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Mon fantasme (au féminin)

Mon fantasme (au féminin)



Me voici de nouveau pour raconter une autre première fois.
Celle où j’ai rencontré un inconnu. Je devrais dire d’ailleurs un puis en suivant des inconnus (et qui le sont encore, vous comprendrez pourquoi).
Comme tous les jours, je me connecte sur mon profil et je vais aux nouvelles et regarder mes messages.
Parmi ceux-ci, un m’interpelle plus particulièrement. Il est sans fioritures. Très direct :
« Je vais être direct ! Ça fera gagner du temps à tout le monde ! Je suis on ne peut plus pervers et j’aimerai faire un truc fun. Cependant je ne trouve pas de fille intéressée pour le faire. Veux-tu en savoir plus ? »
Je dois dire qu’il suscite ma curiosité avec son côté « droit au but »
Je décide de lui répondre : « salut ! Peux-tu m’en dire plus stp ? Ça peut se discuter »
Il m’explique qu’il est assez vieux, très pervers. Qu’il veut me recevoir chez lui, habillé en écolière ou en l****a. Qu’il me bandera les yeux pour m’accompagner dans sa grotte et s’occuper de moi. Je ferai semblant de te violer dans ma cave.
J’imagine un peu la scène. Je mouille. Je ne sais pas pourquoi c’est mon fantasme.
Ma réponse alla dans ce sens : « ok ! On est en plein sur mon fantasme, du coup je mouille déjà !!! »
Nous convenons du jour et du lieu de rendez-vous. Demain matin, proche de chez lui, il viendra me chercher dans une MG décapotable vert anglais. Pour ma part, je serai habillée avec un haut moulant, bien décolleté qui enrobera ma poitrine plantureuse et une jupe courte, à carreaux, comme les écolières anglaise. Je mettrai sur mes jambes des chaussettes hautes, au-dessus des genoux et de petites chaussures noires vernies. Je me ferai deux couettes et mettrai un bon rouge à lèvre qui tient bien même pendant une pipe ! Sait-on jamais.
A y penser, j’ai chaud, mes seins commence à pointer. C’est joli sous mon t-shirt. Je passe le bout de mes doigts dessus. J’adore ces frissons. Je fais descendre ma main et la passe dans ma culotte. Je suis déjà mouillée. Je ferme les yeux et commence à me caresser en m’imaginant à demain.
La nuit passe, j’étais encore toute excitée hier soir en imaginant la scène.
Je vous passe les détails du transport où j’ai dû en exciter plus d’un sur mon passage. Ça aussi ça m’excite. J’adore qu’on me matte ! Je roulais du cul exprès.
Je me rends au point de rendez-vous. Il est déjà sur place. Il a dans les 60 ans, un peu dégarni un petit ventre rondouillet mais pas trop. Il doit pouvoir voir encore sa queue. Il me fait un sourire et je vois ses yeux briller, lubriques.
Je monte dans la voiture : « Bonjour mademoiselle, puis-je vous déposer ? »
Je lui réponds : « Volontiers monsieur »
(Pour les échanges suivant j’utiliserai « M » pour moi et « L » pour lui)
L : Puis-je te proposer un café jeune fille ? J’habite juste à côté ! »
M : Je ne sais pas si j’ai le droit Monsieur.
L : Allons, un simple café… Si tu veux nous pourrons jouer un peu ensemble si tu veux. J’ai plein de jeux !
M : Bon d’accord ! Allons-y !
Effectivement, il n’habite pas loin. Un joli pavillon, avec des voitures garées çà et là dans la rue. En appuyant sur une télécommande, le portail s’ouvre, puis le garage. Il y gare la voiture.
L : Je vais venir t’ouvrir la porte et nous allons commencer le jeu d’accord ?
Je le laisse faire le tour, au moment où il m’ouvre la porte j’en profite, au moment de descendre, pour bien ouvrir mes jambes, qu’il puisse reluquer ma petite culotte de coton blanche avec plein de petits cœurs rose.
