Ma voisine est enceinte, j’en fais mon vide couilles.
Cette histoire est une fiction.
Je m’appelle Idris. Je suis un homme noir de trente ans. Physiquement, je suis assez imposant. Je fais deux mètres et j’ai un corps très athlétique que j’entretiens.
Si ça n’a pas toujours été facile plus jeune, arrivé à l’adolescence, j’ai remercié mon père pour les attributs qu’il m’avait offert avec ma couleur de peau. Je rendais les autres garçons fous de rage sous les douches quand il voyait la taille de ma queue. J’en ai fait couiner des filles dans ma jeunesse. J’ai ramoné des bouches, des chattes et des culs et sans trop me vanter, elles doivent encore s’en rappeler.
Je travaille comme veilleur de nuit. Vu mon physique, les rares fois où j’ai surpris un intrus celui-ci a détalé comme un fou, je n’ai même pas eu besoin de lui courir après.
C’est un emploi plutôt tranquille en fait et qui rapporte pas mal. Mais bon, si je n’ai pas de problèmes financiers, avoir une vie sociale épanouie reste compliqué et plus encore une vie de couple. En ce moment, je me contente donc de coup d’un soir, ou plutôt d’un jour vu les moments où je peux tirer mon coup.
Je vis au dernier étage d’un petit immeuble où j’ai pour seul voisin de palier un couple, Luc et Céline. Lui est militaire et elle écrit de temps en temps un article pour le journal local. Du fait de mes horaires de travail, il m’arrive de fréquemment croiser ma voisine dans notre cage d’escalier ou dans l’ascenseur. Je dois avouer que depuis le premier jour où je l’ai vu j’ai eu envie de me la faire. C’est une jolie femme, plutôt petite, environ un mètre soixante. Elle a de longs cheveux bruns qui lui descendent jusqu’au milieu du dos. Si Céline n’est pas bien grande, ce n’est absolument pas le cas de sa poitrine et de ses fesses. Ses seins sont véritablement disproportionnés pour son petit gabarit.
Si son mari n’était pas militaire et presque aussi costaud que moi, je crois que j’aurais pris le risque d’essayer de la sauter. Au lieu de cela, je dois me contenter d’être ami avec eux. On s’entend bien.
Mon histoire commence il y a quelques semaines, lorsque je les ai invités à passer prendre un apéritif comme nous le faisons de temps en temps chez l’un ou chez l’autre. Ce jour-là, ils en ont profité pour m’annoncer que Céline était enceinte. Après les félicitations d’usage, ils m’avouent qu’ils ont franchi le cap parce que Luc allait être envoyé en mission dans un pays d’Afrique pour plusieurs mois. Il devrait revenir juste pour l’accouchement.
Au fil de la discussion, Luc me demande si je ne pourrais pas veiller sur Céline durant son absence. J’accepte volontiers. Même si je ne crois qu’il puisse se passer quelque chose, avoir le plaisir de la côtoyer un peu plus, de pouvoir la reluquer de plus près ne sera pas désagréable.
Ça y est, Luc est parti. Ce n’est pas sa première mission, mais celle-ci est différente pour Céline étant donné son état et elle déprime un peu plus. Elle passe presque tous ces après-midi chez moi. On discute de tout et de rien. Je l’écoute et la soutiens et en contrepartie je ne me prive pas de la mater. J’ai plus souvent les yeux fixés sur son opulente poitrine que dans ses yeux. Elle le voit bien, mais ne dit rien. J’ai le sentiment qu’elle aime que je la regarde comme ça. Au fil des semaines, je remarque qu’elle aussi me fixe différemment. Ses yeux ont tendance à se perdre vers mon entrejambe. J’aime bien ce petit jeu de séduction sans conséquence.
Plus les semaines passent, plus le ventre de Céline se développe doucement et plus j’ai le sentiment que ses hormones la travaillent. Elle ne se contente plus de me regarder, il lui arrive de plus en plus souvent de me caresser doucement le bras, ou mieux encore, de poser une main sur mes cuisses. Je me contente de lui sourire. Je commence de plus en plus à me dire qu’il va peut-être se passer quelque chose, mais je ne fais rien pour accélérer les choses. Je ne veux pas être celui qui prend l’initiative, il faut que ça vienne d’elle.
