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— Chap VI —
Après l’affaire « Sandrine » , Sonia et moi ce fut un rêve, un régal. Notre complicité était sans pareille, nous allions au-devant des désir de l’autre de façon innée ou presque. Si la découverte de la bisexualité de Sonia avait été une sacrée surprise, la soirée qui s’en était suivie est certainement une des plus mémorables qui soit et encore aujourd’hui tout est gravé dans ma mémoire jusqu’à d’infimes détails.
Nous étions assez inséparables avec Sandrine au point qu’il ne se passait pas une semaine sans que nous nous retrouvions tous les trois réunis. Invariablement cela se terminait au lit, enfin au lit pas forcément car nous avions une certaine propension à faire l’amour là où nous nous trouvions ce qui donna parfois de curieux résultats. Ce trio était basé sur le sexe mais aussi sur l’amitié/amour que se portaient les deux coquines et ma mon amour pour Sonia et la sincère amitié que j’avais conçu pour Sandrine qui restera sans doute la seule femme pour laquelle j’avais une amitié comparable à celle qui peut exister entre hommes. Sandrine était devenue un « pote » on parlait cul ensemble comme le font deux hommes, on chahutait chose que je n’ai jamais reproduit avec d’autres femmes.
N’allez pas croire que nos relations étaient uniquement centrées sur le sexe, si c’est une part importante et incontournable que j’ai voulu narrer au fil de ces pages, ce n’était pas notre seule préoccupation quand même. Rapidement après cette première soirée a trois et compte tenu du plaisir que nous y avions pris, Sonia mais aussi Sandrine qui faisait partie de la famille, avaient une idée en tête les parties a plusieurs dont j’avais avoué maintenant avoir une certaine habitude.. en fait l’habitude, surtout des trios mais il m’était arrivé d’emmener une amie. Sonia éprouvait une forte curiosité mais se posait quelques questions sur ma réaction, si je la voyais dans les bras d’un autre homme. Autant elle comprenait que j’acceptais de la voir dans les bras de Sandrine, mais elle redoutait de me donner le spectacle d’une femme qui s’abandonne dans les bras d’un autre. Pour moi, dans ma tête je ne voyais pas de problème à jouer de cette façon. Il n’y avait pas de sentiments donc cela ne me posait aucun problème. Je lui disait que elle, ne concevait aucun doute envers moi alors que je faisais l’amour a Sandrine, que moi j’étais dans le même état d’esprit.
Sandrine n’avait aucun problème existentiel avec l’idée de participer à ce que l’on peut nommer une partouze. Elle ne voyait là que le moyen de prendre du plaisir. Cela me gênais vis à vis de son statut de femme mariée, de l’entrainer dans ce genre de choses. J’en parlais longuement avec elle, et je fini par en conclure que son mariage ne la satisfaisait pas, qu’un jour ou l’autre elle se séparerait de son mari c’était a peu près inéluctable. Elle ne crut pas à cette éventualité, elle aimait son mari véritablement, s’effaçant devant les impératifs de sa carrière au détriment de ses besoins propres et de sa vie à elle. C’était l’explication de son attachement à Sonia et maintenant à notre couple, elle trouvait avec nous ce qu’elle aurait aimé trouver auprès de son mari.
En fait elle n’eurent pas à me convaincre, mais je voulais être sur que Sonia et Sandrine avait la vision de ce qu’allait impliquer ces nouvelles aventures. Sandrine toujours impatiente aurait aimé être de la première expérience, mais Sonia voulait que cette première fois se passe entre deux couples et non notre trio et un couple. C’était à la limite plus conventionnel si j’ose dire. Sandrine bouda quelques minutes mais nous fit jurer qu’on lui raconterais tout, ce qui de toute façon était évident. Sonia insistais aussi pour que la première rencontre ai lieu chez nous. J’étais assez amusé par les petites réticences de Sonia, elle qui pourtant n’était pas timide peu s’en faut..
Je repris contact avec M & M , hé oui c’était leur surnom clin d’œil sur les initiale de leurs prénoms Michelle & Marc, ces derniers furent enchantés d’avoir de mes nouvelles après plusieurs mois. Je leur expliquait ma nouvelle situation, que j’avais rencontré la femme de ma vie, et qu’elle avait vu d’un œil intéressé la possibilité de nous amuser à plusieurs. Marc en plaisantant me demanda si maintenant j’avais envie de m’amuser avec un homme, ce à quoi je répondis qu’a priori c’était pas prévu avant la prochaine aire glaciaire. Il était décidé que le prochain week-end nous le passerions ensemble.
Sonia fut fébrile toute la semaine, impatiente mais aussi inquiète. Elle avait une appréhension que je ne comprenais pas. Je finis par lui faire avouer que c’était de faire l’amour avec un autre homme devant moi qui l’angoissait. Peur de trop prendre de plaisir et que j’en soit jaloux, peur de faire mauvaise impression, de passer pour une salope devant l’autre femme. Des préventions incroyables compte tenu de ce que nous avions vécu avec Sandrine. Mais pour Sonia, avec Sandrine ce n’était pas pareil, comme si Sandrine et elle c’était la même chose. On faisait les pires folies avec elle, dans la bonne humeur et avec naturel comme si le sexe a trois était une chose normale, mais la perspective de se retrouver avec un autre homme pour faire en fin de compte les mêmes folies lui causait un peu d’angoisse. Oh ce n’était pas énorme comme malaise mais il était là, un peu de trac en fin de compte.
Quand arriva la fin de semaine, Sonia avait tout prévu, nous avions trouvé plus sympa de commencer par faire connaissance pendant un bon repas, mon petit ange avait mis les petits plats dans les grands et une fois tout réglé elle c’était mise à se pomponner et à se mettre en valeur. Et même si bien sur j’étais amoureux donc aveugle, je dois admettre que c’est sans doute la plus belle de toutes les compagnes que j’ai eu, et ce soir là.. Mon dieu qu’elle était belle, je retombais amoureux une deuxième fois.
Michelle et Marc arrivèrent, je faisais les présentations, Sonia était un peu tendue ne sachant pas vraiment quelle attitude avoir serrer la main ou faire la bise elle ne savait que faire.
Michelle détendit la situation en lui faisant la bise d’entrée de jeu et en disant en me montrant du doigt..
« Lui je le connais trop bien, je sais ce que tu endure avec lui .. Il te fait grimper au rideau à chaque fois.. Hein? C’est çà ma pauvre chérie»
Sonia éclata de rire et dit
« Ah oui vous.. enfin …tu le connais bien je vois çà..Mais je le garde maintenant !! »
« Ah au moins sur terre il y a deux mecs heureux.. toi et moi » dit Marc
« Regarde les femmes magnifiques que l’on à… » puis s’adressant a Sonia
« Tu est vraiment superbe, il m’avait dit plein de bien de toi mais il a toujours eu très bon goût.. la preuve il aime beaucoup ma femme … comme moi.. »
Le ton était donné, Sonia me jeta un petit regard en coin et un sourire qui en disait long. Elle était souriante et se détendait tout irait bien.. Michelle aussi était superbe, elle n’avait plus ses cheveux bouclés mais une coupe courte un peu garçonne et une teinture très rousse, un chemisier blanc diaphane qui ne cachait rien de ses seins, une jupe en skaï très ouverte également. Je remarquais qu’elle portait un collier de cuir fin autour du cou, très seyant et très coquin.
Nous avions attaqué l’apéritif et les conversations allaient bon train. On évoquait le plaisir que nous prenions à nous amuser en groupe. J’évoquais la soirée surprise de ma rencontre avec l’amie de Sonia il y avait une quinzaine de jours.. naturellement j’avais demandé a Sonia si elle voulais bien qu’on évoque cette soirée torride.