Je le vois mater. Mmmm…, son regard sur mon entrejambes et mon décolleté ont été insistants…
L : tourne-toi ! Je vais te bander les yeux et le jeu va commencer. Continue à m’appeler monsieur. J’insiste.
M : Très bien monsieur !
Tout en me bandant les yeux au moment de serrer un peu je fais un tout petit pas en arrière, mes fesses effleurent sa braguette, déjà toute gonflée. Je sens des frissons parcourir mon corps. Je suis toute mouillée.
Rapidement, d’une main ferme, il vient presser par-dessus ma culotte ma chatte.
L : Et bien jeune fille ! Vous êtes émotive ! Le jeu peut donc commencer ! Je vais t’emmener dans ma cave petite chienne, je vais t’attacher et jouer avec ton corps qui maintenant est le mien !
A ces mots il me prend par le bras et me guide. Une porte grince, il me fait descendre un escalier qui, les yeux bandés, me parait interminable. Nous arrivons à destination, je sens une chaleur douce. Sous mes pieds, je sens une moquette très épaisse.
L : D’abord assieds-toi là petite pute ! Je vais t’attacher les mains d’abord ! Et ouvre ta bouche !
M : Ou… Oui… D’accord…
L : Appelle-moi monsieur, je t’ai dit petite salope ! Ouvre ta bouche ! Vite !
M : oui monsieur ! Tout de suite monsieur !
A peine la bouche ouverte je sens une main passée derrière ma tête et la pousser avant. Son sexe dur pénètre ma bouche brutalement ! Il me baise la bouche comme jamais. J’en ai des haut-le-cœur à certains moments. Ma salive sort de ma bouche et perle sur mon menton. Ses mains pressent mes seins. Fort…
D’un coup il déchire mon décolleté, sors mes seins de mon soutien-gorge. Je continue de sucer, j’aspire bien fort en remontant sur le gland.
Il se retire. J’entends des bruits de frottement, comme des pas sur la moquette. Je sens ma tête partir en arrière, il me tire par les cheveux, j’aime ça putain !
L : Ecarte tes jambes ! Je veux voir ta culotte !
M : Oui monsieur.
A peine ai-je eu le temps de le dire que ses deux mains m’ouvrent les jambes en grand. Ça main caresse ma culotte, il appuie dessus. Je gémis. Doucement il veut écarter un bord de ma culotte. Ni arrivant pas comme il veut, de ses deux mains, il la déchire. Je mouille encore plus.
Ses doigts viennent fouiller ma chatte, je me cambre en gémissant, plus encore.
Puis, de son autre main, il me pelote la poitrine. Tout en continuant de bien me branler. Mes jambes sont bien ouvertes.
Quelque chose d’étrange vient de se produire…. Il a combien de mains ce mec ???
Une sur pour ma chatte. Ok !
Une pour mes seins. Ok !
Mais j’en sens d’autres ! Dont une me faisant tourner la tête pour m’ouvrir la bouche avec une queue que j’avale immédiatement !
J’essaye de parler :
« Mais vous n’êtes pas seul ? »
L : « J’ai dit appelle moi monsieur ! »
Ma tête part en arrière, tirée à nouveau par les cheveux.
M : Oui monsieur !
L : Et on est 3 et on va te baiser comme une grosse salope ! Sans capote ! Ona va t’engrosser comme une chienne et te faire aimer les bites nous ! Ok les gars ?!
J’entends deux nouvelles fois faire « ouaiiis, on va bien te déglinguer ! »
Aussitôt je me sens soulevée, j’ai toujours les mains dans le dos. Des bras me soulèvent en passant sous mes cuisses. On me porte, en face à face.
D’un coup, brutal à nouveau, l’un d’eux me pénètre et commence à me baiser. Je commence à crier de plaisir, j’aime me faire défoncer !
Dans mes mains nouées dans mon dos, une queue vient se glisser, je la presse. Je sens deux mains prendre mes seins. Celui qui est dos à moi me dit : « crache dans ma main salope, mets toute ta salive !
