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Le dressage de ma mère 11 (La famille L.)

Le dressage de ma mère 11 (La famille L.)



J’avais décidé de rester chez les L. et à y prendre mes quartiers.
Le mari dans sa nouvelle chambre, la bonne renvoyée chez elle, j’allais passer la nuit avec Patricia, la mère et Caroline, la fille.
Patricia n’en finissait pas de prendre sa douche.

– Tu vois, Caroline, je crois que ta mère va encore être punie, elle fait attendre son maître.
– Oui monsieur. désirez-vous que je vous suce pour patienter ?
– Non, ma grande, tu suces si bien que je serais capable de jouir sur toi, et cette nuit, je veux que ta mère goûte à mon foutre.
– Bien monsieur, dit elle en caressant ma queue.
– Va chercher ta mère.

Caroline se leva d’un bond. J’entendis des cris qui venaient de la salle de bains et m’y rendis. J’ouvrai la porte et vis Caroline et sa mère qui se disputaient.

– Qu’est-ce qui se passe ici ?
– Ma mère ne veut pas venir immédiatement, elle dit qu’il faut qu’elle se sèche.

Patricia venait de sortir de la douche et ruisselait.

– Regarde Caroline, comment il faut que tu fasses si je te donne un ordre.

J’attrapai Patricia par les cheveux et la fit traverser le couloir jusqu’à la chambre, puis je dis

– Agenouille-toi et demande pardon
– Pa.. par.. pardon .
Claaack !!
Je la giflai et lui dis :

– Maintenant tu retournes à la salle de bains. Caroline, tu me la ramènes !
Je m’installai sur le lit et vit Caroline, tenant sa mère par les cheveux arriver jusqu’à la chambre. Elle ordonna à sa mère:
– À genoux devant Monsieur, et vite !

Patricia était terrorisée. Ruisselante, elle se laissait faire.

– Bien, maintenant gifle là comme elle le mérite.

La gifle que lui envoya Caroline sonna encore un peu Patricia qui se mit à pleurer.

– Arrête de pleurer, dis-je en lui jetant une serviette. Allez, debout et essuie-toi ! Caroline, viens ici et branle moi un peu.

Patricia se séchait lentement. La démonstration avait eu le mérite de poser les rôles. Ce soir, au moins, Patricia serait aussi l’esclave de sa fille.

– Allez, ça suffit, dis-je à Patricia. mets-toi au lit et frotte-toi sur moi. Nous allons voir si la mère et la fille seront à la hauteur.
Patricia était allongée sur ma gauche et Caroline, à droite, me masturbait doucement.

– Désormais, vous êtes mes deux putes et allez obéir à tous mes ordres. J’attends de vous deux que vous soyez réactives, prévenantes et loquaces. Réactives, car je ne supporte pas que vous traîniez quand je donne un ordre. Par exemple, Caroline, tu vas te mettre à genoux et me sucer.

Caroline, immédiatement se plaça entre mes jambes et me prit en bouche, tout en me regardant.
Elle prenait visiblement plaisir et faisait tourner sa langue pendant que ses lèvres enserraient mon gland.

– C’est très bien, tu vois, Patricia, ta fille est bien obéissante. J’espère que tu sauras en faire autant.

Patricia regardait Caroline avec un regard dur. Je poursuivis.

– Bien, Caroline, laisse la place à ta mère.
– Oui monsieur.

Patricia eut un moment d’hésitation. Je la pris par les cheveux.

– Allez Patricia, ne lambine pas, au travail. Caroline, dis à ta mère ce qu’elle doit faire.
– Maman, tu vas sucer monsieur, et applique-toi, sinon je crois que tu seras punie.

Doucement, Patricia prit la place de sa fille et hésita à me prendre en bouche. Caroline lui appuya sur la tête.

– Alleeeeez maman, on t’a déjà vue sucer tout à l’heure. Regarde monsieur et prends la entièrement dans la bouche. Monsieur, elle a un peu hésité, vous allez la punir ?
– Tu as raison ma grande. Elle n’a pas obéi assez vite. Je pense qu’une bonne sodomie serait de mise.

Patricia me regarda horrifiée et me pompa avec une ardeur de conséquence.

– Mfpfnooon, Mpfnooon, grogna-t-elle, ma queue dans la bouche tout en faisant non de la tête.

Elle retira ma queue de sa bouche et, tout en continuant à passer sa langue et dit.

– S’il vous plaît, non, je vous en supplie. Monsieur, s’il vous plaît. Regardez, patron, je lèche vos couilles, non maître, par pitié !
– Tu obéiras plus vite la prochaine fois ?
– Oui monsieur
– Viens t’asseoir sur ma queue.

Elle avança vers moi, mit les bras de chaque côté de ma tête et, laissant ses seins lourds traîner sur mon visage commença à s’empaler sur ma queue.
– Aaaahh, aaaah, voilàààà, est-ce que cela vous convieeeent ?
– C’est très bien, tu t’améliores. Monte et descends, comme ça. Caroline, tu en penses quoi ?
– C’est bien, elle prend bien votre queue, désirez-vous que je vous lèche en même temps, monsieur ?
– Non, on va passer à un autre exercice. Vous allez vous gouiner. Allonge-toi, ta mère va nous montrer comment elle fait un soixante-neuf avec sa fille.

Patricia me regarda stupéfaite.
– Eh bien, Patricia, ne prend pas cet air godiche. Allez ma belle, regarde, ta fille t’attend.
Caroline reprit.
– C’est vrai maman, j’ai été obligée de sucer mon père tout à l’heure, il est normal que je te bouffe la chatte. Montre à monsieur comme tu es une bonne mère, viens t’asseoir sur moi.

