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SACRE RENDEZ-VOUS

SACRE RENDEZ-VOUS



Je gare ma voiture à l’adresse indiquée par Jean.
C’est notre première rencontre physique.
Bien que nous discutions depuis un moment sur internet, je n’avais jusqu’ici jamais ressenti l’envie ou le besoin de le rencontrer. Il est sympa mais est beaucoup plus âgé que moi.
Nous parlons de tout, et un jour il m’a demandé d’accepter un restaurant, juste pour mieux faire connaissance, sans arrière pensée. N’ayant rien de spécial à faire, j’ai craquée et acceptée son invitation.
Je suis au rendez-vous, juste à l’heure, mais pas de Jean à l’horizon.
La nuit est tombée j’attends toujours et commence à me dire qu’il m’a posé un lapin.
Je lui donne encore cinq minutes et je m’en vais.
Déçue, je quitte l’endroit pour retourner à ma voiture.
Agacée, je mets le contact, mais au moment de démarrer un type me fait sursauter en tapant à mon carreau. Je l’entrouvre, mais pas trop. On ne sait jamais.

« Karine ? Vous êtes Karine ? »
« Heuu, oui ! Et vous ? Qui êtes vous ? »
« Désolé de vous avoir effrayé. Je suis Pierre, un ami de Jean. Il a un problème de voiture. Il sera en retard. Il m’a demandé de vous faire patienter chez moi. Je suis avec des amis, vous n’avez rien à craindre. »
C’est un homme grand mince, d’une quarantaine d’année et plutôt beau gosse.
Je descends de voiture.
« Ho, mais je n’ai pas peur, vous savez. Je sais me défendre. »
Il éclate de rire.
« Bien ! Me voilà prévenu. Hahaha ! J’habite le pavillon, là, en face. »
Je descends de voiture et le suis, la maison est magnifique. J’aperçois en rentrant, une belle et grande piscine. La classe !
Je continue à suivre mon hôte qui me fait pénétrer dans un grand salon.
Sur un canapé, deux hommes discutent et une femme regarde des photos confortablement installée dans un moelleux fauteuil.

« Les amis, je vous présente Karine, une amie à Jean. Karine, je te présente Michel et Guy.»
Les hommes se lèvent pour me faire la bise.
« Humm ! Il a toujours bon goût à ce je vois ! »
Intimidée, je réponds à ce Guy qui à l’air de penser que je suis la nouvelle femme de Jean.
« Amie, Juste amie ! Pas petite amie. »
« Hummm ! C’est une bonne nouvelle, ça ! » répond Michel.
Ils ont l’air sympa, mais légèrement désinvolte. Même âge, même style que Pierre. Je donnerais ma main à couper qu’ils bossent ensemble.

