Depuis quelques mois, notre vie sexuelle est en manque d’inspiration, et nous sommes tous les deux à la recherche de ce qui donnerait un nouvel élan à notre vie sexuelle.
Ce soir, nous avons invité un vieux copain, Ali, sensiblement du même âge que nous et qui a quitté la région depuis trois ans, suite à son divorce.
Depuis quelques mois, lors de nos ébats amoureux, j’ai plusieurs fois fait part à mon épouse Nadia du désir que j’ai de la voir faire l’amour avec un autre.
La belle, au début, ne me répond que par non, un seul homme pour elle est bien suffisant, dit-elle.
Quand j’ai su que Ali revenait passer quelques jours pour son travail, cela m’a redonné certaines idées, car ce jeune homme brun, ne laissait pas ma chère et tendre dans l’indifférence. De plus, lui, aimerait bien se faire mon épouse.
Un soir en rentrant, je fais part à ma chérie de sa venue pour son travail, et que je l’ai invité à dîner, elle me regarde avec un sourire, je vois que cela lui fait plaisir.
Je fais de nouveau allusion à mon fantasme de voir ma femme se faire prendre par ce beau mec, ce qui ne la laisse pas indifférente.
Et là, mon épouse me regarde dans les yeux en me demandant si je suis bien sûr de ce que je lui propose.
Devant mon silence, elle me répond : pourquoi pas, il n’est pas mal comme mec, d’autant qu’il doit assurer ….
La sonnette retentit, j’ouvre et fais entrer Ali, un bouquet de fleur dans une main et une bouteille de champagne dans l’autre.
– Nadia finit de se préparer, dis-je à mon copain qui semble impatient de voir celle qu’il n’a pas vu depuis plusieurs mois.
Quand elle apparaît, nous sommes tous les deux stupéfaits.
Elle est vêtue d’un petit haut noir entièrement transparent qui laisse la vision sur ses deux petits seins nus, une robe longue noire, fendue jusqu’en haut des cuisses, des bas noirs auto fixant.
Quand elle marche, le haut de sa cuisse, même le début de sa fesse, ne laisse pas indifférent les deux hommes, surtout son invité, qui n’a d’yeux que pour elle.
Ils tombent dans les bras l’un de l’autre en s’embrassant sur le coin des lèvres, ils restent un long moment enlacés en se regardant dans les yeux.
Quand ma femme s’affale dans le canapé, en s’asseyant, elle dévoile sûrement volontairement, bien plus haut que ses cuisses. Ali, qui est positionné juste en face d’elle, n’en revient pas, car elle n’a même pas mis de slip !
Elle croise et décroise ses jambes devant son invité qui a très certainement pu apercevoir l’absence de sous-vêtement ainsi que son sexe épilé.
Nous passons à table, nous discutons de choses et d’autres, mais surtout de sexe, car Ali est réputé être « un chaud lapin ».
Nous fêtons copieusement nos retrouvailles en absorbant de nombreux verres de vin.
Ali, qui a une réputation d’être un tombeur, ne manque pas de faire certaines allusions qui font rougir ma mignonne.
A la fin du repas, Nadia se lève pour aller chercher le dessert, c’est alors que Ali me fait part de la beauté de mon épouse.
– Heureusement que tu es là, dit-il, car je crois qu’il me serait difficile de ne pas succomber …
Je le regarde, un peu surpris de la façon dont il me parle de ma femme.
– Si elle te plaît autant que çà, dis-je, et si bien sûr elle est d’accord, tu peux tenter ta chance, je ne t’en voudrais pas.
Le repas terminé, Nadia débarrasse la table aidée par Ali ; moi je sors sous la véranda pour fumer une cigarette tout en espionnant le couple.
Mon épouse est devant l’évier quand le beau brun, arrivant par derrière, la saisit aux hanches, il remonte lentement ses mains vers sa poitrine qu’il caresse, elle se laisse faire. Mieux même, elle s’abandonne en rejetant sa tête en arrière à la rencontre de celle de mon copain.
Et là, en quelques instants, les deux amants se retrouvent enlacés, les bouches se soudent, les langues se mélangent, les mains de Ali s’activent sur la croupe dénudée et sur les seins de la dame.
Cela dure dix bonnes minutes sous mes yeux, je suis très excité de voir mon épouse se donner à notre copain, et à la fois, un peu jaloux de le voir prendre possession de celle que j’aime…
Je décide de rentrer en faisant du bruit pour prévenir que je vais rentrer.
Mon épouse vient me faire un bisou en me disant qu’elle allait mettre de la musique pour danser.