Sans rien dire, Patricia se retira de ma queue et vint s’installer sur le visage de Caroline qui lui écarta les fesses et dit.
– Monsieur, si le coeur vous en dit, ma mère est prête à se faire mettre.

Je m’installai derrière Patricia et commençait à la pénétrer. Je sentais la langue de Caroline passer du clitoris de sa mère à mes couilles dans un va et vient rapide et précis. J’appuyais la tête de Patricia pour la forcer à lécher Caroline.

– Vous êtes deux bonnes petites putes, c’est très bien. La prochaine fois, Caroline, tu prendras la place de ta mère, mais, pour l’instant, vous m’excitez suffisamment. Il est tard et j’ai bien envie de jouir et de dormir. Allez, les filles, vous allez me lécher et avaler mon foutre.

Je donnai une claque sur le fessier de Patricia. Elles se levèrent et se mirent de chaque côté de ma queue. Caroline attrapa ma bite et la fourra dans la bouche de sa mère, puis, elles me léchèrent en même temps. Caroline prit la main de sa mère et l’amena jusqu’à mes couilles qu’elle malaxa doucement.
– Voilààà, c’est bien, je veux sentir vos langues monter et descendre, aaaah, ouiii, Patricia, sors bien ta langue.

Patricia se mit dans l’axe de ma queue, bouche ouverte et langue sortie. J’éjaculais une partie sur son visage et me terminai dans sa bouche.
– Avale bien, salope, et toi, Caroline, nettoie bien tout !
Une fois ma queue nettoyée, elles se placèrent de chaque côté de moi.
– Bien, il faut dormir maintenant, j’ai demain une journée chargée. Ah, Patricia, ton mari me servira de chauffeur et toi, tu prendras tes nouvelles fonctions de secrétaire.
– Mais ? Je ne l’ai jam..
– Tais-toi ! Tu me serviras de secrétaire. Tu prendras les notes que je te dicterai, tu iras faire mes courses et tu me serviras également de vide-couilles quand j’en aurai besoin. Compris ?
– Oui
– Oui qui ?
– Oui patron.
– Quant à toi, Caroline, tu resteras ici demain et je passerai te chercher le soir.
– Oui monsieur.

En me réveillant je constatai que Patricia n’était plus dans la chambre. Je la retrouvai dans le salon, en train de discuter avec Richard.
– Alors les voleurs, on complote ?
Richard me dit
– Ecoute.. euh écoutez, vous êtes allé beaucoup trop loin hier, nous allons oublier tout ça, je vous redonne ce qui vous a été pris et n’en parl..
– Ecoute-moi, toi l’escroc et toi la voleuse, c’est ce que vous avez fait pendant plusieurs années qui est inacceptable. Si encore une seule fois vous vous rebellez, j’envoie les photos de ta fille en train de te sucer aux flics et sur tous les sites pornos.
– Personne ne vous croira et on saura que vous nous y avez obligé, dit Patricia
– Si, tout le monde le croira ! dit Caroline qui venait d’entrer dans la pièce.
– Mais, Caroline, ma chérie.. dit son père
– Tu bandais comme un âne hier, quand je t’ai sucé. Toi, Patricia, on t’a filmé quand je te bouffais la chatte et on ne peut pas dire que ça te gênait beaucoup. Si vous n’obéissez pas à monsieur, outre les vols et escroqueries il faudra ajouter les relations sexuelles avec votre fille. ça risque d’aller trèèèès loin.
– Mais Caroline, tu nous fais chanter ? dit Patricia.
– Prends-le comme tu veux, moi, j’aime bien ce que monsieur nous fait faire.
– Espèce de petite vicieuse, traînée… dit Patricia

J’approchai d’elle et lui envoya une claque à laquelle elle ne s’attendait pas. Richard tenta d’intervenir et il vit que toute tentative serait vaine.
– Vous allez la fermer maintenant et obéir. je crois que c’est clair, non ?
Ils baissèrent les yeux et murmurèrent péniblement un oui à peine audible.

Caroline vint près de moi et dit
– Je crois qu’une punition s’impose, monsieur.
– Tu as raison. hmmm, tu as une idée ?
– Oui, dit-elle. Elle me murmura son idée à l’oreille puis dit: je vais chercher la caméra ?
– Rhoooo, mais c’est une excellente idée. vas-y !

Caroline revint avec sa caméra.
– Bien, vous allez être punis et nous jouer une petite saynète que je vais filmer. Je vous préviens, vous avez intérêt à être crédibles. Si vous jouez mal ou que vous vous écartez du scénario, la punition sera doublée. Compris ?
– Oui, mais que..
– Tais-toi Patricia !
– Oui monsieur
– Vous avez déjà vu le film « Délivrance » ?
– Non, dirent-il d’une voix.
– Tant pis. Alors voilà : Patricia, puisque tu t’es conduite comme une truie, tu vas nous faire la truie. Quant à toi, Richard, tu vas faire le porc.
– Mais, je ne comprends pas, dit Patricia.
– Richard va t’enculer devant nous, il faudra que tu nous regardes en poussant des cris de truie. Il va falloir que tu couines, ma salope.
– Mais vous êtes fou, jamais je ne pourrai.
– Si, tu pourras. Richard va t’enculer et te donnera des claques sur les fesses, à chaque claque, tu couineras. Et tu tireras la langue en couinant.
– Mais c’est imposs…
– Ta gueule maman ! Dit Caroline, monsieur ne plaisante pas. Vous avez intérêt à lui obéir.
– Petite putain, comment oses-tu me parl..
Claaaack !
J’étais médusé. La claque que Patricia venait de recevoir venait de Richard qui lui dit :
– Ta gueule, Patricia, tu vas obéir ou nous foutre dans la merde. Donc si le patron dit que tu dois couiner, tu couineras !