« Fais pas attention, ils ne pensent qu’à ça ! Je m’appelle Ophélie. Tiens prend le fauteuil.»
C’est une splendide blonde. Cheveux long, yeux bleus, sculptée comme une déesse.
Elle semble super sympa et je me sens mieux d’avoir une alliée face à ces trois mâles.
« Non, non ! Reste assise, je peux l’attendre sur une chaise. »
Mais elle insiste, me pousse et je m’écroule dans le fauteuil.
Tout le monde éclate de rire, sauf moi. Ophélie s’assoit sur l’accoudoir du fauteuil et passe son bras autour de mes épaules.
« Ho ! Je suis désolée, excuse moi. Hihihi ! »
Elle se penche et dépose un baiser sur mon front. J’en suis un peu surprise, mais finalement, je comprend que c’est ça manière de me mettre à l’aise.
« Bon ! Pour me faire pardonner, qu’est-ce que je peux te servir ? Un whisky ? »
« Heuu, non ! Si je dois conduire, je n’aime autant pas. »
« T’inquiètes ! Le restau est à coté et ici il y a pleins de chambres vident. Tu pourras dormir là et partir demain matin. Allez ! Laisse toi aller. Hihi ! »
« Bon ! Ben, va pour un whisky alors. »
Elle se penche vers la table basse pour me servir. Sa croupe et ses jambes fines sont splendides. Mais très vite je détourne mon regard car les types me regardent.
Ophélie, très décontractée, me donne mon verre, prend le sien et s’installe sur mes genoux.
« Ca ne te dérange pas, au moins ? »
« Non, non ! Pas du tout. »
« Nous non plus ! Hahaha ! »
Les gars sont aux anges car pour s’assoir elle a dut écarter les jambes et sa jupe c’est relevée jusqu’à mi cuisse.
« Putain, les mecs ! Vous êtes lourds ! »
Contrariée par l’attitude des hommes, elle se tourne de coté et passe ses jambes au dessus de l’accoudoir et un bras autour de mon cou.
Je ne me sens pas particulièrement attirée par les femmes, mais il faut dire que sa beauté est franchement loin de me déplaire. Je sens son sein frotter le mien et cela m’excite en silence.
Je cherche à en savoir plus. Discrètement, alors qu’ils sont occupés à discuter, je questionne Ophélie.
« Tu les connais depuis longtemps ? »
« Eux ? Non, pas du tout. Je les ai rencontrés en boite. Je me suis tapée Pierre, mais comme j’avais encore faim, ils sont tous venus à la rescousse. Hihihi ! Je ne te choque pas au moins ? »
« Non, non t’inquiète pas. Il m’en faut plus pour me choquer. Et Jean ? Tu le connais ? »
« Non ! Jamais vu ce type. Je crois que c’est un pote de Pierre et qu’il est cloué au lit avec quarante de fièvre. J’en sais pas plus. »
« La fièvre ? Ce n’est pas un problème de voiture ? »
« Ha ? Ben moi, c’est ce que l’on m’a dit. »
« Bizarre ça ! Bon, ben on verra bien quand il arrivera. »
« S’il arrive. Hihi ! Je te sers un autre verre ? »

