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Mon rêve de cette nuit _ partie 2

Mon rêve de cette nuit _ partie 2



Sur ces mots, les deux costauds m’att****nt et me trainent jusqu’aux sanitaires les plus proches, dans lesquels ils s’enferment avec moi (Jean a verrouillé l’accès en mettant un banc en appui sur la porte). Ils ont pris avec eux mes affaires de femelle, qu’ils me tendent. Ils semblent s’être un peu calmés nerveusement mais je sens qu’ils sont aussi très excités. En même temps, j’ai l’impression que, depuis notre entrée dans les sanitaires, Ils se sont beaucoup adoucis, ils ont toujours leurs regards violents mais leur intonation de voix s’est faite plus apaisée… pourtant, on entend toujours la foule en attente derrière la porte…
Je pense que cet embrasement de v******e et de lubricité va prendre fin. Je suis enfermé dans une grande salle de wc/lavabos/douches avec mes affaires de femelle à la main et entourée par deux costauds et, dehors, plein de mâles attendent toujours. Je suis perdu dans mes pensées à me dire que tout va se calmer, que les deux costauds vont sortir pour demander à tout le monde de reprendre ses occupations et qu’on va en faire de même avec moi en me rendant tous les habits qui m’ont été retirés par la foule.
Mais ce n’est pas ce qui m’attend…
Le costaud, celui avec lequel j’ai commencé à me disputé s’appelle Luc. Après quelques minutes pendant lesquelles il semblait perdu lui aussi dans ses pensées dans ces sanitaires, il se rapproche à nouveau de moi et avec un regard noir de requin, il me demande quel est mon pseudo de femelle. J’essaie de nouveau de faire celui qui ne comprend pas, je reste évasif quand il insiste encore puis ça recommence : il me donne trois grosses claques et m’ordonne de lui répondre la vérité immédiatement chaque fois qu’il me demande quelque chose. Je n’ai pas le choix. Je lui dit que mon pseudo de femelle, c’est « Misha ». un fin sourire de satisfaction se dessine sur ses lèvres. Il se tourne vers son pote et lui dit que désormais, tout le monde s’adressera à moi en m’appelant par mon petit pseudo.
Je ne comprends pas. Je lui dit que je veux récupérer mes affaires et que leur petit jeu doit s’arrêter, que c’est bon, que j’ai compris que je ne dois embêter personne et qu’à l’avenir je fermerai ma gueule.
Luc revient vers moi, encore plus menaçant et me dit : « toi,tu n’as rien compris : 1/ ici c’est moi le chef 2/ tout le monde va t’appeler par ton petit nom de pute car, à partir de maintenant, tu va t’habiller en femelle tous les jours et tu seras la femelle du secteur ! ».
Je suis en panique mais je n’ai pas le temps de m’apitoyer sur mon sort. Luc se tourne vers son pote et l’invite à m’examiner avec lui sous toutes mes coutures. Ils sont surpris que je sois lisse de partout, ils apprécient. Mes tétons sont encore tendus des pincements subis par la foule, ça leur plait beaucoup…
Après m’avoir bien examiné de partout, Luc me dit qu’il est maintenant temps de me préparer. Je n’insiste pas avec de quelconques supplications et je commence à m’affairer. Les deux costauds vont s’asseoir dans un coin, me laissent tranquille mais me regardent faire. Ils me demandent de laisser toutes les portes ouvertes des lieux où je vais (wc, douches, toilettes) pour profiter du spectacle.
Je commence par le plus important : les lavements. Je prends ma grosse seringue, je la remplis d’eau tiède et je m’envoie de l’eau dans mon orifice. Au bout de quelques lavements et aller-retours aux wc, je suis propre, prêt(e) à être utilisé(e) de ce côté-là. Je pars ensuite sous la douche pour me faire une propreté. Je récupère au passage une serviette posée là ainsi qu’un gel douche abandonné.
Une fois sorti de la douche, je vais me maquiller. Par chance, je n’ai quasiment pas de barbe donc je n’ai pas besoin de me raser. Une fois maquillée, je mets ma perruque blonde mi-longue, je me parfume légèrement et je commence à me lubrifier le corps.