Michelle et Marc étaient aux anges. Je savais qu’ils avaient apprécié notre rencontre et qu’ils cherchaient un couple complice. Cette fois ils étaient presque certain d’avoir trouvé la perle rare, nous. Michelle et Marc étaient simples et ne cherchaient pas de choses compliquées. Bonne humeur, bonne chaire et jeux sexuels sans complication pas question d’être super beaux, super performants mais il faut aimer, partager, donner du plaisir. Quoi d’autre? Voilà une vraie relation qui marche. Ils sentaient que avec Sonia et moi ca marcherait. Je taquinais Marc qui ne quittait pas Sonia des yeux.. « C’est pas de ma faute, elle est trop belle non? » disait il a l’attention de Michelle.
« Bien sur qu’elle est belle et moi elle me plait beaucoup, je crois que tu aimes les femmes Sonia? » demanda Michelle.
« Oui oui j’aime les femmes mais aussi les hommes, et le tien est assez craquant je trouve » répondit Sonia en souriant à Marc.
« Alors tu veux bien que je t’embrasse » dit Michelle en se levant et s’avançant vers Sonia
Sonia se leva et prenant les mains de Michelle elle se rapprochèrent lentement, souriantes toutes les deux.. Leur lèvres se frôlèrent, puis elle s’entrouvrirent, pour se souder en un long, très long baiser. Leurs mains désunies maintenant se posaient sur leur fesses, les caressant doucement. Marc et moi étions sous le charme. Elles étaient belles nos femmes.
Le baiser cessa. Elle s’assirent, les yeux brillants.
« Ouahh » dit Michelle « tu embrasse super bien.. c’était vraiment chaud ça m’a tout excitée »
« Merci » répondit Sonia « Mais tu est aussi très douée, j’ai adoré, moi aussi j’ai chaud »
Elles avaient chaud mais Marc et moi on était chauds bouillants même..
« Hé les garçons vous ne vous embrassez pas? » dit Sonia la mine réjouie et faisant un clin d’œil à Michelle.
Cela m’aurais étonné que Sonia ne lance pas se genre de défi, car elle m’avait sondé tous les jours ou presque pour savoir si je n’aimerais pas qu’il se passe quelque chose avec un homme.. Je savais maintenant ce qu’elle espérait. Moi je n’étais pas du tout convaincu ni prêt à çà. Je ne l’imaginais même pas. Marc lui était partant.
« C’est bête, nous on ose bien » insistait Sonia.
J’étais piégé, roulé, reculer ou faire la mauvaise tête risquais de foutre en l’air la soirée même si j’en avais pas envie au fond de moi ce n’était pas si terrible.. au fond.. Je finis par dire oui..
« Viens là ma beauté, ma petite chérie » dit Marc goguenard. Je riais jaune, mais je riais quand même.
Sonia et Michelle s’étaient levées et approchée de nous deux.. Le pire c’est que j’avais du mal à rester sérieux, ne pas éclater de rire. Même Marc prenais çà a la rigolade. Nos bouches s’approchaient, finirent par se toucher, j’ouvrais mes lèvres et la langue de Marc repoussa la mienne dans un baiser enflammé, mécaniquement il n’y a aucune différence entre un baiser d’homme ou de femme, mais dans la tête c’est deux mondes.. Nous nous roulions une sacré gamelle.. Ce n’était pas si désagréable mais je n’y prenais pas de plaisir. Par contre quand je sentis la main de Marc entre mes cuisses caressant ma queue, là cela me fit de l’effet et je bandais instantanément. Je lui rendais la pareille, pas de raison.. Et là je fut troublé car alors que je sentais sa queue qui était gonflée également sous ma main. Je me rendis compte que çà me plaisait. Le baiser non mais les caresses oui.
Notre baiser cessa sous les applaudissement de nos deux belles qui chacune nous prodiguèrent un baiser de remerciement.
« Ils sont trop choux nos petits hommes, ils font tout ce qu’on leur demande » dit Michelle.
« Mais c’est parce que vous êtes des cochonnes toutes les deux.. vous êtes mêmes deux belles salopes mesdames » dis-je.
En en cœur elle répondirent d’un air lascif « Oui on est des salopes mais on aime çà »
La soirée était sur les rails.. Le courant passait super bien entre nous tous, je savais déjà que avec moi ca ne posais pas de problème et Sonia avait été adoptée alors que plusieurs amies que j’avais entrainé avec les M&M ça n’avais pas été aussi spontané et relax.
L’apéritif dura un moment pendant lequel on parla de tout, voilà ce que c’est que les partouzes, on est libre de s’amuser mais on ne se saute pas dessus.
C’est épicurien, hédoniste. Contrairement aux idées reçues ce n’est pas vulgaire, cela peut l’être sans doute avec des gens mal choisis, mal assortis. Tout ce qui se passe est fait dans le plus grand respect de l’autre. C’est un grand moment de plaisir.
Durant tout le repas les discussions roulèrent sur divers sujets et bien sur le sexe, les parties a plusieurs. Sonia curieuse posait plein de questions et elle était de plus ne plus a l’aise et rassurée. Marc la dévorait des yeux mais il n’avais pas encore eu le moindre geste familier. Alors que Michelle me caressait la main, ou me taquinait et que les filles n’hésitaient pas a s’embrasser.
Marc se pencha vers moi et me dit doucement
« Bon sang qu’est ce qu’elle est belle »
puis
« J’ai hâte d’en voir un peu plus » avec un clin d’œil
Il ajouta ensuite
« Dis donc, tu à l’air chaud pour qu’on s’amuse entre mec.. tu changes mon vieux!! »
Je lui dit que peut être ça se ferait, mais que pour embrasser franchement c’était pas mon truc.. JE lui demandais si lui il aimait embrasser un mec. Marc était partagé, il aimais plutôt mais ce n’était pas indispensable non plus.. Une nouvelle qui me soulageait dans l’éventualité ou l’on se lancerait. Mais je pressentait que ça allait arriver.. ce soir peut être ou plus tard mais maintenant cela me semblait inéluctable. Et soyons clairs, Sonia m’avait fourni le prétexte pour que je franchisse le pas. Ce que je n’aurais peut être pas fait sans son envie de me voir, avec un homme.
Le repas était excellent, nous avions évoqué aussi et raconté par le menu notre aventure avec Sandrine. Nous avions aussi annoncé que cette dernière avait très envie de s’encanailler avec nous dans des aventures multiples. Michelle et Marc étaient ravis et on commençait déjà à faire le compte des week-end possibles.
Au moment du café, j’avais demandé discrètement a Sonia d’être très sensuelle avec Marc qui étrangement semblait un peu coincé avec elle. JE vis qu’elle glissait quelque chose à l’oreille de Michelle puis après avoir servi le café à tout le monde, elle s’assit directement sur les genoux de Marc. Michelle s’était approchée de moi et me caressait le cou en regardant la scène entre Sonia et Marc. Ma belle Sonia était bien installée sur Marc qui semblait un peu surpris. Elle passa sa main dans les cheveux de Marc puis doucement lui prit la main et la glissa doucement dans son décolleté en lui disant.
« Tu est sur que je te plais? Ou tu est timide? Moi je croyais que vous étiez des bêtes de sexe et tu à l’air tout impressionné. » puis elle prit son visage et lui posa un énorme baiser sur les lèvres.
Michelle avait glissé sa main dans ma chemise et me caressait les tétons tandis que ma main remontait le long de ses cuisses. Marc caressait les seins de Sonia, son décolleté étant plus que profond elle avait maintenant les deux seins exposés. La voir ainsi me faisait de l’effet. J’étais déjà très tendu avec les mains de Michelle sur mes tétons c’était impossible de résister.
« Elle est géniale ta copine » me glissa Michelle à l’oreille.
Sonia était à l’aise et souriait en me regardant, ses mains étaient en train de défaire la ceinture de Marc qui faisait tout pour lui faciliter la tâche.
De mon côté j’avais glissé mes doigts dans la culotte de Michelle et je sentais la moiteur de sa chatte. Tandis qu’elle avait ouvert mon pantalon et sorti mon sexe tout gonflé.
Il était impossible de rester sur les chaises dans la salle à manger, a moitié déshabillés je donnais je signal pour que nous passions au salon.
Le temps de faire les 3m qui nous séparaient des canapés, les filles avaient laissé tomber robes, jupes et chemisiers. Marc et moi avions déjà tout tombé, même les chaussettes. Et lui comme moi on était en pleine forme. Michelle et Sonia s’étaient installées côte à côte sur le canapé, elles étaient enlacées et nous regardaient. Sonia avait glissé quelque chose à l’oreille de Michelle qui avait ostensiblement acquiescé en hochant la tête. Sans qu’elles aient dit un mot je sentais le coup venir. C’est Michelle qui prit la parole :
« Les hommes, vous avez fait un gros baiser tout à l’heure c’est un début, maintenant ma nouvelle copine et moi on aimerait en voir plus… »
Et me regardant plus précisément
« En plus elle m’a dit que de temps en temps tu te faisait prendre par elle…Tu aimerais peut être autre chose que du plastique non? »
« Petit cachotier » me dit Marc en me plaçant une belle claque sur les fesses.. Puis
« Écoutes c’est comme tu veux, on en a déjà parlé si tu en a envie pu que tu veux juste essayer c’est le moment… Mais personne ne t’en voudra si ca le fait pas. Même les deux cochonnes là te consoleront. »
puis il ajouta..
« J’aurais préféré m’amuser avec Sonia.. mais toi ça faisait un moment que j’avais envie aussi.. alors.. »
« Mais je m’occuperais de toi après » dit Sonia « Pour le moment, on va profiter du spectacle et on se fera du bien toutes les deux » renchérit Sonia.
Cette fois.. je n’y couperais pas. Au fond de moi même j’admets que l’idée avait fait son chemin et il ne manquais que l’élément déclencheur. Maintenant, restait à savoir si j’allais aimer ou détester, c’était quand même pas évident. Heureusement Marc avait de la pratique avec d’autres amis bisex.
« Au moins j’aurais pas besoin de te faire bander, une autre s’en est chargée.. » dis-je pour masquer mon appréhension.
Ce fut un grand moment de solitude.. Je ne savais pas quoi faire par quoi entamer les hostilités.
On était debout en face du canapé, à poil, la queue dressée. Marc me sauva la mise en prenant ma queue dans sa main. Le contact me fit frissonner. Il avait pris mon sexe dans sa paume. Il resserra ses doigts et avançant sa main vers mon ventre il me décalotta a fond. Je poussais un gémissement. Et fermais les yeux. La caresse était agréable, très agréable. Je compris à cet instant qu’un homme saurait bien mieux qu’une femme ce qui me fait grimper aux rideaux. Et là en me décalottant de cette façon il avait réussit à me donner envie d’aller plus loin. Les filles nous mataient, elles se caressaient mutuellement les seins.
Je goutais avec délice la caresse de Marc, ma queue palpitait dans sa main. Il jouait le jeu allant et venant avec une extrême lenteur et prenant soin d’aller loin en arrière. Tous les hommes savent à quel point c’est bon une fois bien décalotté d’aller un poil plus loin. Je ne voulais pas en rester là et copiant sa caresse je prenais son sexe dans ma main. Il eut un frisson au moment où je le touchais et ou comme lui je commençais à le branler doucement. Il gémit également quand pour la première fois je le décalottais à fond et il murmura « C’est bon… ».
Ce que jamais je n’aurais imaginé seulement quelques mois avant était en train de se produire. Je me laissais caresser par un homme et je le caressais. Et j’y prenais plaisir. Dans ma tête même je voyais ce que j’avais envie de faire mais j’étais encore un peu trop mal à l’aise avec la situation. JE sentais confusément que sous le regard de nos deux femmes les verrous allaient sauter. C’était une question de minutes.
Nous ne pouvions pas rester debout toute la soirée.. Marc sciemment ou pas s’assit sur le fauteuil, ce qui m’obligea à me baisser pour pouvoir continuer à le caresser et qu’il reste lui aussi en contact avec moi. Ce faisant je m’étais approché de lui.
Les filles n’avaient plus de culottes et se caressaient la chatte sans vergogne. Les cuisses bien ouvertes, je devinais plus que je ne voyais qu’elles étaient déjà bien humides. Mais elles ne voulaient pas perdre une miette du spectacle.
« Allez c’est super excitant, suce le maintenant mon chéri » C’était Sonia qui venait de faire cette proposition, que Michelle appuya bien évidemment.
C’était un autre défi… Se caresser la queue mutuellement, c’est pas bien dur.. même si c’était nouveau.. Mais me retrouver a genoux, avec une queue dans la bouche c’était autre chose. Assez surpris je me sentais soulagé par cette demande. En fait je devais en avoir envie et je n’osais pas. Je m’agenouillais, Marc avait lâché comme à regret mon sexe gonflé. Mes mains sur ses cuisses que je caressais légèrement je remontais vers son sexe. Je n’avais pas eu souvent cette vision aussi près et sous cet angle d’une queue. Je bougeais lentement, observant le sexe que j’allais dans quelques secondes prendre dans ma bouche. Marc bandait bien, son gland était gonflé, lentement avec mes doigts en anneau à la base de sa queue je décalottais le gland, étirant le frein et faisant gémir Marc qui avança son bassin vers moi. « Oui continues… ».. Maintenant j’en avait bien l’intention. JE sentais l’engin palpiter sous mes doigts, par petits sauts. Je sortais ma langue et la passais, le long de la tige, remontant lentement vers le gland. Quand elle heurta l’arrière ou se trouve les petits capteurs les plus sensibles, regardez deux petits excroissances plus claires comme de tous petits boutons. Marc poussa un gémissement et murmura « Putain c’est bon çà »
Moi je goutais , j’avais un peu peur, de l’odeur, de la saveur que pouvais avoir la queue d’un autre. Au fond rien de transcendant, pas plus que si on lèche le doigt d’une autre personne.. du moins pour le moment.. un peu de salinité due sans doute à la sueur légère qui est omniprésente.. La texture douce, ce qui est incroyable c’est la palpitation incessante d’une verge ainsi sollicitée. Du coin de l’œil je vis les filles qui s’embrassaient a bouche que veux tu les doigts bien occupés à pénétrer doucement leur chattes ouvertes. Je léchais le gland de Marc, avec mes doigts toujours serrés à la base de sa queue je remontais le long de la tige, modulant la pression. Et je vis alors se former une petite perle translucide au bout de sa queue. Perle qui grossit au fur a mesure que mon pouce appuyé sous la verge la faisait remonter dans le canal. Je savais exactement la sensation qu’il éprouvait. Je l’avais tant de fois ressentie. Marc appréciait et je le regardais durant cette opération, il me regardait également. Je voyais dans ses yeux qu’il prenait du plaisir dans cette situation. Il avait posé ses mains sur ma tête. Maintenant une grosse perle transparente et épiasse avait pris naissance au sommet du gland. Elle commençait à vouloir couler le long de sa queue. Du bout de la langue je la récupérais. Je ne savais pas a quoi m’attendre, c’était épais, chaud, salé mais absolument pas désagréable.
« Salaud » dit Marc en m’appuyant légèrement sur la tête « Vas y suces moi »
J’arrondis les lèvres et lentement je gobais le gland, ma langue le cajolais tournait autour, puis je me mit à engloutir sa queue, mais lentement en l’humidifiant le plus possible, j’avais déjà eu la désagréable surprise avec quelques femmes de me faire sucer par des bouches trop sèches c’est même parfois douloureux.