Un après-midi, je descends dans le parking et croise Céline avec deux autres femmes. Je me souviens les avoir déjà croisées à une ou deux autres reprises. Ce sont des épouses de militaire elles aussi. Elles sont venues aider Céline pour faire des achats pour la future chambre de bébé. Elles me demandent de les aider à porter leurs courses. J’accepte. Toutes les affaires montées, elle commence à déballer les meubles. Il leur faut moins d’une minute pour se retourner vers moi toute souriante pour me demander si je ne peux pas m’occuper de monter le lit et la table à langer. Je n’ai malheureusement pas le temps, j’ai moi aussi des courses à faire. Je leur promets cependant de m’en occuper à mon retour si jamais elles n’y arrivent pas. J’espère de tout cœur pouvoir échapper à cette corvée.
Trois heures plus tard, je suis enfin de retour. Je me gare au moment où les deux amis de Céline s’apprêtent à repartir. Je leur demande si elles ont réussi à monter les meubles. Elles m’avouent que non. Me voilà donc parti pour tenir ma promesse. Avant de nous séparer, je joue au voisin modèle en prenant des nouvelles de Luc. Tout se passe bien pour lui.
Je sonne à la porte de Céline. Elle ouvre et affiche un large sourire en me voyant et m’invite à entrer. En passant auprès d’elle, je ne peux m’empêcher de plonger mes yeux dans son décolleté. Elle porte une robe noire qui met ses seins en valeur. Sa magnifique poitrine est visiblement libre de tout soutien-gorge. Là encore, elle surprend mon regard, mais ne dit rien. Mieux encore, je la vois sourire. Elle passe devant moi et me guide jusqu’à la chambre pour son futur bébé. Sa façon qu’elle a de marcher, j’ai l’impression qu’elle roule des hanches bien plus que d’habitude. Est-ce qu’elle cherche à m’allumer ? En tout cas, elle fait son effet, je me sens plus à l’étroit dans mon jean.
Me voilà donc en train de monter les meubles sous le regard constant de Céline qui reste sur le pas de la porte. Tourner quelques vis, ces femmes ne sont vraiment pas douées. À moins que Céline ait convaincu ses amies de ne même pas essayer juste pour que je me retrouve chez elle. Je ne peux m’empêcher de garder cette idée en tête tout le temps de l’assemblage.
En une petite heure, tout est fini. Céline s’approche enfin pour vérifier la qualité de mon travail. Elle est satisfaite et me sourit. Bon sang, ce que j’aime quand elle fait ça.
— Merci. Tu me rends vraiment de sacrés services depuis que Luc est parti. Je ne sais pas comment te remercier.
« Pompe-moi la queue jusqu’à me faire dégorger dans ta bouche. » Voilà ce que je brûle de lui dire. Au regard que je lui lance, elle semble comprendre mon envie. Elle me sourit de plus belle et rougit légèrement. Malheureusement, elle s’arrête là. En guise de remerciement, je dois me contenter d’une bière. Là encore pourtant, elle continue de me dévorer des yeux. Je la trouve vraiment différente aujourd’hui. Elle semble en proie à une lutte intérieure. Son corps semble lui dire de céder et de se jeter sur moi, mais sa raison lui dit l’inverse. Sa raison continue de l’emporter.
Je dois partir. Céline me raccompagne. Elle s’apprête à ouvrir la porte quand je la vois soudain refermer le verrou. Elle se retourne vers moi et se jette brusquement à mon cou. Ses barrières viennent de céder. Elle enroule ses bras autour de moi et pose ses lèvres sur les miennes. Je sens sa langue qui tente de forcer son passage. Je la laisse faire et nos langues s’emmêlent. Ce baiser dure une trentaine de secondes et a le don de me rendre complètement dingue. Quand elle s’arrête et se desserre de moi, je suis remonté comme un pendule. Hors de question que je laisse filer ma chance, hors de question que son excitation retombe. Je l’empêche de fuir. J’empoigne ses fesses pour l’empêcher de redescendre avant de me retourner et de la plaquer contre le mur. Elle pousse un soupir sous l’effet du choc. Je profite de ce moment et de sa bouche ouverte pour plonger ma langue en elle. Elle reste un moment sous le choc, mais très vite sa langue se remet en action. Nous échangeons un baiser extraordinaire. Je la sens s’étourdir tant je la presse et qu’elle a du mal à respirer. Je ne ralentis pas le rythme pour autant et elle fait tous les efforts possibles pour répondre à ma langue.
