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Retour a la campagne

Retour a la campagne



Cela faisait bien trente ans que je n’avais pas revu cette cousine chez qui j’avais souvent passé des vacances pendant mon enfance et j’ai pensé que c’était trop bête de passer à côté de chez elle sans passer la voir mais je n’avais qu’un ancien numéro et je n’en avais pas toruvé d’autre dans l’annuaire aussi je me suis décidée à y aller quand même au risque de me casser le nez.

Le village n’avait pas beaucoup changé, mais la maison avait été recrépie. Il y avait même une broîte à lettre et une sonnette à la porte du jardin. C’était bien le nom que j’avais connu. J’ai sonné mais je n’ai rien entendu et j’ai resonné sans plus de succès. Peut-être que ma cousine n’était pas là. Où peut-être que sa mère ? J’ai sonné une troisième fois. Il était impossible de voir par dessus la haie et j’ai longé la route pour espérer voir l’endroit où je m’étais tant amusée encore gamine, mais je ne pouvais rien voir. J’ai donc décidé d’entrer dans le jardin, d’aller frapper à la porte de la maison pour ne pas être passée pour rien. J’ai tourné la poignée et j’ai poussé la porte puis je me suis avancée jusqu’à la porte et j’ai frappé mais là encore, il ne s’est rien produit si bien que je me suis décidée à faire le tour de la maison.

Là encore, ça avait changé. A la place du potager de mon oncle, il y avait une piscine et au bord de la piscine, allongée dans un transat, il y avait une femme avec des écouteurs enfoncés dans les oreilles. Treize plus trente, forcément… Ma cousine avait mon âge et j’avais du mal à la reconnaître d’autant plus qu’après les dernières vacances chez elle, mes parents avaient déménagé et nous avions perdu l’habitude de nous écrire.

– Hum ! Hum, ai-je fait pour attirer l’attention de la femme !

Il a fallu que je m’approche et que j’insiste pour avoir une réponse mais la femme a fini par tourner la tête vers moi.

– Je suis Louise ! Louise ! Tu ne me reconnais pas ?

J’ai pensé un instant que ma tante avait vendu la maison et que c’était quelqu’un d’autre qui l’habitait.

– Louise, Louise, a fait la femme en se levant du transat, ma cousine !

Elle était complètement nue et elle avait le ventre complètement épilé et quelque chose brillait à ses mamelons. Ma cousine a cherché une serviette qu’elle n’a pas trouvé et elle s’est contentée de croiser ses bras devant sa poitrine mais sans succès parce qu’elle avait la poitrine de sa mère ma tante. On s’est embrassées sur les joues après s’être serrées dans les bras l’une de l’autre.

– Oh, que je suis contente, m’a ensuite dit ma cousine ! Je pense de temps à toi !

Je lui ai demandé si elle vivait nue et ma cousine m’a répondu que sa robe était dans sa chambre. Elle est allée l’enfiler et quand elle est revenue au bord de la piscine, elle avait revêtu une petite robe en coton qui ne cachait rien de ses rondeurs. Au contraire.

Chloé n’avait pas d’autre transat et elle a sorti deux chaises pour qu’on puisse s’asseoir. Je n’arrêtais pas de la regarder. Elle avait beaucoup changé pendant tout ce temps et moi aussi. Où étaient passées les deux frêles cousines qui passaient leur temps à courir dans les champs et les prés, qui faisaient des kilomètres en vélo rien que pour aller voir des copines puis tout à coup, j’ai réalisé :

– Et tes parents ?

– Et les tiens ?

Les miens étaient partis habiter sur la côte d’Azur. Quant aux siens, ma cousine m’a expliqué qu’après la mort de son père, sa mère n’avait plus été la même mais j’ai bien vu qu’elle n’aimait pas en parler. Après ça, ma cousine m’a proposé de passer quelque temps avec elle. Je pouvais bien passer deux jours, mais pas plus et encore à condition que je prévienne mon mari.

– Ah, parce que tu es mariée, m’a demandé ma cousine ?

Comment aurait-elle pu le savoir ? Ça s’était fait si vite que je n’avais pas pu inviter grand monde mais j’aurais quand même pu l’inviter parce qu’elle était la meilleure amie que j’ai jamais eue. Je n’avais même jamais porté mon alliance, au grand dam de mon mari mais je n’ai jamais pu supporter les bijoux mais j’ai fait remarquer à Chloé qu’elle aimait bien en avoir. Elle m’a répondu que c’était l’infirmière qui faisait ça quand elle passait et que ça ne faisait pas mal.

