Chapitre 9 : Sabine en veut encore
Un jour en rentrant chez moi une voiture s’arrête près de moi et j’entends.
– Tu veux que je te dépose quelque part ?
Je me penche un peu et j’aperçois Sabine qui me sourit et qui ajoute d’une voix sexy.
– Salut beau mec, Monte dans ma voiture, je te raccompagne.
Rien que voir ses seins dans son large décolleté de son haut très moulant, je commence à avoir une érection.
– Monte !
Assise dans le siège du conducteur, sa jupe étroite est remonté assez haut, pas loin de son entrecuisse. Comme je la regarde d’une façon persistante, appréciant la vue de ses cuisses, elle sourit et d’un air coquin elle lève un peu sa jambe droite. Ça fait rouler sa jupe plus haut et je peux voir qu’elle porte un slip rouge. Du coup ma bite gonfle encore plus et je sais que si elle me demande de la baiser, je ne résisterais pas.
– Aller, monte mon bel amant, J’ai besoin de te parler mais pas ici. Ce n’est pas nécessaire qu’un de nos voisins curieux remarque un beau mec comme toi se faire draguer par une femme plus âgée. Et quel spectacle on donnerait à ta mère si elle passait par là !
Ma tante lui a raconté comment on s’est fait surprendre par ma mère et rien que de penser à ça, je monte rapidement dans la voiture et je me retrouve le nez presque dans son décolleté. Mes yeux plongent dans le sillon qui les sépare et s’attardent sur ses magnifiques rondeurs. Je ne sais pas si sa voiture va me conduire au ciel ou en enfer !
Avec un gros soupir, Sabine repousse les limites élastiques de son chandail avec sa poitrine et m’adresse son plus beau sourire sexy qui ferait craquer n’importe qu’elle homme. Ma queue est maintenant complétement érigée.
Pendant qu’elle conduit, je ne peux quitter des yeux ses cuisses dévoilées par sa jupe retroussée.
– Ça te plaît, Dany ?
Je ne réponds pas mais je me penche vers elle et je mets ma main sur son genou plié. Rien que de toucher son genou, ma bite en frémit. Elle regarde mon entrecuisse et elle sait que ça me plait car elle a un sourire diabolique en constatent qu’elle m’a pris dans ses filets de Diane chasseresse.
Lentement, ma main se déplace sous sa jupe blanche serrée et je sens son slip soyeux. Elle avance un peu sa croupe pour me permettre un meilleur accès et mes doigts trouvent sa chatte. Elle est déjà toute humide ! Je pousse mes doigts entre ses lèvres et je commence à les caresser avant d’enfoncer mes doigts dedans.
– Soulève ton cul, je veux t’enlever ton slip !
Je ne sais pas ce qui m’a pris mais elle obéit avec un petit gémissement. Je lui retire son slip que je mets sous mon nez pour l’inhalé. L’odeur de son sexe me monte au cerveau et excite mes sens. J’ai une envie irraisonnée de lui bouffer sa chatte et de mettre ma queue dedans.
Je caresse son clitoris et pousse deux de mes doigts dans sa chatte si accueillante pour l’entendre commencer à gémir. Je me rends quand même compte qu’elle roule à 70 Kms heure et qu’on risque un accident. J’essaye de retirer mes doigts mais elle verrouille ma main avec ses cuisses et m’implore de continuer. Je lui dis de faire attention à la route et je continue mon agression tactile sur sa chatte. Quand elle se met à jouir un torrent de mouille jaillit de sa chatte et elle grogne de plaisir sous son orgasme tout en gardant la voiture bien en ligne.
En relevant ma tête je vois par sa vitre de porte un passager d’un poids lourd qui nous doublait, qui n’en perd pas une miette et qui nous sourit en clignant de l’œil et en levant son pouce en signe d’approbation.
Sabine accélère et me dit.
– Il faut qu’on trouve un coin tranquille dans le parc que l’on aperçoit plus loin sur l’aire de repos !
Sabine entre dans la station et se dirige vers le sous-bois et se gare aussi loin que possible des voitures stationnées et des toilettes.
Sabine c’est ce qu’elle fait et elle a le feu au cul. Aussitôt le contact éteint elle se jette sur moi et me roule un patin d’enfer. Sa langue est dans ma bouche et elle se bat avec la mienne pendant que ses mains tirent sur ma fermeture éclair et sortent ma bite tendue.
– Laisse-moi faire, Dany ! Je vais prendre soin de toi ! Je ne pense qu’à ça depuis hier soir ou mon mari ma baisé avec sa petite bite et qu’il a éjaculé quelques minutes après sans me faire jouir ! Installe-toi confortablement et apprécie !
