Résumé : les mésaventures érotiques d’un jeune homme soumis aux fantasmes d’une famille de dingues.
Jade, je l’ai rencontrée au cours d’un atelier d’écriture, après la dernière séance : nous étions huit, nous sommes allés prendre un verre dans un café, pour nous dire au revoir – ce genre de groupe, en général, ne survit pas à la fin de la mission qu’il s’est donnée.
Étudiante en première année de lettres, elle avait de grands yeux bruns qui me semblaient très tristes. Nous nous regardions avec étonnement, devinant que cet attrait mutuel allait déboucher sur une relation forte, et ceci malgré une vingtaine d’années de différence d’âge.
Une fois les autres partis, nous pouvions, tous les deux, discuter à cœur ouvert. Elle m’a alors avoué que sa grande passion était de torturer ses amants. Physiquement. Sentimentalement. Elle ne pouvait pas s’empêcher d’en éprouver une joie qui la rendait folle.
Elle pratiquait ce qu’elle appelait un sport vicieux avec une autre fille de son âge, Sandra. À deux, elles allaient très loin dans les incroyables « châtiments » que leurs « victimes » masculines, toutes très consentantes, acceptaient d’endurer.
Bien qu’elle m’ait prévenu, je l’ai suivie jusqu’à sa maison, un gros pavillon de banlieue. Ses parents vivaient là, aussi. Ils nous ont ouvert leur porte. Ils m’ont offert le café. Jade m’a présenté Sandra, très jolie également, avec le même regard étrange sous la blondeur de sa chevelure bouclée et ses lunettes rondes cerclées de noir. Je me suis dit qu’avec ce couple de fées, rien de mal ne pouvait m’arriver. C’était parce que j’ignorais tout de la suite.
Elles m’ont fait signer un papier, par lequel j’acceptais sans réserve tout ce qu’elles auraient envie de me faire subir. Je l’ai paraphé après l’avoir lu en diagonale, en haussant les épaules. J’aurais dû prendre le temps de bien lire les détails affreux qu’elles me promettaient.
Puis, elles m’ont demandé de me déshabiller. Entièrement, devant les parents qui n’étaient même pas étonnés.
Retirer mon slip n’a pas été facile, devant tous ces regards qui convergeaient vers moi. Sandra m’a aidé en abaissant elle-même la dernière protection de ma pudeur masculine. J’ai trouvé cela avilissant, mais ce n’était que le commencement d’une folie furieuse. Puis Jade m’a passé un collier de chien autour du cou, relié à une chaîne métallique, et nous sommes allés dans le jardin, tous les cinq.
Nous étions entourés d’immeubles, de sorte que beaucoup de gens pouvaient nous voir depuis les fenêtres et les balcons. Ils ne se cachaient pas. On aurait même dit qu’ils venaient à un rendez-vous. Il y avait surtout des femmes qui semblaient attendre le début d’un spectacle.
Sandra tenait en mains un long fouet. Rien qu’à voir cet objet, j’en frémissais.
Jade a placé mes vêtements dans une grande vasque qui surmontait une colonne de marbre, au centre du jardin. Ensuite, elle les a arrosés d’alcool à brûler, et y a mis le feu. Dans la poche de mon pantalon, il y avait aussi ma carte d’identité et ma carte bleue. Tout est parti en fumée.
– Tu n’en a plus besoin, maintenant que tu es notre esclave.
– Mais…
– Tais-toi, a aboyé Sandra en cinglant mon dos d’un premier coup de fouet qui m’a coupé le souffle ! Et baisse les yeux en signe de soumission. Tu parleras seulement quand tu y seras invité. Compris ?
– Mes papiers, dis-je doucement.
J’ai reçu encore deux coups de fouet, plus rudes que le premier, qui ont laissé de longues stries sur mon dos.
– Tu n’en a plus besoin, maintenant, m’a expliqué doucement Jade. Un esclave n’a pas besoin d’un nom. Puisque tu es notre douzième victime, tu t’appelleras désormais Douze. Que cela te plaise ou non. Tu n’as plus besoin de vêtements, non plus. La nudité convient très bien aux garçons condamnés à nous servir. Tu ferais mieux de renoncer dès maintenant à toute dignité personnelle : tu n’y as plus droit. Tu n’as plus aucun droit, d’ailleurs, sinon celui de te soumettre. Tu étais bien d’accord, tout à l’heure ? D’ailleurs, tu as signé : il est trop tard, maintenant. Si tu es sage, dans quelques années, nous allons t’affranchir ; mais je crois qu’à ce moment-là, tu ne seras plus qu’une loque humaine. Quant à ta carte bleue, n’ai crainte : je l’ai récupéré, la voici, a-t-elle dit en exhibant le rectangle de plastique. Il ne nous manque que le code pin, mais tu ne vas pas tarder à nous l’indiquer, n’est-ce pas, Douze ?
– Jamais, lui ai-je répondu en la regardant droit dans les yeux. Vous pouvez me faire subir tout ce que vous voulez, jamais je ne vous donnerai ce code.
– Oh, dit Sandra, chic, un rebelle ! Génial !
– Regarde, m’a dit Jade : nous avons un magnifique fauteuil de torture, que nous avons construit nous-mêmes. Installe-toi dedans. Tu verras, il est inconfortable à souhait, et les traitements que nous allons t’infliger te rendront fou très rapidement, de sorte que tu parleras : je te le garantis.
– De plus, a ajouté sa maman, tout le monde autour peut te voir. Regarde : il y a foule, aujourd’hui, pour assister à ton supplice. Ce sera très… excitant !
La dame, qui s’appelait Christine, tenait un vibromasseur en mains et commençait à se déshabiller, avec l’intention manifeste de se masturber pendant qu’on me torturait. Je me suis installé de moi-même, sans résistance, dans le terrible fauteuil. Je bandais au maximum, très excité à l’idée de tout ce que ce groupe allait me faire subir. Cet équipement permettait d’immobiliser mes membres d’une manière parfaite, bras et jambes largement écartés, de sorte que mon sexe était bien exposé et facilement accessible. Comme j’avais le bassin relevé, mon anus était également vulnérable. Moi qui a toujours été un garçon pudique, je rougissais de cette exposition publique de mes parties intimes.
Jade a pris un mètre ruban pour mesure la taille de mon sexe, valeur que Sandra a écrite en très gros au feutre rouge sur un tableau blanc, avant de tourner celui-ci vers le public, afin de que tout le monde connaisse la longueur de mon pénis en érection. Applaudissements depuis les fenêtres et les balcons.
Le père s’est déshabillé. Lui aussi bandait ; il possédait un phallus monstrueux. Quand il s’est approché de moi, j’ai frémi à l’idée de ce que j’allais subir en guise de hors-d’œuvre. Déjà, j’envisageais de craque en avouer mon code à ms tortionnaires. Tout cela est insane : il n’y a pas en moins la moindre once d’homosexualité.
J’envisageais d’abandonner la partie en avouer mon code à mes tortionnaires.
– À toi l’honneur, Papa, a dit Jade après avoir examiné mon petit orifice, constatant sans peine que j’étais encore vierge à ce niveau.
J’ai fermé les yeux à l’instant où le gigantesque braquemart m’a empalé d’un seul coup sec. J’ai entendu, dans la direction d’un balcon, les cris d’orgasme d’une femme qui avait un godemiché planté dans le vagin. Volupté sadique.
J’entendais aussi le vrombissement du vibromasseur de la maîtresse de maison, et les gémissements de joie de celle-ci. J’étais content que des dames aient du plaisir en assistant à mes souffrances que je leur offrais bien volontiers, me découvrant pour elles un esprit profondément masochiste.
Parce que j’étais bel et bien en enfer… les deux jeunes filles ont revêtu chacune des godes-ceintures énormes, avec l’intention manifeste de prolonger le fouillement du père qui éjaculait dans mes boyaux une quantité incroyable de foutre qui a dégouliné de mon anus au moment où il s’est retiré.
La suite viendra si vous avez le courage de vouloir la connaitre. N’hésitez pas aussi à me laisser vos commentaires, sympathiques ou bien orduriers, à votre convenance.l
Ajouter un commentaire