Patricia passait sa main sur sa joue encore rouge de la gifle.
– Merci Richard, tu viens de t’éviter d’être obligé de grogner comme un porc. En revanche, Patricia, tu vas nous faire le truie.
– Mais je ne comprends pas ce que vous voulez, dit Patricia en pleurnichant.
– Caroline, s’il te plaît, explique à ta mère, elle me fatigue.
Caroline sortit son téléphone et chercha sur internet des vidéos. Elle en trouva une sur laquelle une femme imitait le cri du cochon.
– Tiens, maman, regarde et surtout écoute.
On entendait des grognements suivis de cris stridents et gutturaux.
– Vous êtes fous, jamais je ne pourrai..
– TU VAS FAIRE LA TRUIE !! Hurla Caroline, c’est la dernière fois qu’on te le dit.

Patricia me regarda médusée et sa tête se baissa en signe de renoncement.
Je repris :
– Alors, c’est bien compris, Richard ? Ta femme va se mettre à quatre pattes face à la caméra et tu nous la fais crier comme une truie.
– Oui patron, mais si je ne bande pas ?
– J’ai bien une solution, monsieur, si je peux me permettre, dit Caroline en me faisant un clin d’oeil.
– Bien vu. Allez, Patricia, à poil et en position. Tu as compris ce que tu dois faire ?
– Ou.. oui.. oui monsieur.
– Dis le !
– Je vais me faire sodomiser par Richard, et à chaque claque je devrai pousser un cri de truie.
– Bien, Patricia, mets-toi le cul en l’air, écarte bien tes fesses. Entre chaque claque, tu pousseras des grognements. Toi, Caroline, tu vas sucer Richard comme tu sais faire pour le faire bander bien fort. Je veux que ta mère en prenne plein la rondelle.

Caroline s’approcha de son père et commença à le sucer délicatement. Patricia se mit à quatre pattes et, plaçant une main sur chacune de ses fesses, elle les écarta du mieux qu’elle le pouvait. Le visage au sol, elle attendait sa punition.

Au bout de quelques instants, Caroline arrêta sa pipe et dit.
– Monsieur, la queue de mon père est bien dure, il va pouvoir commencer.
– Bien, viens ici et commence l’enregistrement. Allez, Moteur !

Richard attrapa le cul de sa femme et commença à la pénétrer. Patricia se mordait les lèvres et fermait les yeux. elle grognait doucement. Rhoink, rhoink… Une grande claque sur le cul et Patricia poussa un petit cri aigü. hiiiiii !
Richard recommença
– Allez, fais la truie, regarde la caméra, et fait la truie !
– Hiiii, Hiiii cria Patricia un peu plus fort.
Claaaack !
– Mieux que ça, ce n’est pas comme ça qu’on couine quand on est une truie.

Patricia recommença
– Ouiiiii, ouiiiiii, ouiiiiii
Richard continua quelques coups de bites. Patricia regardait la caméra en grognant un peu plus fort. Il recommença.
Claaack !
– Alleeeeeez, mieux que ça, fais la truie ou je te défonce encore plus fort !

Patricia prit alors appui sur les mains, et se cambra de façon obscène. Elle comprenait que la punition ne prendrait fin que lorsqu’elle ferait exactement ce qu’on lui demandait.

Claaaaack une autre claque sur les fesses et Patricia changea soudainement de répertoire. Ses yeux se révulsèrent et, comme dans une transe, elle se mit à hurler.
– Grouiiik Grouiiiiiiiiik, hurla-t-elle la langue sortie. Elle regardait dans ma direction avec les yeux hagards.

Sans que Richard ne lui ordonne, elle grognait et hurlait de plus belle.
– Ouiiii, grouiiiiiik, je suis une truiiiie, Haaaa, ouiiiiiii, ouiiiii grouiiiiiik, encule ta truiiiiie, grouiiiik, ouiiiii !

Elle s’était mise à remuer ses fesses sur la queue de Richard comme une cochonne en chaleur.
Insatiable maintenant, elle alternait entre les grognement et grimaçait en imitant le cri a****l.
– Uiiiiii, Uiiiiiiii, rho rho, uiiiiiiiii Bourre mon cul de truiiiiiiiiie !!

À côté de moi, Caroline était assise et se branlait, regardant son père fesser sa mère qui poussait des cris de bête.
Richard continua encore quelques aller-retours et écartant le cul de Patricia, se vida dans son anus en poussant un râle rauque.
Patricia s’effondra, haletante, le visage encore rouge.
Je coupai la caméra et dis :
– Richard, va t’habiller et toi, Patricia, viens finir ta fille.
Sans rien dire, Patricia marcha à quatre pattes et commença à lécher la chatte de Caroline en faisant des bruits de langue. Je me demandais dans quelle mesure cette cochonne n’avait pas pris un plaisir insoupçonné à se voir humilier de la sorte.
Caroline me tint la main au moment de jouir.
– Aaaah monsieur, cette cochonne va me faire jouiiiiir, aaaaaah, ouiiiiii, enfonce bien ta langue, passe là partouuuut. Aaaaaaahhh !
Je passai ma main dans les cheveux de Patricia.
– C’est bien, tu as été parfaite. Mais dis-moi, tu as aimé ça ?
– Non, pas au début.
– Ce n’est pas ce que je te demande, tu as aimé ça ?