Ses mains caressent ma queue et mes couilles qu’elle a tirées hors de mon pantalon. Leur toucher est magique et tout ce que je peux faire c’est de profiter du plaisir qu’elles me procurent. Une de ses mains serre ma bite toute raide et en tournant autour, elle va de haut en bas. L’autre main caresse mon sac de boules qu’elle roule entre ses doigts et par instant elle compresse mes couilles gonflées. Elle sait comment me faire plaisir et m’exciter. Je la regarde jouer avec mon sexe et je suis toujours étonné qu’une belle femme comme elle qui pourrait avoir n’importe quel homme, me désire, moi, tout juste sorti de l’adolescence. Elle observe mes réactions avec un petit sourire salace. Mon dieu que j’aime son sourire coquin qui exprime sa satisfaction de me tenir dans le creux de sa main, au sens propre comme au sens figuré.
Je lui retire son chemisier par-dessus sa tête pour voir ses seins merveilleux. Je suis surpris de voir qu’elle porte une sorte de moitié de soutien-gorge qui les repousse vers le haut et l’intérieur. Je ne peux m’empêcher d’enfouir mon visage entre eux.
Apres un long gémissement elle me dit,
– Toi et moi nous ferons l’amour n’importe où et chaque fois que nous en aurons envie et personne ne nous en empêchera !
Sous sa domination et l’excitation du moment j’accepte tout ce qu’elle me demande et j’en oublie ma tante et mes copines. Tout ce qui compte c’est ce qu’elle fait avec ses mains et je sais qu’elle va bientôt me dévorer avec sa bouche. Elle lit dans mon esprit car elle se penche et tête mon gland comme une tétine de biberon en taquinant mon méat, essayant même d’introduire le bout de sa langue dedans.
Elle lèche chaque goutte de pré-sperme et me fait gémir de plus en plus fort. Je lui prends sa tête dans mes mains et je l’oblige à prendre ma bite profondément dans sa bouche. Je n’ai pas vraiment besoin de la forcer car c’est évidemment ce qu’elle veut. Sa tête va et vient de haut en bas sur ma queue et au rythme que dictent mes mains. Je garde une seule main sur sa tête et l’autre atteint le bas de son dos pour essayer de glisser mes doigts dessous sa jupe blanche.
Sentant ce que je veux et sans perdre ma bite de sa bouche, elle dégrafe la ceinture de sa jupe. Cela me permet de glisser mes doigts sur ses fesses. Mais ce n’est pas mon seul but. J’écarte ses fesses et descendant plus bas en suivant la ligne de son cul, je coince un de mes doigts dans son trou du cul. Ca la fait sursauter et elle en croque mon pénis de surprise. Je n’avais pas l’intention de laisser mon doigt dans son anus mais son reflex est intéressant car elle suce ma bite beaucoup plus férocement.
Elle s’arrête brièvement pour cracher sa salive qui coule sur son menton et me dit.
– Éjacule sur ma figure, Dany ! Donne-moi ton sperme et jouis dans ma bouche, enfant de salaud !
Elle semble avoir plusieurs mini-orgasmes mais évidemment elle ne s’arrêtera que lorsqu’elle aura obtenu ce qu’elle veut et sûrement plus encore.
Moi j’ai envie de jouir et de ma main droite je force sa tête à monter et descendre de plus en plus vite. Au loin j’aperçois une bande de garçons et de filles qui regardent vers nous et je me demande s’ils voient des cheveux blonds apparaître très brièvement quand Sabine balance sa tête de haut en bas.
Un éclair traverse ma tête et je hurle.
– OOOOHHHH, OUIIIIIIIII ! Je vais jouiiiiiir ! Suce, salope ! Bouffe ma bite !
A cet instant je ne m’inquiète pas si je lui fais du mal, il faut que j’explose ! J’enfonce carrément sa bouche sur ma queue en feu et je libère la lave qui est dans mes couilles pour inonder sa gorge. Je maintiens sa tête pendant que j’éjacule des torrents de sperme chaud en l’entendant grogner, mais je m’en fous !
Maintes et maintes fois j’envoie mon foutre dans sa bouche et Sabine avale tout sans en perdre une seule goutte. Enfin, totalement épuisé et vidé, elle continue de sucer et de lécher les restes de sperme qui traînent sur ma bite. C’est une véritable salope assoiffée de sexe et même dans mon état actuel, je peux sentir les vibrations de sa chatte sous le bout de mes doigts.
Je n’ai même pas le temps de récupérer qu’elle remonte sa jupe en me faisant face. Elle reprend ma bite en main et collant sa bouche sur la mienne, elle lui redonne vie en un tour de main !
Elle secoue ses cheveux blonds et m’implore de la baiser comme une salope.