– Ça m’étonne que tu n’en aies pas, a ajouté ma cousine !

Je n’ai pas répondu. Elle a déboutonné sa robe pour me faire voir ses piercings et ils m’ont parus énormes mais j’ai trouvé ça très émouvant qu’elle ait les mamelons ornés de ces lourds pendentifs en or et j’ai pensé qu’il devait y en avoir pour de l’argent. Ma cousine a reboutonné le haut de sa robe mais j’ai quand même aperçu son ventre et les vergetures qu’elle avait.

– Tu es enceinte, lui ai-je encore demandé ? Tu l’as été ?

Elle m’a raconté que ça s’était passé lors du quatorze juillet et que ce soir-là, elle n’avait pu empêcher un homme de lui faire l’amour.

– J’étais saoûle, m’a précisé ma cousine et il m’a poussée sur un mur ! En cinq minutes c’était terminé !

– Mais alors ?

Elle m’a expliqué qu’elle avait fait une fausse couche tardive et elle n’a plus rien dit sur le sujet. Je ne lui ai même pas parlé de mes enfants et elle ne m’en a pas parlé elle non plu.

– J’ai du lait, a ajouté ma cousine !

– Tu ne l’as pas fait passé ?

Une belle-sœur du côté de mon mari m’avait raconté ça un jour et son lait était passé en huit jours mais Chloé m’a dit qu’elle prenait le moins de médicament possible. On a reparlé de sa mère, tout ça pour apprendre qu’après le décès de son mari ma tante était devenue presque folle.

– Elle se masturbait tout le temps et elle voulait absolument me donner le sein, a-t-elle ajouté, si bien que j’ai dû arrêter de travailler pour m’occuper d’elle ! Tu te souviens quand elle nous avait appris à embrasser avec la langue ?

Je m’en souvenais très bien. Ma tante nous avait serrées l’une et l’autre contre ses gros seins et elle nous avait embrassées tout à tour et nous avions bien ri de la situation.

– Elle venait dans mon lit et elle me prenait pour papa, a ajotué Chloé ! Elle fourrait sa main entre mes cuisses et elle s’étonnait que j’ai perdu mon pénis !

– Mais tu aurais pu la faire enfermer ?

– Non, m’a répondu ma cousine ! Elle n’aurait pas voulu et même moi, je ne le voulais pas ! Je l’ai rattrapée nue sur la petite route je ne sais combien de fois !

Ça me gênait de parler de ça.

– En tout cas, tu as la poitrine de ta mère, ai-je ajouté !

– Oui, des gros nichons, a ajouté ma cousine ! Je voulais en avoir mais pas tant et maintenant ils me tombent sur le ventre !

Des boutons de sa robe s’étaient détachés et je voyais un peu de ses seins.

– Tu te rappelles que le soir même on s’était embrassées dans la chambre ?

C’était toute ma jeunesse qui me revenait. Après la leçon, nous étions passées à la pratique et je pense que ma tante n’aurait pas apprécié à l’époque si elle l’avait su. Nous nous étions embrassées avec la langue et nous nous étions même caressées l’une l’autre. C’était la première fois qu’on le faisait ensemble toutes les deux même si nous en avions parlés chaque année sans oser le pratiquer. Ça nous excitait beaucoup de parler de sexe mais nous n’allions jamais jusqu’à le faire.

– Est ce que tu m’as… trompée avec une femme, m’a alors demandé ma cousine ?

Je n’avais pas envie de lui avouer que j’avais parfois rencontré de si belles femmes que j’avais souhaité qu’elles me fassent des propositions mais ce n’était jamais arrivé. Chloé a eu un curieux sourire et j’en ai profité si elle avait un copain.

– Un copain ? Ah, non ! Ce que je t’ai raconté à propos de ma grossesse, c’est bien la seule fois qu’un homme m’a touchée ! Je préférerais me mettre avec une femme mais ici, ça ferait scandale, a ajouté ma cousine !

Je n’avais plus envie de parler de ça. Le soleil tombait à l’horizon et il commençait à faire frais. Ma cousine m’a proposée de rentrer dans la maison et pour ça, il lui a semblé que le plus simple était de passer par sa chambre. Sur son chevet, il y avait un godemiché énorme, un vrai monstre à côté du mien que j’avais acheté pendant un week-end que j’avais passé en Hollande avec mon mari. En plus des tulipes nous étions allés voir les filles en vitrine et il y avait un sexshop à côté de l’hôtel… J’en avais acheté un gros comme mon pouce et doré et je ne m’en étais servie que bien plus tard, pour m’aider à jouir quand je me masturbais.

– Qu’est-ce que tu fais avec ça, ai-je demandé à Chloé ?

Elle a fait le tour du lit exprès pour le prendre et pour que je le vois de plus près.

– Je me baise avec, a-t-elle ajouté ! Il y a une ventouse et je peux le coller sur le carrelage de la baignoir ou sur celui du mur pour me prendre en levrette !

Elle m’a ensuite demandé si ce qu’elle m’avait dit la choquait. Moi qui avais toujours honte de me masturber, ce qui ne m’empêchait pas de me masturber trois fois de suite quand j’étais seule dans un hôtel lors d’un déplacement. J’avais fini par en parler à mon mari qui s’était sans doute demandé si j’étais folle puis il avait fini par me dire que je pouvais lui en faire profiter en lui téléphonant et en mettant le combiné juste à côté de moi et c’était ce que je faisais depuis.

– Ça doit venir de ma mère, a ajouté ma cousine ! Je t’ai dit qu’elle avait toujours la main entre les cuisses ?

Elle me l’avait déjà dit. Elle a jeté le godemiché sur le lit et je l’ai suivie dans la cuisine mais, alors que nous étions dans le couloir, ma cousine s’est retournée et elle m’a embrassée sur la bouche. Je sentais aussi la pression de sa poitrine sur la mienne. Elle me serrait dans ses bras et sa langue s’enroulait à la mienne. Il y avait si longemps que je rêvais qu’une femme me force à faire ça. Quand elle m’a lâchée, elle m’a pris la main et elle m’a entraînée dans la cuisine mais il ne s’est plus rien passé. Elle m’a dit d’aller chercher ma valise et de m’installer dans la chambre que je connaissais bien, là où j’avais si souvent passé mes vacances. Quand je suis descendue de la chambre, Chloé m’a demandé si je ne pouvais pas rester au moins jusqu’à la fin du week-end.

– On va faire l’amour toutes les deux et après, lui ai-je demandé ?

Elle n’en savait pas plus que moi. Elle s’est mise à préparer notre dîner et elle n’a pas voulu que je l’aide et je l’ai regardée.

– Tu sais, si je baise avec des filles, c’est parce que c’est moins risqué qu’avec des mecs, a ajouté ma cousine !

Je lui ai répondu qu’elle aurait pu se marier mais elle m’a cité en exemple ses parents, la vie qu’ils avaient eu alors que je n’étais plus là pour m’en apercevoir.

– Tu crois que c’était une vie pour moi, a continué ma cousine ? Mes parents ne faisaient plus l’amour et ma mère n’arrêtait pas de le lui reprocher et après son décès, elle restait allongée sur son lit, nue et elle n’arrêtait pas de se masturber comme je te l’ai dit. Elle venait m’embêter dans la cuisine et elle me disait que c’était l’heure de la tétée et elle prenait ses seins dans les mains et elle me les tendait.

Chloé avait fini par céder à sa mère et elle la tétait et sa mère en profitait pour la masturber.

– Elle me faisait jouir et j’avais honte mais d’un autre côté j’étais contente qu’elle me masturbe parce que je n’avais pas à le faire, a ajouté ma cousine !

– Ça a duré longtemps, lui ai-je demandé ?

– Dix ans, m’a répondu Chloé ! Jusqu’il y a cinq ans quand elle est morte à son tour !

– Tu vis de quoi, lui ai-je ensuite demandé ?

– Tu crois que je fais la putain avec des femmes, a-t-elle ajouté ? Je n’en suis pas là ! Je vends des champs et des prés au fur et à mesure, des bouts de terre et ça m’aide à vivre ! Je n’ai pas beaucoup de besoins. Je jardine un peu.

– Et le ravalement ? Et la piscine, lui ai-je demandé ?

Elle m’a expliqué que si ses parents ne paraissaient pas riches, ils l’étaient. Elle avait d’ailleurs découvert cet argent après leur mort et elle en avait profité pour faire ces travaux.

