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Photographe 7

Photographe 7



Récit d’un ami photographe
Je descends à mon bureau avec Suzie , elle les seins se balançant et moi le sexe demi bandé se ballottant dans tous les sens. Pendant que je décharge la carte mémoire, Suzie fouille les étagères, regarde les books d’autres shooting.

Suzie pose ses mains sur le bureau, face à moi, son buste vers l’avant et les seins ramenés vers moi par ses avant-bras.
« T’as déjà rêvé de te faire sucer par une secrétaire cachée sous le bureau, pendant que tu reçois un visiteur? »

En sidant ça, elle passe la langue sur ses lèvres de manière suggestive et ramasse mon agenda ouvert et jouant le jeu de la secrétaire, elle me dit :
« Tu devais appeler un monsieur Garon hier ? »
« Merde ! C’est mon client pour le contrat avec Martine. J’ai totalement zpé ! J’étais trop occupé avec toi! »
« Appelle-le maintenant! »
Elle s’approche, passe entre mes jambes, se met à genoux. Elle recule sous le meuble comme pour s’y cacher et espiègle, elle me dit :
« Je ferai ta secrétaire, tu vois comme ça !. »
Elle décalotte mon gland. Presque plaintive, elle chuchote :
« Appelle! »
Elle saisit mon sexe. Je compose le numéro de téléphone alors qu’elle commence à me sucer, une voix féminine me répond.
« Bonjour ! C’est Alain du studio photo. J’aurais voulu parler à monsieur Garon ! »
Les doigts et la bouche de Suzie s’affairent avec force sur ma verge déjà fortement excitée par ses précédentes caresses.

On me transfère l’appel et, au moment où j’entame la discussion, elle me fait une gorge profonde en me massant mes bourses. Elle me fait perdre toute contenance. « Me ..me monsieur Garon?… Ou-oui! Très bien, merci -ah! Non, non, ça va trÈS bien! Au sujet du… projet de publicité? Vous aimez? Ouf… Oui! Vous achetez l’idée?… Oui, très… TRÈ-ÈS content! »
En entendant ces mots, Suzie accélère le tempo. Elle serre la base de mon sexe et aspire le gland qui entre et sort de sa bouche à toute vitesse.

« Rendez-vous? Votre styliste!?… »
Sa tête monte et descend sur ma queue qui palpite dans sa bouche, luisante de salive.

«  Détails et contrat? Oui. OUI! Avec plaisiiiiiir! Ah-au revoir, et merci! »
Comme je raccroche, Suzie plonge mon sexe au plus profond de sa bouche et serre mes bourses avec force. Ma semence explose dans sa gorge en longs jets puissants.

Elle reste sans bouger, avalant tout avec délice, les doigts sur mes bourses et les lèvres serrant ma verge. Après un moment, elle redresse la tête et me sourit. Elle passe sa langue sur toute la longueur de ma queue, lentement, essuyant les dernières traces de sperme.

Elle sort de sous le bureau, ses seins frôlant mon corps, et demande :
« Alors, tu me les montre ces photos? « 
Elle s’assoit sur mes cuisses et enlace mon cou pendant que je charge les images, mon cœur battant encore la chamade. Je l’avertis ;
« Se ne sont que les rushes. Je ne les ai pas traité. »
Avec ses seins à portée de main et son corps serré contre le mien, l’ambiance assez crue des photos m’excitent. Suzie semble satisfaite. Elle commente son anatomie comme s’il s’agissait de quelqu’un d’autre, critiques et compliments fusant selon la scène.

Je la sens aussi excitée de se voir ainsi exposée.

Sa respiration a changé et son corps bouge involontairement sur mes cuisses. Ses jambes s’ouvrent et se ferment imperceptiblement, et je devine une moiteur entre ses cuisses.

« Je t’assure que je ne les montrerais à personne et je te les envoirai tout le shooting une fois les photos traitées. »
« Je te fais confiance et tu peux aussi les garder pour toi, ça pourra t’aider si tu es trop en manque! » Dit-elle, malicieuse.

Nous passons le reste de la journée à nous détendre en nous prélassant nus au soleil. Suzie dort un moment, sa tête posée sur mes genoux. Je caresse doucement ses seins et sont coquillage délicat et humide. Elle me demande :
« A quoi sert le grand espace inutilisé au sous-sol ? »
Je lui explique :
« J’ai le projet de le transformer en donjon pour faire des shooting plus chaud. »
Contrairement à ce que j’aurais pensé, elle trouve l’idée excellente.
« Je verrai bien, il n’y a pas d’urgence. »
3Tu m’invitera comme modèle pour tester ta salle ? »
Je suis presque choqué mais à l’idée de la voir attachée et soumise j’accepte sa proposition.

