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Mûres8:Lécher l’anus de la pute qu’on en

Mûres8:Lécher l’anus de la pute qu’on en



-Tous ces larges fesses de vieilles dames qui se sont présentées à toi, lisses, blanches, douces, devant ta queue enthousiaste…mais sans jamais entrer dans leur anus, c’est un peu navrant, m’avoue Marlène.
-Je prends conscience d’une chose…lorsque je pense à la dignité autoritaire et bourgeoise de Solange, avec sa petite mèche décolorée pour faire moderne, petite dame toujours prête à se faire fourrer en vitesse par ma jeune queue dès que son mari partait pour faire une course, ou à Monique la gentille mamie aux gros seins qui, en plein après-midi, quittait son rôle de grand-mère moderne et dynamique, occupée à des rendez-vous et des tâches raisonnables, pour venir chez moi dans la perspective de me faire gicler dans sa vieille chatte, et bien je bande en visualisant ma verge pulsant dans leurs chattes mûres, je vois ma tige s’enthousiasmer dans des vagins, mais jamais dans des culs. Mais quand je pense à toi, Marlène, tu es toujours enculée. L’image finit par zoomer sur ton petit anus rose.
Hier encore, je me suis branlé comme un malade en pensant à sa dernière visite. Je me voyais couché en petite cuiller derrière elle, pistonnant tranquillement son derrière de petite pouliche rousse en échangeant des obscénités.
Grosses fesses de Solange, ma queue dans son vagin.
Grosses fesses de Monique, ma queue dans son vagin.
Hanches étroites de Marlène, petites fesses rondes, ma queue dans son cul.
C’est toujours ainsi que je les baise rétrospectivement lorsque je me masturbe en pensant à elles.
Heureusement que j’avais découvert l’annonce d’Anna, portugaise d’une quarantaine d’années, qui offrait de se laisser enculer pour un prix dérisoire.
-Tu m’emmèneras? On ira ensemble? s’enthousiasme Marlène, qui aime bien me voir baiser les putes.
-Raconte…elle est excitante?
-Oui et non…brune, des lunettes, un air revêche, sans être laide…mais pas du tout charmante.
Elle travaille dans son petit studio privé, situé dans les étages supérieurs d’un grand immeuble sans charme de la banlieue de Lausanne.
Elle m’a répondu au téléphone. Emotion de découvrir le timbre de voix de la femme que j’allais bientôt enculer. Elle m’a indiqué son adresse, non sans me répéter plusieurs fois les détails, noyés comme dans de l’huile par un accent prononcé.
Transpirant d’excitation, j’ai noté le code d’accès de la porte d’entrée, le numéro de l’étage. Instinctivement, j’ai porté la main à ma queue pendant ses explications. J’aimais bien la vulgarité des détails: sa porte se reconnaissait aux coeurs rouges collés dessus. Très discret pour les voisins.
J’arrive. Une voisine de palier rentre chez elle précisément au même moment, avec ses commissions. Bonjour Madame, je suis un monsieur qui va tremper sa queue dans le cul de la dame qui vit ici. C’est du moins ce que proclame mon attente derrière la porte aux coeurs rouges, et ce qui explique l’air désapprobateur de la voisine.
Je ne lui dis pas que, elle aussi, je l’enculerais volontiers, ou la lécherais pour faire connaissance.
La courtisane bon marché, mais non sans caractère ni sans saveur, m’ouvre la porte en nuisette. Pas de culotte.
Quelques poils pubiens. Vision très naturelle, on n’est pas chez les putes standard, désinfectées, rasées. C’est une ménagère élevée au grain, et qui se prend des queues pour arrondir ses fins de mois.
Elle me demande ce que je veux. Je ne réponds pas « c’est pour un tennis », comme dans le sketch de Bigard. Je lui rappelle son offre de sodomie.
c’est pour cela que je suis venu: découvrir une inconnue au moment où elle ouvre sa porte, et cinq minutes plus tard, nu et haletant, pulser mon membre dans son trou du cul, ce qui est une manière de faire connaissance.
Je suis maintenant tout nu sur le canapé. Elle n’a pas préparé de lit. A genoux, elle me suce mécaniquement.
Sa bouche monte et descend avec un vigueur de locomotive, de machine à pistons aux vertus aspirantes.
tout cela manque de finesse, de nuances, mais je finis par bander ferme.
Elle me suce, et suce, et suce, comme si elle accomplissait une tâche purement mécanique, comme si elle gonflait un canot de plage en caoutchouc.