– J’ai quand même des amantes, a ajouté Chloé ! L’infirmière ! Le médecin, c’est une femme ! La fille des fermiers d’à-côté ! Si son père le savait, il la tuerait ! Des femmes qui viennent, comme ça parce que mes amies leur ont parlé de moi !

Elle semblait heureuse de m’avouer ça. Je lui ai demandé qui avait été la première.

– Bah, tu vois, je m’étais toujours dit que j’allais me marier… Tu te rappelles quand on parlait des garçons ? Je n’ai pas cessé de me dire que j’allais me marier et j’ai même eu des prétendants, mais aucun ne m’a jamais plu. J’attendais ! J’attendais mais je restais seule ! Tu as dû comprendre que les derniers temps, je ne me contentais pas de téter les seins de maman parce qu’on faisait l’amour ensemble ! C’est l’infirmière, la première ! J’avais vu une gamine avec des percings aux mamelons et j’en ai eu envie. J’ai demandé à la fille. J’ai téléphoné à l’infirmière. Elle m’a demandé ce que je voulais et je lui ai dit que je voulais mettre mes sous au bout de mes seins. Elle est venue et elle m’a montré sur un catalogue de bijoutier et je lui ai confié l’argent que j’avais encore. Elle aurait pu partir avec mais elle est revenue me percer ! J’en ai pour des millions au bout des seins et il n’y a qu’elle qui le sait. Quand elle est revenue me faire les soins, elle m’a dit qu’elle avait envie de moi et on a fait l’amour ensemble. Les autres, c’est des copines à elle !

Ma cousine s’est arrêtée de parler. Elle m’a souri puis elle m’a demandé si j’avais toujours envie et j’avais vraiment envie d’un orgasme. J’ai soulevé ma jupe et je me suis calée sur le coin de la table et devant ses yeux ébahis, je me suis masturbé sur le coin. Je regardais ma cousine et je me frottais. J’avais déjà fait ça une fois contre le coin d’un muret un jour que j’étais au bord de la mer et ça avait été très excitant sauf que je n’avais pas vu venir un couple qui m’a dit que j’étais dégoûtante quand ils sont passés à côté de moi. Et là, je me frottais sans me tenir à la table et je regardais ma cousine et j’ai joui rapidement et quand elle m’a demandé à m’essuyer, elle s’est ajenouillée entre mes cuisses et elle m’a léchée à coups de langue et j’ai redémarré au quart de tour parce que j’avais encore plus envie.

Après mon second orgasme, j’ai eu envie d’uriner mais Chloé a dit qu’on irait sur la terrasse et comme elle retirait sa robe, j’ai enlevé mes vêtements et une fois dehors, elle s’est agenouillée à nouveau entre mes jambes et je lui ai pissé dessus. J’avais baissé les yeux sur elle et je la regardais. Ma cousine en avait plein la bouche et ça lui coulait aussi sur les seins et je n’avais plus honte. Je continuais à uriner et mon urine continuait à couler sur sa poitrine. Quand je me suis arrêtée, ma cousine m’a poussée dans la piscine et elle m’y a rejoint puis elle s’est collée contre moi et elle m’a demandé de la faire jouir. Que pouvais-je faire d’autre ? J’en avais aussi envie. Qu’elle jouisse de mes doigts. Je la masturbais et elle m’embrassait et elle enroulait sa langue sur la mienne puis elle s’est mise à me masturber.

– Tu reviendras, m’a-t-elle demandé quand nous avons repris notre souffle ? Tu reviendras vite ? Je suis sûre que tu plairas à mes amies !

J’ai promis. J’étais fourbue et je n’avais plus de jambes mais heureusement qu’on avait encore pied. Nous sommes rentrées dans la maison pour nous sécher puis nous avons fait notre dînette. J’allais monter dans ma chambre quand ma cousine m’a suivie et quand je suis sortie de la salle de bains, elle m’attendait, assise sur le lit. Elle tenait un de ces godemichés dans la main, avec une sorte de lanière et j’ai vite compris ce qu’elle allait en faire quand elle se l’est attaché autour des hanches.

– Je te baise, m’a dit Chloé en s’enfonçant dans mon vagin !

Elle m’a baisée et de toutes les manières, et même en levrette et quand elle en a eu assez, elle s’est enfoncée dans mon anus. A quarante-trois ans, j’étais encore vierge de ce côté là même si je m’étais parfois enfoncé un crayon ou un doigt.

– Je t’encule, m’a encore dit ma cousine ! Tu es à moi !

