Pendant les semaines suivant cette rencontre j’étais presque constamment en rut. D’abord Je passais une bonne partie du trajet de retour en train dans les toilettes à me branler et à me doigter le cul. Le reste du voyage je fantasmais sur les autres passagers : est ce qu’il a une grosse bite ? Est qu’elle devine que je viens de me faire enculer comme une bête ? Est ce qu’ils voient que je bande dans mon pantalon ?…Arrivé chez moi je fouillais mes tiroirs et mon frigidaire pour trouver quelque chose à m’enfoncer dans le cul et je passais une bonne partie de la nuit avec une carotte. Entre temps j’avais appelé plusieurs fois Sliman pour entendre à nouveau sa voix, lui dire mon amour et mon excitation. Il m’encourageait à me branler et à me défoncer la chatte pour qu’il puisse me pénétrer sans forcer, me disait qu’il avait envie de moi et que nous nous reverrions très bientôt….Le lendemain, sur ses conseils, je me précipitais dans un sex-shop pour acheter un plug anal. Sans hésiter je choisis un gros modèle mais en arrivant à la caisse le vendeur, très professionnel, m’interroge :
« C’est pour vous ? Vous êtes habitué ? »
« Heu.. pas vraiment »
« Alors ne prenez pas ça, vous ne l’utiliserez pas. Venez je vais mon montrer ce qu’il vous faut »
Je le suis au rayon des accessoires. Il me montre un plug d’une taille raisonnable.
« Voilà un modèle qui vous donnera beaucoup de plaisir. Par contre vous devriez également prendre un gode pour le sucer et l’enfoncer bien profond… »
Sur son conseil je choisi un gode réaliste en latex noir d’une taille moyenne, le plug qu’il m’avait proposé et, naturellement, une grande bouteille de lubrifiant.
De retour chez moi je me précipite pour essayer mes achats avec délectation et rapidement je fis un Skype avec Sliman pour lui montrer comment je suce mon gode et je m’enfonce le plug. Ses félicitations et ses encouragements me vont droit au cœur.
Pendant près d’un mois je passe tout mon temps libre à me travailler la chatte avec le plug et le gode et en m’entraîner à faire des gorges profondes sans vomir. Je publie plusieurs photos et même des vidéos sur Xhamster et je reçois des commentaires et des propositions excitantes. Je tchate avec un ou deux amateurs de masturbation et je me gode en direct sur Skype avec un correspondant japonais à l’autre bout du monde. Vraiment l’internet est merveilleux. Je supporte de mieux en mieux le plug et une fois je vais même au travail avec en le gardant une bonne partie de la matinée. C’est super excitant d’être godé en public. J’essayais de ne pas trop chalouper du cul pour éviter d’attirer l’attention mais ce n’était pas facile et j’ai quand même vu, ou cru voir, quelques regards curieux.
Enfin au bout d’un mois je peux trouver le prétexte d’un stage professionnel pour aller passer une semaine à Paris. J’ai bien sur rendez-vous dès le samedi avec Sliman qui m’a dit de ne pas m’inquiéter pour mon logement. Après m’être rasé, epilé, parfumé, fait plusieurs lavements je suis chez lui à 14 heures, bouillant d’excitation. Il m’accueille en peignoir avec un large sourire. Ce baiser profond que nous échangeons, je m’en souviendrai toute ma vie. Tout de suite il me déshabille et me caresse, léche, mordille, les tétons… C’est trop bon. Ça y est nous sommes en 69 sur le lit, j’ai la tête entre ses cuisses et sa bite au fond de la gorge. J’en rêvais depuis un mois. Rapidement je suis en position, à quatre pattes sur le lit pour qu’il m’encule, il prend son temps en promenant sa bite autour de mon trou, faisant semblant d’entrer pour repartir ailleurs…j’ai trop envie..enfin d’un seul coup il est au fond jusqu’aux couilles. Cette fois il voit que je suis prêt et il ne prend aucune précaution. Il lime comme un marteau piqueur, il se retire presqu’à sortir puis replonge et re-pilonne sans s’arrêter. Il me tient aux hanches pour me guider et me faire aller et venir sur sa queue. Ma bite bandée comme jamais ballote entre mes cuisses au rythme de ses enculades et je sens la jouissance monter. Parfois il se penche sur mon dos pour me triturer les tétons ou me branler la pine. Il m’embrasse le cou, m’enfonce ses doigts dans la bouche. Nous échangeons des paroles incohérentes et obscènes, des gémissements, des feulements… Finalement il accélère encore et nous jouissons presqu’en même temps, je lache plusieurs jets de sperme sans m’être touché. C’est bon, trop bon, je voudrai que ça n’arrête jamais.
