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Comment je suis devenu Leila 2

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Toute la nuit, je restais éveillé à repenser à ce qu’il s’était passé durant la journée. Je me revoyais en train de sucer mon ami d’enfance, d’avaler tout son sperme. J’étais un peu choqué. Je ne savais pas si c’était à cause du fait que j’avais pratiqué une fellation, que j’avais avalé du sperme, parce que je m’étais travesti ou alors à cause du fait que j’avais vraiment adoré l’ensemble…
Au petit matin, je pensais avoir tout compris : J’avais simplement trouvé ma voix : à partir de maintenant, je serai Leila, travesti adorant le sexe. En me levant de mon lit, je constatai que j’étais seul dans toute la maison. Je descendis à la cuisine et je trouvai un mot de ma mère : « Nous sommes allés faire des courses ta sœur et moi. Nous ne rentrerons que ce soir. Bisous ».

Je décidai d’aller me préparer car Mahdi devait passer dans peu de temps. Je montai à la salle de bain et je me mis nu. Je constatai que j’étais plus ou moins imberbe du torse et qu’au niveau de mon sexe, je n’étais pas poilu comme un ours. Je décidai donc de m’épiler intégralement de la tête au pied. Je perdis un peu de temps à enlever les quelques poils autour de mon anus. Mais il fallait bien ça, car j’en étais sûr, Mahdi apprécierait le fait que je sois tout lisse.
Une fois que cela fut fait, je pris une douche en utilisant les shampoings et savons de ma mère et de ma sœur. Je sentais vraiment bon, comme les femmes de la maison. J’allai ensuite dans la chambre de ma sœur, je choisis un string rose fluo, un soutien-gorge assorti, des bas et des portes- jarretelles noirs. Je commençai à m’habiller, les attaches du porte-jarretelles me posèrent encore quelque souci mais, dans l’ensemble, je fus beaucoup plus rapide que le jour d’avant. Je choisis ensuite une jupe plissée m’arrivant à mi-cuisse de couleur bleue. Je pris aussi un petit pull noir très joli. Mais aujourd’hui, je décidai d’aller au bout de ma transformation. Je retournai dans ma chambre et je pris une perruque que j’avais utilisée pour un déguisement dans une fête l’année passée. Elle me faisait une coupe de femme avec des cheveux mi longs, châtain, m’arrivant au bas de la nuque. Je retournai dans la chambre de ma sœur, muni de mon ordinateur portable. J’allai sur un site qui expliquait aux jeunes filles comment se maquiller. J’optai pour un maquillage très léger. Un peu de rouge à lèvre, une fine couche de fond de teint, et un tout petit peu de mascara.
J’étais prête, je me regardai dans les yeux, et je ne croyais pas ce que je voyais : on aurait dit une fille qui me ressemblait légèrement !
Un détail me contraria cependant, il me manquait de la poitrine. Je remplis deux petits ballons avec de l’eau et les mis en place de mon soutien-gorge. J’avais maintenant une jolie petite poitrine, bien ferme.

La sonnette retentit, j’allai ouvrir. J’étais persuadé que c’était Mahdi qui était un peu en avance, j’ouvris sans prendre la peine de regarder qui était mon visiteur. Je tombai nez à nez avec un livreur qui venait apporter un colis pour ma mère. Il me dit :
– Bonjour mademoiselle, j’ai un paquet pour Madame Fatima, c’est bien ici ?
Je lui répondis de ma voix la plus fluette :
– Oui c’est ma mère mais elle est absente, pouvez-vous repasser demain ?
Il me répondit qu’il n’y avait pas de problème et partit. J’étais très fière de moi, il n’avait pas vu que je n’étais pas vraiment une fille. L’illusion devait donc être bonne. J’eus à peine le temps de refermer la porte que la sonnette retentit à nouveau. J’ouvris et cette fois, c’était bien Mahdi, je lui ouvris la porte et il me dit :
– Waouh, t’es vraiment magnifique, on croirait vraiment voir une fille !
Je lui dis d’entrer et il me suivit au salon. Je lui demandai s’il voulait boire quelque chose, il me demanda un verre de thé froid. J’allai à la cuisine le chercher et je revins le servir. On alluma la télévision, et nous nous assîmes dans le canapé. A peine étions-nous assis que je sentis une main sur ma cuisse. Mahdi me dit :
-T’es trop belle, tu ne voudrais pas me faire une petite gâterie comme hier ?
Je lui répondis :
-Bien sûr mon chéri !