Une fois prête, j’enfile ma combinaison résille noire, je mets ma cage de chasteté en acier, je mets mon string noir, ma petite robe légère noire et mes talons. Les deux costauds me regardent toujours faire. Leur excitation semble être montée d’un coup de plusieurs étages. Je me tourne vers Luc pour lui demander si je dois mettre mon collier de chienne. Il me répond que je connais la réponse et qu’il faut que j’arrête d’ouvrir ma gueule de pute pour toujours poser des questions de conne. Il me prévient aussi que s’il m’entend encore parler avec ma voix de mec, il va venir me taper à coups de poings. Dans la foulée, il me demande : « tas compris, Misha ? ». Je suis obliger de répondre avec une voix de femelle. Ça ne lui plaît toujours pas. Il se lève, vient vers moi et me dit : « écoute, petite traînée, très bien pour ta voix, par contre, si tu t’adresses à un homme, tu dois l’appeler maître ! tu as compris ? ». je réponds : « oui maître, pardon maître ». ça lui plaît. Comme je le remarque, j’ajoute : « je ne suis qu’une petite pute, maître, je ne voulais pas vous fâcher, maître ». les deux costauds semblent séduits. Je me sens un peu moins tendue, moins stressée, l’excitation recommence à me parcourir le corps. Je leur dit que je suis prête. Luc s’en étonne : « tu es sûre ? tu n’as rien oublié ? » ? Il me tend un gros plug avec un tube de gel anal, me dit de l’enfiler puis me montre mon gros cadenas et me dit : « ça aussi ! ».
Je m’exécute. J’enfile le gros plug et j’ai tout de suite la sensation d’avoir mon orifice écartelé à son maximum, mais j’arrive à me le mettre. Je mets aussi le gros cadenas autour de mon sexe. Il tire dessus, il assez lourd, il est accolé à l’anneau de ma cage de chasteté. Les picotements d’excitation qui parcouraient mon corps jusque là se sont transformés en vagues de bouffées de chaleur que je ne contrôle pas. Ça me fait peur parce que je pense toujours à la foule derrière la porte…
Une fois que je dis que je suis prête, Luc vient me mettre mon collier de chienne et ma laisse. Ensuite les deux costauds m’inspectent de partout encore une fois puis Luc se tourne vers moi, m’att**** fermement par ma laisse et me dit : « bon, maintenant, on va aller voir les copains, c’est bon ma salope ? ». J’ai perdu toute volonté de lutte. Je lui réponds comme il l’attend. Luc demande à son pote de retirer le banc qui bloque la porte, que nous ouvrons…
A ma vue, la foule s’est tue d’un coup, un silence pesant s’est installé, des chuchotements filtrent de temps en temps mais c’est vraiment calme comparé à il y a à peine quelques instants. Luc me tient toujours par ma laisse, Jean m’encadre de l’autre côté puis nous commençons à avancer dans la foule. J’avance la tête baissée mais de temps en temps, je jette un coup d’œil à la foule et je remarque que les hommes ont tous le regard fiévreux, lourd de désir.
Une estrade est en place dans le coin opposé de cette grande salle dans laquelle nous sommes revenus. Nous nous dirigeons vers là. Arrivés là, Luc, dit aux hommes qui attendent sur cette estrade de descendre et de nous laisser que nous trois dessus, Luc, Jean et moi. Les hommes ne posent pas de questions et s’exécutent. Pendant ce temps, la foule nous a suivi et s’est agglomérée autour de l’estrade mais c’est toujours le silence. Tous attendent suite avec une impatience palpable. Je reste toujours la tête baissée et le regard fuyant. Luc le remarque et commence à s’adresser à la foule : « mes amis, je viens vous présenter une bonne petite femelle, elle s’appelle Misha et, désormais, ce sera la pute de notre unité ». des bravos retentissent. Luc demande le silence puis se tourne vers moi et me dit : « ma petite salope, j’ai remarqué que tu baisses constamment la tête depuis qu’on est revenus dans cette salle, si tu n’arrêtes pas cette comédie, je vais te taper encore ! tu lèves la tête en permanence et tu regardes tous les hommes dans les yeux ! c’est compris ? ». J’acquiesce. Ça ne lui plait pas, il tire sur la laisse et je réponds : « oui maître, oui j’ai compris ». la foule grogne de plaisir. Luc me détaille ensuite à la foule, montre ma cage avec le gros cadenas, me faire me tourner pour montrer mon plug bien enfoncé, joue un peu avec, en profite pour me lubrifier avec du gel et des crachats… La foule se détend de plus en plus et recommence même progressivement à être bruyante.
Luc demande à nouveau le silence, qui revient instantanément. Puis il s’adresse à moi et me demande : « qu’est-ce qui t’excite le plus, petite pute ? ». Je lui dis que j’adore me faire bouffer le cul, que ça me rend folle et qu’ensuite on peut faire de moi tout ce qu’on veut. Je lui dis que j’adore sentir plein de mains me parcourir le corps en même temps, que j’adore donner de l’huile pour me faire lubrifier de partout par plein d’inconnus, que toutes ces mains et ces doigts me fouiller et m’enduisent d’huile de partout sans aucune retenue. Ensuite je dis que j’adore sucer des queues, les plus grosses possibles, que j’adore me faire défoncer la bouche et le cul par des queues énormes mais, que j’ai un petit trou étroit donc qu’il faut bien le lubrifier en permanence pour que je ne sois pas blessée et pour que tous puissent en profiter au maximum… J’ajoute que j’adore le plaisir des mâles, que je suce mais je ne prends pas les éjaculations dans la bouche, et que j’adore sentir le sperme chaud gicler sur mon visage ou sur mon corps. Je précise que j’adore me faire baiser le cul mais avec capote et que je deviens folle quand un mâle me baise jusqu’à jouir en moi (avec capote toujours). Enfin, je dis que j’adore attendre mes mâles dans la position à genoux, le visage posé sur le sol et en train de m’écarter le cul avec les deux mains.