Elle se relève et remplie nos verres à nouveau.
« S’il arrive ? S’il arrive ? T’en a de bonne toi ! J’espère bien qu’il va arriver, sinon, qu’est-ce que je fous là ! »
C’est un fauteuil club. Il est en cuir et immense. Une personne obèse aurait encore de la place. Aussi, n’a-t-elle aucun mal à venir à califourchon face à moi, ses mollets contre mes cuisses.
« Et bien, tu me tiens compagnie, chérie. Hihi !»
Ainsi assise, sa jupe c’est relevée bien au dessus de la limite conventionnelle. Elle ne s’en inquiète pas du tout et me propose de porter un toast à notre rencontre.
Nous croisons nos bras et nous buvons en nous regardant dans les yeux.
Elle a le regard fripon. Trop peut-être. En tout cas, il me fait de l’effet et je me sens un peu envoûtée, étourdie par le bleu de ses yeux. J’ai la sensation qu’elle peut lire dans mes pensées où prendre possession de mon âme sans effort.
Nous discutons de choses et d’autres, plus ou moins intéressantes.
Elle tient son verre à deux mains, posé contre mon ventre. Machinalement, elle le caresse de haut en bas et ses doigts effleurent mon nombril depuis un petit moment. Autant de caresses qui échauffent mon esprit …et mon bas-ventre.
Jamais je n’aurais cru qu’une femme puisse me troubler à ce point.
Mais que pense-t-elle, elle, de ma main posée tout aussi machinalement sur sa cuisse et que je caresse de mon pouce ?
« Et toi, t’en penses quoi ? »
« Hein ? Moi ? Heuu ! Je ne sais pas trop. »
Gênée, honteuse de ne plus suivre sa conversation. Elle s’en aperçoit.
« Ca va ? »
« Heu, oui ! C’est l’alcool. Ne t’inquiètes pas. Pfff ! J’ai chaud ! Hihi ! »
« Tiens ! En parlant d’alcool ! Haha ! »
Elle se tourne et se penche pour att****r la bouteille sur la table basse.
Quelques secondes pour pouvoir l’admirer. Elle est sublime.
Ses seins déforment un tee-shirt trop petit qui laisse son nombril à l’air. La peau de ses cuisses est douce comme du velours et…la coquine ne porte pas de culotte. Je vois son joli coquillage, lisse comme de la nacre légèrement rosé.
« Allez ! Donne ton verre. »
Elle me sort de ma rêverie et je sursaute.
Je suis sur qu’elle a capté quelque chose, car elle me lance un regard amusé.
Sans détacher son regard du mien, elle pose la bouteille par terre. Puis, sa main vient effleurer ma joue.
Elle me gratifie d’un beau sourire d’enfant sage.
Elle pose son verre sur un petit guéridon tout près, prend le mien et le pose également.
Je suis prise de frissons car elle glisse ses deux mains derrière ma nuque, les doigts dans mes cheveux, les pouces sur mes joues et approche son visage du mien.
« Heuu ! Ophélie ! Je ne sais pas si… »
« Chuttt ! Tais-toi ! Tu en a autant envie que moi ! »
Je dois bien me rendre à l’évidence. Elle n’a pas tout à fait tord.
L’instant est intense en émotion. J’entends mon cœur dans ma poitrine, battre la chamade. Je tremble.
Ses lèvres effleurent les miennes.
Je ferme les yeux. Ma respiration s’accélère soulevant ma poitrine à chaque inspiration.
Sa langue se fait tout d’abord discrète, en demande. Surtout ne pas me brusquer.
Mais je suis sous le charme. Elle se soulève et se colle à moi, se penche sur moi. Je renverse ma tête pour mieux recevoir son baiser de feu.
Mes mains, sur ses cuisses nues, remontent centimètres après centimètres.
Invitée par son corps qui monte et descend, elle malaxe maintenant ses fesses, fermes et graciles. Quand elle effleure ses reins, elle se cambre, collant son ventre contre le mien. Et quand elle glisse sous son tee-shirt et remonte lentement son dos, les siennes s’attaquent aux boutons de ma robe.
Entre deux baisers, nous nous contemplons amoureusement.
Je me raidis un peu en voyant les trois hommes approcher.
Elle me rassure d’une voix douce et tendre.
« Chuuut ! Làààà ! ça va ! Ne t’occupe pas d’eux. Aime-moi ma chérie ! Aime-moi ! »
Nos seins sont libérés en même temps. Quand ils se touchent pour la toute première fois, je me sens humide, dégoulinante d’amour.
C’est trop fort, trop bon.
« Oui ! Oui ! Ho ouiii ! »
Elle abandonne ma bouche et glisse dans mon cou, ma gorge. Juste avant de se mettre à genoux, elle embrasse et lèche ma poitrine, aspire et énerve mes tétons dressés de plaisir, tout en terminant d’ouvrir ma robe en grand.
Sa bouche glisse sur mon ventre puis elle plonge sa tête entre mes cuisses. Elle respire fort, plusieurs fois.
« Hummm ! Tu sens bonnnn ! Je veux te manger !»
Fébrile, excitée, elle retire mon string sans difficulté.
Ses yeux bleus plongent une fois de plus dans les miens.
Doucement, elle écarte grand mes cuisses et je me laisse glisser jusqu’au bord du fauteuil.
Une fois de plus elle m’octroie un de ses sourires ravageurs et plonge son visage dans la fente humide et chaude qu’elle a prit soin d’ouvrir.
Au contact de sa bouche sur mon puit d’amour, je suis électrisée. Je m’accroche aux accoudoirs et me cambre autant que je peux, tendant ma poitrine gonflée vers les cieux.
Lorsque sa langue frétillante et experte, commence une exploration systématique, je me mords les lèvres à en avoir mal.
Un coup de langue sur mon clito, me secoue de plaisir. Elle le sent. Alors, elle y retourne. Elle prend mon bouton rose entre les lèvres et joue avec. Elle l’aspire, y frotte sa langue, le pince.
Une décharge électrique traverse mon corps.Je suis prise de spasmes. D’une main j’écrase le visage d’Ophélie sur mon clito, de l’autre je mortifie mon sein gauche en le broyant dans ma paume.
Je ne veux plus que ça s’arrête.
Je crie à plusieurs reprises l’orgasme puissant qui me submerge.
Là haut, j’aperçois les trois hommes qui se masturbent en me contemplant puis, d’un coup, je m’écroule au fond du fauteuil, comme foudroyée.
J’ai la tête qui tourne. Je vois des étoiles.