Je déboutonnai son jeans, descendis son caleçon et sortis sa magnifique bite. Il était presque en érection. Au fond de moi, une boule d’excitation se formait alors que j’approchais ma bouche de son zob. Je commençai par lui lécher les couilles, avant de faire passer ma langue sur toute la longueur de son sexe. Puis enfin, j’avalai sa bite, je commençai des allers retours en allant bien le plus loin possible pour lui faire plaisir. Je sentais sa tige durcir dans ma bouche, il releva ma jupe et commença à me caresser les fesses. Il les écartais et faisait passer son doigt sur mon petit trou. Il me dit :
– Je vois que tu t’es épilée, j’adore !
Il me fit lécher son doigt et je le sentis qu’il l’enfonçait progressivement dans mon cul. La sensation était nouvelle mais vraiment très plaisante. Il me fit arrêter ma fellation pour que je puisse me mettre en sous-vêtement. Je retournai précipitamment sur sa bite pour continuer de le sucer. Il dit :
– Bave bien dessus pour la lubrifier parce qu’après, je vais faire de toi une vraie femme !

En entendant ses mots, je faillis décharger dans mon string. Au bout d’un moment, il m’ordonna de me mettre à quatre pattes sur le canapé, il me fit tendre les fesses et mettre ma tête dans les coussins. Il enleva mon string et je sentis son gland se poser sur mon trou. Il appuya son gland de toutes ses forces et il me pénétra de quelques centimètres. Mais la douleur fut si vive que je le suppliai de sortir, il accepta et me dit :
– Faut que je te lubrifie le cul ma chérie, tu es encore trop étroite !
Il courut à la cuisine et il revint avec du beurre, il m’en enduisit l’anus. Puis il en mit aussi un peu sur son gland. Il me remit à quatre pattes et recommença, il posa son gland sur mon petit trou et appuya. Il passa beaucoup plus facilement, je sentis tout de même une douleur mais je me tus, je ne voulais pas interrompre un moment si magique. Je le sentis s’enfoncer en moi, centimètre par centimètre. Puis enfin, ses couilles touchèrent mes fesses. Il commença un mouvement de va et vient de plus en plus rapide. J’avais l’impression que j’allais m’évanouir, tellement c’était bon. A chaque coup de bite que je prenais, je me sentais plus femme. Je me mis à pousser de petits gémissements pour l’encourager. Au bout de 10 bonnes minutes, il me dit :
– Ma salope, tu préfères que je jouisse dans ton petit cul ou sur ton visage ?
Je lui répondis :
– Jouis à l’intérieur de moi, mon chéri !
Mahdi me dit :
– T’es vraiment trop bonne ! Je vais jouir !!! PRENDS SALOPE !!!

Je sentis son sperme inonder mon intestin et je jouis également, sans avoir touché ma petite bite ridicule. Je perdis presque connaissance. Lorsque je me réveillai, Mahdi me dit :
– C’était génial ! Écoute, je dois y aller mais dis-moi, quand on peut se revoir ?
Je lui répondis :
– Écoute pour moi, demain je suis libre, mais faut qu’on aille chez toi parce qu’il y aura toute ma famille ici.
Lui :
– Pas de problème, demain chez moi sans faute. Tu peux venir quand tu veux, je suis tout seul demain.
Il se leva, remit ses habits et il me prit dans ses bras. Il prit ma tête dans ses mains et me fit un bisou sur les lèvres. En partant, il me dit :
– A demain mon amour, téléphone-moi ce soir s’il te plaît !
Puis il sortit. Je partis sous la douche, la tête encore pleine de la jouissance que cet après midi m’avait procuré. Et soudain, je réalisai : il m’avait appelé « MON AMOUR » !
Je n’étais donc pas seulement sa salope soumise mais SON AMOUR ! J’ai failli pleurer de joie !

FIN

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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