J’étais vraiment à elle et j’étais bien incapable d’autre chose. Elle s’enfonçait dans mon anus et j’avais l’impression que le godemiché allait me ressortir par la bouche. J’avais mal partout et surtout aux boutes des seins. Chloé avait écrasé les siens sur mon dos et elle ne bougeait plus puis elle a mis un de ses doigts dans ma bouche. Je n’en pouvais plus. J’ai fermé les yeux et je me suis endormie. Le lendemain matin j’étais seule dans le lit. Chloé était sans doute allée chercher quelque chose à manger. Je suis descendue dans la cuisine et je me suis faite un petit déjeuner puis je suis allée me laver. Il faisait si beau que je ne me suis même pas habillée avant d’aller faire quelques brasses dans la piscine. Après ça, je me suis faite bronzer allongée dans le transat et c’est là que ma cousine m’a trouvée, une main entre les cuisses et l’autre sur la poitrine. Elle m’a dite de l’attendre et quand elle est revenue, elle était nue elle aussi.

Elle ne m’avait pas menti et ses seins lui pendaient vraiment sur le ventre avec leurs bijoux qui en étiraient les mamelons. Elle a étendu des tapis de sol sur le dallage et nous nous sommes couchées côte à côté. Elle a voulu qu’on se masturbe tout en discutant mais c’était plutôt difficile. Je n’arrêtais pas de fixer son regard pendant qu’on se masturbait et ça a été ça les deux premiers jours. Elle m’avait enculée la nuit précédente et je l’ai enculée cette nuit-là puis l’infirmière est passé nous voir. Je lui ai dit que je voulais faire percer mes mamelons moi aussi et j’ai pu voir qu’elle en avait aussi tout en bas qui perçaient ses petites lèvres. Je voulais quelque chose de simple et ça s’est fait la veille de mon départ.

Je n’avais même pas mal avec mes anneaux aussi larges que des pièces de deux euros. Dans l’après-midi, la doctoresse était passée nous voir et j’avais pu apprécier ses différents talents comme quand elle s’était occupée de me faire avoir un orgasme en m’enfonçant ses ongles dans les chairs de ma chatte. J’étais restée debout devant elle et elle n’avait pas arrêté de me faire jouir jusqu’à ce que je crie que je n’en pouvais plus. Après, elle avait fait l’amour avec ma cousine et j’ai même commencé à être jalouse de leur si bel accord. Je suis rentrée chez moi le lendemain. Bien sûr, mon mari s’est inquiété de cette nouvelle folie et moi je ne pensais plus qu’à retourner voir ma cousine et je n’ai plus cessé de me masturber. Maintenant que j’avais son numéro de téléphone, je pouvais l’appeler et me masturber avec elle comme je le faisais quand j’étais loin de mon mari avec lui.

Je ne pensais plus qu’une chose : baise, baise, baise, baiser avec une femme et j’avais toujours envie de Chloé, de son infirmière et de son docteur et aussi des autres femmes dont elle m’avait parlé, mais il fallait que je sacrifie quelque chose et j’ai sacrifié mon mari. Je me suis arrangée pour continuer à travailler une fois installée avec ma cousine et je suis partie mais il n’a pas lâché si facilement parce qu’un jour il a surgi dans la ferme alors qu’avec nos amies, ma cousine et moi faisions une ronde, bouche à con. Je m’étais prise de passion pour la fille du fermier voisin et j’étais en train de lui bouffer la vulve quand mon mari a surgi. Elles savaient bien, mes amies, que j’étais mariée mais sa présence les a refroidies. Nous nous sommes retrouvées tous les trois avec Chloé, sans trop savoir quoi se dire. Finalement, ma cousine lui a proposé de baiser avec nous et c’est ce que nous avons fait. Une bite et du sperme, c’est quand même mieux qu’un godemiché et Chloé a avalé le semence. Nous nous sommes mis d’accord pour qu’à chaque fois qu’il viendrait, l’une ou l’autre et même l’une et l’autre serions à sa disposition.

Après le départ de mon mari, nos amies ont repris leurs habitudes et j’ai même pu habituer mon vagin au fisting et bientôt elles ont pu me faire ce plaisir toutes les quatre. Mon mari est revenu trois semaines plus tard et il a enculé Chloé avant de nous annoncer qu’il avait trouvé quelqu’un pour me remplacer mais cinq ans après nous n’avons toujours pas divorcé.

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