Histoires de sexe à l'école Histoires de sexe viol

Bordell’O Cita (2)

Bordell’O Cita (2)



Merci de me donner vos avis sur cette nouvelle histoire.
SVP .. si quelqu’un peut traduire la série en anglais ..merci de me faire signe.

——————————————————–

L’installation à Bordell’O Cita

Au détour d’une rue nous aperçevons un grand bâtiment austère, qui devait sans doute remonter au 19 eme siècle.

Visiblement il s’agit d’une ancienne prison.

Notre gardien nous y fait pénétrer. Au dessus du porche d’entrée, figure l’inscription « Slaves Center ».

Passé le porche, on nous enlève nos carcans que nous portions depuis notre départ ce matin.

Mes seins sont gonflés et me font un peu mal. Il faut dire que nous n’avons plus été traite depuis des heures.

On nous fait pénétrer dans la cour du bâtiment.

Ce que j’y découvre me fait frissonner.

Une dizaine de croix en bois y sont érigées. Deux sont occupées par des esclaves, exposées au soleil, les bras et les pieds attachés à l’aide de cordes. Elle portent de nombreuses marques de fouet.

Nous traversons la cour, puis on nous fait rentrer dans un petit bureau occupé par un fonctionnaire qui prend note de nos numéros dans un registre, avant de nous expliquer sommairement que nous avons été transférées dans cette cité balnéaire pour servir les touristes. Par ailleurs, il nous précise qu’étant toujours en lactation, nous serions affectées à la production « artisanale locale ». Quant au règlement .. il est ultra simple: Obéissance totale, aux gardiens, aux touristes (femmes ou hommes) sous peine de punition.

Maintenant, on va vous conduire à vos quartiers, vous donner un repas, et puis on vous mettra au travail.

Sur ce , un garde prend la chaîne pendant au cou de la première esclave de notre groupe, et nous tire vers l’extérieur.

Nous empruntons un escalier en pierre qui nous conduit au premier étage. Nous passons dans un couloir. Le long du mur, nous y voyons une vingtaine de cage extrêmement étroites. Certaines sont vides, d’autres sont ocuppées par des esclaves dans des positions assurément très inconfortables.

Au fond du couloir, nous arrivons dans une petite pièce sans mobilier avec simplement 6 piquets , d’environ un mètre de haut, muni de deux anneaux latérals à mousquetons à leur sommet.

Le garde nous y attache par les anneaux de nos fers de poignets, ce qui a pour effet de nous courber en avant.

Il nous ordonne alors d’écarter nos jambes.

Il sort alors un talkie walkie de sa poche et y fait l’appel suivant;

Allô, Allô, appel à tous les gardiens, ici Mathieu, j’ai 6 nouvelles à la salle 15… je répète, j’ai 6 nouvelles à la salle 15.

Puis, il sort son sexe et pénètre 7256.

Il est bientôt rejoint par deux comparses, puis trois, puis quatres autres.

Finalement, ils sont une bonne quinzaine à se bousculer dans la pièce et nous prennent à la chaîne, par nos trois orifices, tout en s’amusant à presser nos mamelles gorgées.

Les diables savent s’y prendre et nous procurent à toutes deux ou trois orgasmes.

Dégoulinantes de sperme, on nous conduit dans une zone du bâtiment appelé « quartier des laitières ». On nous fait pénétrer dans une cellule et on nous apporte un repas.

Ensuite, on nous enmène dans une salle où on nous ordonne de nous laver soigneusement avant de nous doucher à grands jets.

7256 et deux des esclaves de notre groupe sont alors priée de suivre un garde, tandis qu’on nous met en convoi de trois pour nous faire quitter la prison.

A quelques rue de là, on nous fait rentrer dans une boutique de cosmétiques.

Des clientes, courtes vêtues, selon le dress code en vigueur dans la Cité (*), certaines accompagnées de leur mari , font leur choix parmis de nombreux produits de beauté , tous à base de lait humain, conseillées par des vendeuses aux seins nus.

Dans le magasin trônent trois dispositifs de traite , occupés par trois esclaves.

Notre gardien les libère et nous ordonne de les remplacer.

Je m’exécute, soulagée par la perspective d’être enfin allégée de la pression s’accumulant dans ma poitrine.

Quelques instants après la mise en marche de la trayeuse, un des conjoints d’une cliente, se place derrière moi et son épouse sort son sexe et le suce pour le faire durcir, puis le place contre mon anus. Celui-ci s’enfonce alors en moi. Son épouse lui lance alors un « amuse toi bien mon chéri », puis retourne écouter les conseils d’une vendeuse ventant les mérites d’une crème de jour anti-rides, produite artisanelement à partir du lait extrait ici même.

Je venais ainsi de découvrir une de mes nouvelles fonction à Bordell’O Cita.

Dans les prochains épisodes, vous découvrirez qu’il y en aura bien d’autres,et que les dirigeants de la Cité font preuve d’une imagination débordante pour satisfaire les appétits lubriques des touristes…

A suivre …

—————————————————————————————————
(*) Dress code pour touristes féminin ayant le statut d’ Invitées :

Robe ou Mini jupe ultra courte- sans sous vêtement: Exemples:

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire