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Petit matin calme

Petit matin calme



Lorsque j’émergeais de mon sommeil, tout est calme dans la maison. Rien aucun bruit ne vient troubler ce petit matin.
Nous sommes tout les trois dans notre grand lit d’union. Un simple drap recouvre nos corps.
Comme à l’accoutumée, je suis a plat dos. A ma gauche, comme depuis toujours, se trouve Véronique. Elle est couchée tout contre moi. Mon bras gauche l’enlace. Sa tête repose sur mon épaule, son bras gauche barre ma poitrine et sa jambe gauche est passée par dessus la mienne. Je sens contre moi la chaleur de son corps, la douceur de ses seins, et contre ma hanche son mont de Vénus. Mon cou est parcouru de frissons dus au lent et profond souffle de la respiration calme de ma compagne.
A ma droite, Sylvia. Comme depuis que nous la connaissons, elle me tourne le dos. Elle est couchée sur le coté, en chien de fusil, la tête reposant sur son bras droit. Je ne perçois d’elle que sa lente respiration.
Mes Amours se couchent dans ces positions et s’endorment comme çà et ne bougent plus.
Moment de quiétude laissant la pensée vagabonder. Notre vie. Notre amour. Notre bonheur. Notre soirée d’hier soir. Agréable moment.
Avant de nous coucher, nous passons sous la douche. Réciproquement nous nous frottons, caressant au passage nos intimités. J’aime laver mes compagnes, caresser leur corps. Puis après nous être séchés, nus, nous nous couchons dans le grand lit.
Je tiens sous mes bras mes deux compagnes nous discutons et échangeons de petits baisers. Je sens contre moi Véronique, petit à petit, s’enfoncer dans le sommeil.
Sylvia se penche sur moi et goulument m’embrasse à pleine bouche. Nos langues s’unissent. Pendant ce temps, sa main descend le long de mon torse, parcourt mon ventre et trouve mon sexe. Doucement elle me caresse. Ma bite lentement forcit, se redresse et finit en une érection triomphante. La main de Sylvia se referme sur ma hampe dressée et, avec lenteur, commence un doux mouvement branlatoire. Le baiser ne s’en finit pas pour autant mais se fait plus pressant.
Contre moi, je sens Véronique s’éveiller. Elle se redresse sur un coude et observe le baiser. Elle se penche sur moi et prend possession de mes tétons qu’elle tète et suce. Sa main caresse mon ventre et rejoint la main de Sylvia sur laquelle elle se referme. Dans un jeu à deux la masturbation n’en est que plus plaisante.
Sylvia se redresse, me chevauche en se soulevant au dessus de mon sexe dressé maintenu par Véronique. Ma cavalière se laisse lentement retomber s’empalant. Au fur et à mesure de la descente, un souffle rauque sort de sa bouche. Une fois arrivée bien au fond elle se relève et entame des mouvements de va et vient de haut en bas. Véronique se redresse, approche son visage de celui de Sylvia. Leurs bouches s’unissent en un long baiser passionné.
La main de Véronique se perd entre les jambes de notre amante. Elle branle le clitoris augmentant le plaisir donné par mon sexe.
Véronique est a genou à coté de moi. Ma main s’égare entre ses jambes et prend possession de son intimité. Mes doigts trouvent le chemin du clitoris et du sexe. Branlant l’un, pénétrant l’autre ma main œuvre.
Sylvia arrête tous mouvement, profondément emmanchée sur mon pieu, se penche en arrière se retenant sur ses mains. Son ventre se creuse, sa respiration s’accélère. Je sens alors son corps se contracter autour de ma bite. Par vagues successives, le tête basculée en arrière elle crie son plaisir provoqué par les doigts agiles de Véronique qui branle à tout va le clitoris.
Au même moment, sous mes doigts, Véronique prend son plaisir. Elle aussi souffle, le ventre creux, cambrant plus les reins pour s’offrir.
Aussi brusquement que c’est venu, tout s’arrête, laissant Sylvia assise sur mon sexe pris dans le sien, respirant à grande goulée, les yeux embués. Véronique se penche vers elle et dépose un baiser sur les lèvres de notre compagne.
Sylvia, toujours prise sur mon chibre, se penche en avant, et s’aplatit sur moi. Ses mains prennent mon visage. Ses lèvres se posent sur les miennes. Je sens aussitôt sa langue s’enrouler autour de la mienne en un long baiser passionné. Véronique s’est couché tout contre moi, caressant le dos de Sylvia, qui ondule bougeant autour de ma bite.
La main de Véronique se perd entre les fesses de Sylvia, massant la rondelle. Tout en insérant le bout de son doigt, elle susurre à l’oreille de notre compagne :
– Je peux? Avec la ceinture?
Toujours m’embrassant, Sylvia opine du chef, donnant son accord.
La ceinture. Une nouveauté dans notre « couple à trois ». Une fabrication artisanale. Une ceinture godemiché classique avec une différence : partant de l’emplacement des testicules, dans le prolongement de la verge se profile un autre membre pourvu de deux autres « sexes » : un pour le vagin et l’autre pour le petit trou entre les fesses. Entre la verge et le godemiché du vagin une légère bosse permet de masser et d’exciter le clitoris.
Pendant que Véronique s’équipe, Sylvia m’embrasse toujours couchée sur moi. Mon sexe toujours planté elle va et vient lentement profitant du moment.
A la dérobée, j’observe Véronique. Après avoir enduit le sexe « anus » de lubrifiant, elle enfonce les deux sexes secondaires dans son vagin et sa rondelle. Puis elle boucle la ceinture autour de sa taille et s’approche du lit.
Elle commence par des caresses entre les fesses de Sylvia. Elle enduit de lubrifiant le trou du cul offert et insère, en massant, un doigt. Par petites touches elle fait pénétrer deux, puis trois doigts pour assouplir la rondelle. Sylvie arrête son long baiser et plante ses yeux dans les miens.
Véronique s’agenouille derrière Sylvia, pointe le dard et lentement, avec douceur, introduit le godemiché dans la caverne secrète.
Je lis dans les yeux de Sylvia le plaisir de la lente progression. Au fur et à mesure de l’intromission, elle souffle lentement, les yeux s’humecte légèrement. Je sens le long de mon sexe, au travers des chairs, la pénétration. Enfin, Véronique entame le lent mouvement de va et vient. Le souffle de Sylvia bat dans le rythme. Cette pénétration imprime un mouvement qui fait bouger Sylvia autour de ma bite. J’enlace Sylvia.
J’imagine l’enchainement des mouvements du godemiché fixé sur la ceinture. La poussée en avant qui a pour effet de faire basculer le sexe secondaire et faire pénétrer dans le vagin et le trou du cul. Dans le mouvement inverse fait ressortir les sexes. La petite bosse sur le membre branle le clitoris de Véronique.
Petit à petit, Véronique accélère ses va et vient, augmentant ainsi en chaine tout les effets physiques.
Je sens monter en moi le plaisir. A l’attitude de Sylvia et dans ses yeux, je sens qu’il en est de même. Derrière elle, Véronique besogne de plus en plus vite.
Soudainement, nos trois corps frémissent, s’arquent. En même temps nous prenons notre plaisir. Je lâche ma semence au plus profond du sexe de Sylvia. Véronique, pénétrée par les deux orifices et le clitoris saturé d’excitation jouit. Sylvia pénétrée par les deux trous crie. J’attire sa tête à moi et l’embrasse à pleine bouche, bâillonnant ainsi son cri. Sa langue fourrage ma bouche qui aspire, souffle, crie en silence. Véronique, a grand coups de rein pénètre le cul offert, jouissant en même temps des pénétrations simultanées. Nos trois corps sont contractés par les orgasmes.
Puis Véronique se laisse aller, tombant sur le dos de Sylvia qui s’abandonne complétement. Moi-même, mon corps se délasse. En même temps que j’embrasse Sylvia, je caresse la tête de Véronique. Tout trois nous sommes en sueur.
Véronique s’enlève de son amante, défait sa ceinture qu’elle laisse tomber et s’allonge près de moi. Sylvia un moment reste encore. Je profite de ces instants où, petit à petit mon sexe se ramolli, s’extrayant de l’écrin chaud et humide. Elle finit elle aussi par rouler sur le coté. Mes deux compagnes sont contre moi. Nous sommes tout les trois heureux.
Nous repassons prestement sous la douche et nous recouchons. Un petit baiser de bonne nuit et Sylvia se tourne, se met en chien de fusil et s’endort. De l’autre coté, Véronique se love sous mon bras, passe sa jambe sur ma cuisse et, elle aussi s’endort. Je ne tarde pas à les rejoindre.
Lorsque j’émergeais de mon sommeil, tout est calme dans la maison. Rien aucun bruit ne vient troubler ce petit matin.
Nous sommes tout les trois dans notre grand lit d’union. Un simple drap recouvre nos corps. Mes Amours dorment, chacune dans leur position. En pensant à la soirée et son déroulement, mon sexe se raidit. Machinalement, ma main droite s’en saisit. Tout à mes pensées et tout aussi machinalement je commence à me masturber lentement.
Perdu dans mes songes, je ne m’aperçois pas que la main de Véronique descend vers ma bite. Elle n’a pas bougé. J’entends près de mon oreille qu’elle me demande:
– Tu veux un peu d’aide ?
Sa main se saisit de mon sexe et astique le manche. D’abord lentement, puis de plus en plus vite. Je sens mon plaisir monter. Elle ralenti, arrête, puis, lorsque la pression est redescendue, recommence. Mon plaisir est à son comble. Ma respiration se fait forte, j’émets de petits cris : oui!! je viens!! Une nouvelle fois, elle ralenti, puis recommence.
Sylvia, réveillée par les soupirs et les mouvements se réveille. Elle se tourne et, appuyée sur un coude, observe. Les deux femmes se regardent en souriant. Véronique poursuit de me donner du plaisir pendant que Sylvia regarde.
La main de Véronique, une nouvelle fois accélère.
– OUI!! JE VIENS !! ENCORE !! CONTINU !!
Je sens une boule de plaisir remonter du fond de mon corps, remonter la verge et jaillissant de mon gland, mon sperme éclabousse mon ventre et la main de Véronique. Elle pompe manuellement mon dard, extrayant les dernières gouttes de ma semence crémeuse.
Enfin, elle se redresse, se penche sur ma bite et l’enfourne. Je sens sa langue lécher mon chibre, goutant les reliefs de l’éjaculation. Sylvia se penche vers mon ventre et lape les gouttes éparses sur mon ventre. Finalement, leur œuvre terminée, les deux compagnes se regardent, s’embrassent par dessus moi, se tournent vers moi et Sylvia me dit :
– Bon, après cet apéritif de petit déjeuner, je me laisserais bien faire par un petit déjeuner au lit. Pas toi ? Dit-elle à Véronique.
– D’accord, dis-je en me sortant du lit, j’ai compris, je reviens.
Nu, je sors de la chambre et me dirige vers la cuisine, laissant mes compagnes dans le lit.
Vingt minutes plus tard, je reviens portant un plateau et le petit déjeuner pour trois. Véronique et Sylvia sont toujours au lit. Mais n’ont pas attendu. Elles dorment.
Sylvia est à plat dos tenant Véronique sous son bras. Cette dernière a la tête posée sur l’épaule de sa compagne, la main posée sur un sein de Sylvia et la jambe passée par dessus la cuisse de sa partenaire. Véronique a toujours couché dans cette position. Sylvia a la jambe libre légèrement repliée et écartée. Vision idyllique de ces corps offerts, de l’exposition de ses sexes me donnant tant de plaisirs.
Je pose le plateau sur une table basse, m’assois dans un fauteuil et me sers un café. Pensif, rêveur, je sirote mon café, admirant le spectacle des deux filles partageant ma Vie et mon lit.
Il me semble que nous pouvons être heureux. Tous les trois.

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