Elle me regardait, encore haletante et murmura
– Oui, à un moment, oui…
– C’est trèèès bien. Tu vois, tu finiras par en redemander. Tu es une bonne truie qui couine quand on l’encule ?
– Oui monsieur
– Dis-le
– Je suis une bonne truie qui couine quand on l’encule.
– Allez, file t’habiller, nous avons une longue journée. Et surtout, pas de culotte, compris ?
– Oui monsieur, pas de culotte.
– Richard va nous servir de chauffeur et tu monteras à l’arrière de la voiture avec moi. Tu me suceras sur le chemin. si tu arrives à me faire jouir sur le trajet, tu n’auras pas besoin de me vider les couilles au bureau, sinon…
– Bien monsieur.
– Allez, file. Quant à toi, Caroline, sois prête vers 19h. Tes parents viendront s’excuser auprès de ma mère, je ne voudrais pas que tu rates ça.
– Bien monsieur. Une tenue spéciale ?
– Va acheter un gode-ceinture, ça peut toujours servir, hahahaha
– Bien monsieur. Quelle taille ?
– C’est pour que tu puisses baiser ta mère, prends ce qui te fera plaisir.
Elle s’approcha de moi et m’embrassa sur la joue.
– Smack ! Merci monsieur dit-elle en riant.
Je vis ses petites fesses rondes disparaître derrière la porte.

Je pris une douche et sortit de la maison.
Arrivé devant la voiture, Richard était au volant et Patricia assise sur la banquette arrière. J’attendis devant la porte. Patricia l’ouvrit de l’intérieur mais je n’y entrai pas.
J’entendis Richard parler à sa femme qui sortit pour m’ouvrir la porte.
– Ah quand même, dis-je.
– Désolé, monsieur.
La voiture était une berline de luxe payée par la société.
– Richard, dis-je, au travail.
– Bien monsieur.
La voiture démarra et je commençai à lire le journal. Patricia était immobile à côté de moi. Nous roulions en silence.
– Richard, mets-nous de la musique classique. Dans combien de temps arrivons-nous ?
– Quinze minutes, monsieur.
– Parfait, merci.
Je regardai Patricia par dessus mon journal. Elle ne bougeait pas.
– Eh bien, Patricia, tu as l’air toute coincée.
– Non monsieur, j’ai honte.
– Allons, allons, tu en fais, toute une histoire pour quelques coups de bite dans le cul. D’autant que c’était ton mari. Richard, tu as aimé enculer ta femme ?
– Oui monsieur.
– Ah, tu vois, tu as fait plaisir à ton mari. Mais dis-moi, tu n’avais pas un travail à faire sur le trajet ?
– Si monsieur, mais j’attendais que vous..
– Tu as eu tort, il ne te reste que dix minutes, allez ma cochonne, au travail !
Patricia approcha la main de ma braguette et se mit à genoux sur la banquette. Elle sortit ma queue et commença à lécher.
– Hmmm Patricia, tu progresses. Regarde Richard comme ta femme devient une bonne petite pipeuse.
Richard regardait dans le rétroviseur sa femme qui me prenait en bouche.
Pendant qu’elle me suçait, je repris ma lecture.
Au bout de quelques minutes, la voiture arriva dans la cour de l’entreprise.
– Eh bien, Patricia, tu vois, tu n’aurais pas dû traîner. Tu me videras les couilles après manger, c’est compris ?
– Oui monsieur.
– Et ce coup-ci, tu prendras les devants et c’est toi qui viendras me le proposer.
– Bien monsieur.

Je sortis de la voiture et me dirigeai vers mon nouveau bureau. Sur le trajet, Richard me présenta mes collaborateurs.
– Je vous présente monsieur Serge, le nouveau patron. Il prend ses fonctions aujourd’hui. Nous ferons une réunion en début d’après-midi.

En entrant dans la pièce, je filai m’installer à mon bureau. Y trônait une photo de famille sur laquelle on pouvait voir Richard, Patricia et Caroline.
Richard m’apporta les dossiers et je commençai à lire les dossiers les plus urgents.

Deux heures passèrent à consulter des dossiers, de la comptabilité. Richard avait plutôt bien géré l’entreprise, même si c’était à son profit.

– Richard, je vois que nous avons rendez-vous avec les clients russes la semaine prochaine.
– Oui, ce sont de gros clients qui nous commandent régulièrement.
– C’est quand même étonnant qu’ils viennent aussi souvent. Il n’y a pas moyen de gérer tout cela à distance ?
Richard paru gêné.
– C’est que j’ai de très bons rapports avec leur acheteur. C’est devenu un ami et..
– Dis-moi, Richard, qu’est-ce que tu lui offres ? De l’argent ?
– Non, mais nous savons le recevoir.
– Hôtel de luxe ? et quoi d’autre ?
– Et bien, des… enfin vous voyez.
– Des putes ?
– Oui, parfois.
– Parfait, nous allons faire des économies. Fini de payer des putes.
– Mais, il s’agit de grosses commandes qui représentent un fort chiffre d’affaire.
– J’ai dit qu’on ne lui paierait plus des putes. Cependant, j’ai peut-être une solution.
– Vous n’allez quand même pas demander à Patricia ?
– Si ! Et à ta fille. Elle nous feront économiser tes conneries, et on verra si elles ont l’esprit d’entreprise. Appelle ta femme.

Richard alla dans le bureau d’à côté où s’était installée Patricia. Elle arriva.
– Ma petite Patricia, la semaine prochaine, tu auras une nouvelle tâche dans l’entreprise.
– Bien monsieur, qu’est-ce que c’est ?
– Ton mari payait des prostituées à l’un de ses clients. C’est toi qui t’y collera désormais.

Après l’humiliation de la la matinée, Patricia n’osait plus résister. Elle baissa les yeux et dit :
– Bien monsieur.
– Ah, et ta fille t’accompagnera. J’imagine que nos amis russes seront ravis de pouvoir tringler la femme et la fille de l’ex-patron de la boîte.
– Maintenant sortez, je dois passer des coups de fil.

