Je suis retraité, divorcé, septuagénaire et depuis des années je fais de la randonnée pédestre chaque semaine avec un groupe mixte, stable et très amical d’une vingtaine de personnes. Nous nous connaissons bien et nos pique-niques sont l’occasion de vrais moments de convivialité car il n’y a pas de tensions entre les membres de ce groupe. Petit à petit je me suis rapproché d’une randonneuse de mon âge qui partage mes goûts. Nous nous partons en vacances ensemble et nous faisons l’amour très agréablement quand nous en avons tous les deux envie.
Il y a aussi dans ce groupe quelques femmes seules dans la vie. Pour certaines c’est un choix ancien et elles ont une vie équilibrée. L’une par exemple ne se cache pas d’être lesbienne et d’avoir une liaison avec une femme un peu plus jeune qui est mariée. Une autre voyage beaucoup et n’a jamais été en couple. Mais il y a Christelle qui donne parfois l’impression d’être en recherche de contact masculin. Elle vit seule après avoir élevé un fils en mère célibataire. Elle est dynamique, élégante et milite dans plusieurs associations.
Cette année elle s’est engagée à préparer une nouvelle randonnée un peu plus longue dans un coin qu’elle connaît. Comme je connais bien les logiciels pour tracer les parcours je lui ai proposé de lui faire voir. Après quelques semaines elle est venue discrètement me dire lors d’une randonnée « tu sais j’ai bien avancé et je voudrais te faire voir où j’en suis mais il faut qu’on soit sur mon ordinateur ». Nous avons pris date et je suis allé chez elle dans une jolie petite maison de ville. Elle était très élégante et chaleureuse et après un café nous avons travaillé une bonne heure sur écran assis côte à côte sur une banquette. Alors que je tenais la souris elle avait mis sa main sur la mienne pour guider le mouvement et je sentais son corps s’appuyer doucement contre le mien. Je m’étais dit en moi-même « elle en veut ».
Lorsque nous eûmes fini avec l’ordi elle se tenais devant moi très proche les yeux brillants en me regardant. Je lui mis les mains autour de la taille et lui dit « Christelle je n’envisage pas une liaison avec toi, mais tu es charmante et si tu veux juste du sexe sans lendemain je suis d’accord ». Elle rougit et répondit « tu ne facilites pas les choses mais oui j’ai envie de toi depuis longtemps ». Je l’ai prise par la main et nous sommes allés dans sa chambre rose et parfumée. Je lui ai déshabillée doucement. Elle avait mis des dessous coquins. Quand elle fût nue, elle me déshabilla à son tour. Nous avions tous les deux des corps marqués par les années mais pas en trop mauvais état grâce au sport. Je la pris dans mes bras et mon pénis durci doucement contre son ventre. Elle s’est assise au bord du lit et m’a sucé. Elle avait beaucoup d’expérience et fit ça avec classe. Je l’ai poussée aux épaules pour qu’elle s’allonge et j’ai écarté ses jambes restées posées au sol. Je me suis agenouillé et je lui ai embrassé les petites lèves. Elle avait parfumé son sexe d’une enivrante senteur. J’ai découvert son clitoris et l’ai sucé doucement puis j’ai léché son sexe et l’ai pénétré avec ma langue. Avec mes bras tendus je lui caressais les seins et de temps en temps de façon plus précise et plus intense ses tétons qui durcirent en la faisant gémir.
Elle en profita sans se presser, puis se coucha au milieu du lit en me disant « viens maintenant j’ai envie de te sentir dans moi ». Je l’ai pénétrée en missionnaire et je l’ai baisée longuement car je ne jouis pas facilement. Elle écartait ses cuisses pour que je vienne bien au contact de sa vulve et me caressait alternativement les épaules et le tétons. Elle me dit « plus fort » et je me mis à la pilonner sans retenue ce qui la fit rapidement jouir et elle me dit « j’aime le sexe, tu es bon ».
Elle se dégagea, me fit signe de m’allonger sur le dos et m’enjamba pour s’enfiler ma bite au fond du vagin. Elle est restée un peu comme ça en se contractant pour bien me sentir et commença des vas et viens sur toute la longueur. Elle conduisait mon gland jusqu’entre ses lèvres pour ensuite le replonger au plus profond d’elle. Ses mains étaient posées sur mes côtes et je voyais qu’elle partait de plus en plus dans ses fantasmes. Elle a joui une deuxième fois en s’écroulant sur moi. Je lui ai caressé le dos et les fesses longuement pour l’apaiser. Alors que mes mains écartaient un peu ses fesses pour mieux les caresser. Elle me regarda en souriant et me dit « tu es très bon au lit et là aussi j’aime ». Puis elle se mit en levrette, écarta ses fesses à deux mains et dit « viens, fais-moi mal ».
Je me suis placée derrière elle et j’ai touché son anus qui était déjà dilaté. J’en ai déduis qu’elle devait se goder le cul régulièrement. J’ai présenté son gland et j’ai poussé. Tout est rentré facilement pendant qu’elle poussait un cri « encule moi fort et vite ». Docile amant j’ai procédé comme mon amante du jour le voulait en y prenant un plaisir pervers. Je n’aurais pas pensé que cette bourgeoise élégante se serait lâchée aussi vite. Je l’ai tringlé virilement pendant qu’elle se frottait le clito et les lèvres avec vigueur. Je l’ai prévenue quand j’allais jouir et elle est partie dans son troisième orgasme en même temps que moi j’enduisais son ventre de longues giclées.
Après une douche nous nous sommes remis en citoyens civilisés et en partant elle me fit une bise. Je lui dis « on a dit sans lendemain » mais je n’y croyais pas moi-même tellement cette coquine avait été bonne. En allant prendre mon tram je pensais au vieux dicton « c’est dans les vieux faitouts qu’on fait la bonne cuisine ».
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