En attendant le dîner, ma tante, pour m’égayer, me fit visiter le jardin…
J’en eus le souffle coupé… Un très grand terrain suivait l’arrière de la maison. Après une haie de citronniers odorants et entêtants, nous débouchâmes sur une piscine digne d’un nabab pétrolier. Après avoir flâné, nous retournâmes à la maison et j’aidai ma tatie à dresser la table.
Ma cousine, devait avoir les naseaux très performants, car à peine le rôti sur la table, qu’elle rappliqua en faisant remarquer qu’elle avait faim. J’entendis discrètement dans mon dos :
« Salut… »
Je lui rendis poliment son « salut » et remarquai qu’elle n’avait pas changé depuis son aimable séjour chez moi. À part le fait qu’elle avait grandi et qu’elle était aussi haute que moi, son visage était resté tel quel… Pourtant, je me souvenais qu’elle était d’une mocheté à faire crever un corbeau de peur… Faut croire, qu’une fois que les hommes ont l’âge de raison, du moins que leurs testicules fonctionnent, ils ne voient plus les femmes sous le même jour… Je remarquai qu’elle avait un visage d’ange, ses rousseurs s’étaient gommées, comme par enchantement. Sa chevelure reflétait comme un feu de bois, ses cheveux ressemblaient à une flambée de Noël. Mais, ce qui m’hypnotisait, c’étaient ses yeux… Deux magnifiques amandes d’un vert bleuté, faisant rêver aux lagons des îles sous le vent. Ses lèvres, m’accélérèrent le sang dans la verge, et la gonflèrent d’une taille à ne pas la mettre sur une table pendant un dîner.
Je savais pertinemment qu’elle était la reine des chipies et une peste à ne pas souhaiter à son pire ennemi… Cherchant tout de même quelque chose à lui reprocher, mes yeux scrutèrent son corps, à la recherche de la taille de son soutien gorge… Je suis une bête puante…, quand-même !
Il me fut impossible de juger, la belle avait revêtu un tee-short qui lui servait de robe en même temps. Tellement large, que même les nichons de sa mère auraient nagé dedans. Il devait appartenir à son arrière-grand-mère, elle devait mesurer plus de deux mètres et peser au moins deux quintaux. Je savais que mes parents n’avaient pas conté l’épisode de mes casettes à ma tante et ils m’avaient impérativement interdit de le faire… Pourtant, c’est ce qui me brûlait la langue…, en tous cas, pas devant sa mère. La cousine nettoya son assiette et disparut dans la cage d’escalier, prétextant être fatiguée…
J’aidai Nat à faire la vaisselle, puis, nous montâmes à l’étage. Ma tante me montra ma chambre, elle était juste en face de celle de la vipère… Je crois que la chaleur m’assomma sans même m’en rendre compte… J’essayai de refaire surface, une lumière éblouissante me crevait les yeux… J’avais oublié les rideaux. Tant bien que mal, je me traînai jusqu’à la salle de bains, puis descendis dans la cuisine, espérant un petit déj’ réparateur. Nat était aux fourneaux, dès qu’elle m’aperçut, elle m’invita à m’asseoir pour goûter ses œufs brouillés au curry… Elle m’apprit que ma chère cousine lézardait déjà au soleil au bord de la piscine. J’avalai comme un goinfre, pressé d’aller admirer la poitrine « exubérante » de Rebecca.
Une fois mon slip de bain enfilé, j’entrepris mon voyage vers le plan d’eau. Ma cousine gisait à terre sur une serviette, laissant vide une seule et unique chaise longue.
Par politesse, je la saluai :
« Salut, cousine…, bien dormi ? »
Sans même me regarder, elle accepta de me répondre :
« Pourquoi…, t’es psy ? »
Bonjour le séjour… Je sentais que la semaine allait être longue…, longue, très longue.
Je pris le transat et, après quelques minutes, impossible de résister à la baignade. La piscine étant pourvue d’un plongeoir, j’en profitai pour piquer une tête. Je rejoignis ma place. Profitant d’être en retrait d’elle, j’en profitai pour me rincer l’œil… Enfin, si on peut dire. Effectivement, les deux petites mandarines qui lui servaient de nichons, ne risquaient pas de faire de l’ombrage à miss France, de plus, ses membres étaient potelés et ressemblaient à ceux d’une gamine de 12 ans à peine. À part sa tête, elle n’avait rien qui m’attirait…, son caractère encore moins. Enfin arriva ma tante…
Je la regardai déambuler en maillot… Plus elle avançait vers moi et plus ma verge se sentait à l’étroit, et ne demandait qu’à faire coucou à ma parente. Son ensemble…, pratiquement inexistant, dévoilait la taille et la forme de son sexe…, mais heureusement qu’elle l’avait, sinon son clito traînerait par terre. Par politesse, je me levai et offris ma place. Elle déplia sa serviette et refusa gentiment, préférant s’allonger près de sa fille. Tatie, différemment de ma cousine, me questionna sur mes études et mon avenir. Cela mit sa fille dans l’énervement et elle alla se rafraîchir les idées, en se mettant sous la douche extérieure, à quelques pas de nous. La journée fut longue.