Quand je la libère enfin, elle est haletante, son visage est écarlate et ses yeux brillent.
— Bon sang, toi, quand tu embrasses, tu ne fais pas semblant.
— Et tu n’as encore rien vu.
Je la repose par terre. Mes mains quittent ses belles fesses rondes pour venir se poser sur le décolleté de sa robe. Je la fixe du regard au moment où je tire dessus d’un coup sec. Elle pousse un petit cri de surprise avant de doucement rire devant l’audace de mon geste. La moitié de ses boutons a craqué et s’est envolée. Sa délicieuse et énorme poitrine sur laquelle j’ai tant fantasmé est là sous mes yeux. Je ne résiste pas une seconde, je les empoigne à pleines mains. Ils sont vraiment lourds et tendres, mes doigts s’enfoncent dedans. Je presse un peu plus son sein droit et je l’étire pour le porter à ma bouche. Je referme mes lèvres sur son large téton. Je lui tète le sein comme un bébé. Céline soupire de bonheur. Avant de passer au sein gauche, je referme mes dents sur son téton et je tire doucement dessus. Elle pousse un petit cri aigu.
Je m’attaque ensuite à son sein gauche auquel je réserve le même traitement. Je ne sais pas si c’est à cause de sa grossesse ou pas, mais elle est ultra sensible des seins. Depuis que je m’en occupe, sa respiration est haletante et elle n’arrête pas de pousser des petits gémissements délicieux à attendre.
Il est temps de passer aux choses sérieuses. Je la pousse à l’intérieur de l’appartement jusqu’au salon. Je la place au milieu de la pièce.
— Ne bouge plus, ordonné-je.
Céline sourit. Je ne sais pas si elle s’attendait ou bien si elle espérait que je me comporte ainsi, mais visiblement ma façon de la traiter lui plaît. Je lui tourne autour comme un prédateur avec sa proie. Je la dévore du regard et elle aussi ne me quitte pas des yeux. Lorsque je suis dans son dos, je passe mes bras autour d’elle et pose mes mains sur ses seins. Elle pousse un soupir de plaisir, mais je n’ai pas l’intention de m’en occuper. Mes doigts glissent jusqu’à retrouver sa robe. Je me saisis du tissu et tir une nouvelle fois dessus. Je mets sa tenue en lambeau et la lance devant elle. Je me recule pour mieux admirer son cul enfermé dans une trop petite culotte noire. Ses fesses sont tout aussi appétissantes que ses seins.
Je me remets à tourner autour d’elle, admirant ce corps nu que je vais bientôt posséder.
Je m’arrête devant elle, pose sa main sous son menton et lui redresse la tête pour qu’elle me regarde en face. Ma main libre vient se poser à l’entrée de sa culotte. Elle frémit, elle a compris ce que je compte faire.
— Tu es prête ?
— Vas-y.
J’affermis ma prise sur sa culotte, je tire légèrement dessus pour être certain de bien l’avoir en main. Dans un cri de rage, je tire dessus de toutes mes forces. Elle pousse un cri de douleur. La culotte a résisté. Je dois m’y reprendre à trois fois avant de parvenir à l’arracher. Céline s’écroule au sol, une sensation de brûlure entre les fesses. Je regrette de lui avoir fait mal l’espace d’une seconde, le temps pour mon cerveau de me dire qu’elle est en position idéale pour la suite. Je défais la boucle de ma ceinture et ouvre mon jean qui tombe à mes chevilles. Je plonge une main dans ses longs cheveux et je tire dessus pour la faire se redresser. La voilà à genou à quelques centimètres de mon sexe déjà bien dur.
— C’est ça que tu voulais ma salope ?
— Oui, soupire-t-elle, ses yeux fixés sur ma bite.
— T’aimes ce que tu vois ?
— Oh oui. Tu as une belle queue, elle est énorme, comme je l’espérais.
— Alors, prouve-le-moi.
