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un divorce compliqué (13)

un divorce compliqué (13)



Ce n’est que trois jours plus tard que ma tante Aurélia revint à la maison, accompagnée de son fils. Son mari était resté avec mon grand père pour l’aider à réparer son portail automatique qui fonctionnait mal. Ma mère et ma tante allèrent discuter au salon, tandis que je montrais à Lucas, mon cousin, où se trouvait la console de jeux.
– Tu pourras y jouer tout à l’heure, quand vous remonterez de la piscine.
Pour ma part, je devais retourner au travail, donc je n’allais pas pouvoir les accompagner. Tout le monde alla se changer à la salle de bain (ma mère dans notre chambre, et Aurélia et son fils dans ma salle de bain). Aurélia fit deux remarques, la première concernant les serviettes (il n’y en avait pas), et le fait que ma salle de bain ne semblait ne pas être souvent utilisée. Ce n’était pas faux, puisque j’utilisais celle de notre chambre. Mais je répondis d’un ton assez neutre, pour écarter la remarque, en disant simplement que j’avais tout nettoyé récemment et que je n’avais rien remis en place.
Je grommelais devant l’écran de mon pc, en disant que je n’avais plus accès à ma boite email. Je demandais à Aurélia si elle pouvait essayer de se connecter à la sienne. Elle fit la manipulation et me dit qu’elle n’avait eu aucun problème. Je haussais les épaules, en disant que c’était probablement un bug temporaire.
Ma mère et Aurélia se retrouvèrent dans l’entrée de l’appartement, toutes deux en maillot noir deux pièces, et s’enroulèrent une serviette autour de la taille, tandis que Lucas sautait partout, impatient d’aller nager.
– Maman, il faut que je te montre quelque chose, tu peux rester deux minutes ?
Aurélia et Lucas avaient déjà ouvert la porte et nous regardaient en attendant.
– Vous n’avez qu’à descendre au zero, il y a une porte accès jardin qui amène directement à la piscine.
Lucas entraina sa mère jusqu’à l’ascenseur, et je me retrouvait seul avec ma mère.
– Viens, lui dis-je en allant vers ma salle de bain.
Je trouvais par terre le sac d’Aurélia avec ses vêtements. J’en dégageai le soutien-gorge noir (du 95D) et sa petite culotte en dentelles. Je vis de suite des traces blanches. J’ouvrais la culotte que je portais à mon nez et à ma langue, et le parfum de la chatte d’Aurélia m’envahit.
– Suce moi, dis-je à ma mère, tout en léchant l’interieur de la culotte d’Aurélia.
Ma mère se mit à genoux, et sortir mon sexe dur de mon pantalon. Elle le mit en bouche et se mit à me pomper, tandis que je me délectais de l’odeur de chatte de sa sœur. Je léchais les traces blanches, jusqu’à ce qu’il n’y en ait plus. Ma mère me suçait en un rapide va et vient. Je déchargeais vite dans sa bouche, et elle cessa de bouger, pour tout recevoir, et se redressa, et cracha dans le lavabo, tout en faisant couler l’eau.
Je remis la culotte en place, au milieu des affaires, et me préparais pour aller au travail. Ma mère reprit sa serviette, et m’embrassa, avant de rejoindre sa sœur à la piscine.

