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3 ans de pénitence – 12

3 ans de pénitence – 12



Pire, qu’au temps des Borgia.

À midi, je mange tout ce qu’on me donne. Je ferai tout ce qu’on me dit pour éviter d’être punie. Mais bien sûr, dans certaines circonstances, il n’y a pas moyen de l’éviter.
Quand on a fini de manger, Henri le bredin, qui mange avec sa mère à la table des gardes, vient vers nous. Je me fais toute petite mais c’est vers moi qu’il se dirige. Il me demande :
— Tu me… reconnais ?
— Oui, bien sûr Monsieur Henri, vous êtes le maître de la petite chienne.
Grand sourire jaune.
— Oui, c’est ça… Viens… avec moi, chez l’É… l’Év… l’Évêque.
Étant prête à tout pour éviter des explications entre mes fesses et le fouet, je me lève immédiatement pour le suivre. Il m’explique :
— L’Évêque est très gen… gentil, mais sp… sp… un peu spécial.
Tu m’étonnes ! Il ajoute :
— Je pourrai te… te la mettre dans… le…
Il me donne une claque sur les fesses. Oui, je comprends où il veut me la mettre.
— Tu… tu aimes ça… hein…?
Mon nez s’allonge quand je réponds :
— Oh oui Monsieur Henri !
On va dans la salle à manger des invités. Henri me montre l’Évêque. C’est un gros homme rougeaud et chauve dans une soutane violette. Il éclate de rire à une plaisanterie de sa voisine, une jolie nonne d’une trentaine d’années.
À mon avis, il n’y a ni Évêque ni nonne, c’est juste un homme riche et vicieux accompagné d’une pute.
Henri me dit :
— Va… va te mettre à ge… à genoux près de lui.

J’obéis, bien sûr. L’Évêque me jette un coup d’œil mais continue de discuter avec sa voisine. Enfin, il me regarde à nouveau et me caresse la tête en lui disant :
— Qu’est ce que tu m’amènes là, Henri?
— La nouvelle votre Ém… Émi… nence…
— Celle avec qui tu as envie de jouer ?
— Oh oui… votre Émi… nence.
— Bien. Tu peux te joindre à Sœur Juliette et à moi-même pour quelques distractions. Il se tourne vers « sœur » Juliette et lui dit :
— Et les jumelles ?
— Elles sont déjà là, chéri.
Ah oui d’accord, ce n’est plus votre Éminence.
Il la regarde et elle dit :
— Pardon, je voulais dire votre Éminence.
L’Évêque s’adresse aux convives :
— Mes enfants et chers amis, je me retire pour prendre un peu de repos…
Ça fait rire les gens.
Il ajoute :
— Si vous avez envie de faire une petite sieste, vous pouvez aller chercher une fille pour vous tenir compagnie.
— Merci votre Éminence.
Les gens se lèvent et vont sans doute chercher de quoi agrémenter effectivement leur petit « repos ».
Henri me regarde et claque des doigts. Je vais aussitôt à côté de lui. On va dans la chambre de l’Évêque. Imaginez une chambre de bordel oriental de luxe, c’est exactement ça ! Il y a des divans, des soieries, une peau de tigre (pauvre bête) et des tableaux représentant des scènes de harem très osées. Pour parfaire l’ambiance, on entend une musique également orientale.
Les jumelles sont là. Je connaissais Charlotte mais pas Julie. Elles sont quasiment identiques : jolies, blondes aux longs cheveux, des yeux bleus et des gros seins qu’on aperçoit clairement parce que leurs chemisiers sont ouverts.
Elles se lèvent et vont à tour de rôle embrasser l’Évêque sur la bouche. Il leur dit :
— C’est d’accord pour ce que vous voulez, mes enfants. À condition que vous vous fassiez des câlins.
Elles l’embrassent encore et le remercient. Je me demande bien ce qu’elles ont obtenu… Leur liberté ? De l’argent ? Sans doute les deux.
L’Évêque se déshabille sans complexe. Il devrait pourtant en avoir, car il est gras et rose avec des poils blonds. Un vrai porc, sans doute descendant de l’Évêque Cauchon de sinistre mémoire. Il s’installe sur un divanà la romaine, sauf qu’il écarte les cuisses et exhibe un petit sexe mou et grisâtre et des grosses couilles. Le genre de parties dont même une hyène affamée ne voudrait pas. Sa compagne, la soi-disant nonne Juliette, se déshabille aussi. Elle est un peu trop forte, ses seins tombent et sous ventre rond, il y a une touffe de poils noirs qui couvre son pubis. Le contraste ente la couleur de ses cheveux très blonds et les poils de sa chatte, presque noirs, est saisissant.
Henri m’entraîne sur un divan. Je suis obligée de me coucher contre ce bredin, lui derrière, moi devant. Il plonge sa main dans mon chemisier pour jouer avec mes seins.
Les jumelles vont se mettre devant l’Évêque. Leur ressemblance est telle qu’on a beaucoup de mal à les distinguer, sauf que l’une d’elles est légèrement plus grande que l’autre. Elles commencent par faire une bataille de langues, donc celle de l’une tourne autour de celle de l’autre. C’est un peu dégoûtant et excitant à la fois. Ça se termine par un vrai baiser. Je sens qu’Henri bande contre mes fesses. Les sœurs se déshabillent : chemisiers, soutien-gorge, jupe, culotte, chaussette, chaussures. Chaque fois qu’elles enlèvent un vêtement, elles embrassent ce qu’elles viennent de découvrir: seins et aisselles, ventre et pubis, fesses et cuisses et même les pieds. Je suis persuadée que c’est sincère, impossible d’avoir l’air d’y prendre autant de plaisir si c’était de la comédie. Elles jettent toutes deux leurs culottes à l’Évêque qui les renifle aussitôt. Une fois nues, elles se mettent à onduler sur la musique orientale. Elles font une espèce de danse du ventre mais en se touchant : seins contre seins, fesses contre fesses.

L’Évêque caresse négligemment la chatte de sa compagne. Son sexe augmente légèrement de taille, sans doute sous l’effet des culottes. Il avait un sexe de la taille d’un enfant de 8 ans, maintenant la chose doit bien faire dans les 12 ans.
Les sœurs se sont allongées et se lèchent l’une l’autre. Les seins, la chatte et l’anus, chaque fois en changeant déposition de façon à ce qu’on les voie bien.

Elles sont douées, très douées, de vraies artistes. Elles terminent par un69, la spécialité du couvent, dirait-on. Quand elles ont joui toutes les deux, elles se mettent debout et saluent en s’inclinant, exactement comme des artistes de music-hall. L’Évêque applaudit, moi aussi, servilement.
Elles vont s’installer sur le divan de l’Évêque. L’une entre les jambes du prélat et l’autre entre les jambes de la femme.
Tout en caressant sa jumelle, l’homme d’Église demande à Henri :
— Elle est bien dressée, ta petite chienne ?
Aie !!
— Pas encore par… parfaitement, Votre Éminence.
— Montre-nous comment tu t’y prends.
Aie, aie, aie !
Henri se tourne vers moi et me dit :
— Fais la be… belle !
Je m’accroupis aussitôt, les bras repliés, en prenant l’air suppliant.
— Cou… couchée !
Dès que je lui ai obéi, il sort une balle de sa poche et la lance à travers la pièce en disant :
— Va ch…. ercher.
Je cavale aussitôt à 4 pattes pour aller prendre en bouche une vieille balle pleine de morsures d’autres chiennes. Pendant 10 minutes, ce seront des ordres et des courses entrecoupées de claques sur les fesses quand, soi-disant, je n’ai pas bienfait ce qu’il voulait. De temps en temps, il sort un petit biscuit tout mou de sa poche et me le lance. Je dois l’att****r au vol.
Enfin, l’Évêque met fin à mon « dressage » en disant :
— C’est bien, tu as une belle petite chienne. Tu as envie de la monter ?
— Oh oui… votre Ém… inence.
— On fait comme l’autre jour, tu te souviens, hein?
— Co… co.. comment oublier ça !
L’Évêque se couche sur le dos et je dois me coucher sur lui en position de 69. La grande spécialité, je vous disais. J’ai la chatte sur le nez de Son Éminence tandis que mon visage est juste au-dessus de sa mini bite ! Je regarde sœur Juliette et lui montre ma langue du doigt, pour lui demander si je dois le sucer. Elle me fait signe que non. Ouf ! tant mieux. À l’arrière, l’Évêque est occupé de me lécher la chatte comme un chien assoiffé laperait de l’eau. Ça, ça va. Ensuite, Henri vient se mettre derrière moi et je sens son gland mouillé qui me caresse l’anus et la chatte. Je sens même en même temps la langue de l’Évêque et le gland! Henri, lui, est monté comme un homme et c’est malheureusement après mon cul qu’il en a. Il écarte bien mes fesses et crache sur mon anus et sur le visage de l’Évêque sûrement, ensuite il me pénètre d’un coup :
— Aaaiiiieeeeee, doucement !
— Tais… toi… stu… pide chienne !
Il me sodomise à grands coups de reins, tandis que je sens toujours la langue de l’Évêque qui doit avoir les couilles d’Henri sur le visage à chaque coup de reins. Quel vicieux !
Juliette, la soi-disant nonne, se met contre moiet m’embrasse sur la bouche. C’est la première chose gentille qu’il m’arrive aujourd’hui. Elle me glisse à l’oreille :
— Quand tu sentiras que Henri a joui, tu te redresseras en positionnant ton anus sur la bouche de l’Évêque et tu pousses. T’as compris.
— Ouiii…
Comment peut-on aimer ça ? Mais bon, tant que ce n’est pas moi qui dois avaler le sperme d’Henri sortant de mes intestins… Justement, je sens son sexe gonfler encore plus en moi, il pousse quelques petits cris de souris et jouit. Il attend un peu, puis se retire sans ménagements. Je pousse un cri tandis que son gland me dilate à nouveau brutalement l’anus. Je me soulève un peu pour le mettre sur la bouche de l’Évêque, mais je vois qu’il a le sexe d’Henri en bouche.
Bientôt, Henri ressort une bite molle mais toute propre. À mon tour. Je pense « Bon appétit votre Éminence… » Je m’accroupis au-dessus de sa bouche et je pousse. Je deviens peut-être aussi vicieuse qu’eux, mais j’éprouve un sale et louche plaisir à faire cette chose si dégoûtante, comme une vengeance sur tout ce qu’ils me font subir.
J’ai l’impression qu’Henri devait avoir les couilles bien pleines, il se régale, l’Évêque ! Quand plus rien ne sort de moi, il dit :
— À vous mes petites chéries.
Il s’adresse aux jumelles, qui savent bien ce qu’elles doivent faire. L’une d’elles branle son micro pénis avec deux doigts, tandis que l’autre s’assied sur son visage. Décidément, il aime mettre son nez partout, cet Évêque.

À suivre.
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