Elle se saisit de ma bite et me sourit en me lançant un regard de pure salope en voyant que ses deux mains sont loin de recouvrir tout mon sexe. Elle la branle doucement pour lui faire prendre un peu plus forme. Elle ne résiste pas à me donner déjà quelques coups de langue sur le gland. Ma queue devient de plus en plus dure sous ses caresses. Elle la libère de temps en temps pour la lécher sur toute la longueur de sa hampe avant de cracher un bon coup dessus et de se remettre à me masturber énergiquement.
— Putain, vas-y, suce-moi.
Elle donne une série de coups de langue sur mon gland ultra sensible puis elle referme enfin ses lèvres dessus. Je pousse un long soupir de bien-être. Elle me prend progressivement en bouche, sa langue s’agite avec avidité autour de ce bout de chair qu’elle avale.
Le rythme de sa pipe ralentit arrivé aux deux tiers de mon sexe. Elle a du mal à en prendre davantage en bouche. Je sens mon gland qui vient frapper à l’entrée de sa gorge. Bon sang, ce que j’ai envie de venir y plonger. Je reste pourtant bloqué à l’entrée de ce paradis.
Céline recrache ma bite, elle lèche mon gland du bout de sa langue avant de glisser le long de ma hampe. D’une main, elle soulève mon sexe pour dégager mes bourses qu’elle s’empresse de goûter.
— Hum, tes couilles sont énormes. Elles doivent être pleines de sperme.
— Je vais te noyer sous des flots de foutre.
Elle me regarde avec des yeux de salope. Je pousse un râle de plaisir quand sa bouche se referme sur l’une de mes couilles. Elle la tire doucement tout en faisant tourner sa langue dessus. Elle alterne ainsi plusieurs fois entre chacune de mes couilles.
— Hum, il est temps de les dégorger.
Céline me reprend en bouche. Elle est vraiment la reine des suceuses. La fellation qu’elle me prodigue est la meilleure depuis des mois, voire des années, mais j’ai pourtant envie d’aller plus loin. J’ai le sentiment qu’avec elle je peux aller plus loin. Alors que mon gland revenait visiter le fond de sa bouche, je décide de tenter ma chance. Je pose ma deuxième main à l’arrière de son crâne et la maintiens immobile.
— Tu m’as sucé, maintenant c’est à moi de te baiser la bouche.
Je maintiens sa tête immobile et mon bassin rentre en action. Je recule mon sexe jusqu’à ce qu’elle n’ait plus que le bout du gland entre les lèvres puis je replonge doucement jusqu’à la longueur à laquelle elle est parvenue à me sucer. Je vais à un rythme tout d’abord lent pour l’habituer et tester ses réactions. J’ai l’agréable surprise de voir qu’elle se laisse entièrement faire. Devant sa réaction, mes coups de reins vont crescendo.
Je prends un pied énorme à limer sa bouche, mais je veux encore plus. Je ralentis donc le rythme puis quand mon gland arrive à la limite de ce qu’elle peut avaler, je tente de forcer le passage. Céline a un mouvement de recul et pose ses mains sur ses hanches pour me retenir.
— Mets tes mains dans le dos et laisse-toi faire ! ordonné-je.
Je m’attendais à ce que Céline me résiste, me demande de me calmer un peu, mais non, elle m’obéit docilement. Elle a décidé de se donner à moi et elle ira jusqu’au bout. Je retente donc ma chance et essaie de passer l’obstacle de sa gorge. Les bras de Céline se tendent à chacun de mes assauts. Elle fait de gros efforts pour maintenir la position que je lui ai demandée. Elle a des mouvements de gorge, ma queue est noyée dans toujours plus de salives. Elle bave comme un a****l, ça dégouline de partout entre ses lèvres.
Malgré tous mes efforts, je reste frustré. Je n’arrive pas à la lui mettre en entier et je veux à tout prix y arriver. Il est temps d’employer les grands moyens. Je pousse un grognement.
— Putain, cette fois ça va passer !
J’appuie de toutes mes forces à l’arrière de son crâne en même temps que j’avance mes hanches. Céline a un hoquet. Ça y est, j’ai réussi à forcer le passage de sa gorge. Je lui ai mis en entier.
— Jusqu’aux couilles ! hurlé-je, fou d’excitation.