Luc est ravi.
Il s’approche de moi, me glisse dans l’oreille qu’il me remercie pour ma sincérité puis s’adresse à la foule en me disant : « très bien, ma petite pute, c’est très intéressant ce que tu nous as dit. Alors, maintenant, tu vas nous montrer ta position préférée ! allez ! tout de suite ! ».
Encore une fois, je dois obéir… je me retourne, je pose mes genoux sur le sol, ma tête et mes épaules aussi puis je viens att****r mes fesses avec mes deux mains et je m’ouvre le cul.
Luc et Jean sont toujours debout sur l’estrade. Comme seules les personnes de devant peuvent apprécier le spectacle, Luc demande à la foule de reculer un peu pour qu’un maximum de mâles puissent profiter de la vue que je leur offre. La foule s’exécute naturellement.
Ensuite Luc se tourne vers son pote et lui demande de jouer un peu avec mon plug. Je commence à sentir des allers-retour, mon orifice commence à chauffer régulièrement mais à chaque fois, une dose de lubrifiant vient le détendre. Je garde toujours mon cul largement ouvert et offert en le maintenant écarté au maximum avec mes deux mains. Au bout d’un bon moment, Luc dit à Jean de sortir mon plug pour montrer à la foule combien mon cul est ouvert, béant, offert… La foule s’extasie.
Luc demande alors à la foule « qui veut bouffer le cul de la petite pute ? ». Plusieurs voix s’élèvent dans la foulée mais Luc désigne l’un des volontaires et lui demande de s’approcher. Dans ma position, je ne distingue pas grand-chose mais quand l’homme s’approche de moi, je distingue une grande masse, un grand blqck, encore plus Barraqué que mes deux « geôliers »… Je le reconnais, c’est Alain, on est arrivés ensemble au centre de détention, la honte m’accable une fois de plus, je suis désemparée. On avait commencé à nouer un bon contact. Mais je ne suis avais bien sûr pas parlé de mon secret… Luc sent ma réaction, il sent qu’il se passe quelque chose… immédiatement, il se baisse, s’approche de mon oreille et me dit : « tu continues à faire la femelle sinon je te tape très fort puis je te mets en pâture aux plus violents de la foule ! ». J’abandonne une fois de plus…
Alain me contemple. Il tourne autour de moi, me dit que je suis une bien vilaine cachotière et qu’il va falloir me punir bien copieusement. Je suis rouge de honte mais je ne bouge plus. Il continue à tourner autour de moi, à me reluquer dans les moindres détails. J’aperçois même de temps en temps son sourire carnassier… la honte m’accable toujours mais elle a ajouté un niveau à mon degré d’excitation… la foule s’est une nouvelle fois tue, en attente de ce qu’il va se passer…
Enfin, je ne distingue plus Alain depuis quelques secondes, qui deviennent des minutes. Je suis toujours dans la même position dégradante. Je commence à me dire qu’Alain est peut-être retourné à sa place dans la foule, qu’en signe de notre amitié naissante, il n’a peut être pas voulu jouer le jeu des deux brutes… Mais je ne bouge pas, distinguant toujours Luc avec son regard dur. Les minutes passent et je commence à me détendre, je me dis qu’Alain est un mec bien et qu’il a bien « planté » les deux balaizes. Je suis rassuré, il y a des mecs bien dans ce centre, c’est super.
Perdu dans mes pensées, j’en viens presque à oublier ma situation. Mais je n’ai pas fait attention que la foule reste encore silencieuse, en attente de quelque chose d’imminent…
Soudainement, je sens que une langue énorme envelopper tout mon orifice, me lécher de mes bourses au haut de la raie des fesses en s’attardant toujours bien longuement sur mon trou étroit… une langue magique. Elle s’insère dans mon orifice pour venir me pénétrer bien profondément… mon excitation monte en flèche, la chaleur m’inonde, la honte aussi. Je distingue Alain, il n’est pas parti, il s’occupe de moi comme un dieu et ça me rend folle, j’essaie de retenir mes réactions, mais ce n’est pas possible, et encore moins quand sa langue s’introduit en moi… je ne contrôle rien, je sens mon orifice s’ouvrir tout seul, toujours plus au fur et à mesure que ça continue… et ça ne s’arrête pas…

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