Ma tante alla se coucher tôt, vu qu’elle travaillait le lendemain, lundi. Je traînai seul devant la télé, puis fourbu de soleil et de fatigue, j’allai rejoindre ma chambre… Je passai devant celle de ma tante, tout était calme. Puis, celle de ma cousine…, une lumière suintait sous l’huis et une musique en sourdine se faisait entendre. Le lundi matin, j’émergeai tard, le soleil était déjà haut. Mes ablutions et mon petit déjeuner effectués, je rejoignis « gueule d’ange », sur le pool. Elle végétait telle une plante séchée, et avait placé sa serviette devant le transat à sept heures, me donnant une vue sur son corps de pin up. Voulant mettre les choses au clair, après quelques instants, j’entamai la conversation :
« Dis. ma cousine…, tu ne crois pas que c’est à moi de faire la gueule ? .. Tu m’as foutu en l’air mon matériel et c’est toi qui boude ? »
Sans me regarder, elle bafouilla :
« Je ne fais pas la gueule…, mais je n’ai rien à te dire… ! .. Pour tes cassettes, c’est parce que tu ne voulais pas que j’y touche… ! .. Tu croyais que j’allais me faire commander par un mec qui n’avait pas encore les couilles descendues dans ses poches ? »
Mon sang ne fit qu’un tour, vexé, je persiflai :
« Et moi…, tu croyais peut être que j’allais les prêter à une fille qui n’avait pas de nichons et qui n’en a toujours pas ? »
Aussitôt, je me rendis compte de ma bévue… Je fixai le visage de Rebecca et, malgré ses lunettes, je vis glisser une larme sur son beau visage… Elle mordait ses lèvres pour ne pas geindre et, visiblement, j’avais atteint son point faible… Je n’en étais pas fier. Elle ne répondait pas, meurtrie dans son âme profonde. Je cherchais une solution, et pensais en avoir trouvé une…
« Non…, je ne voulais pas dire cela, excuse moi…, mais bon…, même si tu n’as pas une grosse poitrine…, ça va quand-même et puis, ils vont grandir ! »
Je vis son visage virer au bleu, elle se leva et jeta ses lunettes… Elle s’avança vers moi comme une furie… Je redoutai le pire.
Elle retira d’un geste son haut et deux boules de laine tombèrent sur mes jambes… Levant les yeux, je vis ce qui véritablement lui servait de seins. En effet, deux œufs au plat… Par contre, je vis deux tétons longs d’un bon centimètre… Au moins, elle n’avait pas tout perdu. Les larmes aux yeux, elle bégaya :
« T’appelles ça une poitrine toi…, hein, ne te fous pas de moi ! »
Elle essaya de tout remettre en place en retournant à sa serviette, mais visiblement, sous l’énervement, ce n’était pas simple. Elle finit par tout jeter au loin, disant que ça ne lui servait à rien…, elle avait raison. Puis, elle fit une chose incroyable, avant de s’allonger… Elle retira aussi sa culotte, en précisant, que sa mère et elle, ne mettaient jamais rien à la piscine, tout en me lançant un regard noir :
« Si ça te dérange, tu n’as qu’à pas regarder ! »
Une fois qu’elle fut étendue, je pus, de derrière, la mater… Ainsi couchée, des œufs au plat, il ne restait plus que le plat. Puis, mon regard fut attiré par une sorte de bête velue qu’elle avait sur son bas-ventre… On aurai dit, un gros chat roux, de la même couleur que sa chevelure. Je mis un moment, à me rendre compte, que cette bête n’était pas un chat…, mais une chatte. En fait, ma cousine, le haut et le bas étaient bien développés, c’était seulement le milieu, et en l’occurrence la poitrine qui faisait défaut. Il se passa une bonne heure avant que je n’eus le courage de lui parler :
« Aller Reb…, on va pas se faire la gueule…, c’est du passé et puis, tu étais jeune ! »
Son visage resta impassible…, puis je vis naître un léger sourire :
« J’aurais quand-même voulu voir ta tronche… ! »
Elle éclata en fou rire et tourna la tête pour m’envoyer un petit baiser. À partir de là, elle n’arrêta plus de parler, un vrai gramophone, elle avait dû avaler des diamants de chaîne hi-fi… Je commençais à regretter son silence. Elle finit par se taire. J’allais sombrer dans l’abîme des rêves, quand elle reprit :
« Tu l’as déjà fait… ? – De quoi… ? Lui répondis-je. – Ben, tu sais bien…, mettre ta bite dans la chatte d’une fille ! »
Je mis un temps fou à réagir… Si sa poitrine lui donnait 10 ans, son élocution lui conférait largement l’âge adulte, tout n’était pas resté immature. Je bafouillai :
« Euh…, non, pas encore, je n’ai pas encore 16 ans ! »
Elle tourna son regard vers moi, et d’un air enjoué :
« Ah, eh ben…, t’es puceau comme moi…, alors !!! »
Elle se leva d’un bond, se tourna vers moi, me montra une immense fourrure couleur feu, descendant entre ses cuisses et remontant presque sur son nombril. Sa forêt était si drue, que rien ne semblait exister sous elle.
