Salut les Xhamstériens,
Les faits ce sont passé en août 2013 , sur mon lieu de travail.
Je travaille dans un vaste immeuble. Il est haut de 6 étages et les couloirs sont souvent désert , calme, silencieux…. Bref le genre d’immeuble où on a l’impression d’être le seul à bosser.
Je m’occupais de répondre aux appels téléphonique des clients mécontents ou soucieux de savoir si leurs réclamations étaient bien arrivées dans la boîte aux lettres.
Je travaillais avec 2 autres collègues. Un gars de 30 ans et une fille un peu plus vieille que moi, âgée de 25 ans.
Elle s’appelait Coralie et me faisait fantasmer. Elle mesurait 1m65 , physique athlétique. Elle était fort blanche de peau et était brune de cheveux. Des cheveux bouclés qui me donnait envie de passer mes mains dedans. Elle avait de grand yeux sombre et une petite bouche bien sexy.
Je fantasmais sur elle, surtout parce qu’elle avait une paire de seins naturels énoooooooorme.
De plus, elle portait toujours des tenues bien moulante et juste d’y repenser , je sens mon excitation monter.
Pour finir, elle avait un postérieur vraiment agréable au regard.
Je m’étais souvent masturbé en pensant à elle, je l’imaginais me faire une fellation sous le bureau pendant que je répondais aux insultes d’un énième client mécontent au téléphone.
Je pense qu’elle sentait que j’étais attiré par elle car elle venait toujours me toucher les épaules , s’asseoir sur mes genoux durant les pauses. Dans le but simplement de m’allumer ou de voir dans mon regard la flamme du désir qui grandissait en moi.
Nous étions un vendredi après-midi. Période de vacance oblige, mon service était quasi-vide. Mes 2 chefs étaient en congés, ainsi que la majorité de mes collègues. Bref , je me retrouvais quasiment seul avec Coralie et mon collègue dans notre bureau.
Le téléphone sonna, Coralie répondit. » oui , oui je m’en occupe pas de soucis ». Coralie se tourna vers moi :
» C’est Annick la secrétaire du chef, elle me demande d’aller au mess vider le lave-vaisselle car samedi il y a une réunion. Tu veux bien m’aider???? »
Je répondis par l’affirmative et nous prirent la direction du mess, situé 3 étages plus haut.
Nous primes l’ascenseur et cette situation m’excitait.
Je lui demanda alors: » Alors Cora, ca va les allergies???? »
Elle me répondit que ça allait pas fort en ce moment, même avec les médicaments ses yeux la démangeait .
Pour plaisanter , je lâcha : « moi je connais un moyen, faut que tu m’embrasse et tu verras, ca va aller tout seul ».
Elle pouffa de rire , sûrement sous la surprise et me dis » Alalala , si tu n’existait pas, il faudrait t’inventer ».
Je commençais déjà à avoir une érection ,voyant ses gros seins si proche de moi. Je dis alors » ben aller, je te montre « . Je m’avanças vers elle, excités par son corps de rêve et son beau visage. Elle ne bougea pas mais dit » si tu m’embrasses je t’explo…. » trop tard, mes lèvres étaient sur les siennes.
Elle me repoussa assez vivement, et je battis en retraite, prêt à m’excuser . C’est à ce moment qu’elle dit » Oh et puis merde » et m’embrassa à pleine bouche.
Je bandais comme jamais, mon sexe gonflé ne demandais qu’à sortir pendant que je l’embrassais goulument .
Le tintement de l’ascenseur retentit. Personne ne l’attendait heureusement. Je commenças à embrasser Coralie dans son cou, je sentais sa grosse poitrine contre mon torse. Je la serrais contre moi . Je voulais lui faire l’amour là tout de suite dans cette ascenseur. Je voulais la sentir vibrer et jouir sous mes coups de reins.
Elle me repoussa gentillement , en rigolant. Elle me dit » arrête sauvage, pas ici… On vide le lave-vaisselle et puis ont s’éclipsent aux toilettes » ..