Je rentrais le soir vers 19h30. La table était mise, le diner prêt, et ma mère m’attendait nue dans le salon.
– Alors, comment s’est passé la journée ?
– Ma sœur est partie il y a une heure environ. On a passé un bon moment à la piscine, et c’est vrai, elle n’est vraiment pas heureuse dans son couple, c’est bien ce que l’on avait remarqué. Elle m’en a parlé quand on est remontés à l’appartement. Elle reste avec son mari uniquement à cause de leur fils, pour ne pas le faire souffrir. Et puis bon, elle est dépendante financièrement de son mari aussi, elle ne travaille pas. Sans compter qu’elle ne veut pas infliger un autre divorce à nos parents.
– Donc elle aussi, elle se fait sauter uniquement par amour pour son fils.
– On peut resumer ca comme ça… Mais elle a rencontré quelqu’un depuis peu. Qu’elle voit en cachette. Elle m’a demandé de ne pas en parler, mais bon je te le dis. Elle a peur que son mari s’en aperçoive. Donc elle est très discrete.
– Elle t’en a dit plus sur cette relation ?
– Que ça lui faisait du bien, qu’elle se sentait aimée par cet homme. Mais elle ne le voit pas beaucoup.
Je me dirigeais vers mon ordinateur et me connectais sur Hotmail. Mon navigateur internet avait enregistré le mot de passe de la boite d’Aurélia et je me mis à farfouiller dans ses messages. La vue d’ensemble était assez pathétique, des messages publicitaires pour des produits de beauté, pour des sacs, des vêtements. Mais je remarquais enfin deux emails venant d’un certain « Alain » que j’ouvris immédiatement. L’un des deux messages était assez équivoque, il donnait rdv à ma tante dans un hotel, et lui demandait de ne pas mettre du culotte pour gagner du temps. J’imprimais le document. Dans le second message, je semblais comprendre que le fameux Alain était un ami de mon oncle.
Je réfléchissais, tandis que ma mère apportait le plat à table. Nous commencions à manger, en silence. Dans ma tête, je voyais se dessiner mon plan.

Après le diner, je me remis devant mon pc. Il était facile de falsifier son adresse email, aussi je prenais celle du fameux Alain, et j’écrivais un message à ma tante.
« Je me suis déplacé sur ton lieu de vacances. On peut se retrouver à l’hotel Chambrun, demain, à 16h. La chambre sera reservée à mon nom. J’aimerai t’y retrouver, que tu m’attendes nue sur le lit, et que tu te carresses fort quand j’arrive. Ne me téléphone pas, je ne serai pas joignable. A demain. Alain. »
Je montrai le message à ma mère avant de l’envoyer. Elle était un peu embêtée que j’ai fait ça.
Je ne veux pas qu’elle sache pour nous…
Elle ne saura pas, ne t’inquiète pas. Je ne dirai rien. Et à mon avis, elle ne dira rien non plus de ce qu’il se passera demain.