Je maintiens la position plusieurs secondes avant d’enfin la libérer. Céline régurgite une énorme quantité de salive qui dégouline le long de son menton et de son cou pour venir maculer sa poitrine. La voir comme ça me rend vraiment dingue.
— Allez, on y retourne.
Alors que je m’attendais à la voir résister ou me demander d’arrêter, Céline ouvre grand la bouche pour m’accueillir. Cette fois-ci, je n’attends pas et m’impose de la même façon dans sa gorge. Je répète l’opération à une dizaine de reprises. À chaque fois, elle recrache une épaisse quantité de salive, néanmoins il y en a moins à chaque fois et le passage est progressivement plus facile. Je sens que le rythme est pris. Je me lance alors dans une séance de grattage du fond de sa gorge avec mon gland. C’est délicieux, je n’arrête pas de râler, je prends un pied énorme. Je commence à devoir faire des efforts pour me retenir de ne pas tout lui décharger à l’intérieur.
Le comportement de Céline continue de me surprendre. Elle accepte tout ce que je lui fais avec une facilité étonnante. Je suis curieux de voir jusqu’où elle peut aller. Je veux voir ce dont elle est capable. Je relâche ma prise sur sa tête et sors mon sexe de sa bouche. Ma bite est enveloppée d’une épaisse pellicule de salive. Je me saisis de ma queue et donne des bifles baveuses sur son visage. Même comme ça, elle reste magnifique. Ce que j’aime la voir souillée.
— Maintenant à ton tour. Prouve-moi que tu l’aimes ma queue.
Céline reprend son souffle avant d’enfin me reprendre en bouche. Elle essaie de me prendre en entier, mais elle a du mal toute seule. Je m’apprête à reprendre les choses en mains quand elle pose ses mains sur mes fesses. Elle les agrippe avec force et me tire à elle. Je ne peux retenir un soupir de plaisir quand je sens mon gland disparaître dans sa gorge.
Céline est devenue folle, elle se déchaîne sur mon pieu. Sa gorge fait des gargarismes d’une obscénité délicieuse. Elle arrive désormais à me prendre jusqu’aux couilles à une vitesse impressionnante, j’ai toutes les peines du monde pour me retenir de ne pas gicler. Et croyez-moi, ce n’est pas l’envie qui m’en manque.
Céline ne me laisse aucun répit. Je suis sur le point de craquer, il faut que je la calme. Je repose mes mains sur sa tête et la bloque au moment où ses lèvres viennent s’écraser sur mon pubis. Je la maintiens dans cette position de longues secondes. Elle commence à suffoquer, mais je refuse toujours de la libérer. Je sens sa prise autour de mes fesses ramollir, elle est sur le point de tourner de l’œil. Enfin, je la libère. J’étais à ma limite moi aussi. Céline s’écroule par terre, elle a du mal à reprendre son souffle. Je profite de ce moment pour faire retomber la pression. Je me déshabille complètement puis je vais m’asseoir sur le grand fauteuil en face d’elle.
— Ça t’a plu ?
— Idris, espèce de salaud, tu as failli m’étouffer.
— T’as eu ce que tu méritais ma salope. Et puis je sais que t’as aimé ça.
— Et qu’est-ce qui te fait dire ça ?
— Parce que tu as beau râler, tu n’arrives pas à me regarder en face, tu as les yeux constamment fixés sur ma queue. Tu as aimé t’étouffer avec cette belle queue noire.
Je la fixe d’un air arrogant tout en me branlant doucement. Cette salope n’arrive vraiment pas à quitter ma bite des yeux.
— Tu te crois tout-puissant avec ta grosse queue ? Tu vas voir, je vais te mater, je vais t’essorer les couilles, mon salaud.
Céline se lève, monte sur le fauteuil en posant un pied sur chacun des accoudoirs avant de s’accroupir devant moi. Elle se saisit de mon sexe dressé qu’elle présente à l’entrée de sa chatte. Enfin, je vais la baiser.
— Emmanche-toi sur ma grosse matraque. Tu vas voir ce que c’est d’avoir une vraie queue en toi. Tu vas devenir une salope à black. Ma salope à black.
Céline me saisit le menton pour me forcer à la regarder en face et que j’arrête de fixer mon sexe prêt à l’empaler. Ses yeux brillent de désir.
