Je suis beau mec et je n’ai pas de problème pour trouver des copines. Par contre, c’est plus rare de trouver une gazelle qui sait mettre du piment dans ma vie. Clara a été de ce style. Sa profession ? Flic. Quand elle s’est présentée seule au resto, j’ai tout de suite senti qu’elle avait des cojones. Son équipe relevait des empreintes dans l’appart du dessus suite à un cambriolage et elle voulait savoir ce que je faisais à ce moment-là.
J’ai rigolé et j’ai dit : « Vous trouvez que j’ai une tête de bandit, Mademoiselle ? ». Elle a répondu direct « Appelez-moi officier. On n’a pas gardé les cochons ensemble ». Là, elle a compris qu’elle avait fait une boulette car avant que je garde un cochon, il fera chaud ! J’ai éclaté de rire devant sa tête super gênée. Elle a rigolé aussi. L’ambiance s’est détendue, alors je lui ai fait faire le tour du proprio, pour qu’elle voit que je n’avais rien à cacher.
À mesure que l’on visitait, je sentais qu’elle me matait « discretos ». Je faisais pareil : son uniforme la rendait sexy et elle avait l’air plutôt coquine. En arrivant dans l’arrière-salle qui me sert de bureau, je l’ai invitée à s’asseoir sur la banquette pour un thé à la menthe. Elle a dit oui. Elle devait être un peu stressée parce qu’en attrapant son verre, elle a renversé du thé partout sur son pantalon. Ça devait la brûler, alors je lui ai dit de l’enlever vite, ce qu’elle a fait. Sur sa cuisse, il y avait déjà une grosse marque rouge. J’ai chopé le tube de crème dans le tiroir du bureau, que je garde pour quand le cuisinier se brûle. Et je me suis baissé à ses pieds pour étaler de la crème sur la trace.
La situation était plus que « chelou » : j’étais à quelques centimètres de son entrejambe, devant sa culotte transparente… Je pouvais voir son clito à travers ! La « fliquette » a bien vu mon regard et, sans rien dire, a baissé encore plus son pantalon. Dessous, elle portait des bas. J’ai levé les yeux et elle a rougi : « J’ai un rencard ce soir, mais je ne sais pas si je vais y aller… ». J’avais raison : la policière désirait se faire sauter. Mais pourquoi attendre ce soir, vu que je pouvais la satisfaire de suite ? Je n’ai pas hésité et j’ai plongé dans sa foufoune.
Avec ma langue, je me suis appliqué à la faire juter. J’ai aspiré le clito à travers le tissu, en même temps que je glissais un doigt dans la fente. Elle était chaude. Je l’ai masturbée un peu, puis je l’ai allongée sur la banquette à plat ventre. J’ai roulé la culotte en bas de ses chevilles et j’ai plongé à nouveau, cette fois dans son cul. J’aimais son goût, alors je l’ai léchée de partout. En même temps, j’ai dézippé mon jean et j’ai glissé ma bite entre ses petits pieds. Elle m’a branlé, pendant que je lui bouffais le fion.
Vu que ses collègues allaient finir par s’inquiéter, elle m’a dit qu’il fallait qu’on accélère. Mais pas question qu’elle file sans avoir eu son supplément sauce blanche ! Je lui ai demandé de s’allonger par terre pour être plus à l’aise et je me suis fait pépon, à cheval sur elle. Un coup, je rentrais ma bite, un coup, mes couilles. En même temps, je m’amusais à lui pincer son petit nez jusqu’à ce qu’elle s’étouffe à moitié. Les bruits qu’elle faisait, m’excitaient beaucoup… Elle a voulu que je la baise. J’aurais bien aimé l’enculer mais je n’ai pas osé. Alors je l’ai prise en missionnaire. Un peu trop classique à mon goût mais on n’avait pas le temps pour des acrobaties. Elle s’est mise à gémir plus fort, alors j’ai continué à la pilonner. J’ai attrapé son pantalon qui traînait à côté d’elle et je lui ai calé dans la bouche comme un bâillon. Entre ses jambes, c’était les chutes du Niagara !
Quand j’ai dit que j’allais appeler mes potes du quartier pour qu’ils la finissent, j’ai senti qu’elle n’en pouvait plus. Les dents serrées sur le pantalon, elle m’a regardé avec des yeux de braise. Je lui ai décrit la scène : comment ils allaient s’y mettre à plusieurs dans sa bouche, puis la baiser en même temps par la chatte et le cul en la filmant au téléphone.
Ma « fliquette » s’est raidie et a joui en beuglant à travers le tissu. J’ai suivi : une bonne rasade pour lui montrer qui était le patron. Elle s’est rincée vite fait au lavabo des toilettes, s’est rhabillée et a filé. Je l’ai vu à travers la vitre rejoindre son équipe, qui n’aurait pas attendue beaucoup plus avant de venir la chercher dans le resto… Dans les chiottes, j’ai trouvé un nom sur le miroir, écrit avec du crayon pour les yeux : « Clara », avec un numéro de portable.
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