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mia 5 A la botte de Laurence.

mia 5 A la botte de Laurence.



On arrive près des filles, moi courbée en avant toujours tirée par l’oreille et disant, « aie… aiie…aiiiie, mon oreille!! »
« Mais voilà la touriste… » dit une des filles.
Le chef me lâche, je me frotte l’oreille en gémissant.
« Je me suis fait mal aux reins, chef, je vous jure… », mais il ne fait pas attention à ce que je dis.
Je l’ai un peu cherché, oui mais pas « ça »! Une des filles, Laurence, me montre un tuteur pour les jeunes vignes. C’est une tige en plastique de la grosseur d’un petit doigt de femme et elle me dit, « Iris m’a dit qu’il fallait te mener à la baguette, c’est ce que je vais faire. Penche toi en avant et met les mains sur tes genoux. »
Heureusement, j’ai un jean assez épais et pas un short, à cause des guêpes.
« Je vous assure que je me suis fait mal aux reins, je me reposais un peu. »
Elle me dit durement, « C’est avec le jean, si tu obéi! ».
Je pousse un soupir à fendre l’âme, mais manifestement elle n’a pas d’âme, alors je me penche en avant et tend mes fesses.
« Prête?? » me demande t-elle.
« Oui…. mais pas trop fort, s’il vous plait ».
Elle lève son bras et abat la tige en plastique en plein milieu de mes fesses. « Aiiiie!!! », je crie, « Je travaillerai, je vous le jure! »
Elle me répond, « Tu vas avoir 20 coups. ».
Le bruit a couru dans les vignes que je recevais une fessée et tous ceux des environs sont venus assister au spectacle.
« Prête? » re-dit Laurence. Je fais un tout petit « oui. »
« C’est parti! ». 19 fois la baguette de plastique s’abat sur mes fesses.
Elle a de la force et je me plie à chaque coup en gémissant.
Elle décale légèrement chaque coup pour bien couvrir tout mon derrière.
« Aïe!! Ouille!! Ça fait maaal!! »
Les spectateurs sont ravis et ils y vont de commentaires divers, genre, « Corrige bien cette paresseuse! ».
Vers la fin, je pleure et je la supplie d’arrêter!
Enfin, elle dit … »et 20. » Je reste en position. Il y a des rires et des applaudissements. Laurence me dit, « Redresse-toi! Tu as compris la leçon? »
« Oui, Mademoiselle Laurence. »
« Ok tout le monde au boulot! », et à moi, « Toi tu bosses avec moi. »
Et là je me suis vraiment mise au boulot!
Je fais donc « équipe » avec Laurence, enfin, équipe… Elle coupe ce qui est à sa hauteur et moi ce qui est en dessous, pliée en deux, mais, je ne me plains plus de mes reins!
Laurence est une brune, style punk ou rock métal, avec un piercing dans le nez et des tatouages. Jolie, si elle était un peu arrangée. Un peu le style Lisbeth Salander dans Millénium.
Et puis, Iris s’est pointée, elle a remercié Laurence de s’occuper de moi et elles ont un peu discuté, ces deux là elles sont faites pour s’entendre.
Iris lui dit, « Elle doit te remercier pour la leçon… » et à moi : « Toi, rapplique »
Je suis venue sans enthousiasme en disant, « J’ai déjà été punie, Mademoiselle Iris… »
On est allée un plus loin dans un endroit plus discret.
Elle me dit « Remercie Laurence. »
Ouf, je n’allais plus être punie, juste montrer ma soumission et ça, ça ne fait pas mal, à part à l’amour propre!!
Je suis me suis mise à genoux devant Laurence les mains croisées derrière le dos, le visage levé vers elle, « Je vous remercie, Mademoiselle Laurence, de m’avoir punie, je l’ai vraiment mérité ». J’avais mon visage à hauteur de sa chatte…
Elle me regarde à genoux devant elle, en souriant, les yeux brillants.
« Tu a intérêt à travailler maintenant, sinon la badine va faire danser ton cul ».
Badiner! Quel joli mot, mais ici, ce n’est pas une badine ce n’est pas du tout joli!
« Je vais m’appliquer, je vous le promet ».