— Je vais te remettre à ta place. Je vais vider les couilles comme jamais. Tu vas couiner comme un bébé !
Et elle se laisse retomber sur moi. Ma bite s’enfonce dans sa chatte brûlant en entier. Nous poussons tous les deux un énorme soupir de plaisir. Cette sensation est absolument divine, elle est trempée et étroite. Elle ne me laisse pas le temps de me remettre. Elle remonte pour mieux s’effondrer à nouveau, elle s’empale sur mon pieu une bonne dizaine de fois. Je n’arrête pas de râler.
Après cette entrée en matière plutôt intense, elle pose ses mains sur le dossier du fauteuil et se lance dans une folle chevauchée, elle rebondit sur ma bite dans un rythme furieux.
— Tu es bien silencieux tout à coup. Tu fais moins le fier.
— Je savoure juste la sensation de ta chatte autour de ma queue. J’ai l’impression d’enfiler une vierge tellement tu es étroite. Ça se sent que tu n’as pas l’habitude des gros calibres.
— Arrête de croire que parce que tu es noir tu es le seul à pouvoir avoir une grosse queue. Celle de Luc tient largement la comparaison avec la tienne. D’ailleurs si j’avais vu que tu en avais une plus petite, jamais je ne t’aurais laissé m’enfiler.
J’ai vraiment du mal à la croire étant donné son état extrême d’excitation.
— Les grosses queues, j’ai l’habitude de les traire.
Céline s’empale sur toute la longueur de mon sexe. Elle reste immobile plusieurs secondes à me sourire. Je pousse soudain un gros râle de plaisir. Cette salope joue avec les muscles de son vagin, elle masse ma bite. Je comprends mieux la réflexion qu’elle vient de me faire. J’ai vraiment l’impression qu’elle est en train de traire ma queue. La sensation est extraordinaire.
— Il en faudra plus que ça pour me faire jouir, dis-je en guise de défi.
Céline me sourit, se penche sur moi et me roule un patin baveux avant de se relancer dans une chevauchée infernale. Elle monte et descend sur mon pieu à un rythme infernal dans des mouvements amples, elle manque à chaque fois de me faire sortir de sa chatte.
Ses seins se balancent dans tous les sens à quelques centimètres de mon visage. Je ne peux plus supporter ce spectacle. Je les empoigne et arrête leur danse. Je me jette dessus, je les lèche, les mordille. J’en suis dingue. Les soupirs de Céline se font de plus en plus lourds. Elle prend son pied. Elle ne ralentit pas le rythme de ses coups de hanches. Elle y va de toutes ses forces, sa chatte claque sur mon pubis. C’est vraiment elle qui me baise.
Après de longues minutes à alterner folle chevauchée et massage de ma queue avec sa chatte, la respiration de Céline se fait plus difficile, ses mouvements sont de moins en moins coordonnés. Elle est sur le point d’avoir un orgasme. Je joue avec ses tétons pour faire monter un peu plus son plaisir. Elle est vraiment très sensible, il ne lui faut que quelques secondes pour être emportée par un tourbillon de plaisir. Elle hurle comme une démente. Heureusement que nous sommes seuls dans l’immeuble à une telle heure. Sa chatte est agitée de spasmes terribles. Je dois me mordre ses lèvres pour ne pas la suivre et inonder sa chatte de sperme.
— Oui ! Ah ! Oui ! Putain ! Idris ! Oui ! Oui !
Dans un dernier râle, elle s’effondre complètement sur moi. Elle est haletante.
— T’étais pas censé me faire couiner et essorer mes couilles ? demandé-je tout en massant son gros cul à pleines mains.
— Je n’en ai pas fini avec toi, dit-elle par défi, sans être bien convaincante. Laisse-moi juste le temps de reprendre mes esprits.
Il lui faut plus d’une minute avant de trouver la force de se redresser. Elle essaie de recommencer à me chevaucher comme tout à l’heure, mais elle manque clairement d’énergie, elle a les jambes qui flageolent. C’est à mon tour de jouer désormais.
— On va passer aux choses sérieuses. Il est temps que je redessine ta chatte à la forme de ma queue !
