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La maman dévergondée, 12° partie

La maman dévergondée, 12° partie



Dans mois qui ont suivi, notre vie à deux, Maman et moi, s’est poursuivie dans une profusion câline de libertinages. Nous étions comme des amants ordinaires, avec une différence d’âge, et qui nous aurait vus sans nous connaître ne nous aurait jamais crus mère et fils. Et pourtant !
Un samedi matin de printemps, je me suis levé vers onze heures, les yeux encore lourds de ma nuit de fête avec des potes de fac. En arrivant en pyjama dans la cuisine, j’ai vu Maman affairée devant le plan de travail, en train de fouetter de la pâte à crêpes dans un grand saladier. Connaissant ma gourmandise, ma cordon bleu de mère n’avait de cesse de me régaler de bons petits plats et de desserts variés.
Je me suis approché sans bruit, pour la surprendre. Comme souvent, elle était vêtue d’une grande robe à fleurs nouée à la taille par un ceinturon. J’ai soulevé un pan du tissu pour découvrir sa culotte noire que j’ai abaissée d’un coup, découvrant sa superbe croupe blanche aux deux globes presque sphériques. Elle a sursauté, mais sans se retourner, elle a poursuivi son travail culinaire. Il faut dire qu’elle était habituée à mes coquineries très impudiques, car avec elle, je pouvais tout me permettre. Je lui ai dit qu’elle avait le plus beau cul du monde, et pas seulement pour lui faire plaisir, car je pensais réellement que, question popotin, pas une seule fille ne pouvait rivaliser avec elle.
En guise de préliminaires, j’ai glissé mon index dans le sillon fessier, en m’arrêtant à la rosette pour en masser les contours. Sans rien dire, elle se cambrait autant qu’elle le pouvait, invitation à poursuivre le geste, et à aller plus loin. Elle murmurait, la tête basculée en arrière, les yeux fermés :

– Vas-y, vas-y, enfonce ton doigt bien au fond !

Elle a écarté ses fesses à deux mains, le plus largement possible, afin de m’encourager à introduire mes phalanges dans les profondeurs du puits anal. En d’autres occasions, il m’est arrivé de me servir d’un spéculum pour ouvrir largement le trou, en contempler l’intérieur, et parfois y introduire différents objets. Mais ce jour-là, elle avait beau me supplier, je me contentais de tourner autour du pot, pour faire durer le plaisir de l’attente, enchanté par ces parfums puissants de sous-bois humides qui se répandaient dans la cuisine. Puis je me suis aperçu que le concombre posé près d’elle avait un bizarre aspect brillant. Je l’ai pris dans mes mains : il était tout enduit de cyprine ! J’ai murmuré à son oreille :

– Coquine ! Alors comme ça, tu joues avec la nourriture, avec tous ces gens qui meurent de faim dans le monde ! Parce que tu te l’es fourré dans la chatte, avoue ou je te donne une fessée !
– Oh, oui ! Une bonne fessée, c’est tout je ce que je mérite, parce que je suis une méchante maman.