Je m’appliquais, je mouillais sa queue, je n’avais aucune idée de jusqu’où je pourrais la prendre. J’étais surpris de la facilité avec laquelle je faisais cette fellation, comme si j’avais toujours su le faire. Je descendais toujours, j’avais avalé plus de la moitié de la longueur je sentais cette queue qui tressautais dans ma bouche. Marc avançait son bassin pour que je l’avale plus loin encore. J’aimais cette sensation, j’avais une incroyable impression de contrôle, de puissance sur lui. J(étais à la commande et il subissait en fait ma loi. C’est moi qui dispensais le plaisir. C’était bien plus sensible qu’avec une femme. Sans doute j’arrivais plus facilement a m’identifier et je savais précisément quelles sensations je faisais naître. J’étais moi même extrêmement excité. Ma queue dure frottait contre mon ventre, et je sentais que mon gland devait être humide. J’avais maintenant sa queue entière dans ma bouche, son gland était dans ma gorge, et il palpitait. Marc gémissait chaque fois que je tentais d’aller plus loin. D’une main je serrais sa queue dans l’anneau de mon pouce et mon index, augmentant la pression je faisais gonfler le membre, saillir les veines. Mon autre main était maintenant autour de ses couilles que je malaxais lentement faisant rouler ses burnes l’une contre l’autre. Je relâchais sa queue pour la reprendre a fond. Je le pompais comme j’aimais qu’on me le fasse. Sa tige luisante de salive était vraiment un objet de désir. Je suçais avec plaisir ce sexe brulant, palpitant, qui réagissait à chacune de mes caresses.
« Putain c’est bon …. tu me suces comme une salope… » dit Marc en me prenant la tête pour accélérer le mouvement.
Les filles se caressaient en me regardant pomper la queue de Marc. Elles semblaient excitées elles aussi et poussaient de petits gémissements, mais elle restaient scotchées sur le spectacle. Marc était aux anges, moi j’adorais sucer cette queue et je pensais bien que d’autres seraient aussi agréables. Bizarrement toute la préventions que j’avais eu c’était envolée.. Je me rendais compte que les caresses entre hommes étaient aussi du pur plaisir. Il fallait juste s’affranchir du blocage psychologique. J’avais fait voler cette barrière en éclat.. et dans ma tête ça tournait à 100 à l’heure.. J’étais partagé entre l’envie de continuer à sucer Marc jusqu’à la conclusion logique, et voir si au moment où il jouirais comment j’allais gérer ces nouvelles sensations, j’avais un avantage c’est que je savais quel goût à le sperme pour avoir gouté le mien très souvent dans des chattes offertes, sur des lèvres qui venaient de me faire jouir, sur les doigts qui venaient de me masturber.. Donc je savais a quoi m’attendre.. Je n’avais jamais senti la soudaineté de l’assaut, les giclées et toute cette dynamique au moment de l’orgasme donc je ne savais pas ce qui pouvais se passer.
Je n’eus pas en fin de compte à avoir de dilemme pour choisir. Marc lui aurais bien aimé que j’aille au bout.. Mais les filles en avait décidé autrement.
Toutes les deux très excitées, le rouge au joues ainsi qu’au creux des seins elle réclamèrent ma mise à mort.. Elles avaient envie de me voir pris par Marc. Ce non choix me satisfaisait, j’ai un côté parfois très soumis et j’aime que l’on me guide ou m’impose certaines choses.. Nous aurons l’occasion d’en reparler plus tard.
Elles étaient maintenant à genoux toutes les deux près de nous. Sonia se laissait caresser par Michelle qui avait ses doigts dans le minou de ma belle. Je me plaçais a genoux, cambré, j’avais l’habitude puisque Sonia aimait à me prendre avec un god. Je sentais Marc derrière moi. Je bandais de plus en plus. Michelle vint même m’att****r la queue, en remontant vers mon gland elle se mouilla les doigts dans la liqueur qui s’en écoulait comme souvent quand je suis dans cet état. JE sentait la queue de Marc contre mon anus, il se frottait c’était dingue les sensations, j’aimais çà avec un god alors là avec une queue, chaude, souple, vivante c’était super. Sonia écarta Marc, pour venir me passer sa langue et m’humidifier me préparer, je sentis la point de sa langue qui forçait ma rondelle. Puis Marc revint à la charge, cette fois, je sentis nettement son gland qui poussait sur mon anus. Je me décontractais et Marc fut si surpris que sa queue entra de moitié avec facilité. Bon sang que c’était meilleur que cette queue en latex. Les sensations étaient décuplées, je sentais palpiter son engin, je le sentais s’enfoncer en moi.
« La salope il m’avale toute la queue » dit Marc
« Baise, moi encule moi bien » dis je vraiment à bout.
Je n’avais qu’une envie le sentir aller et venir en moi. Il commença à me besogner, plus fort. Je suivais les mouvements, m’empalant moi même sur cette queue qui vibrait dans mon cul. Je mouillais du gland, je sentais couler ma queue qui se frottait a mon ventre tellement je bandais. Sonia était maintenant plaquée dans le dos de Marc se frottant contre lui accompagnant ses mouvements. Alors que Michelle était passée sous moi, léchant mes couilles et ma queue, en profitant pour agacer celles de Marc également.
« Tu est grand ouvert mon salaud » me dit Marc.
En effet aucune sensation de gêne sa queue coulissait en moi avec aisance. Je sentais toutes les aspérités, tous les tressaillements de son sexe. A ce moment je mesurais ce que peut ressentir une femme qui se fait prendre. Et c’est jouissif croyez moi.. Et j’aime qu’on me prenne, j’adore çà. Jamais je n’aurais pensé que cela pouvait être aussi bon. Dans ces moments, notre part de féminité ressort avec force. Je n’ai pas honte de le dire dans ces moments où je suis passif je me sent et m’assume très femelle. J’aime qu’on me traite de salope, de putain de chienne et je suis tout cela. J’aime être baisé. Mais ce soir là j’avais encore à connaître la sensation ultime.. quand Marc allait jouir.. Depuis que j’écris ses lignes certains doivent se dirent mais jamais il n’utilise de capote? Non.. jamais dans ma vie j’ai utilisé cette chose que 2 ou 3 fois pour le fun ou pour essayer.. C’était une autre époque, on ne pensais pas comme maintenant à tout ce qui peut arriver.. j’ai vécu dangereusement? Sans aucun doute, j’ai eu de la chance oh oui certainement compte tenu du nombre d’aventures, de partenaires souvent multiples homme ou femmes voir… enfin on verra çà plus tard.
Mais Marc commençait a donner des signes de la jouissance proche.
« Je vais pas tarder à partir » grogna Marc et il commençais à se retirer sans doute pour jouir sur mon cul. D’une main je l’attrapais à la cuisse pour lui signifier de rester en moi.. en disant
« Non gicle moi dans le cul.. bourre moi »
Michelle appela Sonia
« Viens Sonia viens voir .. c’est dingue il est en train de se vider goutte à goutte»
En effet je sentais a chaque coup de rein de Marc , ma queue laissait échapper une quantité de plus en plus importante de cette liqueur transparente qui précède l’orgasme. Puis petit a petit c’était devenu laiteux, puis plus épais mon sperme montait et coulais sur la poitrine de Michelle Par moment je lui mangeais le minou qui était trempé, mais tout a mon plaisir c’était vraiment par petites touches.. Marc eut une idée de génie, il me redressa en passant son bras autour de mon cou, et m’obligea a me redresser.. J’étais a genoux, lui derrière moi également a genoux me prenant le cul. Michelle et Sonia se mirent a genoux devant moi, Michelle avait la poitrine luisante de ce que j’avais laissé couler sur ses seins et son cou. Marc était sur le point de jouir, quand il passa son autre bras autour de mes reins et pris ma queue dans sa main.. Il soufflait et dans un dernier coup de rein il poussa un cri. Je sentis alors sa queue gonfler dans mon cul, puis distinctement je sentais le sperme brulant se déverser dans mon ventre, la palpitation de son sexe, la chaleur de ce qu’il déversait en moi.. Sa main d’un coup sec me décalottant a mort.. Et je me mis a gicler moi aussi de longues giclées que recevaient Sonia et Michelle, sur le ventre, puis sur le visage quand elles s’approchèrent de ma queue pour finir par la lécher et en extraire la moindre goutte. Marc se retira me laissant ouvert au point que je sentais son sperme maintenant s’écouler entre mes fesses et couler le long de ma cuisse. Emporté par la fougue il me prit par le cou et me fit un gros baiser avant de rire en disant « Tu vois c’était pas désagréable.. »
« Non c’était génial tu veux dire.. »
Marc et moi étions encore sous le coup de notre jouissance.. il me donna un coup de coude.. en me désignant les filles.. toujours a genoux. Elle était couvertes de sperme, et se l’étalait mutuellement sur tout le corps en se roulant des pelles et en se branlant mutuellement.. C’était superbe.. elle eurent chacune un violent orgasme presque en même temps. C’était vraiment beau de vois ces deux superbes femmes dans cet état. J’ai toujours été sensible à l’image, à certains détails. Les corps luisants de sueur, les coulées brillantes de foutre, les bouches mi-closes qui soupirent, le bruit humide des doigts fouillant les sexes. Et les cris de jouissance, les baisers langoureux après le plaisir.. Inutile de dire.. que j’avais encore la queue en l’air.. « Bordel tu fais comment!! » me dit Marc.. alors que je résistais à l’envie de me branler sur nos deux belles. « Bon sans regarde moi j’ai le popaul qui regarde le plancher et toi tu as la queue en l’air.. c’est pas juste!! »
Marc était un peu jaloux du fait que même après un orgasme je ne reviens pas au repos avant au minimum 15 minutes et bien sur si on me sollicite durant ce laps de temps je repart pour un tour. Nous avions tous pris du plaisir même si les filles avaient privilégié le spectacle, elles semblaient avoir apprécié. Un peu de calme ferait du bien et on ouvrit une seconde bouteille de champagne. Pas questions de se rhabiller il est certain que l’on va encore avoir envie de s’amuser, il n’est pas très tard. On profite de ce moment pour reformer les couples, c’est aussi important. Sonia est venue se blottir contre moi dans un fauteuil tandis que Michelle et Marc sont installés dans le canapé. Elles n’ont même pas pris la peine d’essuyer les traces de sperme sur elle. Et c’est assez troublant de bavarder ainsi avec sur le corps de nos belles les traces visibles de notre plaisir.