« Tu vas voir comme elle remercie bien, » dit Iris à Laurence, « Assieds toi et enlève tes chaussures. »
Iris a des grosses « combat shoes » qui ont fait la guerre! Des coutures ont craqués et on voit ses orteils sur le côté, car elle est pieds nus dans ses chaussures. Je me mets à 4 pattes et j’embrasse ses pieds en réitérant mes remerciements et mes promesses et combien je suis heureuse de travailler sous ses ordres.
Elle rigole, « Ah oui c’est cool ça. D’autant plus que je ne me suis pas beaucoup lavé les pieds et ça fait des mois que je transpire dans ces vieilles « combats ».
Iris rit aussi, On va arranger ça. Lèche ses pieds, mia! »
Je les lèche soigneusement et je suce ses orteils. C’est vrai qu’ils ne sont pas propres. Ils sont pleins de poussière qui est entrée par les trous et ils ont le goût salé de sa sueur. L’odeur est celle du vieux cuir imprégné de sueur, mais la « badine » est suffisamment dissuasive pour que je lèche tout ce qu’on veut.
« Tu l’as bien dressée… », dit Laurence à Iris avec admiration.
« C’est une chienne qui vient d’avoir le fouet… Elle ne demande qu’à te montrer sa soumission et avoir ton pardon. Si elle avait une queue, elle l’agiterait en te léchant les pieds ». Iris est forte pour les images humiliantes!
« Comme c’est la fin des vendanges, vous pourriez venir quelque jours chez moi… », dit Laurence en me tendant l’autre pied.
« Ce serait cool. On peut aller chez toi du dimanche soir au mardi matin. » réponds Iris., « ça nous rendrait service!  »
Elles en discutent pendant que je continue à lécher.
« Tu sais que mia était bonne quand je l’ai rencontrée, elle pourra faire le ménage chez toi. Ce qu’elle fait le mieux à part lécher les pieds, c’est récurer le sol à 4 pattes avec une brosse. » Elles se marrent toute les deux. « Pas vrai, Cendrillon? », me dit Iris. « Oui, Mademoiselle Iris ». Mais en fait, non je déteste ça!
Les pieds de Laurence sont maintenant tous propres et luisants de salive. Elle les admire en disant, « Je les reconnais pas! », et elle les remet dans ses grosses chaussures.
Je me relève, Iris me prends par la nuque et renifle mon visage, « ça te va bien ce parfum de vieille pompes! »
On retourne près des autres. « Encore une petite chose », me dit Iris, « baisse ton jean et penche toi en avant. » « Nooonnn, Maîtresse, j’ai déjà été punie », je gémis.
« Pas de panique, sotte, je vais juste leur montrer tes fesses pour le gag, ça leur fera un souvenir! ». Elle siffle entre ses doigts, des têtes apparaissent ça et là. « Ceux qui ont envie de voir les fesses de mia ou de faire une photo, c’est le moment ».
Ils arrivent de partout pour voir mes fesses!!
Je suis penchée en avant, mes fesses sont zébrées de marques rouges, boursouflées, malgré le jean. Ils s’exclament en voyant mes fesses, plusieurs font des photos. Un garçon passe son doigt sur les marques.
Tant qu’on ne me frappe pas, je m’en fous de montrer mes fesses….
Pas un ou une qui me plaigne, ils trouvent ça super marrant.
« OK reculotte-toi », dit Iris, « on reprend le boulot ». Il y en a plusieurs qui remercient Iris pour la bonne idée et Laurence pour sa poigne.
Et même moi, pour le spectacle!!
*** *** ***
Le lendemain, il y a des acheteurs Japonais qui viennent au « château ».
Le patron charge le chef de leur faire visiter les vignobles et d’organiser une dégustation et une démonstration de la façon dont on foulait le raisin dans le passé
Le chef nous donne des petites robes, parce qu’on doit fouler le raisin, jambes nues.
Avant de commencer, le contremaître nous regarde Zoé, une jolie rousse, et moi. Il nous dit, « Vous avez toutes des culottes? »
Zoé répond, « Oui, chef. »
Et moi, « Non, chef. ».
Rires des garçons!
Il me regarde, surpris, « Va en chercher une dans tes affaires, vite! » »
Je deviens un peu rouge, « J’en ai pas, chef. »
Il pousse un gros soupir, « Bon, eh bien tu ne lèveras pas ta jupe trop haut et de préférence, pas de face. »
Il ajoute, « De toute façon, dans le temps, les filles de la campagne ne portaient pas de culotte! »
Ben, voilà…
En fait, ça leur plait beaucoup aux Japonais, que je foule le raisin en montrant mes fesses.