Lorsque j’ouvre les yeux, la belle blonde est penchée sur moi, un grand sourire aux lèvres.
« Coucou, Karine ! Tu es là ? Hihihi ! »
« Que m’es t’il arrivée ? »
« T’es tombée dans les pommes, ma chérie ! Ca arrive. C’est que j’ai bien travaillé. J’en suis assez fier ! Hihi ! Tiens bois ça. Ca va te remettre de tes émotions »
Elle a raison, un remontant ne me fera pas de mal. Mes mains tremblent et j’ai bien du mal à tenir mon verre. Ca l’amuse beaucoup.
« Tiens ? Te revoilà parmi nous ? Whouaaa ! Tu as fais le grand saut ! C’était magnifique à voir, vraiment. »
C’est Pierre. Il s’est accroupi et croise ses bras sur l’accoudoir du fauteuil en me regardant fixement.
Je me redresse et rabat les pans de ma robe qui était encore grande ouverte.
« Fous lui la paix, Pierre ! Laisse là reprendre ses esprits ! »
« Houuuuu ! Mademoiselle à ses nerfs ! Mademoiselle est jalouse peut-être ? Elle veut garder la douce Karine pour elle ! Houuuuu ! »
« T’es con ou quoi !? Fous le camp Pierre ! Tu n’es pas drôle ! »
Il s’éloigne en riant.
« Je ferais peut-être mieux de rentrer chez moi. »
« Non, s’il te plaît, reste encore. Tu vois bien il est plus con que méchant. En fait c’est lui qui est jaloux, car je suis sûre qu’il te baiserait bien ! Hihihi ! »
« Ouai ! Ben non merci ! »
« Hahaha ! Viens que je te montre un truc. »