Evidemment, mon gland préfère se voir entouré par les lèvres maquillées d’une jolie vieille dame qui fait doucement onduler sa langue. Je préfère contempler un front sérieux, orné de cheveux teints coiffés en vagues soignées, en boucles laquées, entourant un front plein de sagesse et d’expérience, mais dont la préoccupation actuelle consiste à se concentrer à faire une bonne pipe, à être une grand-mère salope qui peut faire jouir une bite aussi bien qu’une jeune femme.
Anna ne me suce plus, la bite est bien assez dure. Elle se place sur le canapé, à genoux, en me tournant le dos, naturellement.
Tête en bas, appuyée sur ses coudes, son gros fessier s’offre à moi.
Auparavant, elle s’est rapidement enduit le cul d’un lubrifiant qui devait être d’usage fréquent, le client suivant arrivant dans une demi-heure.
Je m’introduis facilement en elle. Peut-être trop facilement.
je m’enfonce tout de suite assez profondément.
Elle donne de grands coups de cul à contretemps de mes coups de bite.
A ma grande déception, je ne suis pas si excité que cela. J’ai l’impression d’accomplir un travail mécanique dont je dois m’acquitter, puisque j’ai pris la peine de téléphoner, d’agender ce rendez-vous, de chercher l’ adresse de la dame après avoir changé deux fois de bus, d’avoir monté les étages. Et maintenant, il faut bourrer le cul d’Anna jusqu’à l’éjaculation…je sens que l’accomplissement de la jouissance me tournerait plutôt le dos, en s’éloignant peu à peu.
Je suis fâché contre moi. Pourquoi est-ce que je ne bande pas mieux que ça? Qu’est-ce que je veux de plus que d’enculer une ménagère dans son appartement?
Contemplant ces fesses larges d’enculée vénale à bas prix, mais non sans valeur, je me retire, et regarde son trou rond qui se referme peu à peu, tout déçu d’avoir à recracher la bonne queue du jeune homme.
autant Anna suçait sans enthousiasme, autant la sodomie lui arrache des plaintes de plaisir sincère.
Sous le coup d’une inspiration pulsionnelle irrésistible, je m’agenouille par terre, j’empaume ses fesses en les pétrissant et je lèche l’anus d’Anna.
Je suis la pute de cette pute. J’implore à son cul l’honneur de pouvoir lui procurer du plaisir, ce qui ne manque pas d’arriver.
Il faut dire que je me donne de la peine. Je lèche tout autour de la rosette, puis de bas en haut, de toute la langue.
J’aime lécher ce cul de pute.
La muqueuse est douce, ma queue vibre d’excitation. Son anus est parfumé à la mangue, ou je ne sais quel fruit exotique incorporé au produit lubrifiant.
Je me relève et reprends mon enculage, cette fois dans un autre état d’esprit, si je peux m’exprimer ainsi.
Je me branle le gland lentement, à l’écoute de mon plaisir, à l’entrée de l’orifice offert.
Je me retire, je reviens, tout lentement, exactement comme avec ma grande dame Brigitte, une dame de 70 ans qui, en m’ayant connu, devint probablement la femme la plus enculée de son village, tous âges confondus.
Digne, fière, retenue dans ses manières, mais les fesses régulièrement fourrée au sperme d’un homme plus jeune que ses fils.
Maintenant, je suis bien parti pour éjaculer dans l’anus de la portugaise.
Elle gémit, elle apprécie, et me laisse guider les opérations.
Maintenant je peux accélérer le rythme. Je peux enfin lui donner les grands coups de bite qui la font jouir.
ça y est. Le point de non-retour est atteint. Le sperme monte, je gicle dans le cul d’Anna.
Marlène se branle sans interruption, depuis quelques minutes.
-J’aime te voir te branler, me dit-elle.
comme elle ne connaît pas Anna, elle ne se contente pas de ce récit pour se faire jouir. Il lui faut imaginer des scènes plus crues, avec une personne de son entourage. Même si le réalisme en prend un coup.
-Tu sais ce que je voudrais? Je voudrais qu’Yvonne te regarde quand tu te branles.
C’est une amie de la famille. Assez plantureuse, des cheveux blancs soignés. Bientôt quatre vingt ans.
Je ne m’attendais pas à ce qu’on évoque soudain l’image de cette vénérable dame.
-Et tu crois que ça lui plairait, à Yvonne? dis-je d’une voix entrecoupée par la jouissance qui monte.
-Oui, ça lui plairait.
Elle se touche plus vite.
-Et qu’est-ce que tu voudrais qu’elle fasse?
-Qu’elle te suce. Elle est très âgée, mais elle te sucerait bien…et moi, je vous regarderais.
J’aurais envie de développer ce fantasme d’Yvonne qui me suce, mais le sperme monte brusquement le long de ma tige.
Je gicle.
Marlène regarde mon foutre qui jaillit. Ses yeux sont comme voilés.
Maternellement, elle éponge les gouttes gluantes avec un mouchoir.

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