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Mon père devient une bonne truie (suite de « M

Mon père devient une bonne truie (suite de « M



trouvée sur le net

J’avais raconté dans un récit précédent comment mon père avait été violé par des potes arabes dans une cave de cité.

Son image de père de famille puritain et très strict en avait pris un coup. Bien sûr, il ignorait que j’avais assisté à sa mise en abattage et que je savais qu’il y avait pris goût. En effet, j’avais appris qu’il retournait fréquemment dans la cave de sa révélation. Là, il y subissait les assauts réguliers des lascars du coin.

Mon père était encore un bel homme. Depuis qu’il avait pris goût à son état de femelle soumise, il s’habillait plus cool. De temps en temps, du haut de l’appart de mon mec, je le voyais arriver dans la cité pour venir se faire troncher. J’étais fier de voir les regards salaces des petites frappes se poser sur son corps appétissant. J’étais fier de le voir s’exhiber sans complexe devant ceux qu’il avait méprisé longtemps. J’étais surtout très heureux qu’il ait changé sa façon de voir les choses aussi radicalement.

Ce jour-là, justement, je suis à la fenêtre de la chambre. Je viens de faire l’amour et je jette un œil à l’extérieur. Je vois mon père entouré d’une dizaine de jeunes mecs. Tous majeurs bien sûr! Mon père n’a rien d’un pédophile, bien au contraire! Ce sont les vrais petits mâles bien virils qui l’attirent. Il est là en bas, excité comme une puce. Jamais je ne l’avais vu comme ça, avec sa tenue presque branchée. J’avoue, avec une certaine honte, que j’ai eu une érection en le voyant. Autrefois, il aurait été hors de question que moi je sorte habillé comme ça. Aujourd’hui, lui, ne s’en prive pas!

J’ai vraiment l’impression qu’il sort faire le trottoir. Je me rends compte que mon père est devenu un sacré exhibitionniste! Moi, je bande ferme. Je suis un sacré voyeur qui aime voir son père se dépraver. En bas, les mecs l’abordent sans hésiter et certains vont jusqu’à lui toucher les fesses ou le paquet. Je me dis qu’il doit y avoir d’autres personnes qui regardent cette scène. Certaines doivent s’en offusquer et peut-être téléphoner aux flics. Je m’en fous car les flics ne se déplacent que rarement ici.

Je suis tout de même heureux lorsque je les vois tous prendre la direction du bâtiment C, là où il y a une cave accueillante. La pensée qu’il va se déshabiller devant tous ces mecs me fait bander. Je sais qu’il va se faire «monter» à la chaîne et que ça va durer un bon moment. Mon mec a appris certains détails des partouzes auxquelles mon père se joint. Au début, il s’était fixé certaines limites mais d’après les derniers échos, il les a largement dépassées.

— Je suis inquiet! dis-je à mon mec.

— Pourquoi?

— Après ce que Ahmed t’a raconté… Mon père qui va de plus en plus loin… J’ai l’impression qu’il pète un plomb… Il est prêt à tout!

— On dirait que le père c’est toi!

J’enfile mes vêtements et je descends dare-dare vers la cave. Lorsque j’y arrive, ça gueule beaucoup. Rachid me barre la route.

— Aujourd’hui c’est payant!

— Hein?

— Oui, payant… Et no capote!

Je me doutais d’un truc pas net. Cette bande de tarés a décidé mon père à participer à un plan jus… un plan bareback. Je hurle que je veux passer. Ahmed s’amène et essaye de me calmer. Il m’emmène loin de la cave.

— Tu vas te calmer, mec!

— Je ne veux pas que mon père se fasse contaminer.

— T’es malade ou quoi? Tu nous prends pour des assassins!

— Rachid a dit que c’était no capote.

Il me tend une liasse de billets. Il y en a pour 400€.

— C’est quoi ça?

— C’est ce que ton père va gagner en faisant ses 20 passes.

— Mais mon père n’est pas une pute!

— Faut le dire vite, oui…

— Arrête tout!

— Il est trop tard, mec! C’est toi qui nous l’a amené. Tu as lancé la machine. On ne peut plus l’arrêter ton «father». Ténébro le tient par le cul. Il y a dans la cave au moins une bonne dizaine de mecs qui font la queue. Il y en a autant qui vont encore s’amener.

Comme je finis par me calmer en apprenant que mon père ne risque pas de se faire plomber, Ahmed me ramène en bas.

— Tu peux regarder d’ici! me dit-il. Tu connais l’endroit, non?

Effectivement, c’est d’ici que j’ai regardé le premier passage de mon père en ces lieux. Là-bas dans l’autre cave, trois mecs s’occupent de mon paternel déjà à moitié à poil. Le premier lui maintient les bras tandis que le deuxième lui a enfourné son sexe dans la bouche. Le troisième lui caresse le cul puis les tétons.

— Bonne chienne! Très bonne chienne! Tète bien, ma chienne!

Une fois que les trois mâles ont fini de se faire pomper par mon père chacun leur tour, ils lui arrachent ses derniers vêtements.

Des mains avides palpent son cul, caressent sa raie chaude et humide et malaxent ses tétons dressés. Contrairement à son premier abattage, il ne se débat pas. Il subit avec bonheur. Il gémit de plaisir. Je ne bouge pas et je reste à mater, une fois de plus. Je me sens moins coupable. Je suis pourtant plus inquiet. Je me demande à juste titre jusqu’où tout cela ira! La scène, loin de m’épouvanter, me file tout de même une gaule pas possible. Voir ces porcs abuser de mon géniteur m’excite plus que jamais.

Un quatrième gars entre dans la danse. Il lui roule un patin baveux en lui torturant les tétines. Mon père gémit de plus en plus fort d’autant qu’une première bite s’enfonce virilement dans son fion bien graissé.

— C’est bon, les mecs, la salope est prête!

Là, c’est le début du travail à la chaîne. Les mecs défilent. Ils ne font pas dans la dentelle et se contentent de tirer leur coup rapidement en pénétrant l’anus de mon père. Ils le bourrent et déchargent très vite leur jus sur ses fesses, son torse ou sa figure. Arrive le tour du Maître Ténébro. Mon père le supplie à genoux de le baiser. Ténébro, un peu plus habitué, fait durer le plaisir. Il lime sa proie longtemps et à la hussarde.

Ahmed s’avance et pose une paire de pinces munies de poids sur les tétons de mon père. C’est là que je me rends compte qu’il doit être particulièrement sensible au niveau des seins car il jouit intensément. Il geint tout son plaisir comme une truie.

Ténébro le retourne sur le dos et lui écarte les fesses exposant son trou du cul à la vue de tous.

— Je vais le finir en beauté, les gars!

— Ouais! Éclate-lui le fion, mec!

Il plonge à nouveau son énorme sexe et le sodomise sauvagement. Le corps de mon père accompagne les coups de boutoir et s’agite dans tous les sens. La baise dure trente minutes au moins. Mon père doit avoir le cul en compote. Après plusieurs assauts, l’enculeur épuisé finit par décharger en un long râle de jouissance. C’est une véritable explosion!

Ahmed revient vers l’endroit où je me trouve.

— Alors qu’est-ce que tu en penses?

— Je n’en reviens pas… Il accepte tout…

— Ton père est devenu une bonne truie, mon gars! On ne va pas le lâcher.

— Il a fini là?

— Tu rigoles!!! Il a à peine fait la moitié de ses «clients»!

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