Avant de se mettre à table et d’apprécier le repas, il est très important de saliver devant le menu proposé.
La mise en bouche (qui porte bien son nom) est quelques fois présentée décorée d’un cerf. Je te raconte combien il m’est plaisant de la sortir de son écrin . A ce moment, ton sexe à demi-erigé tombe lourdement sur le côté de ton ventre. Sa taille me fait frémir, je salive. Je m’imagine alors te prendre en bouche. Ton sexe grossit et se raidit sous l’action de mes va-et-vient. Je cherche successivement à l’enfouir dans ma gorge et à lécher ton gland battant sous l’impulsion de ton rythme cardiaque qui s’accélère. Ton excitation monte.
Comme nous sommes dans un gastronomique et que le plaisir des sens prime sur le reste, l’entrée suit cette mise en bouche. Prenant les choses en main, tu me bascules sur le côté et tu te présentes maintenant devant les fesses en l’air. Comme pour mieux goûter ton plaisir, tu me claques quelques fois les fesses ce qui a pour effet d’augmenter mon excitation (ma soumission à ton plaisir). Je te tend mon anus, ta langue commence à faire son affaire: tu me lèches, caresses, embrasse le fondement qui s’ouvre comme une fleur au soleil.
Ton sexe tendu (qui repasse dans ma bouche pour lui redonner toute sa vigueur) et mon anus ouvert (que tu viens de badigeonner de lubrifiant) constitueront notre plat de résistance. Avec une certaine autorité, tu me replaces dans la position que tu préfères (la levrette au bord du lit toi debout derrière moi, en puissance). Sur mes genoux, je sens la pression de ton gland sur ma rondelle suivi de la chaleur de ton gros sexe qui me pénètre. Un peu de douleur se mêle à mon plaisir. Mais, doucement, tu commences à faire des va-et-vient et mon corps s’abandonne à toi comme ton corps prend possession du mien. Tu accélères ton rythme en me pénétrant toujours plus profondément. Tes hanches claquent sur mes fesses, nos gémissements s’harmonisent, le plaisir augmente. Sous tes coups de butoir, je tombe en avant, à plat ventre, mes fesses et mes jambes en l’air. Je suis à toi et tu continues à en profiter: comme la mer, tantôt tu es calme, en faisant glisser doucement ton sexe sur toute sa longueur entre mes fesses, tantôt tu es puissance, en accélérant le mouvement, l’inertie de ton corps me fait gémir… Le dessert approche…
Le dessert, c’est la jouissance des gourmands. Notre jouissance approche au fur et à mesure des coups de ton sexe dans mon anus. Excité comme rarement, mon sexe est rigide comme une baguette, mes couilles se baladent sous l’action de ton corps, mon anus vibre. Je sens une chaleur monter dans le bas de mon ventre. Je vais jouir ou plutôt, tu vas me faire jouir. Puis, c’est l’explosion, ma jouissance. Avec ton regard sur mon corps détendu, mon dos luisant de sueur, mes poils hérissé de chair de poule, mes fesses humides, tu es un témoin privilégié de mon orgasme. Cependant, ma jouissance ne s’arrête pas là (elle continue jusqu’à la tienne). Tu n’as pas cessé de me pénétrer toujours plus fort intensément. Je sens dans mon anus ton sexe qui gonfle encore un peu plus et ton corps qui se tend. Encore, quelques va-et-vient et ta tension se libère. Tu jouis en moi. Quel plaisir de le sentir. Cette chaleur dans mon anus, ton pénis qui bat puis se relâche…
C’est la fin de notre repas!
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