon outil) Et introduisis mon chibre lentement dans son con si moelleux et inondé de mouille. ah ! je criais de bonheur car c’était si chaud à l’intérieur ! je voulais rester dans son corps pour l’éternité ! j’étais de même étonné par le bruit que faisait mon manche contre son vagin, je trouvais ça plutôt marrant.
Vincent quant à lui avait subi trop de gâteries et n’en pouvant plus il inonda le visage d’Angélique de son sperme chaud et grumeleux; son jet a été si fort je reçu moi-même quelques gouttes de sa semence que j’essuyai de suite car je trouvais ça dégueulasse. Exténué, Vincent ne pouvait plus rebander, il était en colère car il n’avait pas eu le temps de connaître cet abri si accueillant qu’est sa chatte.
La ramonant de plus belle, je n’en pouvais plus moi aussi et libérai tout mon foutre sur sa chatte foisonnante: tout ce liquide chaud coula le long de sa fente et atteint son anus étoilé encore vierge. C’était mon premier vrai orgasme et j’ai cru avoir déverser des litres entiers sur son corps magnifique maintenant légèrement sali par nos semences.
En sueur, Angélique se releva et nous remercia de ce bon moment mais nous dit que nous avions du boulot par rapport au gars de 27 ans. Pas du tout vexés, nous en profitâmes pour lui demander de nous donner des conseils et de les mettre en pratique ultérieurement. Elle accepta avec joie. Tout à coup, la sonnerie retentit et je revins en cours avec un sourire jusqu’aux oreilles car j’avais l’impression d’être devenu un homme .
J’espère que ma 1ere expérience vous a excité , bonne branlette a toutes et a tous !
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