J’en ai plein la bouche, et je lui crache tout ce que j’ai dans la main. Main qui ensuite vient se glisser entre mes fesses, étaler la salive bien partout sur mon petit cul dans lequel il met un puis deux doigts pendant que son acolyte me mets de grands coups de rein. Mes cris doivent les exciter. Je ne sais même pas où est « monsieur ». Le deuxième sort ses doigts de mon petit cul un peu moins serré. Je l’entends cracher dans sa main.
Son gland se présente à l’entrée de mon petit trou. Il dit à son collègue : « arrête de la prendre si fort ! je vais pas pouvoir lui mettre ma queue dans le cul ! Ensuite on la démonte ensemble ! ». « ça me va ! » lui répond-il.
Je sens mon cul s’ouvrir, sa queue s’enfoncer doucement et d’un coup toute sa queue s’engouffre dans mon cul. Je pousse un râle qui déclenche la reprise du pilonnage par l’homme devant moi.
Tour à tour, ils me remplissent de leurs queues dures. Je n’en peux plus je commencer à crier. Un mélange subtil entre douleur et plaisir. Le plaisir l’emportant systématiquement.
J’entends, entre mes cris et les leurs, la voix de « monsieur » : « allongez-vous qu’elle me suce en même temps ! Je vais lui gicler sur la gueule à cette salope ! »
On me détache les mains. Ils échangent : « je vais l’enculer ce coup-ci ! C’est mon tour ! »
Un court moment de répit….
Monsieur me parle en me prenant par le bras : « viens par-là salope ! assieds-toi sur lui ! »
Il m’accompagne de gestes vigoureux, me fais mettre à genoux au-dessus d’un des trois hommes qui de suite glisse sa queue en moi. Une main me pousse en avant : « penches toi et ouvre bien ton cul que je te lime à fond ! »
Les mains libres, j’écarte mes fesses encore chaudes du sexe de son comparse. Sans délicatesse, il s’enfonce dans mon cul. Il s’ouvre vite autours de sa bite. Plus grosse que l’autre. Il me met une fessée de temps à autres. Putain que c’est bon !
Les deux, d’un rythme sec et rapide me sautent. Mes seins rebondissent à chaque coup. Une main me tire les cheveux : « ouvre ta bouche encore ! Je vais jouir soit sur ton visage, soit dans ta bouche ! »
M : Oui monsieur !
Je crie un peu plus à chacun des vas-et vient tout en pompant sa queue bien raide.
L : « j’ai mieux les gars ! on va tous lui jouir à l’intérieur ! »
Ils répondent ensemble d’un bon gros « ouaaaais ! ».
Je vais jouir aussi, je pense qu’ils le sentent.
L : « on va te remplir de sperme petite chienne que tu es ! »
A la résonnance de ces mots, je commence à jouir. Ils vont de plus en plus fort, de plus en plus loin, tous trois.
Le premier à jouir est celui qui baise mon cul. Dans un grand « tiens salope » sa bite trésaille. Vient le deuxième qui fourre ma chatte puis enfin monsieur. Il appuie bien sur ma tête pour que je ne recule pas.
L : « Avale chienne ! Bois tout mon sperme ! »
En finissant mon orgasme, j’avale toutes les salves de son jus qu’il m’envoi dans la gorge en criant de plaisir.
La petite mort s’installe pour tout le monde.
Toujours les yeux bandés, il me fait me relever, je sens leur liquide glisser le long de mes jambes.
Il me fait monter les escaliers. Me fait marcher. Une nouvelle porte grince. Il m’enlève le bandeau des yeux. Je suis dans une chambre, des vêtements sur un lit.
L : « tu as une douche au fond de la pièce. Une fois que tu es habillée tu sors par la porte de derrière »
Il m’indique de son doigt la direction à prendre.
M : « Oui monsieur ! »
L : Je te recontacterai et si ça t’a plus. On verra pour une autre séance, un peu différente. »
Douchée, habillée, je sors. Epuisée…. Et ravie !

Merci F-F-S pour l’aide à la rédaction 😉

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