Tournant le dos, elle me montra ses petites fesses et me conseilla :
« Viens nager…, mais avant, retire ce slip ridicule, tu vas voir c’est génial de sentir l’eau sur nos organes génitaux… ! .. De plus, quand tu bandes comme maintenant, on devine tout… ! .. Il ne sert à rien, si ce n’est qu’à te compresser la bite et les couilles ! »
Elle plongea les jambes grandes ouvertes, mais je ne vis rien à cause de ses satanés poils roux. Je ne pus l’écouter, gêné dans mon carcan du savoir vivre… Et puis, elle avait raison, j’avais une trique de mulet, à faire baver tout un cheptel d’ânesses dévergondées. Je la suivis de peu, et nous batifolâmes comme des enfants…, que nous étions. À un moment, elle disparut de ma vue et je sentis mon slip glisser sur mes chevilles… Elle réapparut, mon vêtement à bout de main et le jeta loin dans un buisson en riant à tue-tête. Elle s’approcha de moi, et m’enlaça les épaules en me murmurant à l’oreille :
« Dis donc mon cousin…, tu as tout ce qui faut où il faut…, hein ? .. À cause de l’eau, je n’ai pas bien vu, mais tu ne fais pas semblant ! »
Elle se dépêcha de sortir et s’installa, assise sur son essuie-main, à attendre le spectacle gratuit. Elle me toisait de son petit sourire narquois… J’y serais bien resté dans l’eau jusqu’à la nuit, mais elle se serait foutue de moi. Je sortis donc et je dus me faire v******e, pour ne pas mettre mes mains devant mes couilles. Son regard changea à la vue de mes atouts, de toute évidence, elle appréciait et la chose ne la faisait plus rire bêtement… Heureusement, la gêne m’avait fait débander. Mais à peine installé derrière elle, popaul refit des siennes et ma hampe gonfla d’un trait à la vue de son minou rouquin. Elle remit ses solaires et entama la conversation :
« Tu te masturbes combien de fois par jour, toi ? .. Moi je le fais tous les soirs et tous les matins…, ça me délasse ! .. Tu t’es branlé depuis que t’es ici…, fais gaffe, ma mère visite les draps tous les jours, si tu les salis, elle risque de t’engueuler comme pour moi ! .. Ce n’est pas de ma faute, ma chatte, elle gicle trop fort, j’ai beau mettre un tissu devant, ça déborde toujours…, et toi ? »
Elle me sidérait… J’avais failli avaler ma langue, que répondre ?
« Euh, oui, bien sûr comme tout le monde…, mais là, je ne suis pas chez moi, ça me gêne et, du coup, ça me coupe l’envie ! »
Elle persifla :
« Eh ben, dis donc…, si un jour, j’entends une explosion, je saurais ce qui a explosé… ! .. Tu te rends compte, ça te fait trois jours au moins de réserve…, moi je ne pourrais pas ! »
Elle se tut…, mais seulement trente secondes :
« Ta mère ou ton père t’ont formé pour les choses de la vie, toi ? .. Moi, ma mère, il y a trois mois, m’a surprise en train de jouer avec ma chatte ! .. Du coup, elle s’est déshabillée et m’a montré comment elle faisait ! .. Puis elle me l’a fait et moi je lui ai fait aussi, pour qu’elle soit sûre que j’avais bien pigé ! .. Et c’est vrai que, maintenant, je jouis beaucoup plus et ma nénette gicle plus fort ! .. Après, elle m’a tout expliqué…, ce que les garçons aiment qu’on leur fasse, ce que les filles aiment que les garçons leur fassent, et ce qu’on aime faire ensemble ! .. Qu’est que tu penses de la sodomie ? Tu crois que tu aimeras la faire… ? .. Moi je ne sais pas encore…, si ça fait pas trop mal, pourquoi pas ? .. En fait, maman m’a montré avec les mains la taille de votre zigounette, mais bon ce n’est pas évident… ! .. Et puis, elle m’a dit que vous n’êtes pas tous gros de la même façon…, alors ! .. N’empêche, ça doit être génial, une grosse bite qui crache…, Qu’est-ce que j’aimerais bien voir ça !!! »
Que répondre à ça ??? Ben…, rien, j’étais abasourdi !
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