Ali baisse la tête et semble assez gêné, une belle bosse qu’il cache avec difficulté s’est formée dans son pantalon.
Aussitôt, les deux amants se retrouvent dans les bras l’un de l’autre, en train de danser, plus précisément en train de se frotter. Les mains de Ali caressent le dos de sa cavalière puis descendent rapidement pour lui caresser les fesses.
Les bouches se soudent dans un profond et très long baiser, les bretelles de la robe tombent, laissant apparaître deux nichons assez fermes dont son cavalier prend très vite en mains puis, avec les lèvres et les dents, arrachant quelques petits cris aigus à ma chérie.
Le slow n’est pas terminé que la robe tombe à ses pieds, ma femme est entièrement nue, dans les bras de son amant qui, tout transpirant, promène ses mains sur ce corps convoité depuis si longtemps.
Mon épouse, à sa demande, s’allonge, cuisses grandes ouvertes sur la table du salon, il colle sa bouche sur la chatte toute luisante de mouille de la belle et entreprend de la lécher copieusement.
Mais son désir le plus cher est de la posséder bien vite. Son pantalon et son boxer tombent à ses pieds. Son zob impressionnant, plus de 20 centimètres pour une bonne grosseur, se positionne très rapidement à l’entrée du minou tant convoité.
Alors qu’il insère sa queue, ma chérie, qui s’est relevée sur ses coudes pour assister à cette pénétration, me regarde dans les yeux avec fierté, il y a même une pointe de méchanceté dans ce regard qu’elle me lance.
Après l’avoir limée copieusement, il explose dans la moule de la brunette, qui gesticule et crie son plaisir.
Je me suis assis dans le canapé pour me repaître du spectacle tout en me masturbant.
Ma femme se relève, un mélange de mouille et de sperme coule de son abricot sur ses cuisses, elle me regarde en me toisant du regard. Elle se positionne alors à quatre pattes, le cul bien cambré, sur le plancher en face de moi.
– Allez, dit-elle à Ali, viens m’enfiler encore devant mon mari cocu, mon époux zamel (zamel, veut dire pédé en arabe marocain), je veux qu’il voit ton zob pénétrer sa femme au plus profond !
Ali, la prenant par les hanches, la fourrage copieusement pendant un bon moment. La femelle crie et transpire sous les coups de boutoir de son amant.
Vaincus, les deux corps s’affalent sur le plancher, tout en plongeant son sexe dans la vulve, il la termine en astiquant son clitoris avec son doigt.
Nouveaux cris, nouvelles giclées de sperme.
– Va chercher du champagne, me lance ma femme, de baiser aussi fortement nous donne soif ! Allez bouge, sale pédé !
Après avoir repris des forces, ma chérie fait asseoir Ali sur une chaise, elle vient face à lui et s’empale lentement sur son zob tout en me regardant.
Ainsi enfilée, son copain la soulève et la laisse redescendre de tout son poids. Ma chérie, ainsi emmanchée, gesticule et crie.
Se repositionnant en levrette, ses fesses bien cambrées, en écartant ses fesses avec ses mains, elle demande à son amant de lui prendre le cul.
Se positionnant derrière elle, il fait coulisser un puis deux doigts dans son fondement. La sentant prête, il positionne sa lance à l’entrée de son œillet et l’enfile.
Pendant qu’elle se fait sodomiser, je me lève et lui présente mon petit zizi pour qu’elle me suce, elle me regarde fixement avec un petit sourire puis tourne la tête en m’ignorant.
Elle gesticule en encourageant crûment son amant à aller encore plus profond et plus fort. Quand Ali, ne pouvant plus se retenir, il se fige et lui envoie plusieurs giclées de sperme dans ses intestins.
Emplie de sperme, elle vient me voir pour me proposer de me sucer mais :
– A condition, dit-elle, que tu nettoies tous mes orifices ! Je veux que tu avales tout le foutre qu’il m’a injecté ! Allez, viens sucer le sperme de ton maître !
Elle me présente son cul et je commence à laper, comme un chien, tout le sperme de son amant.
La nuit étant bien avancée, elle dit à son amant qu’ils vont se coucher, je la regarde interrogateur.
– Toi le cocu zamel, petite bite, dit-elle, tu dors sur le canapé ! Cette nuit et toutes les nuits à venir, MON lit sera occupé par celui qui m’a fait jouir comme jamais, avec son gros zob !
Je m’endors en pensant à cette soirée.
Je suis réveillé, deux heures plus tard, par les cris de mon épouse qui doit être encore en train de se faire prendre, par son amant infatigable, dans notre propre lit.
FIN
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