Le rendez vous est pris devant ta porte toujours vêtue comme une dévergondée. Je t’emmène dans une usine désaffectée ,aux murs tagués de dessins obscènes ,l’endroit est lugubre et pas très accueillant. Avance devant ,je te dirais d’arreter.Stop,arret au-dessus d’une plaque d’égout munie d’un anneau en fer pour la soulever, j’arrache ton string d’un coup sec et te fais mettre a poil. Je sors une paire de menottes ,un modèle assez petit en diamètre et t’attache les couilles avec un coté. A genou ,je passe l’autre extrémité dans l’anneau de la plaque ,,tu es prisonnière sans aucune chance de t’échapper, met toi a quatre pattes le cul en l’air ,les menottes tirent fortement et je vois les couilles s’allonger, tes épaules doivent touchées le sol. Ta position est obscène avec ta chatte anale offerte. Des bruits bizarres ,des grincements rendent cet endroit peu rassurant. Je t’attache les mains dans le dos avec une petite cordelette afin de t’empêcher de te relever et de bien rester exposée. Je sors fumer une cigarette en te laissant dans cette posture, seule. Je fais durer l’attente puis vais chercher un martinet et d’autres accessoires dans le coffre de la voiture. En revenant j’aperçois une bouteille vide qui traine et je ne réfléchis pas longtemps et je la ramasse avec une idée derrière la tête
Tu es la apeurée car de temps en temps des bruits pas très rassurants se font entendre , peut être quelqu’un observe la scène en cachette. Je t’écarte les cuisses au large et tu es comme un crapaud posé a même sur le sol et le cul en l’air bien offert cette fois. Je sors quelques paquets de bougies de mon sac et te les enfile une a une dans ta chatte accueillante, une quinzaine ont déjà trouvé leur place, encore 2 ou 3 car je vois que cela rentre bien Voilà, maintenant que tu es bien remplie je prends mon briquet et allume l’ensemble, je les avais choisis assez grandes afin qu’elles dépassent largement. Je prends quelques clichés et me saisit du martinet et commence a te fouetter le dos et le bas du dos. C’est obscène mais je vois que les bougies diminuent vite, alors je les éteints et retire tout le paquet d’un coup. Je m’empare de la bouteille et passe un préservatif dessus, tu es une salope, une trainée, mais je ne voudrais pas que tu att****s une maladie. C’est une bouteille de perrier avec un gros renflement ,bien que je la présente par le fond, elle rentre facilement je fais quelques va et vient et la laisse plantée bien a fond, Je reprends quelques bougies ,les allume et commence a te couvrir le dos de cire, tu bouges dans tous les sens mais tu es toujours maintenue par les couilles a cette plaque d’égout, pas moyen de s’échapper. Encore ce bruit ,il y a surement quelqu’un qui observe depuis un endroit discret cela décuple le coté insolite de cette action. Je descends avec la cire vers ta chatte anale et en pose quelques gouttes aux alentour .J’éteins tout et retire la bouteille brutalement. Tu es en transe ,trempée de sueur. Je passe derrière toi et enfile une main gantée dans ta chatte et de l’autre te fouette le dos pour faire tomber la cire. Tu ondules ,râles réclame encore plus ,mais je n’ai que deux mains. Je crie a qui veut entendre ,,il y a quelqu’un ?? si oui venez ici il me faut de l’aide !!!.Une forme sort de l’ombre et une femme apparait vêtue de cuir noir, je pense qu’elle n’a rien perdu de la scène ,,Viens m’aider cette salope en veut plus mais je n’arrive pas a la contenter. Tu veux la fister ou la fouetter ? D’une voix rauque elle répond je vais la dilater ta salope ,,j’aime ça les lopettes.Je lui donne des gants et elle enfile ces mains sans ménagement ,les deux assez rapidement. Je reprends le martinet et recommence a te fouetter, la cire se décolle facilement et je vois des filets de mouille s’échapper de ta queue bien tendue. Elle te ramone sans ménagement ,je la prends par le cou et l’embrasse sur la bouche goulument . Tu exploses ,le foutre éclabousse la plaque d égout et tu t’effondres a plat ventre faisant du même coup ressortir les mains.
Pour toi c’est terminé ,,,mais moi g envie ,je prends un morceau de carton qui trainait par la et la fait allonger dessus devant tes yeux après avoir retiré son pantalon. Nous faisons un soixante-neuf effréné ,elle sens bon le cuir, Nous jouissons d’un commun accord et tu nous regardes comme un chien battu alors je te détache et nous t’embrassons sur la bouche a tour de rôle avec nos lèvres remplies de jouissance féminine. Donne-moi ton N° de T° me dit ’elle ,je sens que nous allons pouvoir nous amuser tout les trois C’est fini remet ta jupe et ton maillot ,le reste est superflu je te remmène chez toi
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