Nous restons un long moment encastrés l’un dans l’autre, en chien de fusil, pour reprendre notre souffle. Je contracte les fesses pour le garder à l’intérieur de moi. Avec son bras par dessus mon épaule il griffe mon téton gauche, le pince, l’étire.. j’aime ça, c’est électrique. Mais il se dégage et se relève :
« Aller, on n’a pas que ça à faire. Ce soir je te sors. On va aller en boîte, chez un ami, il y a une soirée costumée. Ce sera très drôle »
« Mais .. j’ai rien de prévu, j’ai pas de costume ! »
« T’inquiète je m’en occupe »
Je suis trop content de me laisser guider aveuglément par celui qui vient de me faire si bien jouir. Nous nous rhabillons et prenons un taxi direction la place Clichy. Après quelques minutes de marche nous entrons dans un salon d’esthétique où nous sommes accueillis par une très belle femme mûre, généreusement dotée du côté de la poitrine, que Sliman semble bien connaître.
« Patricia je te présente mon bon ami Daniel. Nous allons ce soir chez Driss à la soirée costumée, je voudrai que tu le transformes en une très belle jeune fille !!»
Je suis surpris mais je ne proteste pas car cette perspective n’est pas pour me déplaire depuis le temps que je me branle sur les vidéos trav qu’on trouve sur Xhamster.
« Pas de problème » dit la belle «repasses dans deux heures tu ne reconnaîtras pas ton ami »
Elle se met aussitôt au travail : épilation complète à la cire chaude, le visage ,les jambes, le torse, le sexe, le trou du cul que j’avais eu du mal à raser… lavement répété deux fois..massage avec une crème apaisante avec petite branlette et sodomie manuelle… pédicure et manucure, vernis à ongles (mains et orteils) d’un rouge éclatant…maquillage des yeux, de la bouche…C’est à ce moment que Sliman réapparaît pour apprécier le travail. Il est conquis.
« Je lui perce les oreilles pour lui mettre de beaux bijoux ? »
« Non, non ça n’aurait pas le temps de cicatriser d’ici ce soir. On lui mettra des boucles à pinces, tu dois bien avoir ça ? »
Je pousse un ouf de soulagement car j’aurai pas osé refuser mais quand même je préfère m’en passer.On m’équipe d’une perruque noire coupée au carré… J’en reviens pas. Dans le miroir je ne me reconnais pas. Les grosse lèvres écarlates, les pommettes roses et brillantes, les faux cils énormes, les yeux charbonneux… qui est cette pétasse avec sa bouche à faire des pipes ?
« Superbe » dit Sliman « maintenant il faut l’habiller »
Lui il est déguisé en proxénètes années 50 : chemise violette, costume à rayures voyantes, chaussures bicolores…
« J’ai ce qu’il faut. On est pratiquement de la même taille.»
Des bas résilles, un porte-jarretelles, des chaussures vernis avec talons de 10 cm..
«Pas de slip »intervient Sliman « il faut qu’on puisse avoir directement accès à sa chatte »
Une minijupe très aérienne qui s’arrête au raz de la touffe, un soutien-gorge bonnet D rembourré de faux seins très légers mais avec des tétons bien proéminents et qui pointent fièrement vers le haut !! Un pull ras du cou, bien moulant pour faire ressortir mes gros seins, en mohair blanc, de grosses boucles d’oreilles qui touchent presque mes épaules …Je suis prêt ou plutôt prête à tout..ou presque.
Sliman est très satisfait. Moi aussi. Je règle Patricia ( pas donné mais ça vaut le coup) et nous sortons bras dessus bras dessous. J’ai un peu de mal à marcher avec les hauts talons au début mais mon amant me tient fermement et bien vite je cambre les reins d’un air assuré pour mettre ma poitrine en valeur. Il est près de 21 heures et on s’installe dans une brasserie pour dîner avant d’aller à la soirée. Après la commande je traverse le restaurant pour aller aux toilettes et j’ai le plaisir de voir tous les regards qui me suivent. Bien sûr dès qu’on s’est assis Sliman a pris ma main pour la poser sur sa braguette ouverte et pendant presque tout le repas je n’ai pu manger que la main droite, l’autre étant occupée à le branler doucement. Je m’efforce de manger comme une vrai jeune fille : assise au bord du siège, le dos bien droit, des petites bouchées en faisant bien attention à mon maquillage.
Vers 10 heures passées nous quittons le restaurant (j’ai bien sûr invité Sliman) pour gagner à pieds, le long de l’avenue de Clichy, le lieu de la fête. Je marche en tortillant du cul le plus possible pour me mettre bien dans l’ambiance.
À l’entrée du Macumba nous dépassons la file des clients qui attendent l’autorisation d’entrer et nous sommes accueillis par un superbe africain en costume de cheikh arabe qui embrasse Sliman.