Elle m’entraine à l’extérieur, vers la piscine.
« Ha ouiii ! La piscine ! Je l’ai aperçue en arrivant. »
« T’a pas tout vu, regarde ! »
Elle appuie sur l’interrupteur qui se trouve à l’intérieur d’un boitier.
La piscine s’illumine. C’est magnifique.
Ophélie me prend la main et nous nous approchons du bord. Et là !…surprise !
Dans l’eau, collés à la paroi, Michel et Guy sont enlacés et s’embrassent à pleines bouches. Tout à leurs affaires, ils n’ont même pas remarqués les lumières et notre présence.
Je pouffe de rire, mais Ophélie pose sa main sur ma bouche. Elle chuchote pour que les deux hommes ne nous entendent pas.
« Chuttttt ! Hihi ! Tais-toi ! Hihi ! On va leur faire peur, ok ? »
J’acquiesce.
Nous nous mettons nues et nous reculons pour prendre notre élan. Quand nous sommes suffisamment loin, nous courons vers la piscine en hurlant et nous sautons en tenant nos genoux pour faire une bombe aquatique.
Surpris, les deux hommes stop net leurs étreintes et nous éclaboussent du revers de la main.
« Ho, les connes ! Vous nous avez fait peur ! Merde ! »
« Hooo ! Les pauvres petits chéris ! Vous ne vous êtes pas cognés les dents au moins ? Hahaha ! »
J’éclate de rire à la plaisanterie de ma nouvelle amie et je plonge.
Sous l’eau, à la faveur des projecteurs, je vois comme en plein jour. Et ce que je vois ne me laisse pas indifférente.
Les deux hommes, plutôt bien montés, sont en érections.
Encore chaude de ma petite aventure avec Ophélie. Libérée, je décide de laisser ma timidité de côté et de tenter le diable.
Toujours en plongée, je nage jusqu’aux chevilles des deux hommes. J’en choisis un au hasard et remonte à la surface, collée à son corps.
Sa queue tendue, rigide, frappe mon crâne. Puis elle glisse sur mon visage, mes seins, mon ventre et pour finir frotte mon sexe. J’enlace mon partenaire, écarte les cuisses et laisse le membre s’y installer. Lorsque la baguette de chair glisse et frotte mon entrée, je resserre mes jambes pour la garder prisonnière.
C’est Guy. Surpris par mon audace, il en bafouille.
« Hé ! Mais qu’est-ce que… Tu fais quoi, là ? »
« Ben tu vois bien ! J’ai fais de ta bite ma prisonnière ! »
« Mais je… toi, Ophélie… t’es…t’es pas… gouine ? »
« Hahaha ! Pourquoi, t’es homo ? Non ? Pourtant tu roulais bien une pelle à ton pote !? »
« Heu ! Bon oui, mais là ce n’est pas pareil ! »
« À bon ? Ok ! J’en conclu que je ne t’intéresse pas. Excuse-moi de t’avoir dérangé. »
Je bondis en arrière pour m’éloigner en brasse papillon.
« Hé ! Reviens là, petite salope ! »
Il att**** ma cheville et me tire. Surprise, je manque de boire la tasse. Il me ceinture et me colle contre la paroi. Sa main libre cramponne mes cheveux et il tire ma tête en arrière. Il semble furieux. Son visage est à quelques centimètres du mien et je peux voir des filets de sang dans le blanc de ses yeux.
« Écoute-moi bien petite putain. Si je veux te baiser, je te baiserai. T’a compris !? »
Je sens à sa colère qu’il est plus vexé qu’autre chose. Je décide donc de jouer la carte de la « repentance ».
Tendrement, je passe mes bras autour de son cou et je le ceinture de mes jambes. Je décide de retourner la situation pour calmer ce vilain garçon. C’est tellement simple avec les hommes.
« Ho ! Je suis désolée Guy. J’ai mal saisi. J’étais terriblement vexée. J’ai cru que je ne t’intéressais pas. »
« Tu rigoles !? Tu la sens ma queue, hein ? Tu la sens ? Je vais te défoncer !»
Et voilà ! Tout redevient exactement comme je le voulais.
Je l’embrasse goulument afin d’éviter qu’il ne dise d’autre bêtises. Il s’agite un peu et je sens enfin son gland heurter mes grandes lèvres. Je sers un peu plus mes jambes autour de sa taille et…le pieu me transperce.
C’est la première fois que je me fais prendre dans une piscine et je dois bien avouer que la sensation est des plus délicieuses.
Je flotte comme un bouchon, montant et descendant à chaque coup de bassin de mon partenaire.
Nous sommes rejoins par Ophélie, Michel et Pierre qui vient de faire un fantastique plongeon.
Je suis en jouissance et la voix d’Ophélie augmente encore mon plaisir.
« Hummm ! Tu as fais connaissance ma chérie ? Il baise bien, hein ! Tu la sens bien profonde dans ton ventre ? T’aime ça, hein ? T’es une bonne petite salope, hein ? »
Je jouis au moment même où elle se jette sur mes lèvres pour m’embrasser.
A l’opposé, Michel malaxe mes seins à tour de rôle. Parfois il s’attarde sur un téton, l’étirant, le pinçant fortement.
Je suis de nouveau secouée de spasmes et je jouis comme une folle, lorsque mon ventre est envahi par la douce chaleur du foutre bouillant, s’écrasant tout au fond de moi.