Sonia est vraiment heureuse d’avoir osé l’amour a plusieurs et trouve l’expérience extrêmement agréable. Elles ont adoré me voir faire l’amour avec Marc, elles ont trouvé que j’étais très très féminin par moment dans ma façon de me comporter. Tous semblent surpris de la facilité avec laquelle j’ai basculé dans la bisexualité. Depuis ce jour j’assume parfaitement. Et même aujourd’hui faire l’amour avec un ou une partenaire me procure autant de plaisir. La nature du plaisir est différente, selon que l’on soit actif ou passif, selon que l’on donne ou reçoive le plaisir, sa nature, son essence même est totalement différente. Il est plus ou moins cérébral. Quand je fais l’amour à une femme c’est très physique, je satisfais mon corps, mon sexe. Quand je fais l’amour à une homme c’est physique certes, mais aussi extrêmement cérébral car dans cette configuration je satisfais aussi mon mental qui à certain moment à envie d’agir au féminin. C’est sans doute la dualité parfaite. Mon rêve ce serait de pouvoir changer de sexe a volonté. Être homme à un moment, femme à un autre ce serais idéal. Si on pouvais exaucer ce souhait une fois seulement ce serais génial.. Hélas c’est un rêve. Je suis persuadé que ma bisexualité m’a fourni des atouts encore plus grand auprès des femmes. C’est tout simplement le fait de savoir quelles sont les sensations que procure certaines actions qui me donne cet avantage. Par exemple combien d’hommes regrettent que madame refuse la sodomie, alors qu’ils n’ont pas idée de combien ca peut être désagréable si c’est mal fait. Moi je le sais, il m’est arrivé qu’on me fasse un mal de chien lors d’une sodomie et je comprend la femme qui s’y refuse après une expérience ratée.
La sodomie peut être quelque chose de totalement délicieux si elle est pratiquée avec douceur et doigté. Peu importe au fond la taille, tant qu’elle reste raisonnable, pour cette pratique. Ce qui importe c’est la préparation et la patience. Le maitre mot « Décontraction » la moindre crispation ou appréhension et on fait mal, on se fait mal. Second incontournable la lubrification, pour les deux partenaires c’est vrai il faut lubrifier.. Si on n’utilise pas de gel, la salive, un petit passage dans un sexe mouillé permet de palier à la sécheresse. Et surtout lentement. Laisser sa/son partenaire se décontracter. Par reflex les muscles vont tenter d ’empêcher la pénétration et plus la poussée et la vitesse seront importante plus le réflexe des muscle sera violent. Avec un peu de pratique on peut accompagner la pénétration en forçant l’anus a s’ouvrir en poussant légèrement. Une fois le muscle franchi pensez toujours a ne pas aller trop vite pour qu’il n’y ai pas de phénomène d’échauffement. On pallie à cela en lubrifiant abondamment. Vous seriez étonné de la capacité d’un anus à accepter certaines choses.. Mais on en parlera plus tard.
Nous étions donc en train de bavarder de notre premier « round »
Je digérais ma première expérience bi. Marc était étonné de la facilité avec laquelle il m’avait pris. On expliqua que Sonia aimait me prendre avec un god et que la pénétration pour moi n’était pas un problème.
Par contre je leur disais que j’avais eu envie de pousser ma fellation jusqu’au bout car j’avais envie de connaître ces sensations.
Nous avions la chance Marc et moi d’avoir des femmes que la pipe menée a son terme ne dérangeaient pas et même qui adoraient nous vider les couilles dans leurs bouches, mais ce n’est pas toujours le cas loin s’en faut..
A mon tour j’avais très envie de savoir ce qu’elles ressentaient..
Sonia particulièrement aimait me faire jouir au fond de sa gorge et c’était extrêmement agréable. Michelle aussi aimait çà mais n’arrivait pas à prendre les queues aussi loin dans sa bouche et appréciait que notre calibre ne soit pas trop gros.
Marc lui avait beaucoup apprécié la pipe, il avait du mal a croire que c’était la première fois, pour lui c’était aussi bien que les filles.. Il avoua qu’il aurait bien aimé que j’aille au bout.. je lui promettais de lui en faire une a fond pendant ce week-end . Mais je posais mes conditions.. on faisait un double 69 en parallèle.. les garçons d’un côté les filles de l’autre.. et un classement celui qui jouissais le premier était dernier et ainsi de suite. Ce fut adopté avec des applaudissements.
J’étais vraiment heureux que cette soirée se passa aussi bien. Je m’inquiétais auprès de Sonia pour savoir ce qu’elle pensais de tout çà et elle était emballée. Elle trouvait Michelle et Marc adorables, pas de prise de tête, le naturel était présent. Elle craignait un peu un truc du style baise non stop et au revoir.. Alors que nous passions une soirée entre amis disons normale avec des intermèdes coquins. Elle avait vu que Michelle avait commencé à un peu caresser Marc et qu’il commençait à donner des signes d’excitation évidents..
« Je me suis occupée de notre invitée, maintenant au tour de notre invité » dit Sonia et elle alla s’installer à côté de Marc
« Tu me le prête un peu » dit-elle à Michelle.
Marc avait un grand sourire réjoui et hochais la tête..
Michelle en riant et se levant pour me rejoindre.. dit
« Je m’en moque je te pique le tiens.. lui il a toujours la queue en l’air je suis gagnante »
Sonia se laissa glisser sur le canapé de manière à pouvoir happer la queue de Marc qu’elle engloutit d’un seul trait comme elle aimait à le faire. Marc poussa un gros soupir qui en disait long sur ce qu’il pensait de la bouche de Sonia. D’une main il lui caressait les fesses, puis la chatte quand elle ouvrit les cuisses pour le laisser investir son minou.
De mon côté je glissais ma main entre les cuisses de Michelle qui aussi les ouvrait largement. Je sentis que sa chatte était trempée, même les grandes lèvres étaient glissantes, humides.
« Dis donc tu est drôlement mouillée ma douce » dis je en lui caressant la joue de l’autre main.