Les autres filles font un peu la gueule, mais bon rien de plus simple pour une fille un peu dégourdie que de l’enlever. Zoé la jolie rousse me sourit et m’imite.
Je jette un coup d’oeil au chef, il lève son pouce vers le haut. Cool!
Je lève bien ma jupe… Je sens des gouttes de jus de raisin éclabousser mes fesses et ma chatte.
Les Japonais font même des photos. Si ça se trouve je suis une vedette au Japon, ou mes fesses le sont!
Mine de rien, c’est fatiguant de fouler le raisin. On commence à lever la jambe, moins haut. Heureusement, le chef dit, « Vous pouvez arrêter les filles et allez vous laver. »
Je vais près de lui et lui dis, « Je suis toute essoufflée, chef, sentez comme mon cœur bat ». Je prends sa main et la pose sur mon sein droit.
« C’est de l’autre côté », me dit il en caressant mon sein gauche. « 
Vous voyez, des trucs de filles qui ont envie de se faire bien voir du chef.
Il me dit à l’oreille, « Ne te lave pas et va m’attendre à l’écurie. »
Aaah? Bon!
Les Japonais me font des courbettes, moi aussi.
En partant, je remonte ma jupe pour qu’il puisse dire Sayonara à la lune!
Je les entends glousser!
Je vais dans le local, que le chef m’a indiqué. Je ne sais pas ce qu’il veut, mais si c’est me culbuter dans la paille… je ne dirai pas non. C’est le chef, après tout!
Mes jambes couvertes de jus de raisins qui sèche.
Il arrive… avec quelques grappes de raisins.
Il me prend contre lui et m’embrasse. Je sens son sexe dressé juste sous mes seins (il est grand, moi pas…)
On se déshabille. Quand je suis nue, il me dit, « Tu es tricolore, ma belle! »
C’est vrai, mes jambes, mes bras et mon visage sont bruns, mon corps est blanc et mes jambes sont rouges de raisins.
« C’est très joli. », me dit-il…
On se caresse… Je prends sa bite, oh la! Elle se cabre dans ma main.
Je me mets à genoux devant lui.
Son sexe est de belle dimension, noueux comme un pied de vigne… fatalement.
Le bout est tout mouillé d’excitation. Je le frotte un peu sur mon visage, puis je le prends en bouche…
Ma langue caresse le gland.
Ça me plait de plaire au chef, je le prends complètement en bouche. J’ai le nez dans ses poils. Son gland fait connaissance avec ma luette et mes amygdales, il aime…
Beaucoup… Trop, même… Ça risque d’être vite fini, si je continue… Lui aussi le sait… Il se retire de ma bouche et me dit, « On va faire l’amour avec des raisins? ».
Là il m’a « cueillie »!
« Avec des raisins, chef? »
Il me montre un mince matelas en disant, « Oui, tu vas voir. Couche-toi là et écarte les jambes. »
Il a pris un des raisins d’une grappe qu’il avait apportée et il me l’a enfoncé dans la chatte…
Ooooh!! C’est doux et frais. Ensuite, il a continué un grain après l’autre…
Je ferme les yeux. Je suis bientôt pleine de raisin … Tellement pleine que le dernier ressort en faisant un bruit marrant genre « plop!! ».
Alors, il a mis ses doigts devant mon vagin pour qu’ils restent en place et il me lèche…bien… C’est à dire qu’il me lèche la chatte et le clito, mais dès qu’il sent que ça me fait trop d’effet, il ralentit. Au bout d’un moment, je mets ma main sur sa tête et je lui dis, « S’il vous plait chef… »
Il n’a plus ralenti. Je me suis tortillé sous sa langue. Tous ces raisins dans mon vagin me donnent l’impression d’avoir une grosse bite en moi.
Et puis…. je jouis sous la langue du chef… mmmmhhhh. C’est bon, très, très bon….
Le chef empêche toujours les raisins de ressortir…
Et maintenant???
Il me dit, « Tu veux goûter les raisins qui sont en toi? »
« … euh… non merci chef… C’est tout pour vous… » »
Ce n’est pas que mon vagin me dégoutte, mais… euh… je préfère les raisins frais!!
