Dans « Chasseur d’escargots », publié sur ce site hier, je vous disais que j’ai passé ma vie à me promener nu dans la nature. Je vous ai dit combien les sensations éprouvées à le faire me procuraient un plaisir intense.
Près de chez moi, il y avait une forêt où, bien entendu, je me rendais très régulièrement pour courir et, le plus souvent, pour me mettre à poil. Et m’exhiber, si possible, bien entendu. Mais c’était selon l’humeur du moment : il y a des jours où j’aurais montré ma bite – que j’ai très sympa – à n’importe qui et d’autres où je me contentais de faire mon « running » comme on dit aujourd’hui. Mais, de façon à être toujours prêt à répondre à la moindre pulsion et me désaper rapidement, je partais courir avec seulement un T-shirt et un short sans rien en dessous. En deux secondes, j’étais à poil et être ainsi en pleine nature, c’était grandiose.
Mes « promenades » m’amenaient dans deux endroits au choix : soit au bord d’une route très passante, la nationale 4, soit sur une grande butte de terre, assez sauvage, pleine d’herbes folles qui me chatouillaient la bite quand je marchais. Au bord de la route, j’ai eu mes heures de gloire : les routiers n’étaient pas avares en klaxons et appels de phare quand ils m’apercevaient… mais ils ne pouvaient pas s’arrêter. J’aimais aller au bord de cette route le samedi matin, au moment où le trafic était ralenti à cause des départs en week-end. Là, les gens en voiture avaient tout le temps de me mater. Un jour, un car s’est arrêté juste en face du chemin qui débouchait sur la route et l’accueil a été génial ! Une jeune femme m’a même montré ses seins !
Aujourd’hui, je ne le fais plus car tout le monde est équipé de portables avec fonction photo et ça pourrait m’être fatal !
Une autre fois encore, j’arrivais, à poil comme toujours et en totale érection, au bord de la route quand je vis un artisan qui avait arrêté sa camionnette 10 ou 20 mètres avant et qui était en train de pisser. Lui aussi m’a vu dès que j’ai fait mon apparition au bord de la route. Il s’est alors tourné vers moi et m’a ostensiblement montré sa grosse bite. Tandis qu’un camion passait en klaxonnant à tout va, moi, je me suis branlé devant lui quelques secondes et je suis rentré sous le couvert des arbres. Il a compris que c’était une invite et il m’a suivi.
C’est un type, pas très grand, qui devait avoir la cinquantaine, barbe de 3 jours poivre et sel, et portugais d’origine d’après son accent. Je l’attendais en me branlant sous un arbre. Il arriva, bite en avant, les yeux exorbités fixés sur ma quéquette dont il s’est aussitôt emparé. J’ai fait de même avec la sienne. Il semblait aux anges. Mon expérience avec le chasseur d’escargots s’était passée à quelques dizaines de mètres de là et j’en gardais le goût de sa bite en bouche. J’avais aimé la sucer et la faire juter. Alors, avec le Portugais, je n’hésitais pas quand il me demanda :
– Soucé ma bite !
– D’accord mais tu suceras la mienne aussi !
– Sim, sim ! Vas-y !
Je m’agenouillais et pris son membre en bouche. Il était vraiment gros, bien décalotté et un peu recourbé. Il sentait fort lui aussi. Je l’ai sucé, m’attardant sur le gland, tout en le branlant. Il râlait. Les voitures passaient sans nous voir, à trois ou quatre mètres de nous. C’était génial !
Il était endurant et cela a bien duré dix bonnes minutes de va et vient de mes lèvres sur son gros dard poilu. Un moment, il m’a demandé de lever mon cul pour le caresser, me branler et finalement me doigter. Ca m’a surpris mais comme il n’était pas trop sauvage dans ses manières, c’était bon.
A ce moment, un vététiste est passé sur le chemin et nous a vu. Mon Portugais a voulu retirer sa bite de ma bouche. Je lui ai dit :
– Laisse, on continue. Il a l’air d’aimer !
Et, en effet, le type – d’une quarantaine d’années – avait posé son VTT par terre et il s’approchait en sortant sa queue de son cuissard. Belle queue, d’ailleurs.
– Je peux regarder ? a-t-il fait.
– Oui. Viens plus près.
Pendant qu’il faisait encore quelques pas timides vers nous, je me suis bien mis de profil pour qu’il puisse profiter du spectacle de la grosse queue du Portugais entrant dans ma bouche et en sortant.
Mon acolyte a vite déchargé. J’ai juste eu le temps de retirer sa bite de ma bouche. Un peu tard, d’ailleurs. Notre voyeur s’astiquait frénétiquement une bite de taille moyenne. Je n’avais qu’une peur : c’est qu’il me demande de le sucer parce que j’avais donné : j’avais des crampes dans les joues. Je m’approchais de lui néanmoins, pendant que l’autre, remettait vite sa bite dans son pantalon, nous saluait rapidement et rejoignait sa camionnette… oubliant sa promesse de me sucer ! Sans doute, cette culpabilité d’après coït…
Moi, je pris la bite du voyeur dans ma main et je commençais à le branler. J’étais toujours en érection et il louchait sur ma bite avec envie.
– Tiens, prends là si tu veux !
Lui dis-je en projetant ma queue en avant. Elle se balança un moment, droite et provocante, avec son gros gland tout rouge, devant lui. Il la prit et commença une branlette dont je me souviens encore. Ce mec devait se paluchait souvent pour branler si bien. C’était un professionnel, c’est certain.
Nous avons déchargé quasiment en même temps. Quand nous eûmes terminé, il me dit :
– P*****, c’est trop bon ! Il faut se revoir !
Je devais le revoir, en effet. Au même endroit et à plusieurs reprises. Nous nous branlions. Nous ne nous sommes jamais sucés, c’était convenu d’avance. C’était sa volonté, sans doute pour ne pas se sentir coupable vis-à-vis de sa femme. Et puis, plus rien. Il a dû quitter la région. Mais quelles branlettes nous nous offrions !
A bientôt. Je vous raconterai ce qui m’est arrivé une fois, avec un couple, sur la butte pleine de ces herbes sauvages qui me chatouillaient la bite…
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