« C’est vous qui nous avez excitées comme çà… C’était super quand tu a jouis sur nous deux.. On à joui mais on a encore envie et ta chérie est comme moi.. En tout cas elle est adorable et cochonne » me répondis Michelle en m’enjambant et en guidant ma queue vers sa chatte.
« Ouhh c’est bon allez baise moi bien » ajouta ma belle amie en se laissant empaler par mon engin .
Elle était brulante, ruisselante. Elle venait a peine de s’empaler que je sentais déjà son humidité couler sur mes couilles. Elle frottait ses tétons durcis sur mon visage, tant et si bien que je les happais, les suçais tour a tour alors qu’elle rejetait sa tête en arrière les yeux mi-clos. Sonia était en levrette pendant ce temps et Marc la prenais avec fougue lui tirant moult gémissements et petits cris de bonheur. Une idée me vint. Je l’expliquais à Michelle au creux de l’oreille. Elle alla se placer en 69 avec Sonia.. qui ondulais sous les coups de reins de Marc. Une fois installée, Michelle pouvait lécher le clito de Sonia, et je pouvais prendre Michelle tout en prenant la bouche de Sonia. J’adore qu’une partenaire gémisse alors que je l’embrasse cette sensation est très stimulante pour moi surtout si son plaisir est du à un autre que moi. Et Sonia paru extrêmement réceptive à notre combinaison. Nous étions vraiment entrain de nous donner du plaisir à 4. A un moment Marc vint même me prendre les tétons alors que Sonia léchait le clitoris de Michelle.
C’était un moment de pur plaisir, rien d’autre n’existait. Michelle ruisselait littéralement. Ma queue se couvrait d’une crème épaisse, bien que je n’ai pas encore joui en elle. C’était son plaisir qui ruisselait ainsi. C’est encore une chose qui m’excite au plus haut point, plus une femme est humide, plus j’aime jouer avec son sexe. Sonia également mouillait beaucoup et a cet instant c’était Michelle qui recevait tout son nectar en lui léchant le clito. Sonia était sur le point de jouir, sous les coups de boutoir de Marc et sous la langue de Michelle, elle rendait les armes.. se laissant aller au plaisir. Elle était superbe, bouche entrouverte, soupirante les lèvres humides.. les yeux mis clos qui commençait à papilloter et à se retourner.. ses mains me tenait les avants bras elle me serrait convulsivement. Ce fut soudain et d’une rare v******e.. Totalement cambrée.. elle se mit à jouir en hurlant et en convulsant. Sa salive coulait le au coin de sa bouche, on aurait cru qu’elle souffrait.. mais elle jouissait.. Et à un moment elle m’a regardé les yeux grands ouverts.. j’ai pu y lire tout le plaisir qu’elle ressentait à ce moment.. Presque aussitôt Michelle serra ses jambes autour de moi , stimulée par l’orgasme de Sonia qui lui avait largement salé la bouche, Michelle partit elle aussi dans un orgasme rageur et bruyant, plus nerveux, moins profond que Sonia peut être mais tout aussi bon à ce qu’il semblait..
Ni Marc ni moi n’avions joui.. Les filles étaient écroulées encore en position de 69 mais totalement anesthésiées par leur jouissance.
La conclusion s’imposait d’elle même.. Marc s’allongea sur le dos je vint en 69 sur lui .. et comme nous venions de prendre nos femmes nous eûmes le plaisir de retrouver le goût de leurs chattes sur nos sexes.. Je suçais goulument la queue de Marc.. j’avais envie de le sentir jouir.. de prendre dans ma bouche toutes les giclées de sperme qu’il allait me donner.. Je retardais mon plaisir.. pourtant il me suçait comme un fou aspirant mon gland avec art. Nous étions en sueur, moi qui suis velu mes poils étaient collés par la sueur sur mon torse, mes bras, je sentais couler cette sueur le long de mon dos et de mon torse.. Marc aussi était trempé et c’était excitant nos peaux humides se frottant. Sa queue qui tressaillait, bientôt elle s’agita violemment.. je serrais la base de son sexe et je tirais lentement.. les tremblement de son membre se firent plus amples et soudain je reçus la première giclée alors que j’avais sa queue presque au fond de la gorge.. Marc de cambra et m’enfonça encore plus sa queue dans la gorge alors que partais la seconde giclée.. Je crus que j’allais étouffer.. c’était chaud, brulant presque, épais mais délicieux à la fois fade et légèrement salé. Je réussis a déglutir avalant le jus bouillonnant. Puis d’autres giclées suivirent.. que j’aspirais et avalais avec un plaisir non dissimulé.. il y en avait un peu trop et une coulée descendit le long de son membre.. Tout a ma fellation la bouche pleine de sperme je sentais Marc tressaillir en lâchant les dernières gouttes quand je sentis une main qui me relevait la tête.. Michelle , ses petits yeux espiègles. Elle dit « Partage avec moi » Je compris sans autre palabres. Elle posa sa bouche contre la mienne et nous avons alors partagé le sperme qui restait dans ma bouche. Marc était hs.. et avait cessé de me pomper.. Tout le monde avait pris son pied mais pas moi.. j’avais la queue tendue a m’en faire mal.. Et je sentais que comme il m’arrive parfois quand je retiens trop longtemps la jouissance j’allais avoir du mal à partir heureusement c’est peu fréquent et uniquement quand je fais un long effort pour ne pas jouir.. Je bloque .. Sonia savait ce qui se passait et savais comment y remédier. Pour me libérer il lui fallait me masturber avec force, très rapidement. Ce qu’elle se lança a faire immédiatement. Je me tendais, me tordais sur le sol, la queue cramoisie, les veines gorgées de sang. Mes couilles me faisait mal et semblaient peser 2kg chacune.. Sonia avait remarqué que si elle me parlait crument dans ce moment ma libération arrivait plus facilement elle me traitait de salope, de pute… Moment étrange ou le plaisir et la douleur véritable sont intimement liés.. Mais cette fois cela tardait.. j’avais des fourmis dans les mains, mes lèvres aussi me picotaient.. il semble que ce soit les mêmes symptômes qu’une crise cardiaque.. Sonia avait mal à la main.. Michelle vint spontanément l’aider.. prenant le relais.. Je n’en pouvais plus, vraiment.. Sonia me prit les tétons dans ses doigts et me les tritura fortement ,pinçant écrasant les bouts tendres. Un éclair blanc, éblouissement, je me libère enfin.. je gicle, les jets montent haut me retombe sur le torse, sur le visage, d’autres s’éparpillent sur les filles, au sol sur les meubles.. je suis en transe, j’ai perdu la notion d’espace et de temps.. je ne suis plus qu’une queue qui s’épanche dans le cosmos.. je suis réduit à l’état de sexe pensant.. ne pensant qu’a une chose jouir.. C’est fort, douloureux.. on a envie que ca dure, que ca s’arrête.. Enfin le plaisir reflue au bout de quelques minutes durant lesquelles je suis sonné..
Je restais sur la moquette totalement anéanti. Sonia et Michelle un instant se demandèrent si j’allais bien. Elles me cajolaient comme un bébé, me caressant les joues et le front.
« Vous m’avez tué les filles » dis je.
« Toi aussi tu m’a vidé complètement » me dit Marc puis aux filles
« Si vous voulez améliorer votre technique pour faire des pipes, demandez lui de vous faire un cour.. »
Pour sa première expérience avec un autre couple, Sonia avait assuré et elle avait vraiment aimé. A la suite de cette soirée, il y en eu un grand nombre d’autres, il arrivait plus que souvent que nous ayons ce genre de soirée 2 a 3 fois par semaine, avec Michelle et Marc très souvent mais aussi avec d’autres amies et amis que nous rencontrions le plus souvent grâce au minitel toujours puis une fois constitué un cercle d’amis suffisant par le truchement de ceux que nous avions rencontrés.. Souvent la soirée avait lieu avec un autre couple, mais notre couple à nous incluait le plus souvent Sandrine. C’était assez amusant d’ailleurs de prendre contact avec des gens et de leur avouer que tout compte fait notre couple était plutôt un ménage à trois. Ceci était un atout de taille, plus d’une fois ceci suffit à décider des couples intéressants mais parfois un peu timides ou avec quelques réticences. Nous étions une bénédiction pour les couples dont madame avait envie de relations au féminin mais qui n’osait pas trop.
