Histoires de sexe arabes Histoires de sexe mobiles Histoires tabous

Myriam la travestie (2)

Myriam la travestie (2)



Je suis à la maison aujourd’hui, seule. Stéphane, mon colocataire, est parti depuis ce matin. Soudain, alors que je regarde la télévision, mon téléphone sonne, je décroche et j’entends une voix familière :
« Myriam ? »
« Oui » je réponds
« Tu sais ce que cela veut dire ? »
« Oui, je suis aux ordres » je réponds.
« Commence à te préparer, j’arrive ! » et il raccroche.

Je n’ai pas d’autres indications à part « prépare-toi, j’arrive » mais je dois porter quoi, je n’en sais rien encore. Finalement, je passe à la douche, je me lave à fond puis je retire mes poils disgracieux, heureusement je suis pratiquement imberbe depuis ma puberté puis je passe au maquillage, faux cils mascara, fond de teint, rouge à lèvres, je coiffe ma perruque blonde et longue.

Puis, je m’assieds dans le canapé, une longue attente commence. Enfin, la clé dans la serrure et Stéphane est devant moi « Bien salope, tu as bien avancé, je t’emmène quelque part, habille-toi vite, on a rendez-vous ! ».

Je le trouve très excité mais je n’ose rien demander. Quand je suis Myriam, je dois l’appeler Maître, Monsieur ou Monsieur Stéphane, j’ose enfin une question « Que dois-je porter Monsieur ? ».
Il sourit « Bonne chienne, tu as attendu que j’arrive et que je choisisse ? ».
Il se dirige vers ma chambre, ouvre la commode, me tend une guêpière noire en dentelle, un petit string qui va avec mes bas noirs. J’enfile le tout avec mes prothèses de seins, il me regarde, se dirige vers la penderie, prend mes bottes noires à hauts talons de 15cm et m’ordonne de les enfiler, ce que je fais sans rechigner. Il sort également mon manteau de cuir, il me le tend « Enfile-le et magne-toi ! » me dit-il. Je le ferme mais cela ne lui convient pas « Espèce de connasse, ouvre-le et ne garde que les trois boutons du haut ! On y va, pouffiasse, en route ! ».

Je n’ose pas y croire, il va me sortir nue dans la rue ! Mais qu’a-t-il en tête ? Si je lui demande, je sais que je vais recevoir une ou deux gifles, alors je ne dis rien. Il me dit « Descends dans le parking, va chercher ta voiture et prends- moi au coin de la rue ! ». Il quitte l’appartement en trombe, me laissant seule.

Première difficulté : sortir de l’appartement vêtue comme je suis, atteindre le parking sans rencontrer mes voisins. J’ai le cœur qui bat fort, je décide de prendre les escaliers et de laisser l’ascenseur libre, je pense que j’ai plus de chances de les rencontrer dans l’ascenseur que dans les escaliers. Heureusement, nous habitons au deuxième étage ! Je descends vite pour arriver dans le hall de l’immeuble, je ne traîne pas. Que se passerait-il si je rencontrais un de mes voisins ou voisines ? C’est presque gagné, il reste encore un escalier en colimaçon pour atteindre cette maudite voiture. Je descends vite puis je passe ma tête pour voir si le garage est vide et je pousse un hic de soulagement en voyant qu’il l’est. Je rejoins vite ma voiture, contact, je suis dehors, je prends Stéphane au passage.

Après vingt-cinq minutes de route, nous arrivons sur un chemin de campagne. Il sort du véhicule et me dit « allez, viens chienne, on est arrivés ! ». Il se dirige vers un garage, je le suis. Le garage a l’air fermé mais il ouvre la porte sans difficulté et m’ordonne de rentrer. Nous arrivons dans un atelier où on répare les voitures, il y a trois hommes en tenue de mécanicien. Ils me regardent puis Stéphane ouvre mon bouton du bas, laissant dévoiler mon string noir, mes bas, mes bottes puis les deux autres boutons, je suis en lingerie sexy devant trois mecs, je dois bien avouer que j’adore.

Je les regarde en écartant un peu mes jambes et je leur souris, ils s’approchent de moi, un de chaque côté, le troisième passe derrière moi, celui qui est sur ma gauche commence à caresser ma guêpière et plus particulièrement mes seins. Il sort une bite de belle taille et me demande de la branler, je la prends en main, elle est déjà de belle taille mais dans ma main, elle durcit et devient de plus en plus grosse. Celui qui est derrière moi commence à m’embrasser dans le cou. Hum, le petit coquin, j’adore ça et je suis surtout surprise ! Le troisième me regarde fixement, je pense je ne lui plais pas mais il commence à se toucher à travers sa combinaison. Je me mets à genoux et je commence par prendre en bouche celle de gauche, elle est bien grosse, j’adore ça. Mon colocataire Stéphane prend un siège et regarde la scène. Je la mange quelques instants, j’aime une bonne queue dans ma bouche ; celui qui était derrière moi se décale et vient me présenter son zob, je le prends en bouche maintenant et je continue à branler la première queue. Le dernier se branle tout seul dans son coin, il a la queue à demi dur. Soudain, j’arrête de la sucer et par esprit de défi, je regarde droit dans les yeux le dernier qui se branle en continuant de branler les deux autres queues.

