Je revenais de ma pause de midi et allais voir comment allait ma petite stagiaire. Je la trouvais à moitié assoupie. Je lui détachais ses jambes de la penderie et la plaçais en position recroquevillée de manière à pouvoir refermer la porte. Elle était calme, résignée. Elle savait que se révolter ne servait à rien. Seule sa tête émergeait de sa gangue de plastique, les cheveux trempés, plaqués de sueur, quelques filets de bave lui avait coulé sur le visage.
Je refermais le placard en la bourrant avec les pieds contre le mur du fond.
Je m’installais à mon bureau et bientôt mes clients arrivèrent.
Des clients de longues dates qui étaient vite devenus des amis : deux mecs associés, la cinquantaine, le même gout pour des virées viriles .
Nous discutions allégrement boulot quand je leur proposais de se voir le soir :
‘On va manger chez Gégé, je ne serai pas seul, c’est une surprise.’
Comme prévu, mes 2 collègues répondirent.
– et cette surprise, elle est bien roulée ?
– en tout cas, ça doit être une bonne vicieuse, pour être avoir toi !
– vous verrez ma petite salope et vous me direz ce que vous en pensez !
– comptes sur nous ! Si on peut tester la marchandise..
– si tu l’amène chez Gégé, elle doit pas être farouche la gazelle !’
Je concluais la discussion en prenant RDV le soir. Mes collègues étaient déjà tout excités, tout comme moi.
Une fois seul, je pris mon téléphone, me levais et ouvris la porte du placard. Ma stagiaire, je le voyais à ses grands yeux désespérés ,était toute apeurée.
‘je téléphone à ta mère, la prévenir que tu est de sortie avec mes clients. Tu as entendus comme ils sont impatients !’
La communication téléphonique s’établit et je prévins sa mère (une amie, voir 1er chapitre):
– oui ta fille rentrera plus tard ce soir. Je lui ai proposé de participer à un repas d’affaire. Elle était toute excitée à cette idée.’
Ma proie, couchée à mes pieds, se secouait dans tous les sens et hurlait dans son bâillon. Je lui rabattait sur visage au sol en lui plaquant un pied sur la nuque.
-Oui tout se passe bien pour elle, elle apprend vite, même si ce n’est pas évident pour elle d’apprendre les règles de l’entreprise. Ne t’inquiètes pas , elle est entre de bonnes mains. Je te la ramène ce soir ‘.
Je raccrochais le sourire aux lèvres.
‘Bon avec tout ça, je n’ai pas eu l’occasion de reprendre ta formation’.
Je la trainais hors du placard et parvenais à la mettre debout, elle était épuisée et perdait l’équilibre. J’en profitais pour l’affaler sur mon bureau. Je lui attachais les chevilles au pied de mon bureau, contournais celui-ci et tirais sur ses épaules, de manière à coller son buste sur le dessus du bureau, nouais quelques tours lâches autour de son cou et le reliais à l’autre pied opposé du bureau. son visage arrivait au bord du bureau, plaqué vers le bas, immobilisé par le lien. Je la contournais et admirais la pose : ses genoux bloquées contre le bureau, l’obligeait à cambrer le cul en arrière, offert.
J’ouvris un tiroir et récupérai une paire de ciseaux à bouts ronds.
Je m’accroupis et commençais à découper le film au dessus de ses chevilles, je remontais doucement. Au fur et à mesure de ma progression le film s’écartait et laissait sa peau blanche et fripée à ma vue. Le film ruisselait et sa peau était humide et rougie, elle avait du finir se pisser dessus avec les deux litres qu’elle avait absorbés. J’arrivais au niveau de son cul et découpais le film et sa robe trempée. Elle geignait !
J’avais devant moi sa culotte énorme, quasi transparente, tant elle était trempée. Je coupais le tissus et tirais dessus pour l’enlever. Son cul généreux m’apparut, rouge et bleu des coups de la veille, sa chatte apparaissait poisseuse, ses poils pubiens trempés. Je passais un doigt du départ de la raie, sur son anus, le triturais et descendais sur sa chatte humide. Elle se débattait avec l’énergie d’une mouche prise dans la toile !