C’est avec Sonia et Sandrine que j’ai commencé à fréquenter des boites échangistes. Ces boites ne sont pas la meilleure façon de découvrir l’échangisme ou du moins le mélangisme. Mais une fois qu’on a gouté aux plaisirs à plusieurs ce sont des lieux très intéressants. Se lancer d’emblée dans une boite échangiste pour essayer les relations multiples c’est le fiasco assuré ou presque. La clientèle de ces boites est pour la plus grande majorité des couples déjà pratiquants et qui cherchent l’aventure immédiate et pas le jeu de la découverte. Il vaut mieux dans ce cas rencontrer des initiés pour éviter les pertes de temps.
Ayant déjà une certaine habitude nous nous sommes facilement intégrés aux jeux dans ces boites. Et finalement nous avons rapidement apprécié les boites disposant d’un espace commun. Il faut expliquer un peu.
La plupart des boites échangistes proposent les services des boites de nuit, dans, bar etc.. Ces espaces classiques sont là pour la rencontre. Ensuite viennent les espaces dédiés à la consommation sur place, soit salons plus ou moins privatifs ou à thèmes selon la classe de la boite. Mais il y a aussi souvent un espace qui est dédié à l’exhibe et à la partouze générale. C’est le plus souvent ces espaces qui nous branchaient. Sonia et aussi Sandrine adoraient ces espaces ou tout le monde, du moins ceux qui appréciaient partageaient caresses et plus. Certains broîtes réservaient à la demande ces espaces pour ceux/celles qui voulaient se mettre en avant et s’offrir à la clientèle de la boite. Sonia elle raffolait de cet exercice, être le centre d’attention de la soirée était pour elle un aphrodisiaque puissant. Elle s’abandonnait à tous ceux hommes et femmes qui avaient envie d’elle et parfois il y avait foule. Moi si au début j’avais une petite réticence quand il y avait beaucoup d’hommes autour d’elle, après quelques soirées j’appréciais aussi de la voir succomber de plaisir sous les assaut de 7, 8 voir une douzaine de mâles en rut et souvent de leur épouses..
Au départ je restais en retrait, observant les assauts. Puis rapidement j’étais entrainé dans la sarabande orgiaque qui naissait. Allant de l’une à l’autre, parfois tombant sur un autre homme aimant les hommes, mais c’était plus rare surtout au vu et su de tout le monde. Beaucoup d’hommes sont bi, mais peu acceptent de le montrer sauf en petit comité. Moi cela ne me gêne pas voir j’aime un peu provoquer et m’exhiber dans ces moments.. On verra plus loin que ce n’étais là que des amuses gueules et que plus tard j’allais pousser beaucoup plus loin dans le genre.
Chose amusante, après ses soirées en général le week-end et bien sur pas tous les week end non plus. Notre trio, car Sandrine était plus ou moins toujours là se trouvait dans un état d’excitation tel que toute la semaine qui passait, après une soirée en boite, était hyper chaude au point que souvent nous étions trois au lit la plupart du temps sauf quand le mari de Sandrine était à la maison ce qui était assez rare il faut l’avouer.
Ce phénomène de sur excitation et de besoin insatiable de sexe je l’ai toujours constaté. Si on sent que en duo le désir baisse , une petite soirée a 4 ou 3 et c’est reparti. Comme si on capitalisait, on se ressourçait en partouzant pour retrouver un désir accru avec sa partenaire. Je reste intimement persuadé que si les couples pratiquaient plus l’amour en groupe, il y aurait beaucoup moins de mésententes au lit et sans aucun doute moins de couples qui se défont.
Nous avions pris l’habitude de jouer avec nos désirs, les envies de chacun. Souvent nous aimions faire l’amour dans des lieux insolites, là ou l’on pouvait nous découvrir, voir nous observer. On aimais par exemple faire l’amour dans les toilettes des restaurants, dans les parkings le soir. En ville la nuit sous des portes cochères. Je ne compte pas le nombre de fois ou j’ai pris Sonia ou Sandrine dans une moindre mesure car si elle participait souvent elle n’était pas non plus tout le temps avec nous, dans un coin de porte a 3 heure du matin. Dans des parcs, sur des bancs publics. Il nous est arrivé de nous faire pincer même par la police.. En général ca se passe pas trop mal .. c’était une autre époque et ce genre de « délits » faisais plutôt sourire les gaillards.. maintenant ca se terminerait sans doute en garde a vue « o tempora o mores ». Je préfère avoir eu mes 20 ans à cette époque que de nos jours.. Et puis il y avait les trucs marrants.. comme une fois ce brave homme d’une quarantaine d’année qui nous observais dans un parc, alors que Sonia me faisais une pipe mémorable, je m’apperçu qu’un monsieur très convenable a priori était un peu plus loin dans l’ombre et observais la scène avec beaucoup d’attention. Je le dis à Sonia et tous deux nous lui firent signe de s’approcher. Un peu surpris il allait s’éclipser mais je l’appelais carrément le plus sympathiquement possible en l’invitant à nous rejoindre. Et ainsi Sonia put déguster deux queue au lieu d’une.. Ce brave homme pris un pied que sans doute il n’arrivait pas a prendre à la maison.. et reparti dans l’ombre comme il était venu. Il y eut aussi les trucs pas marrants.. mais qui après nous faisait rire.. comme le seau d’eau jeté d’une fenêtre par une vieille chouette insomniaque qui avait repéré notre couple dans l’ombre de sa porte.. Et Sonia et moi fûmes trempés et injuriés de belle manière.. Le plus désagréable était la douche car la température n’était pas énorme.
Et j’ai eu aussi des idées.. saugrenues.. comme la fois ou j’ai eu cette envie de me faire prendre par Sonia avec un god mais dehors .. une fille c’est pas compliqué.. on ne met pas de culotte.. on lève la jupe et hop.. un mec on est plus handicapé.. le pantalon a part faire un trou c’est pas top.. le baisser c’est pas facile à remonter si on se fait surprendre.. Mais j’avais cette envie.. et on a réussi a conclure.. J’étais tellement excité qu’il n’a pas fallut longtemps pour que je jouisse.. et bien sur tout est parti sur le pantalon.. je vous dis pas les tâches..
Ah les tâches.. tout un poème.. La pipe ça va.. en général.. tout est mangé et avalé.. mais parfois ca déborde et ca tombe toujours là ou il ne faut pas.. la tâche est visible.. et c’est pas facile a masquer.. ou alors on rempli une petite chatte ou un petit qui en profite ensuite à la première occasion pour tout laisser partir si on n’y prend pas garde.. re tâche sur la jupe le pantalon .. car en général .. pas de culotte.. bien sur. Et puis il y à les inondations, avec Sonia j’ai commencé à découvrir le plaisir, car c’est un plaisir d’inonder ou de se laisser inonder par sa partenaire. En un mot plus terre à terre se pisser dessus.. Beurk ferez vous mais essayez et vous y reviendrez. Cela fait partie de ces plaisirs interdits.. Mais oh combien agréables et bénins. Pourquoi prendre autant de plaisir à ces jeux? Au fond je ne sais pas peut être une réminiscence de la petite enfance.. qui sait? Mais en fait c’est à mon avis plus cérébral, la sensation de l’urine chaude qui vous asperge est excessivement sensuelle. Viens ensuite si on pousse plus loin les sensation olfactives et gustatives si on ose.. Je conviens que selon les fois on peut avoir des moments moins agréables. Quand on manque d’habitude à ce jeu, on ne choisit pas forcément le bon moment. Il faut bien comprendre que selon ce que l’on a mangé et bu l’urine à une odeur et un goût plus ou moins prononcé plus ou moins fort. Il faut préférer les moments qui suivent une plus ou moins importante libation. Éviter aussi les fortes chaleur quand la transpiration draine le maximum d’eau du corps, dans ce cas l’urine est concentrée et ce n’est pas franchement toujours agréable. Mais de toute façon c’est un petit risque qu’il faut accepter. Par contre le plaisir est au rendez vous..
