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SOUMIA

SOUMIA



J’ai connu Soumia par l’intermédiaire de Zohra, ma maîtresse, pour laquelle je louais un petit appartement au centre d’Alger et dont, pour arrondir ses fins de mois, elle sous louait une chambre à une jeune fille. Généralement une étudiante, venant d’une région de l’intérieur du pays et dont les parents ne voulaient pas qu’elle vive en cité universitaire. Les Cités U traînaient en effet une réputation sulfureuse, soit qu’elles étaient sensées être des lieux facilitant la débauche des filles, en ne contrôlant pas leur présence dans les chambres la nuit, soit étaient devenus des lieux de d’endoctrinement islamiste, quand elles étaient contrôlées par les organisations estudiantines de cette mouvance. Dans les deux cas, les parents d’étudiantes qui en avaient les moyens, préféraient tenir leurs filles éloignées des Cités U et leur louaient, souvent à plusieurs, des appartements.
Zohra disposant, grâce à moi, d’un logement en profitait pour accueillir, au cours de l’année universitaire, une étudiante, jamais la même, qui l’aidait à augmenter ses revenus. Elle faisait généralement payer à sa sous locataire le prix total du loyer, le même montant que moi je payais au propriétaire : vingt mille dinars, mensuellement (environ 200 euros). Elle était gagnante sur toute la ligne. Evidemment elle le faisait avec mon assentiment.
Zohra était entrée dans ma vie à un moment de très forte déprime. Je venais d’atteindre la quarantaine et sortait d’un divorce douloureux. Après quelques années d’un mariage plutôt heureux, dont étaient nées deux filles qui avaient finies par devenir le centre de ma vie, une sombre histoire de tromperie – j’avais retrouvé une de mes anciennes maîtresses et avais cédé à la tentation d’avoir des relations suivies avec elle, jusqu’à la découverte du pot-aux-roses – avait mis fin à la belle vie de famille que je menais.
Le divorce fut prononcé très rapidement, à mes torts exclusifs, laissant les filles sous la garde de leur maman (elles avaient pris fait et cause pour elle et m’avaient condamné sans rémission pour cette histoire d’adultère) et me condamnant au payement d’une pension familiale très consistante. Je ne voyais les filles qu’une fois par mois ; chacune de mes visites était un véritable calvaire : les filles remontées à bloc par leur mère, n’arrêtaient pas de me faire la tête et paraissait attendre avec impatience, l’heure où elles s’en iraient. J’en avais beaucoup souffert et en fin de compte, au bonheur de la maman, j’avais fini par ne plus exiger d’exercer mon droit de visite. Je me contentais d’envoyer à chacune des filles, leur cadeau annuel d’anniversaire, à leur payer chaque année des vacances en bord de mer et à les appeler de temps en temps pour prendre de leurs nouvelles.
Il faut aussi dire que professionnellement et socialement, j’avais une situation enviable (cette situation qui avait attiré mon épouse et l’avait poussé à accepter ma demande en mariage). J’étais le patron d’une PME qui fabriquait et posait des portes, fenêtre et barreaux en fer ; l’insécurité aidant, mes affaires croissaient à un rythme rapide. Les produits que je fabriquais, qui étaient en même temps esthétiques et résistants, étaient très recherchés par les auto-constructeurs et même les entreprises de promotion immobilière. Financièrement, j’étais donc très à l’aise.
J’avais connu Zohra, sur son lieu de travail – une agence de la sécurité sociale, Cette dernière me réclamait le payement de cotisations que j’avais déjà réglées. Zohra m’aida gentiment à démêler l’écheveau procédural et me permit rapidement de démontrer ma bonne fois et de faire annuler les pénalités qui m’étaient indument réclamées. Pour la remercier, je l’invitai un soir à dîner dans un restaurant chic de la capitale et fit la connaissance d’une femme qui aimait croquer la vie à pleines dents. Elle était elle-même divorcée – sans enfants – et était libre de vivre la vie qu’elle s’était choisie.
Elle vivait un peu au dessus de ses maigres moyens de fonctionnaire et habitait chez ses parents qui avaient consenti à l’accueillir après son divorce, le temps qu’elle trouve un autre endroit où loger. Au début, ils acceptaient mal le comportement de leur fille qui entrait souvent tard le soir, et puis avaient fini par s’y faire. Physiquement, sans être vraiment belle, Zohra était charmante. Et surtout elle avait un corps de vamp, avec des rondeurs partout, qu’elle accentuait par des tenues aguichantes. Et par-dessus tout, elle avait une grande bouche en forme de sexe féminin, qui attirait la convoitise de tous les hommes qui la regardaient. Rapidement, je fus de ceux qui voulaient goûter à cette bouche impudique et obscène. Tout en mangeant et en la regardant j’imaginais mon énorme sexe dans cette bouche. Je voulais non seulement qu’elle me fasse une pipe, mais je m’imaginais entrain de piner cette bouche comme je pinerai une chatte.
N’y tenant plus, et voyant qu’elle était consciente de l’effet qu’elle me faisait, je lui dis, sans prendre de gants :
– Tu me fais bander comme un âne. Rien qu’à regarder ta bouche, j’ai envie d’y introduire mon sexe.
Je m’attendais à une réplique cinglante, ou qu’elle fasse semblant d’être choquée, ou même qu’elle se lève et qu’elle s’en aille. Rien de tout cela. Elle me fit un superbe sourie aguicheur et répondit, ironique :
– Tu crois que je ne l’avais pas remarqué. Tu es comme tous les hommes avec lesquels je passe un moment : vous ne pensez qu’à me tirer. En fait toi aussi tu me plais beaucoup. Tu es bien de ta personne et puis, je dois t’avouer que cela fait longtemps qu’un homme ne m’a pas tirée. On va chez toi ?
Ce soir là je l’avais amenée chez moi et j’ai fait avec elle toutes les cochonneries que j’avais envie de lui faire. J’ai bien évidemment pris mon plaisir dans sa chatte et dans son cul, mais j’ai surtout fait la découverte d’une bouche se comportant comme un vagin. Je lui avais imposée une fellation d’enfer avec pénétration jusqu’au fond de la gorge. Je me suis vite rendu compte, que non seulement elle aimait cela, mais qu’elle avait une technique toute à elle d’utiliser sa bouche. Elle l’ouvrait le plus largement qu’elle pouvait, éloignait ses dents pour ne pas faire mal à l’engin et, me tenant par les hanches, elle tirait sur elles de manière à ce que mon engin pénètre en force jusqu’au fond de sa gorge ; puis elle repoussait mes hanches jusqu’à ce que mon sexe atteigne l’entrée de la bouche (ou même en sorte totalement) et reprenait le chemin inverse, toujours aussi fort.
Je venais de découvrir qu’on pouvait baiser une bouche, exactement comme si c’était un vagin. Je ne m’en privai pas. La sensation que j’en tirais était exceptionnelle. Le palais de ma belle, ainsi que sa gorge, n’avaient ni la douceur, ni la mollesse d’un vagin. Ils étaient plus fermes, avec la même moiteur et la même chaleur, et de temps en temps plus douloureux pour mon sexe quand il raclait accidentellement les dents. Mais quelle sensation de plaisir ! Je tenais à deux mains la tête de Zohra par la nuque, et je la pinais sans retenue, en force. De temps en temps, elle résistait et me poussait à sortir quelques secondes de sa bouche pour pouvoir reprendre sa respiration, et pour éloigner l’envie de vomir qui la prenait assez régulièrement quand mon engin, trop long, allait titiller et dépasser la glotte. Mais elle le remettait très vite à l’intérieur de la bouche et reprenait l’opération.
Cela ressemblait à une véritable opération de torture. Je sentais que Zohra souffrait et que même si elle ne semblait pas avoir mal, le fait que j’y allais franchement et sans précaution, lui causait une vraie gêne aussi bien pour respirer que pour empêcher les vomissements. Mais mon Dieu que c’était bon pour moi ! Egoïstement, je profitais que ma belle ne protestait pas pour prendre un maximum de plaisir. J’essayais de retarder l’éjaculation, en contrôlant l’arrivée de l’orgasme. Je voulais profiter au maximum de cette bouche d’enfer. Quand enfin, la jouissance arriva, tel un torrent en crue, j’envoyais une série de giclée de sperme épais et dru, qui alla au fond de sa gorge, dont elle avala une grande partie et vomit l’autre sur mon sexe et mes cuisses.
J’étais aux anges. Surtout que Zohra ne me fit aucun reproche pour la manière dont je m’y pris, brutale violente. Je venais de découvrir une amante exceptionnelle et imaginative. Je le lui dis :
– Je me suis comporté comme une brute avec toi. Il faut me pardonner : jamais encore je n’ai connu une femme comme toi. Non seulement tu aimes baiser, mais tu t’offres sans retenue et sans fausse honte. Tu es ce qu’on appelle un superbe coup. Je ne comprends pas que tu vives encore seule. Rien ne te manque : charme, sensualité, intelligence. Tout pour rendre un homme (ou même des hommes) heureux. Tu restes avec moi ?
Et c’est comme cela que Zohra est entrée dans ma vie. Pour pouvoir la voir souvent, sans qu’elle n’ait chaque fois à se justifier auprès de ses parents, je lui louais un petit appartement, dans lequel elle s’installa immédiatement. Nous nous voyions souvent – chez moi, pas chez elle, pour ne pas attirer les foudres des voisins bien-pensants – et baisions comme des bêtes. J’étais très heureux de la situation. Zohra resta dans son travail, mais prit chaque année une colocataire pour arrondir ses fins de mois et vivre à peu près à l’aise, financièrement.
Un jour que nous étions au lit, après avoir baisé toute la soirée, elle me montra une vidéo qu’elle avait prise avec son téléphone portable. On y voyait une belle plante, qui ne semblait pas être au courant qu’elle était entrain d’être filmée, se déshabiller pour se vêtir de son pyjama. La fille devait avoir vingt-deux/vingt-trois ans. Elle était grande et plantureuse ; la peau blanche comme du lait ; une poitrine superbe, souveraine et provocante, aux seins haut-perchés et tendus vers l’avant comme deux obus de canons ; des hanches larges et rondes ; un fessier proéminent ; des jambes interminables et superbement galbées, surmontées de deux genoux, ronds, lisses et brillants, donnant accès à des cuisses longues et fermes, qui feraient bander tous les saints de l’univers.
On ne voyait rien d’autre précisément. Curieux d’en voir un maximum, j’essayais d’apercevoir sa chatte au dessus de ses cuisses. Mais mes yeux n’avaient accès qu’à son superbe pubis, rond et bombé, soigneusement épilé, et au magnifique triangle qui se formait à la naissance de ses cuisses, le plus souvent fermées. Je crois bien que j’avais poussé un « non ! » de déception au moment où elle mit son pantalon de pyjama et cacha ainsi sa superbe nudité.
Tout le temps que dura la vidéo, je n’avais rien dit, ni rien demandé à Zohra. Une fois le film terminé, je me tournai vers elle avec un regard interrogateur.
– Tu peux m’expliquer ?
– C’est Soumia, ma nouvelle locataire ! Elle est magnifique, n’est-ce pas ?
– Plus que cela ! Mais pourquoi la vidéo ? Et je suis sûr qu’elle a été tournée sans qu’elle le sache !
– Oui ! Mais je la trouve tellement belle que je n’ai pas pu m’empêcher de la filmer. Si elle l’apprend, elle me tuera ! Elle est très pudique et très timide. En la voyant et en la côtoyant, j’ai senti monter en moi le désir de la prendre dans mes bras et de la caresser ! De lui faire l’amour ! Je me suis découverte des tendances homosexuelles pour cette fille ! Bien sûr, mes quelques tentatives pour l’amener dans mon lit on tourné court. Elle est encore très prude et ne conçoit l’amour que dans le mariage, et avec un homme.
Etonné et curieux, je voulais en connaître plus sur Soumia. Je sus ainsi qu’elle était originaire de Kabylie et qu’elle était en première année de biologie à l’université de Bab-Ezzouar, à l’est d’Alger. Sa famille l’avait confiée à Zohra, après que son père et son frère eurent visité l’appartement dont la chambre était à louer et trouvé l’endroit et la propriétaire dignes de confiance. C’était une fille qui ne fréquentait personne et qui menait une vie d’étudiante sage et rangée.
– Pourquoi m’as-tu montré la vidéo ? Tu savais pertinemment qu’elle allait me faire bander !
– Bien sûr que je savais que tu allais flasher sur elle ! C’était le but de la manœuvre ! Je veux que tu la séduises et que tu en fasses une fille normale : avec des sentiments et surtout des désirs. Je voudrais qu’elle reste longtemps chez moi et qu’elle finisse par me laisser accéder à son corps et à son âme. Tu sais, je suis devenue dingue d’elle et je n’arrive pas à l’enlever de mon esprit. Je la veux et tu dois m’aider à l’avoir. Je te l’offre, pour que toi aussi tu me l’offres. Si tu réussis à la rendre moins prude et à lui faire découvrir sa sensualité, je suis sûre qu’elle finira par m’appartenir à moi aussi.
Je ne savais pas trop quoi penser. La fille était vraiment canon et bandante ! J’aurais été heureux de l’avoir dans mon lit et de lui faire découvrir les plaisirs sexuels. Bien entendu j’aurais bien aimé l’ouvrir à l’érotisme et en faire une adepte de l’amour charnel. Mais comment m’y prendre et comment l’attirer chez moi ? Zohra me confia qu’elle avait échafaudé un plan pour que nous fassions connaissance Soumia et moi et que je lui apparaisse sous mon meilleur profil : un homme, physiquement à son avantage, riche, gentil et large d’esprit. Un homme cultivé, pouvant parler de manière juste de beaucoup de sujets, y compris de sujets politiques qui intéressent la fille, dont les sujets sur l’identité de l’Algérie, la berbérité et la situation politique du pays. Il est vrai que j’avais toujours été intéressé par la situation politique dans le monde et particulièrement dans mon pays.
Je donnais donc à Zohra mon accord pour une rencontre avec Soumia. Le lendemain matin, elle m’appela au téléphone pour me dire qu’elle avait invité Soumia au restaurant en lui précisant qu’elle avait besoin de sa présence pour meubler la discussion sur des sujets qui ne l’intéressaient nullement elle, et dont elle ne savait rien. Elle lui avait dit que j’aimais analyser les évènements politiques qui se déroulaient dans et en dehors du pays et que j’étais un partisan acharné et militant de l’officialisation de la langue berbère. Elle lui aurait aussi affirmé, que ne connaissant rien en histoire et en politique, elle avait peur de ne pas m’intéresser et de me laisser lui échapper.
C’est ainsi que le soir même, je retrouvais Zohra et Soumia qui m’attendaient à une table d’un grand restaurant, en sirotant un jus. Zohra fit les présentations en insistant sur la particularité que Soumia était une vraie Kabyle, et qu’elle militait pour que le berbère devienne la deuxième langue officielle du pays.
Que Soumia soit kabyle, il n’y avait absolument aucun doute là-dessus : elle avait le fort accent chantonnant des montagnes du Djurdjura. Qu’elle parle en français ou en arabe, cet accent si particulier accompagnait tout ce qu’elle disait. Cela me permit de lancer la discussion sur le thème de l’amazighité de toute la région nord africaine, sur l’histoire des berbères de Numidie, sur les grands hommes et femmes qui avaient fait l’histoire de la région, de la langue amazighe qui était parlée, non seulement en Kabylie et dans les autres zones berbères de l’Algérie, mais aussi dans le sud, dans les pays du Sahel, en Tunisie, au Maroc et même dans les îles Canaries et dans l’Oasis de Souâ en Egypte.
La belle était pendue à mes lèvres, écoutant et buvant mes paroles. Enfin elle trouvait un homme assez cultivé pour discuter avec elle de sujets intéressants et pour lui apprendre plein de choses qu’elle ne connaissait pas encore. Elle posait des questions sur tout : l’arrivée des arabes et de l’islam en Afrique du nord ; sur la résistance des berbères à l’invasion arabe ; sur le combat mené par La Kahina contre les armées arabes ; sur sa défaite et sa mort. Sur le rôle des femmes berbères dans l’histoire. Et bien d’autres choses encore. A la fin du repas, je me rendis compte que j’avais gagné la première bataille : celle d’attirer l’intérêt de la belle sur moi.
Nous continuâmes à parler de choses et d’autres. Insidieusement, je dirigeai la conversation sur elle en lui posant des questions sur ses parents, ses études, ses désirs dans la vie, ses petits amis, ses flirts. A cette dernière question, elle rougit un peu, pour répondre, qu’elle n’avait pas de petit ami, ni de flirts. Elle ne pensait qu’à réussir dans ses études de biologie, bien que ce ne soit pas vraiment ce qu’elle voulait faire.
– J’aurai aimé faire médecine, mais mes notes au bac n’étaient pas assez élevées pour me permettre de m’inscrire en médecine. J’ai donc opté pour la biologie.
– Il me semble que tu as perdu quelques années en cours de route. Tu dois avoir environ vingt-deux ans, n’est-ce pas ? C’est un peu vieux pour être encore en première année.
– C’est vrai, répondit-elle, rougissante. J’ai dû repasser deux fois mon bac pour le décrocher. Je n’étais pas très douée, ni assidue dans mes études secondaires. J’avais préféré m’investir dans le combat identitaire et délaisser l’école. Tu vois le résultat.
– Tu vas te ratt****r, l’assurais-je. Tu me semble très intelligente et assez travailleuse pour réussir tes études.
– J’espère bien !
Nous continuâmes ainsi, jusqu’au moment où je payai l’adition et qu’il fallu quitter le restaurant. Zohra intervint pour dire que la nuit était si belle, qu’elle voulait ne pas s’arrêter là et la poursuivre ailleurs.
– Ou voulez-vous aller lui dis-je, hypocritement. Soumia ne voudra certainement pas qu’on aille chez moi prendre un dernier pot et poursuivre la discussion que nous avons commencée au restaurant. Il me semble, dis-je, en regardant Soumia droit dans les yeux, avec un sourire que je voulais charmeur, que tu as encore plein de choses à nous apprendre à Zohra et à moi ! Ce serait dommage de s’arrêter la. Et puis demain c’est le début du week-end, on peut se permettre de veiller un peu plus tard. Et si vous ne voulez pas passer la nuit chez moi, je promets de vous ramener chez vous à l’heure que vous voudrez.
C’est Zohra qui prit la parole pour convaincre Soumia, hésitante, à finir la soirée chez moi. Nous montâmes donc en voiture, Zohra devant et Soumia sur le siège arrière et tout en parlant de choses et d’autres – Soumia et moi, surtout, Zohra étant complètement et volontairement larguée – nous arrivâmes rapidement au parking de l’immeuble que j’habitais sur les hauteurs d’Alger. Je pris la main de Zohra dans ma main droite et celle de Soumia, qui eut une légère hésitation avant de l’abandonner, dans ma main gauche. Le contact de sa main me donna chaud au cœur : elle était en même temps très ferme et très douce. Je la serrai doucement et me forçai à ne pas commencer à la caresser de peur qu’elle prenne peur et se ferme.
Nous montâmes dans l’ascenseur, toujours en tenant les mains des filles. Je commençai par déposer un très léger baiser sur le dos de la main de Zohra, qui gloussa de plaisir et je regardai Soumia avec des yeux interrogateurs pour savoir si elle accepterait que j’embrasse sa main, elle aussi. Elle eut un petit sourire timide et remonta sa main, toujours enfermée dans la mienne, vers mes lèvres. Le baiser que j’y déposais était plus appuyé que celui que je donnais, quelques secondes plus tôt à Zohra. Soumia s’en rendit compte, mais ne protesta pas. Au contraire, elle serra plus fort ma main, comme pour me faire comprendre qu’elle avait aimé. Je lâchai la main de Zohra pour prendre les clés de la maison dans la poche droite de ma veste, tout en gardant celle de Soumia fermement serrée dans ma main gauche. J’étais bien ; je sentais la main de la jeune fille qui voulait entreprendre discrètement une caresse et desserrais l’étreinte pour la laisser faire. Cette caresse, que Zohra qui nous avait devancé et était maintenant entrée dans l’appartement, fit semblant de ne pas avoir vue, avait réveillé mon désir pour cette fille. Je sentais des picotements dans le bas de mon ventre et mon sexe qui commençait à donner signe de vie.
Je ne voulus pas lâcher la main de Soumia, même quand nous étions tous à l’intérieur de l’appartement et même quand Zohra, qui connaissait les lieux, avait proposé de préparer un thé au citron. Je m’empressais d’accepter et, toujours en la tenant par la main, j’amenais Soumia jusqu’au grand sofa qui trônait au fond du salon. Je la fis assoir et m’assis moi-même à sa droite. Je la regardai dans les yeux avec un sourire tendre et presque timide, je portai une nouvelle fois sa main à ma bouche. Cette fois ci je lui déposai un baiser chaud et insistant sur la paume de la main. Elle eut un petit rire, comme si je l’avais chatouillée, retira sa main de la mienne. Je pensais qu’elle refusait mes attouchements. Au contraire ! A ma grande joie, elle porta sa main à mon visage et se mit à le caresser, en me regardant avec douceur. Elle avait toujours sur les lèvres son sourire timide et attendrissant.
Je n’ai pas pu me retenir de prendre son visage entre mes mains, de la regarder tendrement et de l’embrasser sur la bouche. Un petit baiser de rein du tout, mes lèvres ayant simplement frôlé les siennes, mais qu’elle accepta de me rendre en passant ses mains derrière ma nuque et en m’attirant très fort contre sa bouche. Je croyais rêver ! Je m’attendais à ce que Soumia, la très prude Soumia comme me l’avait présentée Zohra, résiste pendant longtemps à mes assauts. Je pensais même qu’il m’aurait fallu plusieurs jours, simplement pour pouvoir l’embrasser, et voila qu’elle cède sans résister, ni même protester. J’étais heureux et profitais de l’occasion pour lui appliquer un long baiser torride et mouillé qui devait être le début d’un long chemin vers l’orgasme et la jouissance qui l’accompagne.
Nous échangeâmes un long baiser qui nous amena au bord de l’asphyxie. Un de ces baisers où mes lèvres étaient soudées aux siennes, où nos dents s’entrechoquaient et où ma langue pénétrait dans sa bouche pour chercher et défier la sienne et pour ramasser et boire nos salives mélangées. Elle accepta le baiser, un peu maladroitement au début, ne sachant pas trop quoi faire avec sa langue, puis se prenant au jeu, elle entama un duel épique avec ma langue, entrant et sortant dans ma bouche en léchant les parois internes, pour recueillir le plus de salive possible. Elle semblait aimer le goût de ma salive et en but à satiété. Comme moi je faisais avec sa salive. Au bout d’une éternité, nous nous séparâmes à contre cœur pour reprendre notre respiration. Je la gardai serrée contre moi, pour ne pas avoir à affronter son regard et à avoir à m’expliquer. Elle se blottit encore plus dans mes bras, en ronronnant comme un chat. Je lui caressai doucement la nuque, retardant au maximum, le moment où elle s’éloignerait de moi et où je devrais lui expliquer ce qui venait de se passer entre nous.
Elle devait elle-même être dans les mêmes dispositions d’esprit et resta longtemps blottie entre mes bras, sans donner de signe de vouloir s’en éloigner. Nous ne nous séparâmes que quand Zohra revint avec les bras chargés d’un plateau contenant une grande théière fumante et dégageant un agréable parfum de menthe et de citron et trois verres à thé, qu’elle posa le tout sur la table basse et qu’elle s’écria, d’une voix moqueuse :
– Déjà ! Alors vous vous êtes des rapides. ! Je n’ai pas le dos tourné plus de cinq minutes que déjà vous en êtes à vous embrasser et vous trémousser l’un contre l’autre !
Soumia était comme une petite fille prise entrain de voler la confiture de sa grand-mère. Elle était gênée et ne savait quoi dire. Elle semblait avoir oublié jusqu’à la présence de Zohra. Ce n’était que quand elle est revenue de la cuisine qu’elle s’était rappelée de son existence.
– Elle est vraiment merveilleuse ! Dis-je à l’adresse de Zohra, comme pour détendre l’atmosphère, qui en fait n’avait nullement besoin de l’être.
Je repris Soumia dans mes bras et me remit à lui caresser la nuque et les cheveux. Elle s’enfonça encore plus contre ma poitrine, comme pour échapper aux reproches de son amie. Celle-ci saisit l’occasion pour enfoncer le clou et donner sa bénédiction à ce qui était entrain de se passer.
– Je crois que c’est ce qui pouvait arriver de mieux. Soumia ne connait absolument rien de l’amour et elle vient de le rencontrer chez un homme mûr, beau et viril. En lui faisant l’amour tu lui feras découvrir le désir, la sensualité et le plaisir. Je croyais qu’elle voulait absolument rester vierge et ne s’offrir qu’à l’homme qui l’épousera.
– Oui, c’est bien cela ! Répliqua Soumia qui quitta soudain mes bras pour faire face à Zohra. Oui je tiens absolument à rester vierge ! Je ne vais pas offrir ma virginité à Rafik. Sauf s’il m’épouse. Mais il me plait tellement que j’ai envie de rester blottie dans ses bras à sentir ses caresses et ses baisers et à sentir le désir m’envahir. En fait j’ai tellement envie de lui que ma culotte en est toute mouillée !
– Laisse-toi faire, ma chérie, tu verras comme c’est bon de faire l’amour ! Tu verras comme Rafik est un super coup ! Tu verras ce que c’est d’être heureuse !
– Oui, je veux, mais j’ai peur de perdre ma virginité ! Mon père me tuera s’il apprenait que je ne suis plus vierge ! Et puis, ta présence me gêne ! Je sais que tu es la maîtresse de Rafik ! On ne va quand même pas se le partager !
– Pourquoi pas ! Ne soit pas vieux jeu ! Moi aussi, il me plait et j’aime faire l’amour avec lui ! Il me satisfait pleinement ! J’aimerai le garder et jouir sous ses coups de boutoir ! Tu sais ce qu’on va faire !
– …
– Je vous laisse ensemble et m’en vais prendre un bain ! Faîte l’amour comme vous l’entendez et si tu tiens encore à rester vierge et hésite à lui offrir ta fleur, je viendrai te remplacer pour le faire jouir dans ma chatte. J’en profiterai pour prendre moi aussi du plaisir. Qu’en penses-tu ?
– …
Soumia, qui me regardait, sans trop savoir quoi faire, ne répondit pas à la question de Zohra. Celle-ci interpréta ce silence comme une réponse positive et alla prendre son bain, nous laissant seuls, un peu perdus. Zohra avait décidé pour nous. Je repris Soumia dans mes bras, la souleva et l’amena, sans qu’elle ne se débatte, ni ne rouspète, dans la chambre à coucher où trônait un grand lit à baldaquin. Je la déposai sur le bord du lit, m’assit à côté d’elle et lui dit :
– Tu es une superbe fille ! J’ai vraiment envie de toi ! Je te promets de ne te faire aucun mal et de ne pas te dépuceler, tant que tu ne me le demanderas pas toi-même. Nous ferons ce que tu voudras. Je vais te donner du plaisir et te faire atteindre le sommet de l’orgasme, sans te pénétrer et sans te déchirer.
– C’est vrai ? Tu le jures ? J’ai vraiment peur du scandale qui retombera sur mes parents si je ne suis plus vierge la nuit de mes noces.
– Ne t’en fait pas pour cela ! Laisse-moi te déshabiller !
J’entrepris, tout en lui appliquant un baiser torride et mouillé sur la bouche, de dégrafer fébrilement les boutons de son chemisier bleu-clair en coton fin. J’introduisis une main sous le chemisier, complètement ouvert, et entreprit de saisir son sein droit sous le bonnet de son soutien gorge. Quelle sensation pour ma main ! Quelle douceur ! Quelle fermeté ! J’arrêtai le baiser pour regarder cette poitrine que j’avais eu à admirer hier dans une vidéo volée. Une merveille ! Je remontai le soutien gorge pour libérer les deux seins et les caresser. De la soie ! Ils étaient blancs comme tout le reste de son corps, avec des tétons marron entourés d’une large auréole plus foncée.
Je pris un de ses tétons entre trois doigts et me mis à le palper et à enrouler mes doigts tout autour. Cela lui plut beaucoup et elle plaqua ma main contre son sein pour qu’elle continue ce qu’elle lui faisait et alla à la recherche de mon autre main pour qu’elle s’occupe de l’autre sein. Elle pâmait de plaisir. Elle ne disait rien. Elle avait la bouche entrouverte, les lèvres sèches et le bout de la langue qui sortait de temps en temps pour venir les humecter. Elle avait la respiration bruyante et rapide. Elle se mit même à gémir et à prononcer des mots incompréhensible, parce qu’à peine formés. C’était comme si elle voulait dire qu’elle aimait ce que je lui faisais, mais qu’elle ne trouvait pas les mots. Ses gémissements me suffisaient pour comprendre son plaisir.
J’enlevai ma main droite de son sein pour immédiatement la remplacer par ma bouche. Je me mis à sucer et téter, mordillant au passage le téton, qu’elle avait très sensible. Elle pressait ma nuque avec sa main gauche pour que je continue de la téter ainsi et de son autre main elle maintenait ma main droite qui caressait et palpait le téton de son sein droit. Je sentais sa respiration qui s’accélérait et ses gémissements qui devenaient de plus en plus sonores et rauques. Au bout d’un moment je relevais la tête pour la regarder prendre du plaisir. Elle avait fermé les yeux et semblait perdue dans sa jouissance. Elle ouvrit légèrement les yeux pour me regarder et me faire un petit sourire coquin me demandant de continuer de lui donner du plaisir.
Je la relevai un peu pour passer ma main dans son dos et lui dégrafer le soutien gorge, le lui ôter ainsi que son chemisier. Elle resta ainsi torse nu, les seins fièrement tendus vers l’avant, belle comme un soleil ! Je l’embrassai sur la bouche, les joues, les yeux, le cou, la gorge et descendit petit à petit vers son ventre, son nombril et le haut de son pantalon. Elle gémissait de plus belle à mes baisers sur tout le haut de son corps. Je tendis la main vers le bouton qui fermait le haut de son pantalon et le dégrafai. J’en fis de même pour le deuxième bouton. Le pantalon était assez ouvert pour laisser pénétrer ma main vers son bas ventre et son pubis bombé, ferme et doux comme de la soie.
Les muscles de ma belle se tendirent comme les cordes d’un arc quand elle sentit la menace de ma main sur le haut de sa chatte : elle avait peur et en même temps espérait le contact de mes doigts sur les grandes lèvres de son sexe. Je ressortis ma main et me mit à dégrafer totalement la braguette de pantalon et à lui soulever le bassin pour que je puisse le lui enlever. Elle se laissa faire et m’aida même à faire descendre le pantalon sur ses cuisses en gigotant des fesses et en utilisant ses mains pour l’enlever totalement et le jeter au bas du lit. Elle resta ainsi, vêtue de sa seule culotte. Elle était belle à croquer. Je le lui dis.
– Qu’est-ce que tu attends pour croquer ! fit-elle avec un sourire coquin et provoquant.
Elle m‘invitait ainsi à m’occuper de sa chatte ; ce que ne me fis pas prier de faire. Je descendis au bas du lit pour pouvoir avoir accès à ses cuisses et à son entrecuisse. Ma main droite alla lui caresser l’intérieur du genou droit et remonta lentement vers la naissance de la cuisse. Je sentais ma belle se crisper un peu en se mettant à l’écoute de cette caresse qui approchait dangereusement de son intimité. Elle refermait insensiblement les cuisses, comme pour empêcher ma main de remonter plus haut. J’exerçai une pression plus forte pour lui faire comprendre que je voulais qu’elle ouvre ses cuisses et me laisse les caresser pour lui donner du plaisir. Elle les ouvrit de plus en plus largement, au fur et à mesure que ma main montait vers son entrecuisse et que je lui susurrai de ne pas s’inquiéter, que j’allai lui donner du plaisir en la caressant et en lui suçant la chatte.
– Tu veux me sucer la chatte ? Dit-elle comme si cette simple idée venait de lui faire découvrir de nouveaux horizons.
– Oui, je vais te faire jouir, uniquement avec ma bouche et ma langue. Tu verras combien c’est bon et combien tu aimeras ! Une fois que tu auras joui comme cela, tu ne pourras plus t’en passer.
– Alors suce-moi la chatte !
Je me plaçais entre se jambes, les lui fit écarter le plus large possible et lui fit remonter ses cuisses jusqu’à les poser sur son ventre et sa poitrine. J’avais ainsi une vue imprenable sur les fesses et l’entrejambe de ma belle. J’avais oublié de lui enlever sa petite culotte et me demandai un instant si j’allai la lui arracher ou si j’allai me contenter de dénuder sa chatte en écartant simplement le bas de la culotte. Finalement j’optai pour cette deuxième solution, en me disant qu’en cas de besoin je la déchirerai.
J’écartai donc le bas de la culotte et découvrit, émerveillé, ce que je n’avais pu voir dans la vidéo de Zohra. Une superbe chatte complètement épilée, aux grandes lèvres de couleur mate, longue et ourlées. J’entrouvris les grandes lèvres avec le bout de mes doigts et découvrit le paradis : des petites lèvres palpitantes, de couleur rouge vif, brillantes de mouille, donnant accès à un tout petit clitoris raide de désir gardant l’entrée d’un vagin étroit et sombre. Je bandais comme un âne. Je voulais cette chatte ; je voulais la pénétrer ; je voulais l’éclater. Je ne me retins de le faire qu’en voyant le regard suppliant de ma belle qui avait deviné le désir que j’avais de la pénétrer.
Je me retins donc et plongeai ma tête entre les cuisses largement ouverte de Soumia et, à travers l’écartement de la culotte que je maintenais avec la main gauche, posai ma bouche sur les grandes lèvres et me mis à les embrasser comme j’aurai embrassé sa bouche. Elle se mit à gigoter et à gémir en appuyant sa main sur ma nuque, pour que je garde la position. Avec deux doigts j’écartai les grandes lèvres et sortit la langue pour lui lécher les petites lèvres et lui titiller le clitoris. Elle aimait et me le faisait sentir en soulevant son bassin pour mieux coller ma bouche sur sa chatte et pour que ma langue qui fouillait dans son vagin, aille le plus loin possible.
Elle avait refermé les cuisses sur ma tête et bougeait maintenant ses hanches au rythme des allées et venues de mes lèvres et de ma langue à l’intérieur des grandes et petites lèvres. Je léchais, suçais et buvais le jus qu’elle produisait en quantité avec jubilation. A travers ses cuisses collées à mes oreilles, je l’entendais gémir de plus en plus fort et se mettre à dire des mots d’abord incompréhensibles, puis de plus en plus audibles et terriblement excitants :
– Vas-y, bouffe-moi la chatte ! C’est merveilleux ! Je suis entrain de monter au ciel ! Je sens que je ne vais pas tarder à jouir ! Je vais décharger dans ta bouche ! Tu vas boire mon jus ! Bois mon jus ! Dis-moi que c’est bon ! Ça y est ! Ça vient ! Je vais jouir, je vais jouir ! Je jouiiiiis !
Elle releva un plus ses hanche, écarta ses cuisses, attrapa ma tête à deux main et appuya sur elle en l’obligeant à bouger de plus en plus vite sur sa chatte. Puis elle éclata dans un long râle de jouissance, puissant et sonore, en déchargeant des litres de jus dans ma bouche.
– Bois ! Bois ! Bois ! B… !
Puis elle s’affala, fourbue et heureuse sur le lit, appuyant toujours sur ma tête pour qu’elle reste sur sa chatte. Je repris petit à petit mon souffle, et levai la tête pour regarder Soumia heureuse d’avoir joui autant et d’être encore vierge.
– Merci ! Merci ! Merci de m’avoir fait jouir autant et de ne pas en avoir profité pour me déchirer !
– Ce n’est pas l’envie qui m’en avait manqué. Ta chatte est tellement accueillante qu’il est impossible de ne pas vouloir y faire son nid. Moi aussi j’ai besoin de décharger et de jouir. Tu vas me faire la même chose. Tu vas e faire jouir ave ta bouche !
– Mais je ne sais pas comment m’y prendre ! Je n’ai jamais fait cela !
– Je vais t’appendre ! Viens mets toi à genoux devant moi ! Voila, comme cela ; dégrafe mon pantalon ; sorts l’engin de son nid ! Tu vois comme il t’aime, comme il a envie de toi ! Tu vois comme il est gros et grand ! Lèche-le ! Voila comme cela ! Lèche-le sur toute sa longueur ! Caresse mes couilles en même temps ! Ouvre la bouche et desserre les dents ! Fais-le pénétrer à l’intérieur ! Comme cela ! Attention à ne pas le mordre ! Aie, tu m’as mordue ! Recommence, laisse-le aller au fond de ta gorge ; comme cela doucement ; arrête un peu pour laisser ta bouche et ta gorge s’habituer ! Vas-y enfonce-le !
Soumia faisait exactement tout ce que je lui disais de faire. Mais au moment où le gland de mon sexe avait atteint la glotte, elle eut un réflexe de rejet et sortit l’engin de sa bouche et cracha pour se libérer de la forte envie de vomir. Elle me regarda avec des yeux apeurés, comme si elle avait peur d’une punition.
– Ce n’est rien, ma chérie. Tu n’es pas encore habituée. Ça viendra rapidement, tu verras !
– Laisse-moi lui montrer ! dit une voix derrière moi.
Nous sursautâmes, Soumia et moi ; nous avions oublié la présence de Zohra qui était allé prendre un bain et qui était revenue dans la chambre. Elle devait être là depuis longtemps et avait assisté à ce début de fellation plutôt raté. Elle était toute nue dans une grande sortie de bain, que fermait une simple ceinture en tissu éponge. Elle nous regardait aves ses grands yeux moqueurs et sans autre forme de procès, vint se mettre à la place de Soumia qu’elle poussa de manière à se mettre à côté d’elle.
– Chérie, regarde comment il faut sucer un homme et le faire jouir comme une bête !
Elle prit mon engin avec une main, ouvrit largement la bouche et l’avala d’une seule traite. Il se retrouva immédiatement au fond de sa gorge et en s’aidant de sa main droite pour masturber la partie qui était à l’extérieur et de sa main gauche pour caresser les testicules, elle mena un va-et-vient d’enfer qui me fit immédiatement gémir de plaisir. Soumia regardait, étonnée et admirative en même temps. Elle regardait sa copine s’échiner sur mon immense sexe, raide comme un mat de tente, qu’elle voyait entrer et sortir de sa bouche, sans qu’elle donne l’impression d’une quelconque gêne et levait les yeux sur moi pour voir le plaisir m’envahir et la jouissance monter et éclater comme un volcan. Je déchargeai une tonne de sperme visqueux, épais et brulant que Zohra avala en partie et dont le reste vint se loger sur sa poitrine et son visage. Elle regarda Soumia dans les yeux, lui fit un grand sourire et lui dit :
– Tu as vu comme c’est simple de faire jouir un homme uniquement avec la bouche. Tu peux aussi le faire jouir, et jouir toi-même avec le cul en le laissant te sodomiser ou en l’incitant à le faire. Si tu veux, je t’apprendrais. Tu peux ainsi garder ta virginité de devant, tout en ayant des orgasmes et des jouissances de vraie femme. Et puis le jour où tu le décideras, tu lui offriras ta fleur, comme gage de ton immense amour pour lui.
Tout en parlant, elle étalait sur ses seins le sperme qu’elle avait reçu sur la poitrine et portait de temps en temps ses doigts à sa langue pour les lécher. Elle regardait Soumia qui suivait tous ses gestes avec attention. Elle ramassa un peu de sperme qu’elle avait sur le visage et se mit à l’étaler sur la merveilleuse poitrine de Soumia. Elle eut un petit geste de recul mais se reprit très vite laissant son amie enduire ses seins de foutre. Elle se prit au jeu et alla elle-même en recueillir sur le visage de Zohra et s’en enduire les tétons.
Zohra comprit très vite qu’elle venait de gagner la partie et rapidement voulut en profiter. Elle approcha sa bouche des seins de Soumia et se mit à les lécher, apparemment pour boire le sperme qui s’y trouvait, mais aussi et surtout pour caresser la fille qui la faisait tellement bander. Soumia se laissai faire et alla elle aussi lécher la poitrine et les seins de sa partenaire. Elle vit tout de suite le résultat sur Zohra qui se mit à gémir et à presser la tête de la fille sur sa poitrine et d’une autre main à lui caresser les seins. Je ne sus pas combien de temps, il fallut à Soumia pour apprécier les attouchements de son amie. Mais tout se passa très vite et au bout de très peu de temps, Zora se retrouva entrain d’embrasser la fille partout sur son corps, sa bouche ses seins et…sa chatte, dont elle s’occupa aussi bien que moi. Soumia eut un puissant orgasme qui me rendit jaloux.
Elles me regardèrent toutes les deux : Zohra avec des yeux provocateurs, fière d’avoir triomphée ; Soumia avec un petit sourire craintif, ayant peur de ma réaction. Elle pensait que je devais être furieux qu’elle se soit donnée à une femme et qu’elle ait autant joui. Je vins m’allonger près d’elle pour l’enlacer et lui dire à l’oreille qu’elle était merveilleuse et que j’étais heureux de découvrir en elle une femme qui aimait le plaisir du sexe.
– Bienvenue dans le monde de l’érotisme ! Lui dis-je en l’embrasant.
Nous continuâmes notre ménage à trois, qui dure jusqu’à aujourd’hui. Soumia mit beaucoup de temps pour m’offrir sa fleur pour que je fasse d’elle une vraie femme. Entretemps, elle suivit les conseils de Zohra, son autre amour, et m’invita un jour à la sodomiser pour que je pénètre en elle et fasse connaissance avec ses entrailles. J’ai beaucoup aimé ses entrailles et continue aujourd’hui encore à jouir de son merveilleux cul, en plus de sa chatte qu’elle avait finir par m’offrir une nuit où elle s’était disputée avec Zohra et que celle-ci l’avait traitée de « vierge ! ».

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