Puis, Guy s’éloigne avec les autres, me laissant aux bons soins de ma belle blonde.
« Tu es très belle quand tu jouis, tu sais ? »
« Merci, tu es gentille. Pierre n’a pas de chance, il était encore à l’écart. Il va encore piquer une crise de jalousie, non ? »
« T’inquiète pas pour lui. Dis donc ! T’a l’air de bien l’apprécier ! »
« Ben…Il est plutôt pas mal et c’est le mieux monté des trois. Hihihi ! »
« Embrasse moi, c’est moi qui vais être jalouse ! »
Nous restons encore un petit quart d’heure dans la piscine, à nous embrasser, nous caresser.
Ophélie est d’une tendresse inouïe. Un homme ne me donnera jamais autant que cette fille.
A propos d’hommes… nous retournons au salon après nous êtres rhabillées et je vais voir directement Pierre.
« Dis-moi, Jean n’a toujours pas redonné signe de vie ? »
« Non, que dalle. Je suis désolé. Mais tu n’es pas bien avec nous ? »
« Je n’ai pas dis ça, mais je suis quand même venue pour lui, au départ. »
« Bah ! Il refera bien surface. Tu t’es rhabillée ? Dommage. Tu es très belle tu sais ? »
« Merci, c’est gentil. »
Je le sens venir et je veux fuir en rejoignant ma copine. Mais entre temps, elle a dû se faire entreprendre par Michel et elle se fait besogner.
Elle est à genoux sur le canapé. Lui, debout derrière elle, il la sodomise avec force.
Je suis gênée et ne sais pas trop quoi faire. Alors, d’un air dégagé, je me sers un verre et m’assois près d’Ophélie.
Ses cheveux s’agitent en rythme et j’ai toute les peines du monde à voir son visage. Je les écarte et je vois cette jeune fille si jolie, rouge et en larmes.
Touchée, je m’approche et lui demande tout bas :
« Ca va ? Tu souffres ? Tu veux que je l’arrête ? »
« Nonnnn ! Nonnnn ! C’est trop bonnnn ! »
Me voilà rassurée, elle pleure de bonheur.
Son tee-shirt baille et me dévoile ses petits seins qui s’entrechoquent. Je ne peux m’empêcher de tendre la main et de les caresser.
« Mmmmm ! Branle-moi Karineee ! Branle-moiiii ! »
Face à ce cri de désespoir, je ne peux que m’exécuter. Je me lève et m’approche de sa croupe. Je glisse une main sous son ventre, descend et atteint son clito gonflé. A peine effleuré, elle pousse un cri. Amusée, je la branle comme une forcenée.
Je vois ses jambes trembler. Je vois également le sexe de Michel entrer et sortir de la pastille brune à une cadence infernal.
Excitée par cette vision et par les cris d’Ophélie, je glisse ma main libre sous ma robe et je me branle aussi.
Michel, tout occupé qu’il est, entreprend de déboutonner ma robe. Puis, il me caresse les seins tout en baisant mon amie.
Je rentre en transe une nouvelle fois. Je ferme les yeux un instant.
« T’en veux ? Je vais t’en donner ! Viens-là ma poulette ! »
C’est Pierre. Il me pousse sur le canapé et me met à genoux. J’ai à peine le temps de réagir, que déjà son dard pousse l’entrée de mon fondement. Sentant l’ouverture étroite, il vient se lubrifier dans mon vagin. Son sexe est bon, puissant.
Je le cache, mais je jouis déjà, un peu.
Puis il revient à son envie première. Tout ceci m’a laissé du temps pour me préparer et me détendre et c’est sans appréhension que je cambre mes reins.
Lorsque son membre prend possession de mon cul, je ne peux m’empêcher de soupirer d’aise.
Mélanie tourne la tête et me sourit tendrement. Elle est amusée de nous voir dans la même position. Les hommes ont adoptés le même rythme et nous sommes secouées en cadence. Ca nous permet d’approcher nos visages et de nous embrasser avec avidité.
Mais soudain, elle se redresse et se cambre en poussant un dernier soupir.
Michel vient de jouir.
Il se retire et laisse la belle s’écrouler sur le canapé dans la position du fœtus. Elle semble épuisée.
« Regarde salope ! T’as vu dans quel état vous êtes quand on en a fini avec vous ? Ca te plaît, hein, femelle !? Vous aimez être nos jouets !? Répond sale putain ! »
Je le sens, m’insulter l’excite au plus haut point. Voilà une solution pour réduire la durée de ma sodomie. Je dois bien reconnaitre que même si j’apprécie, sa grosse bite me fait mal et ce n’est pas mon acte préféré.
« Ho oui, je suis un jouet ! Mmmm ! J’aime ça ! Je suis une salope ! Haaaaa ! J’aime que les hommes jouent avec mon corps ! Hummm ! Défonce-moi fort ! Je suis ta marionnette ! »
Et ça marche ! Je le sens se raidir. Il tape plus fort deux trois coups et je sens le liquide bouillant se déverser en moi.
Il me claque les fesses et s’éloigne.
Tout comme la blondasse, je m’écroule sur le canapé. Elle relève la tête.
« Merde ! Ils nous font du bien quand même ces cons, non ? »
Après une tête dans la piscine, Ophélie m’entraîne dans une des nombreuses chambres et nous nous aimons toute la nuit.