« Voilà Daniel dont je t’ai parlé »
« Elle est superbe ..Installez vous je vous rejoindrai un peu plus tard »
Il m’embrasse et nous ouvre la porte en me caressant les fesses.
À l’intérieur la fête bat déjà son plein, la musique est assourdissante, les lumières éblouissantes et l’ambiance déchaînée. Des hommes, des femmes, des travestis, des crossdresseurs dans des costumes extravagants et parfois hyper sensuels. Heureusement je ne pense pas dépareiller et je n’ai aucun complexe. Un serveur que Sliman embrasse -décidément il connaît tout le monde- nous trouve une bonne place et nous apporte d’autorité une bouteille de champagne et trois verres. Sliman me tient par le cou pour bien montrer à qui j’appartiens. Il murmure à mon oreille pour m’éclairer sur les personnes qu’on voit passer… celle là c’est un garçon comme toi, celui la il a une toute petite bite, cet autre au contraire est monté comme un âne.. il semble avoir couché avec la moitié du public !! Bien sûr il me fait bander et il a passé sa main sous ma jupe pour me caresser.
Peu après le cheikh arabe aperçu à la porte viens s’assoir à notre table et partager le champagne.
« Chéri je te présente Driss, c’est lui le maître des lieux »
Il est impressionnant : très grand, très costaud, souriant, une bouche sensuelle et des dents d’un blanc immaculé.
Il nous fait la conversation, très à l’aise. Il connaît Sliman de longue date et il a l’air de savoir qui je suis. Rapidement la bouteille de champagne est terminée et Sliman me demande gentiment d’aller en commander une au bar. Pendant que j’attends d’être servi je les aperçois en grande conversation, regardant parfois dans ma direction ou pointant du doigt vers moi. À la fin, juste comme je reviens avec ma bouteille, ils se serrent la main et je vois Driss remettre à Sliman un -petite- liasse de billet. Je me réinstalle, bois une autre coupe quand Driss me propose de venir danser une série de slows. D’un coup d’œil Sliman me donne son accord et je suis Driss sur la piste le cœur battant. Aussitôt il me colle contre lui, m’étreint et glisse sa main sous ma jupe pour me tripoter les fesses. Dans cette ambiance je ne vais pas jouer à la mijaurée et je me laisse faire avec délectation. Un de ses gros doigt me pénètre pendant que je sens sur mon ventre son sexe bandé qui frotte contre le mien. C’est excitant. Mon partenaire me murmure à l’oreille des compliments sur ma tenue, ma beauté, ma sensualité. Il m’explique qu’il partage tout avec Sliman et couvre ma bouche avec la sienne pour un baiser torride qui me laisse chancelant. Sliman sur la banquette nous regarde avec l’air d’approuver. Je me laisse faire et profite sans vergogne. Quand la musique change Driss me ramène à notre place, s’assoie à côté de Sliman et me prend sur ses genoux !! Il continue de m’embrasser, dans le cou, sur la bouche.. tout en triturant mon sexe qui est de plus en plus raide. Rapidement il soulève sa djellaba -sous la quelle il est nu- me met à cheval sur ses cuisses et me pénètre d’un mouvement rapide. Même s’il fait relativement sombre et si nous sommes quelque peu masqués par la table, je réalise que je suis en train d’être enculé en public au vu et au su de tout ceux qui sont à proximité. J’adore. Je remue les fesses et les hanches de mon mieux pour faire jouir mon enculeur et je sens son sexe loin, loin, à l’intérieur de moi. Sliman ne semble pas du tout fâché et il m’att**** la tête pour me donner un long baiser profond et tendre. C’est dans cette position que je l’entends me dire :
«Je dois partir tu vas rester avec Driss qui va s’occuper de toi. Je te verrai plus tard. »
Avant que j’ai le temps de réagir ce qui m’est difficile dans la position où je suis et avec tout le champagne que j’ai bu, il se lève et quitte les lieux. Driss me retient et me rassure en m’embrassant et en me cajolant. Restés seuls nous dansons encore plusieurs fois, tout en continuant à boire, je m’agenouille sous la table pour rendre hommage à mon nouvel amant en le pompant de mon mieux. Enfin Driss me baise debout dans les toilettes accroché au lavabo sous le regard lubrique de ceux qui viennent satisfaire leurs besoins. Au petit matin nous montons dans un taxi et je m’endors pratiquement sur l’épaule de mon compagnon. Arrivé à destination il m’explique qu’il a oublié de prendre de l’argent et que je dois sucer le chauffeur pour le prix de la course. Je m’exécute de mon mieux pour pouvoir aller me coucher le plus vite possible. Cependant tel n’est pas le projet de mon nouveau maître qui m’a amené dans un foyer de travailleurs immigrés pour me mettre à l’abattage !!
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