Ils se retirèrent et fermèrent la porte.
J’appelai Eric.
– Allo Eric, comment vas-tu ?
– Bien, mais c’est surtout à toi qu’il faut demander ça.
– Trèèèèès bien. Je suis au bureau dans NOTRE société. Il va y avoir du boulot pour toi. Tu viens quand ?
– Je pourrai être là demain si tu veux. Comment s’est passée la nuit chez les L. ?
– Très bien, le dressage porte ses fruits. J’aurai un vidéo de Patricia imitant la truie à te montrer. Un vrai bijou.
– Hahaha, j’ai hâte.
– Je les emmène voir ma mère ce soir, tu viens ?
– Non, désolé, j’ai prévu de sortir. Tu me raconteras, je sens que ça va être épique. Ils ne sont pas au courant que tu baises ta mère ?
– Surtout pas ! Je vais leur faire la surprise. hahahaha. Je suis certain que Laurence va se faire un plaisir de leur jouer une petite comédie.
– Ouiiii, faudra que tu me racontes, absolument !
– Ok frérot. Allez bises.
– Serge ?
– Oui ?
– Encule Patricia pour moi hahahahah !!
– Je n’y manquerai pas.

Vint l’heure du déjeuner. J’emmenai deux collaborateurs au restaurant, histoire de prendre la température de la boîte, sans Richard.
Je leur expliquai que j’avais racheté la boîte et, le vin aidant, les langues se délièrent un peu.
Richard avait la réputation d’un patron dur et sans coeur, mais qui faisait tourner sa boîte pour un maximum de profit.
Ils m’expliquèrent qu’il était aussi réputé pour être assez vicieux et qu’il avait déjà licencié des secrétaires, certainement parce qu’il sentait qu’elles ne céderaient pas à ses avances.
La rumeur voulait qu’il se tape de temps à autres, une aide comptable, Micheline, avec qui il entretenait des rapports ambigus. Il la payait grassement mais s’amusait souvent à l’humilier en public. Elle lui était cependant d’une fidélité à toute épreuve et le défendait systématiquement. Les autres employés l’appelaient d’ailleurs « La balance », tant ils étaient certains qu’elle lui répétait le moindres des bruits de couloir.

Je revins de manger et retournait dans mon bureau.
Vers 14h, on frappa à ma porte.
– Entrez !
Patricia entra dans le bureau
– Oui, Patricia ?
– Je viens pour… enfin, ce que vous m’avez demandé ce matin.
– Je n’aime pas la façon dont tu le demandes. Recommence !
– Eh bien monsieur, je viens pour vous finir, comme je n’ai pas réussi à vous faire jouir dans la voiture.
– Tu proposes quoi ?
– Voulez-vous que je vous suce ?
– Non
– Voulez-vous me prendre ?
– Oui, tu t’es déjà bien faite enculer ce matin. Ferme la porte à clefs et baisse les stores. Tu préfères sur la moquette ou sur le bureau ?
– Sur le bureau, monsieur.
– Non, je vais te tringler sur la moquette. Allez, mets-toi à quatre pattes au milieu de la pièce et relève ta jupe.
Patricia ferma la porte et les stores et se positionna au milieu de la pièce. J’allumai la lumière. Elle releva sa jupe et attendis.
J’ôtai mon pantalon et l’enfilai sans préliminaires. Elle poussa un cri étouffé.
– C’est bien, ma petite Patricia, allez, cambre moi bien ton cul de pute. Je pris ses fesses et entamai une levrette tranquille, à un rythme peu soutenu, tant j’étais sûr de jouir rapidement.
– Tu as bien fait la truie, ce matin, hein ?
– Oui monsieur.
– Tu commences à bien obéir, c’est très bien. Si tu es sage, tu ne seras plus obligée de faire la truie. Sinon, je te le ferai faire en public.
– Nooon, monsieur, regardez, je suis bien sage. Voulez-vous que ce soit moi qui bouge ?
– Oui, vas-y.

Elle avançait et reculait sur ma bite comme une bonne salope.
– C’est très bien. Quand je te le dirais, au moment de jouir dans tes fesses, tu att****ras mes couilles.
– Bien monsieur, le rythme vous convient ?
– Un peu plus vite maintenant.
– Bien monsieur.
– C’est parfait. Désormais, sauf contre ordre, tu viendras prendre ton coup de bite à 14h. Que je n’aie pas à te le répéter, c’est compris ?
– Oui monsieur.

Je me retirai de sa chatte et lui dit.

– Rhabille-toi. On va répéter, ça t’évitera de te faire enculer demain midi. Tu vas recommencer depuis le début et demander ton coup de queue. Remets tout en ordre, sors et recommence.
– Bien monsieur.
Elle se redressa, se rhabilla, ouvrit la porte et les stores et sortit.
Une minute plus tard elle frappait à ma porte.
– Oui ?
– C’est Patricia, monsieur, il est 14h.
Sans rien dire, elle recommença à fermer la porte et les stores. Puis elle se mit à quatre pattes sur le tapis et releva sa jupe. Cambrant son cul face à moi, elle attrapa ses fesses et les écarta.
– Si monsieur veut bien me donner mon coup de queue, je suis prête.
– Parfait, écarte-bien, cochonne, tu vas la prendre.
Je la baisai si fort qu’elle en perdit ses lunettes. Ses cris devenaient des cris de plaisir.
– Ahhhh, ouiiii, je la sens bien… Ouiii, baisez moi foooort !
– Je vais jouir, salope !

Elle attrapa mes couilles entre ses jambes et les pressa comme pour en faire sortir le foutre. J’inondais son cul et finis par jouir sur sa raie. Une petite tape sur la fesse et je lui dit.
– C’est très bien, tu t’améliores. File te nettoyer et remets-toi au boulot.
– Merci monsieur.

Elle se rhabilla, ouvrit la porte et sortit. Quant à moi, fatigué, je fis une petite sieste dans mon fauteuil de directeur.