Le lendemain matin, c’est ma mère qui me conduisit jusqu’à l’hotel Chambrun. On put voir que la voiture d’Aurelia était garée dans une rue avoisinante. Il était 16h10 quand j’entrais dans l’hotel, et j’allais voir le receptionniste.
Bonjour, ma tante a du arriver, nous avons une réservation à ce nom.
Oui absolument, elle est arrivée il y a un quart d’heure environ.
Il me tendit les clés et m’indiqua l’accès à la chambre. Je pris l’ascenseur jusqu’à l’étage, et me dirigeai vers la porte de la chambre. Mon cœur battait assez fort, j’étais excité et impatient. Ma tante faisait parti de mes premiers fantasmes quand j’étais gamin. C’était certes moins fort que ce qui me liait à ma mère, mais le fait que c’était sa sœur, ca aussi, mettait beaucoup de piment à la situation.
Je glissais les clés dans la serrure et entrait dans la chambre. J’étais dans un couloir, au fond duquel je voyais une partie de la chambre (je ne voyais que le bout du lit).
J’avançais, et j’entendais un petit bruit mouillé très rapide, ainsi qu’un gémissement. Entrant dans la chambre, je pus voir ma tante, allongée seins nus sur le lit, sa petite culotte blanche transparente écartée sur le coté, en train de se carresser fort sa chatte poilue. En me voyant, elle poussa un cri, et s’assit sur le lit en se recroquevillant.
Mais qu’est ce que tu fais là ??!!!
Je m’assis sur le bord du lit, à coté d’elle. Elle tremblait et cachait son corps avec ses mains. Je contemplais malgré tout ses larges seins, tout en respirant la petite odeur de chatte qui flottait dans l’air. Je fis glisser ma main sur sa hanche, ce qui la fit tressaillir, puis je posais ma main sur l’un de ses seins, et elle se dégagea aussitôt.
Qu’est ce que tu fais là ??!! hurla t-elle en se levant du lit.
Je sortis de ma poche les email d’Alain.
J’ai trouvé ça dans ta boite email que tu as laissé ouverte hier à la maison. J’avais envi de les envoyer à mon oncle, à moins que l’on puisse se mettre d’accord tous les deux.
Oh mon Dieu… Je vais dire ça à ta mère tout de suite.
Elle prit son téléphone et appela ma mère d’un air superieur. Elle cachait toujours sa poitrine avec un bras. Par contre, je voyais parfaitement sa toison au travers de sa culotte transparente.
Oui, c’est moi… ton fils est un vrai salop, faut que tu saches ce qu’il essaie de faire. je…
Pendant qu’elle laissait son message sur le téléphone de ma mère, je commençais à me deshabiller calmement.
Si tu ne fais pas ce que je te demande, j’envoie tes emails à ton mari. Imagine sa tête quand il lira ça. Avec un de ses amis, en plus… Et puis imagine ton fils.
Aurélia me regarda avec defiance.
J’appelle les flics.
Fais le ; ça n’empeche que tu auras du mal à expliquer ce que tu faisais dans cet hotel, et ton mari aura les emails.
Je m’approchais d’elle.
Allez, baisse ce bras, que je matte un peu tes seins de salope. Je me suis bien branlé en pensant à toi, l’autre soir, quand tu es venu avec ton décolleté.
Tu es un vrai malade ! J’ai honte pour toi…
oh ne me donne pas des leçons de vie, tu as vu comment tu as raté la tienne. Tu es malheureuse dans ton couple, et ça se voit sur ton visage. Montre moi vite tes seins maintenant, sinon regarde.
J’allumais mon smartphone, et me connectais sur hotmail. Mon email avec les pièces jointes était déjà prêt, je n’avais qu’à cliquer pour l’expédier à son mari. D’un clic, je pris une photo d’elle en culotte, à demi cachée par son bras, collée contre le mur, que je joins également à l’email.
tiens, je mets en copie à ton fils aussi, ça l’ intéressera surement.
Aurélia ne bougeait plus. Des larmes perlaient sur ses joues. Je m’approchais d’elle encore un peu plus, lui baissa le bras. Elle ne resista pas, mais tremblait un peu, c’était plus fort qu’elle. Elle lacha son téléphone. Je regardais ses seins généreux qui dressaient devant moi. Je les saisis dans mes mains, les mis à les carresser et les malaxer un peu. Je me penchais pour prendre ses tétons en bouche, que je suçais doucement.
Je me redressais et lui dit :
Tu vas me montrer ta chatte.
Aurélia ne bougea pas. En fait, les idées se mélangeaient dans sa tête, elle ne savait plus où elle en était. Tout cela faisait trop d’émotions et d’informations à gérer d’un coup. Elle était perdue. Afin de la raisonner, je montrai à nouveau mon téléphone portable.