Je retourne sur la première bite qui est bien grosse et je l’enfourne de nouveau, bien au chaud dans la bouche de vicieuse tandis que je continue de branler la seconde.

Enfin, le troisième larron entre dans la danse et me présente sa queue, je la prends en bouche, fais quelques va et vient. Tant de queues face à moi, je voudrais les contenter toutes ! Je retourne sur la première pendant que les deux autres mecs allongent une bâche sur un établi, ils disent à celui que je suce « Amène cette pute, on va lui faire sa fête ! ».

Je me lève et me dirige vers l’établi où je prends position. A ce moment, l’un des trois me dit « Pas comme çà ! Allonge-toi dessus, tu ne vas t’en tirer à si bon compte ! On va te baiser tous ensemble ! ».
Je m’allonge donc sur le dos pour faire plaisir à ces messieurs, l’un deux trempe ses doigts dans un bidon d’huile et vient m’en tartiner les fesses pour que ça glisse mieux et il me pénètre sans préliminaires. Mon corps est tout chaud, le deuxième profite d’un râle de plaisir pour me glisser sa queue dans la bouche pendant que le troisième, le plus timide des trois, se branle au-dessus de mon visage. Je suis aux anges, mes trous sont comblés !

Celui qui est en moi regarde son copain et dit « Viens enculer cette pute, son trou est un régal ! ». Il sort son zob de ma bouche et vient à son tour me prendre. Le troisième mec, le plus timide des trois, vient me le glisser dans la bouche et le premier m’ordonne de le branler.

Stéphane a l’air ravi de la tournure des évènements, il les encourage en disant « C’est une bonne chienne, profitez bien d’elle ! C’est une véritable salope qui me sert de carpette, je donne les ordres et elle obéit cette pute ! ».

Le mec qui est en moi redouble de vitesse, je sens que je vais jouir.
« Espèce de salope, je vais te cracher la purée ! »
Il sort sa bite et vide sa semence sur mon ventre puis me prend ma main qui est libre et me guide pour que je l’étale bien sur mon ventre. Il se retourne vers mon colocataire « tu as raison, c’est une belle et bonne putain ! ».
J’apprécie le compliment en silence puis, regardant le plus timide, il dit « Viens, c’est ton tour, elle est bien chaude, le trou est ouvert, vas-y ! ».
Il me contourne et vient présenter son zob, il veut m’enculer mais sa queue a du mal à rentrer. Je la prends et la glisse en moi, il m’insulte « Je t’encule salope ! Regarde-moi et dis-moi comme tu aimes ce que je te fais ! ».
Il n’est pas très doux et me fait mal, j’ai très chaud et j’ai envie que cela se termine mais, en même temps, je prends mon pied puis je me dis « il me reste le troisième à me passer dessus et lui, il a une queue de belle taille ».

Celui qui m’encule me dit « ça vient pouffiasse, je vais envoyer la sauce ! ». Il sort de moi et me sperme sur le visage. Arrive le dernier « retourne-toi salope, à quatre pattes ! ». Je lui fais de la place sur ce grand établi et lui, sans fioriture, me la rentre d’un coup sec. « J’aime baiser des salopes dans ton genre et toi, je dois le reconnaître, tu es une sacrée baiseuse ! ».
Il me lime sans retenue « Tu as du foutre partout, me dit-il, sur ton ventre et ton visage ! Et bien moi, mon foutre ira sur ta raie de salope ! Prépare-toi à le recevoir, traînée ! ».
Il sort de mon cul, se branle un peu et une giclée vient inonder ma raie, ça me dégouline. Il ramasse mon string et me dit de le remettre sans m’essuyer les endroits où ces trois cochons m’ont souillée, puis se retournant vers Stéphane, il l’interpelle « Tu peux reprendre ta pute, je pense que tu as eu ce que tu voulais ! » lui dit-il en rigolant. Il me regarde et me dit « Allez, barre-toi sale putain ! ». J’aime la façon dont il me parle.

Stéphane me dit « on y va Myriam maintenant ! ». Nous sortons du garage et nous dirigeons vers la voiture, j’ai mal au cul et à la bouche.

Arrivé à la voiture, je l’ouvre de loin avec mon bip. Stéphane me félicite « Tu as été au-delà de mes espérances mais ton travail n’est pas fini. Il te reste encore à me vider ! ».
Je prie en moi-même pour qu’il ne désire qu’une fellation mais il me dit « je suis d’humeur champêtre aujourd’hui, prends appui sur le capot de la voiture ! ». Ce que je fais, il remonte mon manteau de cuir, descend mon string jusqu’à mes bottes et, sans me prévenir, il rentre en moi. Il m’att**** par la taille et me dit « Remue ton cul, c’est pas à moi à faire tout le travail ! ».
J’ai de plus en plus mal au cul mais je m’exécute et soudain, il délivre son foutre en moi.
Je suis inondée mais contente de mon après-midi.

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire