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Adultère au séminaire – 4

Adultère au séminaire – 4



On pourrait croire qu’avec un tel régime, nous n’avions ni le besoin ni l’envie d’aller dîner.
Et bien je peux vous dire que les histoires de vivre d’amour et d’eau fraîche c’est rien que des c…
L’amour ça donne faim.
Donc, après une heure de câlins où, allongés l’un à côté de l’autre, nous nous sommes longuement flattés l’épiderme, nous avons cédé au rituel d’une douche rapide et nous sommes préparés pour sortir.
Une fois de plus, Caroline m’époustoufla en se parant d’une tenue que je n’avais encore pas vue.
A croire qu’elle savait depuis le début que nous resterions plus longtemps que prévu. Ah ! mais j’oubliais : c’est une femme : une femme prévoit toujours deux fois plus de bagages qu’il n’en faut !
Cela dit, elle était vraiment sublime dans cette robe ivoire au décolleté affolant.
Comme moi je n’avais pas été prévoyant, j’essayais d’éviter de ressembler à un clochard à ses côtés ; au mieux, on me prendrait pour un universitaire ne prêtant pas beaucoup d’attention à son apparence.

Dehors, la neige commençait à tenir au sol.
Au restaurant, Caroline eut, comme à son habitude, un beau succès au vu des regards appréciateurs des convives masculins déjà installés.
Pour fêter ce dernier repas imprévu, nous avons décidé de boire un peu de bon vin. Le sommelier eut beaucoup de mal à se concentrer sur sa carte, apparemment, ses coteaux AOC avaient soudain beaucoup moins d’attrait que les collines de ma partenaire.
Notre discussion fut gaie et animée, le rire cristallin de Caroline attirant souvent des coups d’œil intéressés du groupe d’hommes installés à la table voisine, peut-être des assureurs.
Notre jeune serveuse avait, elle aussi, un physique très avenant et alors que je suivais du regard sa croupe ondulante qui s’éloignait, Caroline m’interpella :
« – Dis donc, tu ne t’arrêtes jamais toi ! »
C’est qu’elle jouait la jalouse ! Je contre-attaquais :
« – Et toi ? Tu crois peut-être que je n’ai pas vu ton petit jeu avec le sommelier ? Tu te penchais tellement en avant qu’il a dû avoir le vertige. »
Nous avons éclaté de rire. Une vraie caricature de dispute conjugale !
A la fin du repas, Caro s’éclipsa pour soulager sa vessie. Elle fut aussitôt suivie par un des convives voisins.
Trois minutes plus tard, celui-ci revint en premier, les joues roses et me jeta un regard furieux en passant à ma hauteur. Ma compagne me retrouva juste après, elle avait le sourire jusqu’au oreilles.
« – Qu’est-ce qu’il se passe ? » demandai-je
« – Oh rien ! Disons que ces messieurs m’ont reconnu comme étant la fille qui allumait tout le monde au club, l’autre jour. Ils ont envoyé un éclaireur dans les toilettes pour savoir si, ce soir, j’étais dans les mêmes dispositions : on a d’abord discuté gentiment devant les lavabos mais quand il a voulu vérifier par lui-même si j’avais une culotte, je lui ai envoyé un aller-retour. Je pense que ça va refroidir l’ambiance de la table d’à côté. »

Bien au contraire, l’audacieux peloteur était visiblement la risée de ses congénères.
« – Au fait ! Il n’a pas été très doux en me mettant la main aux fesses, il a dû me faire mal aux lombaires je crois que je vais avoir besoin d’un bon massage. Il te reste de l’huile, non ? »
« – Oh le prétexte foireux ! Tu es une petite futée toi ! T’es sûre que t’es une vraie blonde ? »
« – Il me semble que tu as eu tout le loisir de le vérifier cet après-midi, non ? »
« – Si, si. Mais ne t’inquiètes pas, c’est toujours un plaisir de m’occuper de ton fabuleux petit corps. »
C’est alors que nous nous sommes aperçu que la serveuse s’était approchée pour nous desservir et, au vu de la couleur de ses joues, elle n’avait pas perdu une miette de notre dernier échange.
Ne se démontant pas, Caroline renchérit en s’adressant à la timide salariée :
« – Sans blague, c’est vrai, non seulement ce mec est un super coup mais en plus il masse comme un dieu. D’ailleurs, si ça vous dit, vu comme il vous regarde, je suis sûre qu’il serait partant pour s’occuper de vous. Je suis certaine que vous devez avoir mal au dos à être toujours debout comme ça ? »
La pauvre ne savait plus où se mettre :
« – Euh oui, euh non, j’sais pas » et elle se sauva en laissant la moitié des couverts sur la table.
« – T’es une vraie garce quand tu veux toi ! Allez on va payer avant de se faire jeter pour attentat à la pudeur. »

De retour dans la chambre, chose promis chose du, je cherchais l’huile de massage pendant que Caroline entreprenait de se déshabiller. Ce qui fut très rapidement exécuté : elle fit tomber ses bretelles le long de ses épaules, le reste de la robe suivit, glissa sur ses hanches et elle se retrouva complètement nue debout devant moi. Elle n’avait rien en dessous !
« – Euh ! A mon avis, si le gars du restaurant t’a bien peloté les fesses, il a dû remarquer que tu n’avais pas de culotte. »
« – Je ne sais pas mais ne t’inquiètes pas. S’il avait insisté, ses couilles se seraient jetées sur mon genou. » me répondit-elle en m’enlaçant puis en m’embrassant. « Par contre, c’est dommage que toi, tu ne t’en sois pas rendu compte, ça aurait pimenté notre repas. » Cette fille était insatiable.
Pendant que je me mettais moi aussi à l’aise, elle déambula à poil dans la chambre, semblant y prendre un réel plaisir. Puis, par la fenêtre, elle regarda les lumières de la nuit, à l’extérieur, sans se soucier d’être vue en retour.
« – Tu as un coté exhibi très prononcé quand même » lui fis-je remarquer.
« – Marc n’aime pas que je me balade toute nue dans la maison. Alors ici j’en profite puisque tu as l’air d’apprécier. »
« – C’est clair. Seulement là, il n’y a pas que moi qui apprécie, il y a toute la rue dehors ! »
« – Y a personne, et de toute façon, ce qui est joli est fait pour être regardé, non ? »
« – Alors là, tu prêches un convaincu ! Allez ! En position ! Que je puisse regarder de plus prés ton magnifique postérieur ! »

Elle s’installa comme lors du dernier massage à la différence notable que cette fois, aucun morceau de tissu ne s’opposait plus ni à ma vue ni au massage complet.
Je ne gardai qu’un T-shirt sur moi et me mis à califourchon sur ses cuisses. Après avoir réchauffé le flacon dans mes mains, je versai un filet d’huile tout le long de sa colonne vertébrale et commençai mon office.
Dés le début, elle ronronna comme une chatte.
« – hmmm ! C’est fou c’que c’est bon ! Il va vraiment falloir que tu donnes des cours à Marc. »
« – Euh Ouais ; Je te laisse le soin de lui expliquer dans quelles circonstances tu t’es déshabillée devant ton collègue de bureau pour te faire masser de la nuque jusqu’aux fesses. »
« – Tu penses qu’il ne croirait pas que cela s’est fait en tout bien tout honneur ? »
« – Attends, je me mets à sa place : bien sûr que non ! »
Pendant que je parlais, mes mains s’activaient sur son dos huilé. Etant placé plus bas que mardi soir, à chaque fois que je massais sa nuque, ses omoplates ou le haut de son dos, je devais m’étendre ce qui faisait frotter mon service trois pièces contre ses petites fesses. Evidemment, au bout de quelques allers-retours de ce genre, je ne pus contenir une érection naissante.
Bien que je ne négligeais aucune partie de son dos, je dois admettre que l’absence de petite culotte avait tendance à attirer mes mains vers ses muscles fessiers comme un aimant. Avec un plaisir non feint, je pétrissais ses fesses et ses cuisses pour revenir plus tard sur le bas du dos, les reins, les côtes, les omoplates, la nuque puis je redescendais le long de la colonne, jusqu’au coccyx, la raie des fesses et recommençais le cycle sans relâche.
Caroline semblait apprécier tout autant que la première fois mais l’exprimait encore plus. Elle ronronnait, gémissait à chaque manipulation.
Au bout d’un moment, l’absence de culotte me permit aussi de confirmer ce que j’avais pressenti l’autre soir : elle avait glissé une main sous elle et, de ma position dominante, je pouvais de temps en temps apercevoir, au hasard d’une fesse écartée par le massage, deux petits doigts s’occupant tendrement de son clito et plongeant parfois dans la moiteur de son intimité.
« – Je vois que madame se donne plaisir »
« – Hmmmm, y a pas de mal à se faire du bien »
« – Tout à fait d’accord ! »
Elle se cambrait déjà. A ce rythme elle prendrait son pied façon record du monde.

A force de regarder son petit cul se trémousser sous mes mains j’eus soudain envie de lui faire découvrir des sensations qu’à mots couverts, elle avait dit ne jamais avoir connues.
Je concentrai mon action sur ses fesses en prenant soin de bien les écarter et je fis courir mes doigts sur sa petite raie jusqu’à l’orifice brun-rose sur lequel j’accentuai le massage. Après un premier tressautement, elle se laissa faire et parut même apprécier au son des grognements qu’elle émit.
J’accentuai la pression et réussis à y faire pénétrer le début de mon majeur parfaitement lubrifié par l’huile de massage. Elle se crispa alors et bascula son bassin dans le sens inverse.
« – Oooh ! Qu’est-ce que tu fais ? »
« – J’explore de nouvelles contrées ; tu veux que j’arrête ? »
« – Euh, je sais pas, non je crois pas. Mais doucement hein ? J’ai pas l’habitude »
« – T’inquiètes pas ! Tout en douceur mais détends-toi » Ce qu’elle essaya de faire.
Je continuai donc à enfoncer et très lentement mon doigt dans son petit trou virginal pendant qu’elle poussait de petits cris où se mêlaient plaisir et anxiété.
Arrivé au bout, je me mis à faire des va-et-vient d’abord lents puis un peu plus vifs et elle parut énormément apprécier l’expérience.
Encouragé par sa réaction, je poussais un peu plus loin le test en insérant un deuxième doigt. L’orifice était tellement lubrifié que cela se fit sans difficulté et elle approuva mon initiative d’un « Oh ouiiii ! ! » des plus convaincants.
Pendant que son index et son majeur s’activaient dans son puits aux délices, les miens faisaient de même dans son petit trou de plus en plus dilaté, si bien qu’elle ne se rendit même pas compte que mon annulaire avait rejoint ses copains.
C’était pour moi le moment de conclure la phase préliminaire. Je retirai précautionneusement mes doigts et présentai ma lance impatiente d’entrer dans la danse et, par la même occasion, dans son petit cul.
Je mis mon sexe huilé dans l’axe et poussai sur le sphincter qui n’avait pas eu le temps de se resserrer.
Elle poussa un cri plus fort que les autres :
« – Ooooh nooon ! Non ! Non ! C’est trop gros ! Ca va pas passeeer ! Aaaaaah ! »
En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, mon gland avait franchi l’obstacle et Caroline avait refoulé sa peur primaire :
« – Ca va c’est bon ! Vas-y ! Encore ! »
Je continuai donc à m’enfoncer l’entement dans son rectum en faisant de petits retours en arrière pour améliorer la lubrification du conduit jusqu’alors inviolé.
« – Oh putain ! C’est bon ! Vas-y défonces-moi ! »
C’est étonnant comment le fait de passer par derrière lui faisait tout d’un coup crier des grossièretés, elle dont le langage était plutôt tendre d’habitude ; Comme si le fait d’avoir enfoncé (au propre comme au figuré) un tabou libérait d’autres barrières.
J’allais de plus en plus loin, de plus en plus vite. Elle ne criait plus, elle semblait en apnée, la tête dans l’oreiller.
Je sentais ses doigts s’agiter frénétiquement sur son clito et ses reins pris de soubresauts incontrôlés.
Son excitation m’excita à un si haut point que j’enfonçai les derniers centimètres de ma virilité et j’éjaculai en elle dans un cri rauque, elle m’accompagna d’un hurlement assourdi par l’oreiller.

« – Ouahou ! ! J’en veux encore » dit-elle après que nous aillons repris nos esprits, allongés côte à côte.
« – D’accord mais attend un peu que j’ai rechargé les batteries s’il te plait. Parce que je ne suis plus habitué à ce rythme moi. »
« – En tous cas, voilà encore un truc que tu devrais apprendre à Marc tiens ! »
« – Euh oui ? Je ne suis pas certain qu’il serait partant là. Et je ne suis pas sûr d’être volontaire non plus. »
« – Gros malin ! La technique, pas la pratique ! »
« – Ouais, et comment tu vas lui suggérer ? : Au fait Marc ! Tu sais le collègue qui m’a fait des super massages, et bien pendant le séminaire il m’a aussi fait découvrir la sodomie. C’est pas si mal, si on essayait ? Il pourrait te montrer »
Cela la fit bien rire.

Nous avons poursuivi cette nuit de folie qui m’a fait rajeunir de plusieurs années. J’ai le souvenir flou de corps emmêlés, imbriqués, de petits seins qui bougent dans tous les sens, d’une chevelure dorée décoiffée, de douches embuées, de rires, de cris jusqu’au bout de la nuit.
J’ai l’impression d’avoir, cette nuit-là, revisité plusieurs fois tous les orifices naturels de Caroline.

On a tous vécu l’expérience désagréable et agaçante d’une nuit d’hôtel gâchée par les ébats trop bruyants de nos voisins de chambrée.
Cette nuit là, si vous étiez à l’Hôtel du Centre de Gréoux, les voisins indésirables, c’était nous.

Samedi.

Le jour était levé depuis longtemps quand j’ai ouvert les yeux.
Comme à son habitude, Caroline pressait ses petits seins sur ma poitrine, la tête dans le creux de mon épaule.
Je posai un bisou sur son front et l’écartai pour aller ouvrir les rideaux. J’espérais secrètement qu’un beau manteau de neige recouvrirait la ville et nous empêcherait de reprendre la route.

Un grand soleil brillait derrière les carreaux, pas une seule trace blanche dans la rue. Raté !
Je retournai vers le lit et admirai encore une fois le tableau offert : Caro reposait sur le dos, les bras au dessus de sa tête faisaient remonter ses seins pâles qui n’avaient pas besoin de ça pour se dresser fièrement. Un rayon de soleil horizontal tombait en direct sur le bas de son corps et son triangle d’or resplendissait dans la lumière du matin. Ce véritable appel à l’amour m’aurait poussé à me jeter sur elle mais je n’avais plus vingt ans, des tiraillements dans le bas ventre me rappelaient que j’avais fait des folies de mon corps pendant la nuit et qu’il ne fallait pas trop tirer sur le physique.
Elle avait replié une jambe et l’on pouvait apercevoir sa fleur fragile d’où suintait encore un mélange brillant de sperme et de cyprine. Je glissai une main entre ses cuisses, introduisit deux doigts dans sa petite fente humide tout en posant mes lèvres sur les siennes et je la réveillai ainsi.
« – Bonjour belle inconnue »
« – Hmmm ! Bonjour beau mâle »
« – Bien dormi ? »
« – Pas assez ! »
A genoux, à coté d’elle, je continuai le réveil en douceur en posant mes lèvres son petit nez, ses paupières encore fermées, son front puis descendis dans son cou, et sur sa poitrine pour titiller enfin ses tétons entre mes dents et le bout de ma langue.
« – Hmmm ! J’adore les réveils comme ça ! »
Remontant contre ma jambe, sa main trouva facilement mont appendice pendouillant qu’elle flatta délicatement.
Malgré les excès de la nuit, celui-ci répondit présent assez rapidement et alors que mes lèvres quittaient ses mamelons pour descendre sur son ventre, elle attira mon bassin au-dessus d’elle pour me prendre en bouche.
Enjambant sa tête, je la laissais avaler mon membre maintenant bien formé pendant que, de mon coté, j’atteignais son mont de Vénus.
Sans doute un peu irrité par notre nuit d’enfer, son clitoris réagit à la première stimulation et elle gémit d’entrée.

Nous étions donc lancés dans un 69 bien avancé lorsque quelqu’un frappa à la porte.

Les femmes de ménage dans les hôtels doivent travailler vite. Elles ont l’obligation de nettoyer et ranger chaque chambre dans un temps donné. En général, certaines ne s’entourent donc pas de précautions pour entrer dans les chambres puisque normalement tous les locataires sont censés en être sortis.
Celle qui était en charge de la nôtre ne dérogea pas : elle toqua pour la forme et entra avec son passe sans attendre une éventuelle réponse.
Evidemment, elle nous surprit dans une position fort délicate qui ne laissait pas de doute sur notre activité : Ma tête à peine relevée d’entre les jambes de ma partenaire, je la regardais d’un air ahuri, pendant que Caroline, qui n’avait rien entendu continuait à s’activer sur mon phallus.
Interloquée un instant, elle se reprit et dit très vite :
« – Oh ! Scusez-moi. Reviendrai plus tard. » Et elle tourna les talons en claquant la porte.
Bien qu’elle devait être habituée à parfois surprendre des moments intimes entre clients, là j’étais sûr qu’on allait entrer dans le top 10 des situations scabreuses de l’hôtel et qu’on aurait aussi un beau succès en sortant de la chambre.

En tous cas, la première conséquence de cette intrusion fut de nous couper complètement dans notre élan. Moitié honteux moitié hilares, nous avons interrompus notre contentement réciproque pour nous préparer et partir.
Caroline revêtit une jupe courte mettant en valeur ses fines jambes gainées de nylon. J’allais avoir de quoi flatter mon sens visuel pendant les 800 kilomètres du retour.
Nous avons quitté l’hôtel sous l’œil goguenard de certains employés, le réceptionniste du premier jour m’adressa même un clin d’œil de connivence.

Etape chez le garagiste : la batterie était chargée à bloc. Mon dernier espoir de trouver une bonne excuse pour s’attarder encore s’envolait.
Le patron ne nous fit rien payer, j’imagine que la manière dont il se rinça l’œil sur les gambettes de ma collègue le récompensa suffisamment de nous avoir rendu service. D’ailleurs il se proposa pour venir lui-même nous la réinstaller pour sans doute en profiter un peu plus longtemps. Nous avons accepté de bon cœur.

Nous avons donc pris la route du retour et très rapidement, Caroline s’endormit fatiguée par sa nuit bien courte et bercée par le ronronnement du moteur.

A partir du moment où nous sommes arrivés sur l’autoroute, ma main droite qui n’avait plus à assumer la tâche contraignante du changement de vitesse trouva tout naturellement sa place sur la cuisse gauche de Caroline, place qu’elle ne quitta plus pendant de nombreux kilomètres.
Je faisais aller ma paume de son genou à sa jupe, le toucher électrisé par la caresse du nylon fin sur sa peau douce.
Bien sûr, au bout d’un moment, la surface offerte ne me suffit plus et je glissai ma main sous la jupe et après quelques centimètres, je sentis que le nylon s’arrêtait. La coquine avait enfilé des bas et non un collant. Peut-être voulait-elle affoler son mari en rentrant mais pour l’instant, c’était à moi que cela donnait des idées.
Je continuai donc mes caresses en concentrant mon rayon d’action au-delà de la limite adhésive du bas, tâtant toujours avec délectation, la douceur de sa cuisse.
Je progressai toujours dans mes investigations, m’attendant à rencontrer assez vite le tissu de la petite culotte, quand je tombai directement sur la moiteur de son intimité. Elle n’avait pas mis de culotte.
« – Toujours prêt à profiter d’une occasion de me mettre la main au panier, hein petit cochon ! »
Elle avait encore les yeux fermés mais ne dormait manifestement plus depuis longtemps.
« – T’es à court de petites culottes ? Tu n’en mets plus depuis hier après-midi. »
« – Ne t’inquiètes pas. Elle est dans mon sac à main. Je ne pense pas que Marc aimerait se rendre compte que j’ai fait 800 bornes à tes côtés sans culotte. »
« – Donc tu m’allumes là. »
« – Je commence à te connaître » me dit-elle avec un sourire en coin tout en relevant franchement sa jupe et en écartant les jambes pour donner plus d’aise à mes attouchements.
« – OK, j’ai compris » Et je laissais mes doigts investir son intimité, pénétrer son antre humide, caresser ses lèvres roses.
Elle démarra au quart de tour et le concert de gémissements que je commençais à bien connaître se fit bientôt entendre.
Elle essaya de rendre la position plus confortable en allongeant son dossier puis elle se déchaussa et posa ses pieds de part et d’autre du tableau de bord coté passager. Enfin, pour ôter toute entrave, elle remonta sa jupe sur sa taille.
La main gauche sur le volant, mon regard suivait alternativement la route et les activités de ma main droite occupée sur le triangle pubien de ma co-pilote. Celle-ci, la tête en arrière sur l’appui-tête, les yeux fermés et la bouche ouverte, avait passé une main sous son pull et semblait se caresser les seins pendant que son autre main appuyait sur la mienne, la guidant dans les coins lui procurant le plus de plaisir.
Deux de mes doigts plongeaient dans sa vulve frémissante, en ressortaient tout humides pour aller tourner autour de son bouton électrique puis recommençaient le cycle continu.
Elle se cambrait tellement que par moments, elle se retrouvait dans un équilibre où seuls ses pieds et ses épaules étaient en contact avec l’habitacle.

Evidemment, j’avais considérablement ralenti la vitesse du véhicule afin de ne minimiser les conséquences d’éventuelles erreurs d’attention. Je dépassais malgré tout un des rares camions roulant en ce samedi lorsque je m’aperçus que celui-ci avait progressivement augmenté sa vitesse pour se maintenir à notre hauteur. Je me suis vite rendu compte que le chauffeur devait avoir une vue imprenable sur les jambes nues de ma maîtresse et sans doute aussi sur ce qui se passait sur son entrejambes.
Je prévins Caroline :
« – Attention ! Camion voyeur à droite. »
« – J’m’en fous ! Continue ! » Me répondit-elle dans un cri rageur.
Instinctivement, j’appuyai sur l’accélérateur et en même temps j’accélérai le rythme de mes doigts sur son clitoris pour son plus grand bonheur.
Alors que nous distancions le poids lourd, celui-ci, pour marquer son dépit, lança trois violents coups de Klaxon qui semblèrent précipiter l’orgasme de Caroline car elle rua et cria son plaisir à ce moment précis.

Après avoir repris ses esprits, elle se rajusta en silence.
Ma main avait repris sa place sur sa cuisse mais restait sage dorénavant. Caroline demeura sans rien dire un long moment.
Peut-être prenait-elle conscience, comme moi, que notre escapade touchait à sa fin et que cela resterait sans doute une parenthèse (belle parenthèse !) dans nos vies respectives.
Nos pensées suivaient apparemment des chemins parallèles car alors que nous dépassions un panneau indiquant « PARIS 460 KMS », elle se tourna vers moi avec son petit sourire malicieux et me dit :
« – Il nous reste 460 kilomètres pour en profiter » et elle posa sa main très haut sur ma cuisse, à hauteur de l’aine.
Très vite sa main progressa vers mon entrejambe et y exerça une palpation détaillée.
Avec un tel traitement, je me trouvai rapidement à l’étroit et elle me soulagea en ouvrant ma braguette.
Restant concentré sur la route, je la sentis glisser sa main à l’intérieur.
Comme ses mouvements étaient quelque peu entravés, elle décida derechef d’ouvrir plus grand mon pantalon en s’attaquant à la ceinture. Elle put ainsi glisser sa petite main fraîche dans mon caleçon et en sortir l’objet de sa convoitise qu’elle s’empressa de finir de dresser par un doux massage de bas en haut et réciproquement.
C’était là un de mes fantasmes de masturbation que j’avais déjà réalisé avec ma femme : Rouler à 130 kms/h sur l’autoroute avec la co-pilote qui tient le levier de vitesse.
Evidemment, Caroline ne s’en contenta pas et, desserrant sa ceinture de sécurité, se pencha vers moi et vint gober mon gland pour un début de gâterie très énergique.
Là par contre, c’était un fantasme que ma femme avait refusé de réaliser, trouvant cela trop dangereux.
Ca l’était forcément et je dus réduire énormément ma vitesse pour éviter tout écart de conduite trop brusque.
Caro, elle, n’avait pas réduit le rythme et je dus me rendre à l’évidence que je n’allais pas pouvoir continuer comme ça longtemps.
Afin d’éviter de nous retrouver dans le fossé comme deux vedettes de la télé dans les années 80, je décidai donc de nous arrêter à la première aire de repos sur notre route.