Je suis la première debout.
Je fouille un peu dans la cuisine et je parviens à trouver ce qu’il faut pour me faire un café.
Pierre me rejoint.
« Bien dormi ? Tu as passé une bonne soirée, j’espère ? »
« T’inquiètes, c’était cool. Je suis juste un peu contrariée du lapin de Jean. »
« Ha mais non ! Il ne t’as pas posé de lapin ! Il était là ! »
« Quoi ? Qu’est ce que tu racontes ? »
« Hahaha ! Viens voir. »
Il me conduit au salon. Sur le coin du bar il y a un ordinateur. Il tourne l’écran et me le me montre. Il y a une fenêtre de webcam ouverte. Elle montre une pièce et un fauteuil.
« Ha, ben là, il est parti ! »
« Hooo ! Arrête Pierre ! Là tu m’énerves ! Tu vas t’expliquer, oui ? »
« Regarde… là. »
Il m’indique une bibliothèque. Il écarte deux livres et sort une petite caméra.
« Viens voir dehors. »
Cachée entre des coussins, il m’en montre une autre.
« Je comprend pas ! »
« Bon ! C’est très simple en vérité. Il est bien tombé en panne et n’a pas pu venir te rejoindre. Alors nous avons pensé qu’il pourrait être là, du moins par l’esprit. Il a suivi tout tes ébats sur son ordi. Tu étais filmée, au salon, comme à la piscine. »
« Putain ! Je ne sais pas comment je dois le prendre ! Et toi ? Tu es qui toi ? Et les autres ? C’est qui ? »
« Ne t’énerve pas. Haha ! Prend ça comme une expérience originale. Tu verras, je suis sur que tu en garderas un bon souvenir.
« Bon ! D’accord ! J’avoue j’ai passé une excellentes soirée, mais tu aurais dû me mettre au courant ! »
Furieuse, je le pousse dans la piscine.

Je rejoins Ophélie. Elle dort encore. Je lui caresse la joue doucement.
Elle se réveille mais reste immobile, les yeux fermés.
Tout doucement, la voix un peu rauque :
« C’est toi Karine ? »
« Oui ma belle. Je viens te dire au revoir. »

Je lui donne un doux baiser sur les lèvres et remonte la couverture.
Le jour se lève. Il est temps pour moi de rentrer et d’avoir quelques explications avec un certain… Jean.

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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