Après ma sieste, je passai encore mon temps à travailler et me mettre au courant du travail que j’aurai désormais à faire.
J’appelai régulièrement Patricia pour me faire un café ou simplement pour lui palper les seins. Elle dût me faire un petit massage et prenait son nouveau rôle de secrétaire très à coeur.

Vers 17h j’appelai Richard.
– Oui patron ?
– Il parait que tu baises une certaine Micheline, employée à la comptabilité.
Il baissa les yeux
– Oui, c’est vrai
– Elle est bonne ? Tu fais quoi avec ?
– Et bien c’est à dire que je…
– Trêve de palabres, tu fais quoi avec ? Tu me dis tout ou alors..
– C’est une femme plus très jeune qui avait peur de perdre son emploi. Je m’en sers ici comme vous vous servez de ma femme.
– Elle est obéissante ?
– Oui, elle fait tout ce que je veux.
– Tu m’avais caché ça. Il faudra voir à me la refiler, c’est moi, le patron, maintenant.
– Bien patron.
– Cependant, comme tu es plutôt coopératif, il est possible que je te la laisse. Il faudrait que j’ai un aperçu de ses qualités.
– Désirez-vous que je la convoque ? Elle ne fera aucune histoire pour vous servir. L’avantage, est qu’elle me rapporte ce qui se passe dans l’entreprise.
– Quelle âge a-t-elle ?
– Cinquante cinq ans. Mais elle est encore bien conservée.
– Ta femme est au courant ?
– Non. Je ne pense pas.
– Pour l’instant, tu vas continuer de la baiser, mais tu brancheras la caméra de ton ordinateur. Je voudrais la voir à l’oeuvre.
– Maintenant ?
– Non, une longue soirée nous attend. Dis à ta femme de se préparer, vous m’attendrez avec la voiture devant la porte dans dix minutes.
– Bien patron.

Je terminai le dernier dossier et sortit. La voiture attendait. Patricia me tenait la porte et fit le tour pour monter à côté de moi.
Sitôt démarré, sans rien dire, elle ouvrit ma braguette et commença à me sucer.
– Non, ma cochonne, range moi ça, je voudrais m’économiser pour ce soir.
– Bien monsieur.

Richard, nous allons passer à la maison prendre ta fille et nous irons chez ma mère.
– Bien patron
Patricia ne disait rien et je voyais bien qu’elle était tendue à l’idée de rencontrer ma mère. Elle ne savait pas les relations que j’entretenais avec elle ni que mon gros cul de mère était depuis plusieurs semaines mon esclave. J’avais dans l’idée de jouer sur l’effet de surprise.
Arrivés chez les L. , j’entrai dans la maison. En entendant la porte s’ouvrir, Caroline se précipita dans le salon.
– Bonjour monsieur, j’ai fait les courses que vous m’avez demandées.

Elle avait à la main 2 godes ceintures de belles tailles et un double gode en silicone.

– C’est très bien, tu es une bonne petite. Toi et ta mère allez prendre une douche et nous allons chez ma mère.
– Bien monsieur. dirent-elles en coeur en se dirigeant vers les salles de bain.

Elles revinrent et je dis à Patricia.
– Qu’est-ce que c’est que ce pantalon ? Tu m’enlèves ça immédiatement et tu te mets en jupe. Caroline, montre à ta mère.
Caroline souleva sa jupe laissant apparaître ses fesses sans culotte.
Patricia courut dans sa chambre et revint quelques instants plus tard en jupe. Sans que je ne dise rien, elle se mit face à moi et la releva pour bien montrer qu’elle ne portait rien dessous.
– C’est bien, tu es une bonne pute. Mais ne recommence pas. Allez, tout le monde en voiture.

Nous roulions et j’avais mis Patricia devant tandis que Caroline était assis à côté de moi.
– Ah, Caroline, mon petit, tu auras un travail à faire la semaine prochaine à la société.
– Oui monsieur.
– Ton père avait l’habitude d’offrir une pute à un client russe. Dans un souci d’économie, toi et ta mère reprendront ce boulot. Je vous veux efficaces. Je pense que ça lui plaira de pouvoir vous baiser toutes les deux. Il faudra cependant lui montrer tous vos talents. Je compte sur toi pour bien lui offrir ta mère.
– Bien monsieur. Je ferai tout mon possible pour que vous ne soyez pas déçu.
– Richard, tourne à gauche, nous arrivons. Dépose-moi devant, vous arriverez dans cinq minutes.

J’avais en effet l’intention de préparer ma mère à l’entrevue que nous allions avoir.
Javais eu une bonne intuition. Je savais mon beau père absent et en entrant dans la maison, je vis ma mère venir vers moi, se mettre à genoux et commencer à sortir ma queue de mon pantalon.
– Bonjour monsieur. Désirez-vous que votre gros cul vous suce ?
– Lève-toi et écoute-moi.
– Oui monsieur.
– Dans cinq minutes, la famille L. va venir ici. Il faut, pour l’instant que tu joues la mère de famille irréprochable.
– Oh, les L. ? ça fait bien longtemps que je ne les ai pas vus.
– Il y a eu du nouveau. Tu vas comprendre.

Je lui expliquai brièvement l’arnaque dont nous avions été victimes et le chantage que je leur faisais subir.
– C’est dingue, dit-elle. C’est complètement fou.

La sonnette tinta. Ma mère ouvrit la porte.
– Bonjour Richard, bonjour Patricia, oh Caroline, comme tu as grandi.

Ils saluèrent tous les trois ma mère timidement, et entrèrent penauds.
Je leur indiquai le canapé et les invitai à s’asseoir.