Avec Sonia la première expérience humide est arrivée à la fin d’une après-midi passée à faire l’amour à nous dépenser copieusement. Nous prenions une douche commune comme très souvent ce qui avait pour effet de nous remettre en forme pour un dernier round coquin en général. Sonia ressenti soudain une envie pressante et voulu sortir de la douche je la retint.. Et lui demandais de se laisser aller sous la douche.. au début prise par son envie elle refusa puis comme je la retenais elle dit en riant « je vais te pisser dessus » C’est sans même réfléchir que je m’agenouillais, alors qu’elle lançait son ventre vers mon visage en tenant ses lèvres écartées, alors avec un soupir de soulagement elle se laissa aller, un jet puissant vint s’écraser sur ma poitrine. C’était très excitant de la voir se soulager ainsi, sous cet angle particulier , je ne pu m’empêcher de baisser la tête, de prendre le jet en plein visage, c’était chaud, a peine odorant, j’ouvrais la bouche et recueillais le jet dans ma bouche, je ne savais a quoi m’attendre et au final rien de dégoutant, douceâtre chaud, enfin tiède mais rien de rebutant. L’action de prendre cette urine dans ma bouche était excitante.. C’est plus une posture intellectuelle qu’une attirance physique. Mais se dire je suis en train de boire l’urine de ma compagne et l’action prend une autre dimension.. Là elle était dictée par la curiosité, ma perversité naturelle peut être.. Mais le jeu était excitant. Surtout sous la douche ou toute trace est effacée rapidement. Sonia s’amusait comme une petite folle a m’asperger.. Mais la source se tarit.. Et je vis qu’elle était troublée.. d’une petite voix timide elle me dit « Fais le maintenant ». Je compris qu’elle avait envie de jouer à son tour.. J’avoue que je ne m’attendais pas à cette réciprocité. Le seul souci c’est que comme toujours ma queue était plutôt raide et l’excitation qui naissait dans ces jeux humides n’arrangeait rien. Mais je finis par lancer un premier jet qui lui éclaboussa la poitrine, puis je remontais le long du cou, Sonia me regardait intensément et ouvrit la bouche. Le jet doré s’écrasa sur sa langue, elle gouta et revint placer sa bouche devant le jet dru que je n’arrivais pas à contenir. Une deuxième fois elle empli sa bouche et sans me quitter des yeux avala carrément l’ondée avant de venir me prendre dans sa bouche alors que je continuais à me vider la vessie. Elle avalais rejetais ce qui s’écoulait tout en commençant une pipe dont elle avait le secret. Je finis par inonder a nouveau sa bouche mais cette fois de sperme bouillonnant. Après cette première folie nous avons assez souvent usé de ces jeux. A deux ou plus, en extérieur assez souvent mais aussi en intérieur.. ce qui occasionnait parfois des séances de nettoyage homériques.
Fous direz vous? Non.. curieux, pervers sans aucun doute mais pas fou. J’aime ce genre de chose pour la simple raison que j’ai essayé et que j’ai tiré un certain plaisir de ces jeux hors norme peut on dire mais si bénins à côté d’autres .. Je n’ai jamais rien fait que je n’aimais pas, du moins j’ai essayé et décidé ensuite si j’aimais, si j’en tirais un frisson ou une satisfaction.
Sonia et moi nous entendions à merveille, Sandrine était aussi dans la plupart de nos mauvais coups. En fait nous formions une sorte de ménage a trois, même si nous adorions nous retrouver à deux pour vivre notre amour. Nous étions vraiment amoureux, et nos escapades érotiques loin de nous séparer nous rapprochaient. Nous avions confiance l’un dans l’autre, et moi qui à toujours été d’un naturel volage, je n’ai jamais trahi la confiance de Sonia, jamais, pas une seule fois. Notre façon de vivre nous permettait de vivre nos fantasmes, Sonia et moi avions la latitude de changer de partenaires sans mensonge, sans faux semblants. Ce n’était que jeux sans sentiments, avec les amis que nous voyions souvent il y avait bien sur une réelle amitié et une complicité. Avec les partenaires occasionnels c’était la complicité dans la recherche du plaisir. Je ne nie pas que parfois sentant qu’il pouvait y avoir plus entre moi et une partenaire, je prenais mes distances pour ne pas tomber dans le piège, le risque est toujours présent mais tout a fait maitrisable.
Une soirée mémorable, fut sans aucun doute l’anniversaire de Monique, une jeune femme que nous avions rencontré avec son ami Jacky dans une boite parisienne. Nous avions vraiment sympathisé et nous nous fréquentions assez régulièrement soit pour aller en boite soit plus simplement passer une soirée à 4 ou 5 selon que Sandrine était avec nous. Lui était photographe de presse, elle travaillait dans une agence de presse également. Monique avait 25 ans, et Jacky pas loin de 60. Couple atypique mais extrêmement joueur, en tant que photographe Jacky réalisait des clichés de Monique en pleine éxhib dans tous les coins de Paris au petit matin ou la nuit. Et ce fameux week-end nous étions réunis pour l’anniversaire de Monique, dans l’appartement à deux pas de la tour Eiffel nous étions une joyeuse bande Monique et Jacky, Sylvie et Franck un autre couple d’ami de nos hôtes, Virginie et Thierry ainsi que Sandrine, Sonia et moi. Tous bien sur étions échangistes, nous avions eu l’occasion de croiser Sylvie et Franck en boite mais nous ne connaissions pas Virginie et Thierry, de même que les deux charmantes filles Ève et Lily que Jacky avait cru devoir inviter en plus.. la peur de manquer sans doute..
Le Week End était placé sous le signe de la bonne humeur et de la sensualité. Les filles avaient toutes fait assaut d’élégance coquine et plus que dans une réunion d’amis on avait plutôt l’impression de se retrouver au salon de l’érotisme.. Entre décolletés qui ne cachaient rien, transparences révélatrices et résilles indiscrètes nous les hommes paraissions emmitouflés alors que nos gracieuses compagnes se dévoilaient aux yeux gourmands de tous les convives. Ajoutons que par chance l’assistance dans sa totalité était bisexuelle, vous avez une petite idée des possibilités offertes. Toutes les femmes étaient charmantes et plutôt jolies, pas de super top modèles dans la bande mais de beaux brins de filles. Monique notre hôtesses était brune avec de très long cheveux qui lui caressaient les reins, une petite poitrine ferme aux tétons durs et foncés, un abricot rebondi et imberbe promettait des moments agréables.. Et je savais pour avoir déjà tenu Monique dans mes bras que lui faire l’amour était une expérience assez torride car la belle était volcanique et expansive appréciait la sodomie et les doubles pénétrations, adorait que je lui mange la chatte mais c’était le cas de toutes celles que je côtoyais. Jacky ne paraissait pas approcher de la soixantaine, assez athlétique, pas très grand il était un peu comme moi toujours prêt a en découdre et bien pourvu largement plus imposant que moi par exemple.. J’aimais beaucoup qu’il s’intéresse a moi et qu’il me prenne, et de son côté il adorait ma bouche, disant que je suçais bien mieux que Monique ce qui était vrai car elle n’était pas très douée pour cet exercice qui pourtant ne lui répugnais pas. Sylvie était une belle plante, bien en chair, d’un blond roux assez peu commun elle avait une poitrine de rêve avec des aréoles roses grandes comme des sous tasses, de petits tétons très sensibles, sa peau laiteuse était d’un douceur de soie, sa chatte très large soulignée d’un petit buisson blond peu fourni, était accueillante et toujours humide, on pouvait la toucher a tous les moments elle était moite au minimum et dans les moments intenses elle était inondée. Nous avions rencontré Sylvie et son mari en compagnie de nos hôtes dans une boite le courant était tout de suite passé et nous avions craqué pour elle Sonia et moi. Franck très sympa é
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