Je m’asseyais sur le bord du lit, tandis que ma tante baissait sa culotte. Elle la retira et la laissa par terre. Je la pris par la main et l’attira vers le lit. Elle s’allongea dessus, en travers du matelas. Je demeurais assis, et regardais sa chatte. Elle avait une toison brune bien plus fournie que je ne pensais (un peu plus fournie que ma mère). Je lui fis écarter les cuisses, afin de voir sa fente.
Bien que ma tante était plus jeune que ma mère, sa chatte semblait avoir beaucoup plus servi. Elle avait des lèvres assez épaisses qui débordaient. Elle ne dit rien, tandis que j’ouvrais sa chatte en grand, en étirant ses levres de chaque coté. Son clitoris se dégageait bien et gonflait à vu d’oeil.
oh mon Dieu, murmura t-elle, tandis que je rentrais trois doigts en elle.
Tu es douce, lui dis-je. Et bien mouillée.
je… je… (des larmes coulèrent de ses yeux, elle refusait de me regarder, et tourna la tête sur le coté).
Tu fais quoi avec Alain quand tu le vois ? Il te casse le cul ?
Aurélia ne répondit pas. Elle gémissait et pleurait en même temps. Je faisais aller et venir quatre doigts en elle, qui glissaient tout seuls. Je serrai mon pouce vers mes autres doigts, je les fis tous rentrer, et me mit à pousser pour faire également passer le poignet. Ma tante se cambra un peu, et je me retrouvais avec la main entière dans sa chatte. Je pris sa main, et la dirigrais vers ma queue. Elle la prit mollement, bien que ma queue soit dure et tendue à l’extreme. Elle carressa doucement mon sexe, sans conviction. Je me penchais pour lui sucer les seins, tout en lui fistant la chatte. C’était difficile de dire si elle jouissait ou non, elle semblait tellement introvertie et repliée sur elle même.
Mets toi à quatre pattes et écarte les fesses, lui dis je en sortant ma main de sa moule.
Ma tante s’executa doucement, se mit à quatre pattes. Je regardais ses fesses avec envie, elle avait de jolies formes. Entre ses seins et son cul, elle avait tout pour séduire. Je lui écartais les fesses en grand, et regardais son anus. Je plaçais ma queue contre, et me mis à forcer.
Oh attends ! Attend ! Pas par là !!
Mon gland entrait dans son cul et je continuais de forcer.
Dis, tu es étroite… tiens prends ça…
Je donnais un gros coup de queue en avant et je rentrais au fond de son cul. Ma tante colla sa tête dans le matelas pour ne pas hurler. Je sentais que sur ce coup là, j’étais allé un peu fort et j’avais du lui faire un peu mal.
J’allais et venais dans son cul, en lui saisissant les seins.
dis, c’est une impression, ou je suis le premier à te sodomiser ?
Ohhhh je ne voulais pas
aujourd’hui, ce n’est pas toi qui décide. Et dis moi que tu aimes ça, sinon j’envoie les email à ton mari et à ton fils.
… oui… j’aime ça… encule moi… j’aime me faire enculer… marmonna t-elle sans conviction.
Tu es une bonne pute. Tiens, regarde ce que je vais te faire…
Je sortais ma queue de son cul pour la glisser dans sa chatte. Je rentrais tout seul. Je donnais quelques coups de queue dans sa chatte. Je pensais à ma mère. A la chance que j’avais de défoncer les deux sœurs. Je sentis que je venais, et je me mis à éjaculer au fond de la chatte de ma tante.
Oh mon Dieu !! fit elle encore, pas dedans !!

Je me levais après quelques minutes de silence. Ma tante ne bougeait pas, elle était couchée sur le lit. Les draps étaient plein de mouille. Je frottais mon gland contre son corps, le fit glisser le long de ses cuisses, sur son ventre, sur ses seins. Je lui donnais de petits coups de gland sur le visage.
Je me rhabillais doucement, puis ramassais la culotte de ma tante qu’elle avait laissé par terre.
Je la garde, en souvenir de cette journée. Tu peux compter sur ma discretion, je ne dirai rien. Mais on sera sans doute amenés à se revoir. De ton coté, j’espère que tu ne diras rien à ma mère.

Et si elle lui disait quoique ce soit, j’en serai informé immédiatement de toute façon. Mais ça, elle ne le savait pas. Je pris plein de photos de ma tante nue, allongée sur le lit, avec mon smartphone.
Je vais m’en aller maintenant, lui dis-je en m’approchant de son visage. J’avais sa culotte à la main, et me mit à la lecher juste devant elle.
Elle me regarda à peine, se tournant de l’autre coté.
Je sortis de la chambre.

Ma mère m’attendait toujours dans la voiture. On rentrait à la maison sans dire un mot.

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