Assise près de son feu, elle vit nue, elle mange des baies, du poisson et des fruits, elle dort toute nue à l’air libre sur le sable. Puis elle vit ainsi en autarcie depuis près de trois ans. Elle n’a ni compte bancaire ni statut social, elle est seule et elle se suffit à elle-même. Elle se prélasse, elle ignore l’heure et elle préfère vivre selon l’instant présent et au moment ou une jeune femme passe par là, elle se donne du plaisir, elle s’offre un tendre moment en massant son petit sexe velu. Elle gémit, elle soupire, elle râle son plaisir et Ludivine qui passe justement par là laisse une certaine distance entre elle et ses parents pour assister à la scène. Depuis longtemps, Ludivine se prive alors elle s’autorise de voir qui peut bien se faire à ce point plaisir. La sauvageonne ne parle pas. Elle a l’ouïe fine et quand Ludivine marche sur une branche, la sauvageonne s’arrête et se redresse sur son séant, elle hoche la tête. Se trouvant un peu bête, Ludivine se sauve, la sauvageonne arrive pile face à elle présentant sa poitrine ferme et son sexe brun encore humide.
La sauvageonne ignore comment elle s’appelle et Ludivine lui trouve un nom puisqu’il faut nommer les gens pour les identifier, elle l’appelle Wildie, elle garde ce nom à l’esprit. Wildie s’approche en marchant bien droite, arborant fièrement son corps couvert de poussière. Elle pose une main sur le sein droit de Ludivine, elle fait descendre sa main sur les hanche puis sur les fesses. Tétanisée, Ludivine craint d’effaroucher ou de mettre wildie en colère, ignorant ce qui peut se passer dans la tête de cette paumée qui vit toute nue. Wildie relève la robe de Ludivine et s’agenouille devant elle, elle relève la robe puis regarde le pubis prisonnier de la culotte blanche et rouge à rayure. Elle écarte un peu l’entre jambe et paralysée de stupéfaction, Ludivine se laisse faire. Wildie vient sentir le sillon et sourit, elle arrache la culotte et invite Ludivine dans son antre à l’air libre, elle tire son invitée par la main, elle lui arrache la robe sans ménagement, elle la met nue, la couche sur le sol, elle se couche sur elle.
Ludivine se sent violée, et elle a peur, qui sait ce que cette folle peut imaginer, la manger toute crue par exemple. Ludivine fait pipi sur elle tant elle à peur et Wildie glousse et plaisir. Elle s’en fiche qu’on lui fasse pipi dessus, elle ira se baigner. Wildie prodigue des caresses et des baisers, elle masse délicatement les seins. Ludivine est nue, elle est subjuguée, la sauvageonne lui fait du bien. Lui offre cet orgasme dont son futur époux la prive. Elle imaginait mal avoir une relation sexuelle avec une fille. C’est fait, sous ses fesses, le sable est doux. La sauvageonne se délecte en léchant le ventre. Elle mordille doucement les seins. Pourquoi est elle là toute seule, nue et loin de toute civilisation ? Wildie s’en souvient comme si c’était la veille. C’est une autre histoire. Wildie descend en région pubienne et vient humer ce sillon caché sous une épaisse toison blonde et soyeuse. Elle lèche les grandes lèvre avec délicatesse. Elle aspire et relâche ce petit clitoris et Ludivine tremble, elle sent monter en elle une vague de plaisir intense. Wildie dirige et Ludivine n’a plus qu’à obéir. Se retrouvant totalement nue, la jeune femme civilisée a peur de ce qu’on pourrait penser d’elle. Wildie la retourne comme une crèpe, elle se couche sur elle, elle masse ses fesses, elle fait des milliers de bisous dans le cou de son invitée puis elle lui pelote doucement les fesses, elle passe la main sous le bassin ,elle joue avec la vulve, ellle la masse, elle la flatte de douces petites claques et Ludivine a un orgasme, elle pousse un râle, tout s’est produit en trois ou quatre minutes. Mais Wildie compte bien garder Ludivine près d’elle alors elle l’épuise sexuellement en lui prodiguant orgasme sur orgasme. Endormie, Luvidine est la proie idéale pour la sauvageonne qui la porte nue comme un sac et la couche sur la plage, elle la laisse assez haute pour éviter la marée montante. Alors elle l’attache à une branche qui surplombe la plage et elle la laisse ainsi avec les mains dans le dos et les pieds en hauteur.
Quand elle se réveille, Ludivine panique forcément, elle est bâillonnée par ce qui reste de sa robe et ses proches la recherche partout sans succès. Cela fait trois jours qu’elle est recherchée et nul ne sait ou elle est. Wildie passe la main sous la nuque et sert à boire à Ludivine qu’elle a laissé dormir, elle la libère puis se couche sur elle pour lui offrir la tendresse. Elle ne parle jamais, elle la regarde, elle la libère de son bâillon et de ses liens, Ludivine peut crier, nul ici ne l’entendra. Wildie la regarde et la couche un peu rudement sur le sol. Elle se couche près d’elle pose une main sur son ventre qu’elle caresse. Elle la serre contre elle, pose sa cuisse en travers sur celle de sa compagne qui probablement ne voudra plus revenir à la civilisation. Willdie tient tendrement Ludivine contre elle. elle s’endort et Ludivine se met à penser que finalement la sauvageonne dont les médias parlent en mal est loin d’être si mauvaise, avec elle, Ludivine à connu un moment fantastique et se retrouver nue avec elle est peut être un peu stressant au début mais l’air qui caresse sa dune est agréable. Wildie est une grande enfant, ellle pose un doigt sur le téton du sein droit et elle joue avec roulé un petit galet depuis le sommet de la coline. Elle regarde la vulve de son invitée, son amante maintenant et elle la retourne rudement comme une crèpe, elle lui relève le bassin, elle enfonce un doigt dans son petit cratère et prodigue des va-et-vient de bonne facture. Ludivine effrayée par la propre image qu’elle a d’elle en telle posture se concentre maintenant sur ce qu’elle ressent.
Ludivine vit maintenant avec Wildie depuis cinq jours. cinq jours de nudité, quatre nuit qu’elle dort à l’air libre et nue sur la plage. Wildie la secoue pour la réveiller puis elle lui offre un baiser langoureux.
A suivre …
Ajouter un commentaire