Ma mère apporta à boire, comme si de rien n’était et je laissai une conversation bourgeoise s’installer, ils parlaient de leur boulot, des études de Caroline. Ma mère leur expliquait comment il avait été difficile de joindre les deux bouts à la mort de mon père.
– Justement, puisque tu en parles, maman, je crois que Richard a quelque chose à te dire.
Il baissa la tête. Je repris.
– Allons Richard, il va falloir assumer. Explique à ma mère ce que j’ai découvert.

Doucement, Richard prit la parole.
– Voilà Laurence, nous avons fait une grosse bêtise à la mort de ton mari…
S’ensuivit l’explication de l’arnaque, dans des termes choisis.

À la fin de l’explication de Richard, ma mère dit.
– Vous êtes quand même de fieffés escrocs. Je vais avertir la police et vous irez tous en prison.

Richard et Patricia baissaient la tête. Richard reprit.
– Nous avons passé un accord avec Serge.
– Quel accord ?
Richard et Patricia attendaient que je reprenne la parole mais je préférais les laisser continuer.
– Hmm, et bien Serge ne dira rien, et nous vous restituons tout.
– Mais tout ce temps où vous nous avez laissé croire que nous étions fauchés, il faudra rembourser plus que ce que vous avez.
– Ne t’inquiète pas, maman, c’est arrangé.
– Et comment ?
– Ces trois là ont accepté d’être nos domestiques. Nous pouvons les utiliser comme bon nous semble. D’ailleurs, depuis aujourd’hui »hui, Richard est mon chauffeur. tu pourras t’en servir quand tu voudras sortir.
– Justement, dit Patricia, Laurence, il faut que l’on te dise que ton fils s’est très mal comporté avec nous.

Patricia venait de tenter de mettre ma mère de leur côté. Elle poursuivit.
– Il nous a fait faire des choses parfaitement dégradantes
– C’est vrai, mon chéri ? dit ma mère en me lançant un oeil complice.
– Parfaitement, ils l’ont bien mérité.
– Oui, reprit Patricia qui commençait à s’enhardir. Il nous a fait faire des choses tellement monstrueuses que je n’ose même pas en parler ici.
– Eh bien, dit ma mère, si je m’attendais à ça. Mais qu’ a-t-il fait ?
– Il nous a obligé à des… enfin à faire des choses…
– Explique-toi Patricia, je ne comprends pas
– Eh bien des choses… sexuelles.. voilà.

Un silence s’ensuivit. Ma mère s’était levée et Richard et Patricia la regardaient, pensant certainement qu’elle allait, outrée, avoir une explication avec moi.

Après plusieurs secondes qui parurent des heures, ma mère leur dit.
– Je crois qu’il va nous falloir une petite explication.
– Aaah di Patricia, tu vois, il a été beaucoup trop loin, tu ne peux pas laisser faire ça.

Je souris à ma mère qui reprit.
– Oui, nous allons avoir une explication….. Pas avec Serge, mais avec vous.
– Comment ça ? dit Patricia, avec nous ?
– Oui ! Vous n’avez pas toutes les données du problème. Restez bien assis car vous risquez d’être surpris.

Caroline me regardait. Elle souriait et devinait de la suite des explications. Je lui sourit. Laurence se lança.
– Voyez-vous, cela fait quelques temps, Serge m’a surpris à faire une grosse bêtise. Oooh, pas autant que vous, mais une bêtise. J’ai eu, comme vous, un choix à faire. Soit je devais avouer cette bêtise, soit il ne disait rien, mais je devais payer ce que j’avais fait.
– Il a osé te demander de l’argent ? dit Patricia.
– Mais non, tu ne comprends vraiment rien. J’ai donc accepté de me soumettre à.. à ses moindres caprices.
– Ne me dis pas que… qu’il… enfin que tu…
– Tais-toi et cesse de m’interrompre ! Oui, tu as parfaitement compris. J’ai accepté de lui être soumise en tout point. Je dois avouer qu’au début, ça a été extrêmement difficile, tant la honte me submergeait, mais je dois reconnaître que j’ai fini par m’y habituer, puis, d’y prendre un certain plaisir.
– Mais tu es complètement folle de nous dire ça, dit Patricia.

Pendant l’explication de ma mère, j’avais introduit une clef USB dans le téléviseur. Ma mère continua.
– Je suis peut-être folle, mais j’ai accepté ma condition de soumise. Serge est un bon maître qui sait être dur mais juste. Tu vois, Patricia, je me doute de ce qu’il a commencé à te faire subir. Mais imagine bien que ton dressage ne fait que commencer. Crois-moi, plus tu résistera, plus les sentences seront humiliantes. Il va te falloir accepter ta condition d’esclave.
Patricia tenait sa tête dans ses mains et ne disait plus rien. Richard et Caroline regardait Laurence avec les yeux écarquillés.

Ma mère poursuivit.
– Ce que vous nous avez fait est ignoble et je considère que Serge a été encore trop gentil avec vous. Vous êtes des escrocs et des lâches. Maintenant, j’attends les ordres de mon maître qui va vous montrer comme je suis bien dressée.
Elle se tourna vers moi et dit:
– Monsieur, j’attends vos ordres.
– C’est bien gros cul. Tu as raison, il va falloir mettre au pas cette famille de voleurs. Il va déjà falloir symboliquement qu’il nous montrent qu’ils regrettent de t’avoir spoliée. Enlève ta jupe et fais-nous voir tes grosses fesses.
– Bien monsieur.
Ma mère, bien obéissante, fit glisser sa jupe et, puisque je lui avais interdit le port de la culotte en ma présence, se retrouva cul nu devant la famille L.
Tout en continuant de parler je m’approchai de ma mère et commençait à lui enlever sa chemise.
– Voyez-vous, si cette chienne m’appartient et m’obéis au doigt et à l’oeil, vous allez passer entre ses mains. Et quand je dis ses mains, je pense plutôt à autre chose.
Je lui fis tomber son soutien-gorge et continuai.
– Regardez-moi ces grosses mamelles, dis-je ne lui soupesant les seins. ne sont-elles pas appétissantes ?