Je continuais la course de mes ciseaux, le film crissait et me dévoilait son buste blanc. Je prenais soin de laisser ses bras noués dans le dos et coupais le tissus de sa robe, qui s’ouvrait et s’étalait sur le bureau. Son soutien gorge résista quelque temps à mes ciseaux, puis d’un coup libéra ses seins lourds qui s’écrasaient sur le bureau, sous son poids; je finis par la nuque et dégageais tout ce carcan de plastique pour le jeter au sol, avec ses vêtements en lambeaux.
Je reculais et admirais ce corps tout en plis replis et courbes, exposé.
Elle fermait les yeux et restait immobile.
‘Voila qui est mieux, tu es plus à l’aise.’
Je me penchais à son oreille et lui chuchotais : ‘pourquoi cacher un corps si féminin ? Il est fait pour le plaisir ! Pour le plaisir des hommes !’
Je passais derrière elle et la caressais des deux mains sur tout son corps, écrasant ses seins énormes que je ne pouvais contenir. J’écartais ses fesses et plaquais ma langue sur son anus, lapais son trou , la pointe de ma langue pénétrait légèrement son œillet resserré.
Je descendais à sa chatte poilue et écartais ses grandes lèvres. Ma main trouvait son clitoris entre ses cuisses fermées. Elle ne tarda pas à mouiller. Je la pénétrais de ma langue. Elle mouillait de plus en plus en je la sentais se détendre.
Je remontais à son anus et le travaillais de ma langue. Il était maintenant bien humecté et j’arrivais à pénétrer ma langue.
J’étais encore habillé, je baissais mon pantalon pour libérer mon sexe violacé de désir.
Je retournais au tiroir pour sortir un plug.
Je l’humectais sur sa chatte qui ruisselait maintenant et le plaquais sur son anus. Il ne mesurait que 3 cm de diamètre, mais son anus serré et surement vierge résistait. J’arrivais finalement à l’insérer doucement, son anus cédait sous la pression, puis il dépassa l’œillet pour être absorbé, dans un cri étouffé. Je plaquais la collerette au maximum.
Je contournais son corps avachis sur le bureau et commençais à couper son bâillon, je lui laissais son collant encore dans sa bouche ouverte. Ma bite se tenait droite au niveau de ses yeux et je la frottais sur tout son visage, elle fermait les yeux.
‘il est temps pour toi de me remercier de t’avoir accueilli dans l’entreprise’
Je tirai sur le collant et il finit par libérer sa bouche dans un flot de bave.
‘tu ouvres la bouche et tu ne me quittes pas des yeux’
‘sors ta langue ‘
Elle ouvrit sa bouche mollement et restait les yeux fermés. Je pris la règle et lui foutais violemment la fesse. Elle sursauta et cria. J’en profitai pour enfourner ma bite énorme dans sa bouche et la tirai par les cheveux
‘Regardes moi et sors ta langue de chienne’
Je lui fouettais les fesses violemment.
Elle finit par sortir sa langue et je profitai d’un sursaut de douleur pour m’enfoncer plus loin. Je lui baisais la bouche, elle s’étouffait, je ressortais et la pénétrais à nouveau. Le reste de son maquillage coulait, sa bouche ruisselait de bave. Ma bite était gonflée.
Ses fesse étaient écarlates, je la corrigeais encore et encore. Mon bite glissait toute seule dans sa bouche soumise, je m’enfonçais dans sa gorge, mes couilles se plaquaient contre son menton, dans un bruit régulier.
‘Voici ta récompense, ne recrache rien c’est la seconde fournée’
Je me reculais légèrement et explosais violemment dans sa bouche trop petite pour contenir mon flot, je continuais à la défoncer. De la mousse sortait de ses lèvres distendues.
Je sortais mon sexe et refermais sa bouche de ma main.
‘Avales tout’
Ce qu’elle fit en me regardant. J’essuyais ma bite sur ses yeux.
‘C’est bien. Ta mère serait fière de toi’
Je sortais mon téléphone de la poche de mon pantalon toujours à mes pieds et prenais en photos son visage dégoulinant et son corps toujours attaché, puis son cul avec le plug.
Je remontais mon pantalon et ramassais ses habits déchiquetés et revins devant elle.
‘Je te laisse te reposer. Je vais t’acheter une tenue pour ce soir. Je te laisse ton plug, ton cul a besoin de se dilater jusqu’à ce soir…
Mes clients vont surement me demander de te le défoncer, comme je t’ai défoncé ta bouche à bites !
On a l’habitude de tout partager …’
A suivre
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