Ma bite toujours plantée en elle, je me lève. Elle gémit sous la pression de ma bite dans sa chatte. Elle passe ses bras autour de mon cou et enroule péniblement ses jambes autour de ma taille. J’empoigne ses fesses et la soulève jusqu’à n’avoir plus que mon gland en elle. Je la lâche alors et laisse faire la gravité. Elle pousse un couinement suraigu au moment où je l’embroche.
— Je vais t’ouvrir en deux. Tu vas gueuler.
Je répète l’opération une vingtaine de fois la faisant toujours plus gémir. Elle tente bien de se retenir avec les jambes et de limiter la pénétration, mais elle manque toujours de force. Je finis par la soulever et sortir d’elle. Instinctivement, elle déroule ses jambes de ma taille. Sa chevauchée de tout à l’heure l’a vraiment épuisée, elle a du mal à tenir debout. Je la pousse vers le fauteuil et la fais se mettre à quatre pattes devant. Je gifle ses fesses pour qu’elle se mette en position pour que je la prenne en levrette.
La vision de sa belle chatte me donne pourtant envie de prendre mon temps.
— Pose tes mains sur tes fesses et offre-moi ta chatte. Je veux goûter à ta mouille de chienne en chaleur.
Céline m’obéit. Elle va même jusqu’à glisser ses deux index sur ses grandes lèvres pour m’offrir une meilleure vue. Le spectacle qu’elle offre est délicieux. Sa petite chatte est rougie par tous les coups de bite qu’elle a reçus et elle dégouline de cyprine. Je me penche vers elle et hume avec délice ce parfum. Je donne un coup de langue appuyé à l’entrée de sa chatte. Céline feule. Je la lèche un long moment ainsi, savourant son goût sur ma langue.
— Hum, j’adore le goût de ta chatte de salope de femme enceinte qui vient de se faire ramoner par ma grosse bite.
— Et moi j’aime ce que tu me fais. Fais-toi plaisir. Avale en autant que tu peux.
Je referme mes lèvres autour de l’entrée de son vagin. Je plonge ma longue en elle, je la fouille avec avidité de longues secondes avant de m’arrêter et d’aspirer tout le jus qu’elle vient de produire. Céline tremble de tout son corps. Je décide de lui faire perdre complètement pied et tout en continuant de la lécher, je viens glisser deux doigts sur son clitoris. Dès que je me mets à le caresser, ses gémissements redoublent.
— Oui, c’est bon, continue, ne t’arrête surtout pas. Oui ! Là ! C’est bon.
Je joue avec elle. Je la tiens au bord d’un orgasme que je lui refuse en arrêtant ce que je fais. Je la rends folle.
— Je t’en supplie, pitié, laisse-moi jouir.
J’adore sa voix suppliante. J’ai l’impression qu’elle serait prête à tout pour que je la laisse jouir. Je décide de lui donner ce qu’elle demande. Je la stimule au maximum. Ma langue se transforme en véritable tourbillon dans son vagin et mes doigts font vibrer son clitoris. Il lui faut que quelques secondes pour exploser. J’accueille avec délice le flot de mouille qu’elle m’envoie dans la bouche. C’est une véritable fontaine. J’adore vraiment le goût de son jus.
Céline est encore dans son orgasme quand je m’accroupis derrière elle et présente mon gland à l’entrée de sa chatte ruisselante. Je pose mes mains sur ses hanches pour bien la maintenir et dans un grognement, je l’enfile jusqu’aux couilles. Ses mains se crispent sur le fauteuil et elle redresse la tête en sursaut en hurlant.
— Ah ! Oui ! Putain !
Je ne lui laisse pas le temps de se remettre. Je ressors et l’embroche dans un nouvel énorme coup de reins qui la fait une fois de plus hurler. Je lui donne une série de coups de bite surpuissants, le claquement de ses magnifiques fesses sur mon corps résonne dans toute la pièce.
Je la saisis par les cheveux et tire dessus pour lui faire redresser la tête. Je tire un peu plus pour qu’elle se retourne et je lui roule une pelle bien baveuse. Quand nos langues se séparent enfin, je me lance dans un ramonage intensif. Céline couine comme une folle.
— T’aimes ça te faire tringler par une grosse bite ?
— Oh ! Oui ! J’adore. Ça m’avait trop manqué. Continue, n’arrête surtout pas.