D’abord, j’ai croqué dans la cucurbitacée qui avait un diamètre dont peu d’hommes peuvent se vanter, sauf peut-être mon ami John, dont j’ai déjà évoqué la membrure exceptionnelle dans un précédent chapitre. Le légume était enduit de la liqueur du sexe maternel : le parfum d’une reine. Un peu déformé par le séjour vaginal, mais délicieux. J’en ai fait mon petit déjeuner et il n’en est pas resté. Puis j’ai claqué fermement les deux fesses qu’elle me tendait avec complaisance, l’une après l’autre, pas trop fort quand même, mais au rythme de la chanson « de Nantes à Montaigu » que je chantonnais, et dont elle a repris le refrain avec moi. Je crois que jamais mère et fils n’ont été aussi complices dans la lubricité. À la fin, son cul était chaud et tout rouge : on aurait presque pu y poser la poêle à crêpes pour les faire cuire.
Sous mon pantalon de pyjama, je bandais diablement. Il me fallait passer à des actions plus viriles, alors j’ai commencé par sucer le petit orifice qui n’était pas très propre, ce qui ne me repoussait pas du tout, puis je l’ai enculée en douceur. En sentant mon gland franchir son petit anneau, Maman a poussé un ah ! de soulagement, puis un oh ! de volupté quand je suis arrivé au maximum de la pénétration. Toute ma vie, j’ai adoré la chaleur douce qui règne dans un rectum de femme, et ma mère, qui m’a initié à cette tendre pratique, était la plus torride des partenaires. D’autant qu’elle aimait terriblement que je la fouille de cette manière, bien à fond, tandis qu’elle s’appuyait sur le rebord du plan de travail, penchée en avant.
Aucun de nous n’avait hâte que je lâche ma purée ; je me retenais autant qu’il était possible. Mais quand son orgasme a explosé, j’étais trop excité pour faire durer plus longtemps cette sodomie, et j’ai farci le croupion maternel d’une giclée bien copieuse qui débordait du trou pour dégouliner sur ses cuisses, pendant qu’elle gémissait sur l’air de ma chanson paillarde. Puis, ravie d’avoir été aussi bien sautée, elle a fait sauter ses crêpes, et nous nous sommes régalés.
Le lendemain, à la même heure, nous avons recommencé le même manège, mais c’était en face d’une pâte à fondant au chocolat qu’elle savait confectionner mi-cuit, ce qui était un délice pour mes papilles, cependant moins que sa chatte toute buissonnante aux poils poivre et sel. Miam ! Avec elle, je n’avais de cesse de me perfectionner dans l’art délicat du cunnilinctus, et ce matin-là, je me sentais l’âme d’un virtuose de la langue fourrageant dans les replis intimes. Dans le domaine du bucco-génital féminin, les rustres se jettent goulument sur le clitoris qu’ils maltraitent comme des soudards ivres, alors qu’il faut se comporter en gourmet patient, balayer tendrement les grandes lèvres, aspirer les deux nymphes avec gourmandise, visiter le mont-de-Vénus en haut, le périnée en bas, errer à l’entrée du vagin avant finalement, mais seulement à la fin, titiller comme un artiste peintre avec la pointe de son pinceau le saint des saints génital, le sortir délicatement de son fourreau, le célébrer, le chanter, le louer, l’adorer à genoux comme un tout petit dieu vivant !
Ensuite, j’ai inséré deux doigts dans l’orifice par lequel elle m’a donné le jour presque dix-neuf ans plus tôt. La face antérieure est particulièrement sensible, surtout lorsque la dame a omis de passer par les toilettes et que l’envie d’uriner amplifie ses sensations. Le point G est à portée de qui veut l’explorer, avec en perspective la jouissance absolue des femmes qui ne craignent pas d’aller jusqu’au bout de leurs sensations. Ma mère en faisait bien-sûr partie. Ses cris de joie ont toujours un chant de grâce qui me ravissait.
La suite a été humide comme une pluie d’orage à la fin d’une journée de canicule. La femme fontaine que je tenais câlinement entre mes mains s’exprimait à pleines orgues lorsque je retirais mes doigts, pour les introduire à nouveau, et ainsi de suite, dans une succession de giclettes qui n’ont commencé à diminuer d’intensité qu’au bout de la dixième. La mouille parfumée s’est mélangée à la pâte à gâteau que j’ai présentée devant elle. Ensemble, nous avons tourné la spatule pour finaliser notre dessert, avant de le faire cuire au four – dix minutes, pas plus !

– Mmh, ai-je dit, le jus de ta chatte est le meilleur ingrédient qui soit, ai-je avoué en me léchant les doigts pour ne pas perdre une seule goutte de ce précieux nectar.
– Si tu aimes ma cyprine, mon chéri, tu en auras autant que veux. Et maintenant, tu veux baiser directement ? Ou tu préfères que je fasse une pipe, pour commencer ? Si tu veux, je te fais une gorge profonde et j’avale tout ton foutre,
tout en te massant la prostate : j’adore te pomper, tu le sais bien.

Oui, je le savais bien. Pour toute réponse, je me suis enfoncé dans sa gaine chaude et profonde, et aussi remarquablement étroite pour une femme de son âge qui a passé sa vie à forniquer à droite et à gauche. Elle savait se servir de ses muscles pelviens pour contracter ses parois vaginales, et aspirer mon chibre jusqu’à le retenir prisonnier.
La fenêtre était restée ouverte en grand. Les oiseaux chantaient ; nous étions heureux. Certes, nous habitions un rez-de-chaussée donnant sur la rue, de sorte que les gens pouvaient nous voir, et les voyeurs ne se gênaient pas. Cela ne nous dérangeait pas.
A ce moment-là, elle a chuchoté à mon oreille :

– Mon chéri, mon amour, il faut que je te parle d’un projet qui me tient à cœur depuis longtemps déjà… ne me gronde pas… promets-moi.

Intrigué, vaguement inquiet, je l’ai rassurée : elle pouvait tout me dire. Elle a aval sa salive, et dit :

– Voilà : je voudrais t’épouser.
– M’épouser ! Mais c’est illégal entre une mère et son fils : aucun maire, aucun curé ne voudra célébrer ce mariage. De plus, je te rappelle qu’officiellement, tu n’es toujours divorcée d’avec Papa.
– Si, je connais un prêtre qui accepte de le faire. C’est en dehors des règles établies, d’accord. Mais lui est un peu spécial. Et puis… regarde !

Elle a sorti une petite boite de la poche de sa robe. J’ai ouvert : une chevalière superbe, en or, gravée avec mes initiales.

– Merci, Maman ! Mais tu as dû te ruiner !
– Bah, je me suis un peu endettée, mais la seule chose qui ait de l’importance c’est ton bonheur. Alors ? Tu es d’accord ?

J’ai vu qu’elle pleurait. Alors, je me suis jeté à son cou, estomaqué par tant d’amour et de folie, et nous avons mélangé nos larmes de la passion hors norme qui nous liait.

La prochaine fois, chers lecteurs, vous connaitrez ma réponse à cette incroyable proposition, et les conséquences de ce choix. Enfin, si vos commentaires m’encouragent à poursuivre plus loin ce récit dont j’espère qu’il vous a bien excité.

A propos de l'auteur

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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