Mon esprit vagabond à fait se dresser ma verge devant les yeux coquins de Suzie qui éclate de rire.
« Je sais à quoi tu penses grand coquin ! »
Je la regarde en souriant, ne trouvant rien à répondre. Elle poursuit :
« Tu n’en as pas eu assez encore? »
Je me lève, m’approche et l’embrasse avec fougue, sans me préoccuper de ma queue qui se presse contre son ventre.
« La pensée de t’avoir attaché, à ma merci me comble. »

Je l’att**** par un seins et l’invite fermement à me suivre. Suzie laisse échapper un émissement étranglé. Elle se laisse faire et je l’amène dans le studio où je la ligote fermement de telle façon à être exposée et sans défense.
« Comme ça tu veux jouer à « 50 nuances de Grey » ? »
Je tourne autour d’elle d’un air faussement menaçant et elle trouve le jeu très ludique.

Ding dong! Nous figeons un instant, le souffle court, cherchant la cause de ce bruit. Puis Suzie éclate de rire :
« Le livreur sans doute !  Détache-moi je vais allé ouvrir.! »
Je veux la garder sous mon joug mais, je la détache à contra cœur et en me lançant un sourire plein de promesses, elle me dit :
« Je reviens ! Je vais lui ouvrir ! »

Encore une fois, elle joue, elle provoque. Ça semble l’exciter. Il ne manquerait plus qu’elle tombe sur un esprit lubrique.
Dans la tenue d’Eve, elle ouvre au livreur.

« Bonjour Monsieur! »
Je vois ses yeux s’agrandir pendant qu’il tente de bégayer une réponse. Ses joues rougissent, son regard tente de ne pas se focaliser sur la nudité de Suzie.
« a fait combien? » Demande Suzie.
Il murmure un chiffre. La bourse de Suzie traîne sur le sol de l’entrée depuis hier. Elle d’accroupie pour fouiller dedans. Le regard du jeune homme qui suit chacun des mouvements. Ça n’a duré qu’un instant, rien de plus. Elle revient vers moi, un large sourire au visage. Je suis assis, la queue dressée, malgré moi, la colère sourde visible sur mon visage.
« C’était amusant, non? T’aurais dû voir sa tête, j’aurais pu lui faire faire ce que je voulais! » 
«  J’ai vu sa tête. Je voyais tout. Je l’ai vu te déshabiller du regard. Il aurait pu faire n’importe quoi, tu n’as aucune idée de qui c’était! Au point où tu en étais, t’aurais aussi bien pu être le payer en lui taillant une pipe ! »

Je me lève. Je passe derrière elle. J’ai besoin de reprendre le contrôle,. Je l’enlace et la serre contre moi, ma queue pressée sur ses fesses. J’agrippe ses seins que je malaxe, profitant de la chair douce et souple.. Son corps réagit. C’est ce qu’elle voulait.

Elle tente de m’embrasser mais je la repousse, pressant sa tête vers le sol, le cul dressé et offert. Je saisis ses bras, que je ramène vers l’arrière, lui empêchant tout mouvement. Elle est surprise mais elle se laisse faire, son désir probablement aussi puissant que le mien. Je l’attache à nouveau sexe offert et bien exposé. Je pousse mon sexe en elle, d’un mouvement lent, continu, jusqu’à entrer entièrement. Je suis au plus profond de son corps, immobile.

Lentement, je fais un premier va et vient, lui arrachant un soupir. Je marque une pause puis refais le même geste délibéré. Elle me suplie :
« Baise moi salop !!! » »
Je tire légèrement ses bras, lui faisant redresser le torse, ses seins remuant en tous sens alors que je me met à la baiser sauvagement sous ses encouragements.

Alors qu’elle voulait me faire perdre tout contrôle et toute retenue, c’est elle qui a laissé tomber ses barrières et qui prend son plaisir de façon brute, instinctive et sans pudeur. Elle crie, crie encore. Elle jouit une première fois dans un abandon qui lui avait échappé depuis son entrée dans la maison. Suzie s’immobilise, mon sexe encore planté en elle. Je relève son tronc autant que je suis capable, mes mains caressant ses hanches, son ventre, ses seins et effleurant le sommet de son sexe. Je me remet à la bourrer bestialement. Son corps, aux tensions relâchées par son orgasme, se tend à nouveau sous ses sensations inhabituelles. Suzie se laisse secouer, suivant mes mouvements et construisant un nouvel orgasme qui culmine de concert avec le mien.

Nous sommes étendus sur le sol. Suzie me regarde, ses yeux brillants, luisants.
« Tu vas me manquer… » Me dit-elle en ramassant ses affaires éparpillées un peu partout.
Elle m’a embrassé sur la joue, et elle est partie vers sa nouvelle vie. Je suis allé me coucher, épuisé et l’âme légèrement troublée, nostalgique de ce qui aurait pu être, dans une autre vie.

A propos de l'auteur

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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