Elle me rend dingue. Je n’arrive vraiment pas à me calmer. Je l’enfile à grands coups sur toute la longueur de ma queue.
— Ah ! putain, Céline, t’es vraiment une belle salope !
— Oui ! je suis ta salope, ton vide couilles, ton sac à foutre. Défonce-moi.
— Je vais te faire gueuler, sale chienne ! Je vais noyer ta chatte sous des flots de foutre !
Je lui claque les fesses et j’augmente encore l’intensité et le rythme de mes coups de queue. Céline hurle comme une folle. Je sens sa chatte qui dégouline un peu plus sur ma queue. Je suis vraiment fasciné en constatant à quel point elle encaisse bien. Luc doit vraiment en avoir une grosse lui aussi. Je peux me lâcher. Je ne retiens pas mes assauts. Je la défonce comme jamais.
J’adore sentir sa chatte céder sous mes coups de queue. D’une chatte bien étroite qui me compressait délicieusement je suis arrivé à en faire un gouffre béant dans lequel je rentre avec facilité. Je ressors régulièrement d’elle pour profiter du spectacle. Hum, la vue est absolument magnifique. Je replonge chaque fois dedans avec délice. Je suis devenu accro.
Nos corps dégoulinent de sueur. Céline est de plus en plus haletante, ses mains s’agitent nerveusement sur le fauteuil. Sa chatte est agitée de spasmes et dégouline. Elle se met soudain à pousser des gémissements et des cris sans queue ni tête. Je lui ai donné un deuxième orgasme, je peux enfin arrêter de me retenir. Alors que sa jouissance n’est pas encore passée, je me lance dans un pilonnage furieux. Ses cris reprennent de plus belle.
— Oui ! Oui ! AH ! Putain ! Idris ! Encore ! Encore ! Plus fort ! Défonce-moi !
Je voudrais continuer de la baiser pendant des heures tant je prends mon pied avec elle, mais je suis arrivé à mes limites. Mes coups de reins deviennent vite étatiques. Je vais bientôt jouir.
— Putain, ça vient. Je vais jouir.
— Vas-y, jouis, ne te retiens pas. Remplis-moi de foutre !
— Je vais gicler, je vais inonder ta chatte de salope.
Je plonge au fond d’elle et reste planté là. Je pousse un puissant râle au moment où je me libère enfin et gicle en elle. Un premier énorme jet de sperme vient remplir son vagin, puis un deuxième, un troisième. Je ne m’arrête pas de gicler. Je suis au septième ciel, cette salope est en train de m’offrir ma plus grosse éjaculation. Céline n’arrête pas de gémir, elle prend son pied à se faire arroser la chatte.
Ma queue continue de pulser, mais plus rien n’en sort. Je reste encore de longues secondes enfoncé en elle avant de retomber en arrière. Céline reste immobile. Je fixe avec avidité sa chatte désormais béante. Je vois les premières gouttes de mon sperme apparaître. Mon foutre s’écoule le long de ses jambes et sur le sol. Putain, je lui en ai vraiment mis la dose.
J’ai le gland sensible après une telle baise et une si grosse éjaculation. J’adore me faire lécher dans ces cas-là, mais Céline n’est visiblement pas en état. Elle a glissé du fauteuil pour s’asseoir par terre. Elle me regarde d’un air béat. Mon foutre continue de s’écouler doucement de sa chatte.
Je décide de la laisser tranquille. Je vais récupérer les vestiges de sa robe. Je m’en sers comme d’une serviette. Je m’essuie devant elle. J’astique ma queue encore à moitié bandée et retire nos mélanges de fluides à quelques centimètres de son visage. Elle n’arrive pas à quitter ma queue des yeux.
— Tu n’es peut-être pas parvenue à me faire couiner, mais tu m’as bien essoré les couilles.
Céline rit. Cette femme est vraiment magnifique. Il ne me faudrait pas grand-chose pour rebander et l’enfiler une seconde fois, mais il se fait tard et je dois partir.
De retour chez moi, je meurs déjà d’envie de la rejoindre pour lui faire sa fête. J’espère qu’elle ne tardera pas à venir réclamer mon jus de couilles.
À suivre ?
Ajouter un commentaire