Lui, pas! Il a mis sa bouche contre mon vagin et il a mangé tous les raisins…
C’est spécial…
On se repose un peu et Iris arrive.
« On vient de finir. », dit le chef.
Iris demande, « mia a été sage? »
« Oui, mais elle n’en a pas voulu de raisins. »
Iris se déshabille en lui disant, « On va lui faire un petit désert. »
J’en veux pas de son dessert!!!
Elle se met à 4 pattes. Le chef vient directement derrière elle et l’enfile!
Pas besoin, de se demander, pourquoi, elle est dans les bureaux!.
C’est beau de la voir, mais je crains la suite!
Le chef est très excité et jouit bientôt en elle.
Iris roule sur le dos, la main en conque sur sa chatte.
Le chef prend une grappe de raisin et lui en mets plusieurs.
Il dit, « Ok, ma chérie, c’est plein! »
Iris se tourne vers, moi en disant, « Sur le dos, voilà ton désert, tout chaud! »
Elle vient se mettre au dessus de moi, la chatte sur ma bouche!
Elle laisse tomber un raisin après l’autre, ça j’aime, par contre le sperme, ce n’est pas du tout un dessert que j’aime!
Quand j’ai tout mangé, Iris se frotte sur mon nez, ma langue, mon menton jusqu’à ce quelle jouisse!
Elle descend de mon visage et me dit, « Alors ce dessert? »
« Délicieux… »
Pfffff! En vrai, j’aime bien les raisins, j’aime bien les chattes, mais avec leur dessert de raisins à la crème fraîche, ils n’auront jamais une étoile Michelin!
*** *** *** ***
Le soir, le chef nous dépose chez Laurence. Elle habite un immeuble genre HLM à la périphérie de la ville.
On se dit au revoir, il nous embrasse…
Laurence est très contente de nous voir.
C’est le bordel dans son appart’… Des vêtements traînent un peu partout, des cendriers pleins, des verres à moitié vides, de la vaisselle plein l’évier…
« Toi, tu vas avoir du boulot demain… », me dit Iris. Je pense la même chose. Heureusement, ce n’est pas grand.
Il est déjà tard, on mange une pizza, elles discutent un peu et on va se coucher. Elles prennent le lit, moi, je dors des couvertures par terre.
Le lendemain je suis réveillée par Iris, qui me pousse avec son pied. « Va faire du café… T’as du café, Laurence? »
« Sur la table de la cuisine… »
J’enfile mon jean.
Je mets de l’eau à chauffer dans un poêlon pour le café. Heureusement, Laurence à acheté du pain et de la confiture.
Elles arrivent, s’installent et déjeune… Comme Iris ne me dit rien, je reste debout. La bouche pleine, elle me dit enfin, « Enlève ton jean. Tu n’a pas oublié qu’on a un compte à régler? ».
Je fais non de la tête, j’ai la gorge serrée… »Comment? »
« Non, Mademoiselle Iris. »
Je reste debout devant elles, juste vêtue de mon tee shirt.
« Par quoi tu veux qu’elle commence? », demande iris.
« La vaisselle, » dit Laurence, « et puis ranger, faire la lessive, nettoyer…mais tu ne la laisses pas déjeuner? »
« Après l’avoir guérie de me poser des questions. » À moi, « Viens ici et met toi à genoux. »
Elle sort de son sac un gros rouleau de tape collant de couleur beige. Elle en coupe un morceau de 20 cm et me l’applique sur la bouche, d’une joue à l’autre.
« Et voilà, plus de questions… Bon, impossible de boire et de manger, ça c’est le petit plus ».
Laurence rigole, « Cool, c’est aussi marrant que mia a 5 ans. »
Iris me fait signe de me relever et pose une main sur mes fesses, « Comme je ne suis pas cruelle, je t’autorise à utiliser les chiottes, maintenant. Et puis, quand ta punition sera finie. Allez au travail! ».
Bon, si ce n’est que ça… j’ai connu pire… enfin ça dépends du temps que je vais rester comme ça. Je commence par faire un tour à la toilette. Puis j’attaque la vaisselle.
Heureusement Laurence a préparé un peu de produits de ménage.
J’ai déjà soif… faut pas que j’y pense!!