Je garai la voiture à l’écart des autres véhicules, tout au bout de l’aire de repos, reculai mon siège et goûtai le plaisir que me procurait la chevelure blonde allant et venant sur mon membre dressé.
Je ne la laissai cependant pas aller jusqu’au bout ; j’eus la soudaine envie de la pénétrer une dernière fois.
Je la relevai doucement pour l’embrasser tout en glissant à nouveau ma main entre ses cuisses.
Après avoir décroché nos ceintures de sécurité, je pris le dessus en la basculant sur son siège incliné.
Me débattant avec le levier de vitesse, je réussis à descendre mon pantalon jusqu’à mes chevilles puis sa jupe retrouva la place que je lui préférais : sur sa taille.
Tout en continuant à l’embrasser fougueusement, je m’apprêtais à investir une dernière fois sa grotte merveilleuse quand elle me stoppa brusquement :
« – Attends ! Attends ! J’ai des préservatifs dans mon sac, tu vas en mettre un. »
« – Pourquoi ? Jusqu’à présent on n’a pris aucune précaution. »
« – J’ai pas envie d’avoir ton sperme dégoulinant de mon minou quand je vais retrouver Marc. Après une semaine d’abstinence, il va vite me mettre la main au panier, voire plus ! »
Décidément, quand elle ne buvait pas, cette fille savait garder la tête froide en toutes circonstances et ne manquait pas de ressources insoupçonnées. Je commençais à me demander si je ne m’étais pas fait manipuler depuis le début.
« – Et donc, tu te trimbale toujours avec une boite de préservatifs ? »
« – Faut savoir prendre ses précautions ! » me répondit-elle avec un sourire coquin.
Sur ce, elle avait déniché la boite et sorti un morceau de caoutchouc de son emballage. Elle le déroula avec délicatesse sur mon membre érigé que cette petite interruption n’avait pas refroidit.

J’avais bien l’intention de profiter au maximum de cette dernière étreinte et j’entrai donc tout doucement en elle, savourant chaque centimètre gagné à l’intérieur de sa petite chatte dont la sensation d’étroitesse était renforcée par la capote. Je commençai ensuite le lent va et vient ; les cuisses écartées, les jambes resserrées sur mes fesses, elle accompagna mon mouvement.

Les quelques véhicules quittant l’aire de repos passaient en accélérant auprès de notre voiture. Si leurs passagers avaient laissé leur regard traîner sur la droite, ils auraient pu nous voir et n’auraient eu aucune incertitude sur ce qu’il se tramait à l’intérieur mais je m’en moquais ; au contraire, j’en voulais plus, je voulais la sentir totalement à moi une dernière fois.
Je passai mes mains sous son pull chaud et me mis en demeure de lui enlever le haut.
Je remontai le pull jusqu’à sa tête puis elle leva les bras et me laissa lui ôter. Dessous, elle ne portait qu’un petit soutien gorge blanc avec des dentelles discrètes ; Je passai une main derrière son dos et dégrafai le sous-vêtement en un tour de main habile de connaisseur.
Une fois dézippée, la jupe passa elle aussi par le haut et alla rejoindre les autres morceaux sur la banquette arrière.
Plantée sur mon phallus qui la torpillait, coincée entre la portière et le levier de vitesse, Caroline n’était maintenant plus vêtue que de ses bas et de ses bijoux. Je pouvais librement contempler pour la dernière fois ses petits seins fermes tressautant au rythme de notre cavalcade sexuelle.
Dehors, je crus deviner l’ombre d’un ou deux voyeurs rodant autour de la voiture isolée mais il y avait maintenant tellement de buée sur les vitres (pire que dans Titanic !) qu’ils n’ont pas dû pouvoir apercevoir grand chose et ont dû se contenter des sons s’échappant de l’habitacle. Lesquels sons étaient de plus en plus explicites puisque ni moi ni ma compagne de retenions nos cris de plaisir.

Il y a l’excitation de la première fois, je peux vous dire qu’il y a aussi l’excitation de la dernière fois. Et au vu de l’orgasme qui nous prit simultanément Caro et moi, je peux vous dire que la seconde et au moins aussi forte que la première.

La suite du voyage retour fut plus gaie, comme si cette ultime étreinte nous avait libérés. Nous avions implicitement décidé de ne pas prendre de décision quant à l’avenir. La parenthèse enchantée s’achevait, peut-être y en aurait-il d’autres, peut-être pas.

EPILOGUE – 5 MOIS PLUS TARD

Quand le chef m’a appris que j’étais désigné volontaire pour être le tuteur du prochain stagiaire, j’ai fait grise mine, j’appréhendais déjà le retard dans les dossiers, les séances de coaching rébarbatives, les évaluations toujours difficiles.
Quand, en plus, il m’annonça que c’était un contrat en alternance et que cela durerait 6 mois, j’ai caché ma joie.
Quand enfin il me présenta le CV de mon stagiaire je repris des couleurs : Mon stagiaire se prénommait Lucie et avait 19 ans. La photo d’identité présentait un visage d’ange entouré de longs cheveux blonds et des yeux noisette qui donneraient des complexes à la mère de Bambi.
Finalement ce tutorat s’annonçait plus agréable que prévu.

Mais ça,…. C’est une autre histoire.

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HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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