Je suis seule dans la maison. Mon mari est parti au travail. Je vaque à mes occupations nue comme d’habitude dans la maison. Tout à coup, j’entends des rugissements de motos qui font des rupteurs sous mes fenêtres. Excédée, j’ouvre la fenêtre pour leurs dire ma façon de penser. Je fais quand même preuve de courtoisie avant de me mettre à gueuler. Je ne pense plus que je suis à poil et je demande :
« Vous avez un souci avec vos motos pour faire autant de boucan ? »
Ils coupent leurs moteurs, lève la tête d’un air en rogne, ce demandant qu’elle est la connasse qui ose leurs faire une réflexion. Puis, amusé en voyant ma nudité ils me disent :
« Et toi ? Ça te gêne pas pétasse de nous engueuler à poil ? C’est du pousse au viol ça, pas vrai les mecs ? Elle a envie d’une pétée la bourge ? »
Aussitôt, je referme la fenêtre rouge de honte. Qu’elle conne me dis-je, de provoquer ces mecs comme ça. Je les entends qui continuent à m’insulter et je me demande ce qu’ils comptent faire. Je ne peux pas appeler Alain, il est trop loin et pour bien faire Paul mon voisin n’est pas là. Dans mes pensées, j’entends tambouriner à ma porte. J’enfile un peignoir et prête à en découdre avec les importuns, j’ouvre la porte.
Ils me poussent et entre de force en me disant :
« T’as un soucis avec les motard la bourge ? »
En reculant, je butte contre la table et mon peignoir s’ouvre. En découvrant ma nudité, ils se mettent à siffler et dire :
« Mais c’est qu’il y a plus à manger la dessus que dans la pince d’un crabe ! »
Paniquée, je ordonne de sortir. Mais ça les fait rigoler et l’un d’eux att**** mes seins en me disant :
« Mais non.. Mais non.. salope on va avant te montrer de quel bois se chauffe des motards ! Tu vas plus vouloir baiser avec ta lopette de mari après ça ! »
En me tripotant, il glisse sa langue dans ma bouche. Naturellement et contre ma volonté, je me met à haleter alors qu’une autre main me fouille la chatte. Ils lèchent goulûment mes seins et mordillent mes tétons.
« Suces-nous putain ! »
Je me mets à genoux et prends leurs sexe tour à tour dans ma bouche. Je les pompe en va-et-vient de plus en plus profonds et avale parfois leurs membre jusqu’à la garde. Je m’active énergiquement sur ces queue, les léchant, jouant avec ma langue sur le bout d’un gland, aspirant les testicules d’un autre. Certain me frappe le visage avec leurs gourdins. Au bout d’un dizaine de minutes, sans m’avoir sauté, ils éjaculent leurs semences dans ma bouche, sur mon visage et mes seins. En se moquant de moi, ils disent :
« T’es une sacrée pompeuse de bites la bourge ! On reviendra te faire de la musique avec nos bécanes ! »
Il se sont rhabillé rapidement, on enfourché leurs engins et dans une pétarade infernale, je les entends s’éloigner. Je reste en plan encore hébétée de ce qui vient de se passer, couverte de sperme et avec une grosse envie de jouir.
Je monte dans la salle de bain prendre une bonne douche et repensant à cette aventure, je me masturbe jusqu’à l’orgasme et m’écroule de plaisir dans la douche.
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