Personne ne répondit.
– Richard ! Réponds !
– Si patron, dit-il un peu étouffé.
– Et ce gros cul, Patricia ?
– Si patron dit-elle en rougissant.
– Parfait, puisque vous êtes tous les trois des lèches-culs, nous allons voir comment vous léchez les culs.

Patricia eut un mouvement de recul.
– Eh bien Patricia, quelque chose te gêne ?
– Euh, no… non.. non, monsieur.
– Parfait, vous allez rester assis et lécher ce cul l’un après l’autre. Maman, tu vas leur présenter ces grosses fesses et te faire lécher la rondelle.
– Oui monsieur dit-elle, par lequel dois-je commencer ?
– Avant de commencer, je veux que vous regardiez ce qu’on fait aux esclaves désobéissants.

D’un coup de télécommande, j’allumai le téléviseur et lançait la vidéo.
L’enregistrement de Patricia faisant la truie venait de commencer.
Richard et Caroline regardaient médusés. Patricia se cacha le visage dans ses mains. Quant à ma mère, je glissai ma main entre ses cuisses et sentait qu’elle était surexcitée.
– Allons Patricia, regarde-toi ! Regardez tous comme Richard à pris soin de bien jouer son rôle. Et toi, la truie, écoute-toi couiner bien fort.

Je montai le son au moment où Patricia, la langue sortie poussait des hurlements « Grouiiiiik, grouiiiiiik »
Une fois la séquence diffusée, j’éteignis la télé et mis de la musique.
– Bien, maintenant, gros cul, tu vas me tester ces lèche-cul. Tu vas surtout me les commenter et me les noter.
– Oui monsieur.
Gros cul s’approcha de Richard, lui montra ses fesses et se pencha en avant.
– Je suis prête, monsieur, dit-elle.
– Allez Richard, tu vas commencer, sans les mains, tu approches et tu lèches l’anus de ma mère. Exécution.

Les mains sur les genoux, Richard enfouit son visage et commença à lécher la petite étoile que ma mère lui mettait sous le nez.
– Alors, gros cul, raconte !
– Ce n’est pas si mal, la langue est agile et je la sens monter de haut en bas. Ce n’est pas très appuyé. C’est correct, mais sans beaucoup de fantaisie.
– Ta note ?
– douze sur vingt, monsieur.
– Suivante !
Ma mère se releva et présenta son cul sur le visage de Patricia.
– Allez Patricia, essaye de relever le niveau. Lèche !
Patricia approcha son visage et se recula.
– Richard, aide-la !
Richard lui appuya sur la tête jusqu’à ce que la bouche de Patricia soit sur l’orifice.
– Alors, gros cul ?
– Pas terrible, monsieur, elle sort à peine la langue, elle chipote. Je sens qu’elle a besoin d’exercice. Ce n’est pas une experte.
– Ta note ?
– huit sur vingt, elle n’a pas la moyenne.
– Bien, maintenant, la petite Caroline va nous montrer.

Sans rien dire, Caroline se mit à enfouir son visage entre les fasses de ma mère.
– Gros cul, ton verdict ?
– Aaahh, ooooh, mais cette petite sait y faire. Ouiii, elle passe bien sa langue. On sent qu’elle aime ça la petite salope.
– Ta note ?
– Ouiii, aaaahh, ouiii, dix-huit sur vingt.
– Bien, dis-je. Reviens ici. Nous avons une gagnante et une perdante. Caroline, tu as gagné. C’est toi qui vas choisir la punition de ta mère. Et tu peux choisir une récompense.
– Merci monsieur. Comme récompense, j’aimerais beaucoup avoir celle-ci comme jouet. dit-elle en désignant ma mère.
– Parfait, et comme punition pour ta gourde de mère qui n’est même pas capable de lécher correctement.
– La moindre des choses serait qu’elle se fasse enculer, monsieur.
– Nooon, Patricia, je suis ta mère ! Tu n’as pas honte ? cria Patricia.

Claaack ! Caroline venait de la gifler et lui dit :
– Tais-toi, tu feras ce qu’on te dit. Et ne réponds pas devant monsieur.
– Tu as raison, Caroline, d’ailleurs, c’est toi qui commenceras. Va chercher les deux godes-ceintures.
– Bien monsieur.
– Toi, Richard, tu vas rentrer chez toi, je vais dormir ici et ta femme et ta fille me serviront de sac à foutre. Allez, file !
Richard se leva pour partir et j’ajoutai
– Demain huit heures ici.
– Bien patron.
Pendant que Richard partait, Caroline revint avec les deux godes.
– Caroline, tu vas en choisir un et tu en mettras l’autre sur ma mère. Patricia, mets-toi à poil, qu’on te regarde.
– Non, pas ça, s’il vous plaît.
– C’est ça ou tu refais la truie !

Patricia se leva à regret, et laissa tomber ses vêtements par terre.
– Approche, à genoux et suce ! dis-je en sortant ma queue.
Patricia s’exécuta. Elle tomba à genoux devant moi et commença à me pomper.
– C’est bien ma grande. Caroline, pendant que ta mère me suce, j’aimerais beaucoup que tu me montres ce que tu vas faire de gros cul.
– Bien monsieur, j’aimerais voir si cette grosse cochonne est une bonne esclave.
– Sers-toi, je t’en prie. Puis m’adressant à ma mère. Allez gros cul, montre à Caroline la bonne chienne que tu es.
– Avec plaisir monsieur. Caroline, je suis à votre service.

L’orgie allait pouvoir commencer.

À suivre

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