Que puis-je faire ? La dame a besoin qu’on l’aide et je suis un garçon bien éduqué. Je dois satisfaire ses besoins. Apres tout, après le plaisir et la jouissance extraordinaire qu’elle m’a procurée c’est le moins que je peux faire.
Les minutes s’écoulent et je sens les spasmes de ses orgasmes successifs par les contractions de sa chatte sur ma bite bien ancrée dans son sexe brûlant. Elle manque de souffle mais elle continue quand même en gueulant.
– Ouiiiii, baise-moi ! Ooooh, que tu me baises bien mon grand garçon. Ne t’arrête surtout pas ! Continuuueeee… Je te sens bien…c’est boooonnnn ! Fais-moi encore jouir mon chéri…baise moi fort…ouiiiiiiiiii…
Et moi aussi elle me fait jouir de nouveau à gémir comme une nympho en manque de bite.
-AAAAAhHHHH, tiens putain ! Prend encore ça !
Je la plaque sur moi pour l’empaler le plus loin possible sur ma queue et je l’entends couiner de douleur ou d’extase ? Mais je m’en moque car je lui crache un flot de foutre dans sa chatte gourmande.
– Tiens, sale chienne ! Prends mon foutre et jouis encore !
Nous restons accrochés l’un à l’autre comme des damnés qui ne veulent pas brûler en enfer. Spasmes après spasmes elle torture ma bite et je fais de même dans sa chatte. Enfin elle s’écroule totalement molle et une fraction de seconde, je pense qu’elle est dans les pommes. Mais elle ouvre ses yeux et commence à embrasser mon visage, tout en déclarant:
– Putain de salaud ! Tu es le meilleur coup que je n’ai jamais eu ! Tu baises comme un dieu et tu tiens la distance ! Tu peux me baiser quand tu veux ! Je suis à toi.
Maintenant je sais que je prendrais à cœur son offre. Je suis un jeune homme avec très peu d’expérience dans le jeu de l’amour ou devrais-je dire du sexe. Voilà une belle femme qui me propose de compléter l’éducation que me donne ma tante. Ça vaudra mieux que les magazines et les films pornos.
Mon imagination s’active déjà et je suis prêt pour des heures supplémentaires de formation. J’espère qu’elle aime le sexe anal. Peut-être qu’elle me laissera faire ça avec elle ? Que volontairement, elle me forcera pour lui coller ma bite dans son trou du cul ? Elle jouera peut-être le rôle d’une pute de classe pour mon plaisir, comme ma tante l’a fait avec mon pote Michel. Mon imagination est sans borne. Elle me taillera des pipes chaque fois que j’en voudrais une…et si je lui demandais de ne pas porter de slip, elle ferait ça pour moi ? Oui, je vais en faire ma salope personnelle et elle m’obéira, je continuerais de voir cette femme si chaude et si avide de sexe.
Sabine se réajuste et vérifie son maquillage et redémarre la voiture en me disant qu’on ne tardera pas à se revoir. Je décide de tester mon emprise sur elle en lui demandant de prendre le volant. Elle accepte sans rechigner et je me glisse derrière le volant. En quittant ce lieu, un couple nous regarde passer avec des regards de réprimande ou d’envie sur leurs visages. Je pense que l’homme a l’air envieux.
En roulant je me sens plus puissant. Je conduis avec belle femme assise à côté de moi avec sa main dans mon entrecuisse et ma bite se gonfle de nouveau. Un fantasme passe dans ma tête et je lui dis.
– Suce-moi pendant que je conduis.
– Dany…on n’a pas le temps et ce n’est pas le lieu…
– Tu m’a pourtant dis…n’ importe où… et quand je veux…Si ce n’est pas vrai je te laisse tomber !
Sabine ne sait pas si je plaisante ou non mais elle hausse ses épaules, défait ma fermeture éclair, et tire rapidement ma bite toute dure dehors.
Se faire administrer une fellation sur l’autoroute quand on conduit c’est quand même dangereux. Elle m’a fait presque perdre le contrôle de la voiture. Sabine m’a tellement chauffé en suçant ma queue que lorsque je suis venu dans sa bouche, j’ai bêtement retiré mes mains du volant pendant un seconde pour la forcer à avaler chaque goutte en saisissant sa tête et la maintenir en place. Heureusement, que le camion qui allait me doubler à klaxonné et que j’ai repris ma droite !
Nous nous arrêtons un peu avant sa maison, je l’embrasse et je lui dis.
– Si ta chatte te démange encore et que tu as le feu au cul, passe-moi un coup de fil. Je m’arrangerais pour venir te rejoindre et jouer au pompier.
-Oh je le ferai, j’ai sûrement des trucs à t’apprendre et toi, tu as intérêt à être imaginatif !
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