Je fais toute la vaisselle, puis je range la cuisine. Je nettoie aussi la salle de bains, qui en a vachement besoin. Iris attend que j’aie fini pour prendre une douche.
Laurence dit, « Moi, j’ai la flemme, je me laverai demain…ou pas! », elle lit un magazine en fumant un joint.
Je suis occupée à faire la lessive quand on sonne. « Va ouvrir mia », me crie Laurence de la pièce d’à côté.
Oui, bien sûr, fesses à l’air et la bouche collée par du tape! Va être surpris celui qui sonne. J’ouvre la porte.
« Bonjour c’est le facteur! », dit un gros mec jovial. Il me regarde mieux et dit, « Toi tu as du dire quelque chose qui n’a pas plu à Laurence… ».
Je fais signe oui avec la tête. Ça l’amuse le facteur. « On t’as aussi confisqué ta culotte? ». Je refais le signe oui.
« Bon, va à la cuisine, je te suis » et il me met la main aux fesses… Sont familiers, les facteurs en Bourgogne!
Iris est toujours dans la salle de bain, Laurence dans la cuisine. Le facteur l’embrasse…sur la bouche… Il s’assied, Laurence lui sert un café et me dit, « Qu’est ce que tu attends? », je retourne vite à ma lessive dans l’évier de la cuisine.
Iris arrive toute fraîche de sa douche, salue le facteur. Laurence explique que le facteur est devenu un ami qui l’a souvent aidée. « C’est normal » dit-il « et puis tu sais si bien remercier. »
Je dresse une oreille, Laurence, remercier?? Mais oui, elle dit, « C’est toujours un plaisir de te faire une pipe ».
Laurence qui fait des pipes au facteur!! Ben ça!
« T’as pas envie de tirer la petite? »
« J’sais pas… » dit-il, « elle est un peu fade… J’aime mieux les brunes comme toi… »
« C’est une petite salope qui a le feu au cul, ça va te plaire. »
Il fait semblant de se laisse convaincre…
« On fait ça où, dans la chambre? » demande t’il.
« Ah non, on ne va pas défaire un lit, ça se tire dans les chiottes ou à la rigueur dans un cuisine, un petit boudin comme ça… »
Elle a aussi le sens de la formule, Laurence.
Iris intervient, « Essayez-la! C’est offert de bon coeur! »
Le facteur lui sourit, « Dans ce cas, volontiers. »
Iris, crie, mia, aux pieds!! »
Je me précipite!
Elle me dit, « Met tes mains sur cette chaise et ton front dessus! ». Quand j’y suis elle me donne une bonne claque sur les fesses, »Tu te cambres et tu écartes les jambes ».
« Voilà, facteur, elle est toute à vous ».
Le facteur vient derrière moi. Je sens le bout de son sexe qui vient flairer l’entrée de mon vagin… Je me cambre un peu plus,
Il me fait languir, le facteur, il reste près de l’entrée. « Elle est bien mouillée! » dit-il.
« C’est une petite salope… », dit Iris, « toujours prête à se faire tirer.  »
Enfin, il entre son sexe…mmmmhhh… un gros modèle… Il m’att**** par les hanches et me pénètre jusqu’aux couilles… Quand il est tout au fond, il fait des petites torsions vers le gauche, vers la droite, en haut en bas… J’aime ça… Il accélère ses coups de reins!
« Tape-lui sur les fesses. » dit cette garce d’Iris.
Il me donne de bonnes claques… Je sens mon vagin qui se contracte et serre son sexe… et les vannes de mon orgasme qui s’ouvre en grand… Il jouit aussi…On reste un peu collé, comme le chien à la chienne… puis, il se retire…
Toutes les chances qu’Iris m’enlève le collant pour que je lui lèche le sexe.
Mais non!! La garce me frotte l’entre jambe avec du papier ménage. Coupe un morceau de tape et me le colle sur la fente en disant, « Faut pas que tu laisses une traînée comme un escargot! »
Ils rigolent tous.
« Je dois y aller. » dit le facteur « la tournée… » Il embrasse Iris et Laurence et me donne une claque sur les fesses, « Merci à vous Mesdemoiselles pour le super coup de bite! »
Il me donne encore une claque sur les fesses, « Merci, aussi, petit boudin! »
Je répondrais bien tout le plaisir est pour moi… mais, j’ai un problème d’élocution, pour le moment!