J’ai jamais été aussi vite pour vider un lave-vaisselle, je l’entassa dans le bac du service, le pris et suivit Coralie vers les toilettes. Je posa la vaisselle prés du distributeur à boisson, de sorte qu’il ne fut pas visible pour quelqu’un qui aurait l’idée de se prendre un soda.
Coralie ouvrit la porte des toilettes des femmes , vérifia que celle-ci était vide , puis me tira vers elle et m’embrassa. Je rendais chacun de ses baisers avec plus d’envie encore. J’étais contre elle, la serrant pour bien sentir son corps. Mon érection était à son maximun . Je faisait pression avec mon sexe sur son corps de sorte qu’elle ne pouvait ignorer la présence de celui-ci.
En même temps je pelotais ses énormes seins et commenças à l’embrasser dans son cou.
Cela eu pour conséquence de l’exciter encore plus, elle gémissait de plaisir . Je décida de déboutonner son pantalon, et je glissa deux doigts dans sa culotte à la recherche de son clitoris.
Elle gémit de plus belle et me mordais légèrement dans le coup . Elle plongea ses mains sur mon pantalon, le déboutonna à son tour et libéra de mon caleçon mon sexe gonflé par le désir. Nous nous masturbions réciproquement tout en nous embrassant.
Je décida de lui faire un cunnilingus. Je commença à manger sa belle chatte . Je faisait des mouvement de va-et-vient sur son clitoris, en variant les coups de langue pour la faire mouiller de plus belle.
Je sentis ses mains sur l’arrière de ma tête. Elle me plaqua le visage sur sa merveilleuse chatte en feu. Je prenais mon pied et elle aussi. Elle gémissait de plaisir en répétant mon prénom et en me disant de continuer.
Je la fis jouir . Je la sentit vibrer sous mes coups de langue. Elle me libéra de son étreinte et commença à me sucer. Elle suçait bien, une vraie pompe. Elle s’arrêta et me dis » je veux pas que tu jouisse maintenant, fais moi l’amour avant ».
Je sortis alors un préservatif de ma poche et pensa à remercier Charlotte en pensée ( NDlR: voir « voyage rhéto) qui m’avait conseillé de toujours en avoir un sur moi pendant que je sortais avec.
Coralie me suça encore, puis elle plaça elle-même la capote. Je la retourna pour qu’elle prenne appui sur le réservoir d’eau du WC ,et je commença à la pénétrer.
J’opérais doucement, tout en malaxant ses gros seins. Je ne voulais pas jouir trop vite . Du coup je prenais mon temps . Cela lui plaisait car elle complimentais ma façon de faire.
Elle prenait son pied. Je commença à accélérer le rythme . Elle commenças à gémir bruyamment en me disant » Viens, viens , aller joui en moi, joui ». Sur ses paroles, je répondis une quantité importante de sperme dans le préservatif tout en gémissant de plaisir.
Je me retira de son vagin, enleva la capote, fis un nœud et la jetta dans la poubelle (écologie oblige). Nous nous regardèrent et explosèrent de rire en voyant nos têtes satisfaite et nos vêtement débraillés.
Après avoir remis en ordre nos vêtements et nos coiffures , nous reprirent la vaisselle et entrèrent dans l’ascenseur.
« T’es bon tu sais, j’ai vraiment aimé. T’es doué mon chou. Et pour les allergies, c’est vrai que ça marche » dit-elle en souriant.
Je rougis et lui dis que c’était pareils pour moi et j’étais heureux que mes baisers agissent. Je l’embrassa une dernière fois avant que les portes de l’ascenseur ne s’ouvrent sur notre étage.
J’ai eu le plaisir de travailler encore 2 mois avec Coralie. Chaque vendredi nous avions notre moment de sexe intense. Cela nous convenaient . Pas de sentiments amoureux, juste du sexe.
En novembre, je fus muter sur un autre site. Je n’ai plus jamais revu Coralie. Je ne sais pas si elle pense encore à moi. Pour ma part, je me masturbe encore souvent en repensant à ses gros seins et son beau visage.
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