Je continue la lessive. J’ai très soif! Les collants me tirent la bouche et la chatte.
A midi, Iris me dit, « On va manger dehors… on pensera à toi! »
J’ai terminé la vaisselle, la lessive, le nettoyage. Je range tout. L’appart’ commence à ressembler à quelques chose.
Elles reviennent vers 14 h.
Laurence est satisfaite de mon boulot.
« Ça va mia? », me demande Iris comme si, ça pouvait aller. « Tu as soif? » Je fais un grand signe oui avec la tête… « Tu as compris la leçon? », je fais plein de ouis.
Je me mets à genoux devant elle. « Qu’est ce que tu veux? », me demande t’elle.
Je montre ma bouche.
« Tu en as encore pour 2 h de punition, ma pauvre…À moins que… Laurence m’a dit que ça l’a excitée de te voir avec le facteur. Tu sais comment arranger ça?? » Je fais de grands signes que oui, oui.
« Si elle est satisfaite, ta punition sera terminée. »
Elle prend le bord du tape et me l’arrache d’un coup sec. Aie! Ça fait mal!!
Laurence s’est installée dans un vieux fauteuil un pied sur un accoudoir, l’autre sur une chaise défoncée. Je m’agenouille entre ses cuisses. Elle a plein de poils. C’est surprenant. Iris vient s’asseoir à cote de moi pour regarder.
Sa chatte est comment dire? Pas plus propre que ses pieds. L’odeur est vraiment marine, mais genre marée de la veille. Avec deux doigts en V elle écarte ses lèvres.
« Regarde, mia! », dit Iris, « Du smegma. » Il y a une ligne épaisse et blanchâtre à la base et le long de l’extérieur des grandes lèvres. Iris, ça a l’air de vachement l’intéresser, elle, qui est si soignée. Je lèche le smegma, l’odeur est forte et écoeurante, mais le goût est plutôt fade.
(Je rappelle aux lecteurs et aux lectrices, l’avertissement du début du blog : si vous n’aimez pas ce qui est trash, qu’est ce que vous faites ici?? Si vous vous êtes égaré, cliquez vite sur ce lien pour vous échapper : http://www.disneylandparis.com/
Je prends ses grandes lèvres en bouche, les suce un peu, puis j’introduis la langue dans son vagin. Je reviens rapidement vers le clito où il y aussi un peu de smegma. Iris me regarde attentivement. Je lèche le clito, tourne autour avec le bout de ma langue.
Laurence est plus démonstrative qu’Iris et ça fait un moment que j’ai senti ses cuisses tressaillir et son bassin basculer pour mieux présenter sa chatte à ma langue. Elle gémit un peu, sa main me caresse la tête.
Je prends un rythme régulier, je ralentis un peu quand il faut… Après quelques minutes, elle se contracte tout à fait, ses jambes se tendent et elle jouit sur mon visage… en refermant les cuisses.
Iris me prend par la nuque, pour que je tourne mon visage vers elle. Elle me renifle. Curieux qu’elle aime autant me sentir, ça ne devrait pourtant pas être son genre, les odeurs fortes. « Ça te va encore mieux que l’odeur de ses pieds », me dit elle, « Smegma…joli nom pour un parfum ».
Ce n’est pas que pour se moquer de moi, elle doit avoir une louche attirance pour ce qui est tellement différent d’elle.
Elle demande à Laurence, « T’en penses? T’es satisfaite? »
Laurence me caresse le visage…elle fait semblant d’hésiter. Je lève les yeux vers elle suppliante.
Elle me caresse la bouche avec deux doigts, je les lèche… elle dit, « …oui…c’était pas mal. »
Je regarde Iris, des fois qu’elle me prépare quelque chose. Mai, elle fait signe que oui.
Aaaah, je vais boire à la cuisine… Puis j’enlève le tape sur ma chatte pour faire pipi…
Iris me dit, « Il y a des trucs à bouffer sur la table, tu peux manger. »
On traîne un peu. Il n’y a plus grand chose à faire dans le ménage. Quelques boutons à recoudre.
Vers le soir Iris me dit « Va te laver le visage on sort. »
On va manger une pizza et puis on sort en boite.
Laurence dit, « Alors, c’est décidé, vous partez? »
Laurence soupire, « Obligée! »
On part où?? Ooops, je me mords la lèvre et je me tais.

A suivre.

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